Histoire D'Une Fève
Histoire dune fève
Comment je vais faire pour trouver la fève que tu as cachée au plus profond de toi-même. Tout dabord je vais te déshabiller tout doucement, longuement, et à chaque fois que je quitterai lun te tes vêtements, je te regarderai dun air amoureux mais aussi vicieux et pervers. A chaque vêtement enlevé, je penserai comment vais-je te faire lamour, comment je te ferai jouir, avec mon sexe mes doigts, ma bouche et bien dautres ustensiles que je pourrais trouver auprès de toi.
Tu es habillée de ton pyjama de coton qui est chaud, un haut et un pantalon, tu nas pas mis de culotte, tu ne portes pas de soutien-gorge, tu portes des chaussettes chaudes.
Je commence par te faire assoir sur une chaise et je soulève ta jambe droite. Je relève la jambe du pantalon pour apercevoir ta chaussette. Mes mains entrent dans lencolure de cette jambe et je les remonte le long de tes cuisses. Mes paumes sont chaudes et glissent au plus profond de ton pantalon, et arrivent à toucher presque jusquà ton entrecuisse. Mais je ne vais pas plus loin. Je redescends tout doucement, collées à ta cuisse pour aller avec mes doigts minsérer dans le haut de ta chaussette. Mes doigts sont maintenant arrivés sur la plante de tes pieds, la chaussette nest pas encore quittée, tu es toujours assise et moi je suis face à toi tenant avec mes mains ce pied droit. Je suis en train de masser la plante de ce pied, autour de la cheville et dessous. En même temps mes yeux sont plongés dans tes yeux pour deviner si quelques fois ta fève ne se trouverait pas près de cet endroit. A priori, cest non, mais tu ressens quand même la douceur de mes doigts, tes yeux se ferment et ta jambe réagit aux caresses effectuées. Ca y est je viens denlever ta chaussette et mes doigts bougent entre tes orteils que je fouille pour trouver le petit trésor. La fève
.
Maintenant que je tiens ton gros orteil, jai envie de le caresser longuement, mais je décide de lavaler et de le sucer comme je sucerai tes mamelons ou ton clitoris.
Ca y est je viens denlever totalement le haut de ton pyjama. Tu es toujours assise et je suis de nouveau à genoux en face de toi. Je vois dans tes yeux, lenvie de me sauter dessus, darracher mon string, dattr ma verge et de me larracher pour ensuite lavaler entièrement. Mais je ne peux te laisser faire et il est hors de question de te laisser ce que je cherche.
Je te demande de te lever, et mes doigts vont aller se glisser sur lélastique de ton pantalon pour le faire glisser tout en bas au bord de tes chevilles. Avec un petit pas en arrière, le bas de ton pantalon est enlevé, et maintenant jamène ta jambe gauche vers le haut et je te fais poser ton pied nu sur la chaise. De ce fait tu as les jambes écartées, un pied au sol, lautre levé. Ton sexe est ouvert à toute fouille particulière. Je suis là pour chercher une fève et non pour te faire lamour. Mes deux mains font maintenant une recherche sur le bas de ton corps, elles sactivent sur tes fesses que je ne peux voir, alors cest mes doigts qui vont me dire sils trouvent quelque chose de particulier, ils glissent dans ta fentes par larrière, mon index, fait le tour de ton anus, lautre effleure la partie se trouvant entre ton anus et le début de tes lèvres sexuelles.
Je décide donc de chercher plus profondément cette fève qui me fait envie de plus en plus. Car maintenant je vois mon gland sorti ardemment de mon slip. Il veut séchapper et sauter dans cette forêt qui me fait face. Je décide donc de bouger ce corps nu en face de moi et tu te retrouves à terre, à genoux, tes fesses vers moi. Jai mis une couverture au sol, pour que tu ne sois pas en mauvaise posture. Comme je navais pas franchi encore lacte de pénétration, je décide daller le plus gentiment possible vers cette introduction, et cest avec ma langue que je vais fouiller ce trou anal qui sous la chaleur de ma langue souvre délicatement. Tout dabord avec la pointe de celle-ci, jeffectue des contours complets de ton anus, puis je pénètre cette grotte en enfonçant le plus loin possible ma langue. Plusieurs fois, je sens la chaleur de cet abri, qui est maintenant ouvert. Je mets deux doigts dans son intérieur et comprends immédiatement que la fève nest pas là. Mais je ne mavoue pas vaincu et je ne peux mempêcher, vu que tu as la tête tourné vers le sol, de sortir ma verge et de te lenfoncer plusieurs fois dans ton anus bouillant. Jentendrai à chaque pénétration un petit cri roque, non pas causé par la douleur mais par lenvie de plus. Je ressens le tissus de mon pénis sintroduire en toi, tes parois anales lenfourne goulûment, Non Non Non, cela mest pénible, mais la fève nest pas à cet endroit alors il faut aller ailleurs. Maintenant que tu es tournée vers moi, le dos au sol, ta tête repose sur un oreiller, je te regarde, ton visage a rougi de chaleur, je sais que tu veux me dire où elle se trouve, mais maintenant je refuse toute coopération de ta part. Je veux la trouver tout seul. Je relève une par une tes jambes que jattache par les pieds à laide dune cordelette.
Je donne et je redonne ces coups, bien placé, bien perforant. Je menfonce en toi de plus en plus vite, de plus en plus profond, tu touvres de plus en plus, tu ne reçois pas les coups mais tu les avales, tu les attires, tu les veux, tu les demandes et encore une fois, ta fontaine jaillit, mon sperme éclabousse ton intérieur, puis je sors mon pénis serré dans ma main pour jaillir, éjaculer, gicler sur tes seins ton visage et tes cuisses. Et tout cela dans un rugissement mutuel. Tu te redresses violemment pour prendre en bouche mon vis, tu lavale rapidement pour goûter à ce liquide chaud et sucré que tu aimes tant. Tu maspires jusquà la dernière goutte et je rugis de plaisir.
Ce nest quà la fin de cette fouille corporelle, sexuelle, démesurée, que je tembrasse langoureusement, ma langue enlaçant la tienne, et là
.je trouve la fève dans ta bouche
Sacré Fête de Saint Nicolas
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