Terma 28- Mon Dragueur Du Match De Foot :
Terma 28- Mon dragueur du match de foot :
La dernière fois que jai été dragué en public, ce fut lors dun match de foot en soirée. Déjà avant lentrée, alors que je faisais la chaine pour acheter mon billet, un mec de couleur sest collé à mon cul et sy frottait sans vergogne. Je lai regardé avec un air méchant, mais il a rigolé en me montrant ses dents et sest frotté encore plus à mon cul. Je ressentais parfaitement la lourdeur de sa queue bandée. De plus, il sest permis de me toucher les fesses avec ses deux mains et ma peloté, tout de même, discrètement. Alors jai abandonné la chaine et renoncé à voir le match.
Je me suis éloigné, mais quelques minutes plus tard, le gars ma rejoint près de la station du bus et ma abordé « wach khti ! ma 3ajbak chi zébi ? yakhi rah mtanane 3ala teremtek ! » ( alors ma sur ! tu naimes pas mon zob ? pourtant il est gonflé par ta terma !). Jétais choqué car je ne connaissais pas ce type et rien dans mes attitudes ou habits ne montraient que jétais, effectivement, ce quon appelle, une tante, un amateur de sodomies par de gros zobs. Je lui dis « ma ti7chimich ! raq ghalat ! ana minich 3atay terma ! » ( tu nas pas honte ! tu te trompes ! je ne suis pas donneur de terma !). Il a encore rigolé et ma dis « ana nchem terma alqahba mine ba3id ! zébi ki tanane 3ala terma, na3raf bili raha ma7loula li neyk bi zbouba ! » ( je hume la terma putain de loin ! si mon zob se gonfle sur une terma, je sais quelle est ouverte pour la sodomie des zobs !).
Et il me toucha la terma avec une main ferme et me poussant, il exigea que je le suive au match car il a acheté deux billets pour nous. Je voulais encore protester, mais il me prit la main et la posa avec insistance sur sa braguette. Jai ressenti encore une fois la raideur de son zob bandé et jai abandonné la situation. Alors je lui ai frotté et serré le zob, bien gros et bien long et jai dis « errou7ou nikou wala lal match ? » ( on va niker ou on va au match ?).
On est retourné au match, et assis cote à cote dans le haut des gradins, il était totalement intéressé par les phases du match. Je lui ai, discrètement, touché le zob à travers la braguette, mais il ma repoussé « ma tkhalatch sport ma3a neyk ! koul hadja fi waqatha ! » ( ne mélanges pas le sport et la baise ! chaque chose en son temps !). Mais jétais très excité et ma terma mouillait à fond. Elle me démangeait et javais besoin en urgence dun zob pour la calmer. Jai dis que jallais aux toilettes. Il ne ma même pas écouté. Je me suis dis mais je suis con, je peux le quitter tout simplement sans quil ne réagisse. Je me suis levé et, dans le brouhaha de la foule, je suis parti.
Javais décidé de changer simplement de place ou de sortir du stade, mais jétais réellement excité de la terma. Même ma bite était un peu bandée par le désir. Alors je suis allé effectivement aux toilettes. Dans une cabine, debout, jambes et cuisses écartées, appuyé au mur ave ma tête, jai essayé de me branler avec la main droite, tout en me masturbant le cul avec deux doigts de ma main gauche et mon souffle saccélérait.
Le plaisir, quoique pas très fort, commençait à venir, soudain la porte du cabinet a été ouverte et quelquun surgit derrière moi. Penché, le dos à la porte, javais le cul en lair et les doigts dedans. Jai tourné la tête et jai vu un homme baraqué et barbu, tenant son zob à la main, venu pour pisser et qui me regardait, avec étonnement. Puis il a réagit avec un large sourire de plaisir au visage, la bouche ouverte, affamée. Et, avant que je ne réagisse, il agrippa mes hanches à pleines mains, puis fourra un ou deux doigts dans mon cul bien ouvert, bien offert. Il bougea un peu ses doigts dans mon cul, et tout de suite après, il menfonça son zob avec force tout au fond de ma terma.
Jétais échauffé de désir et le cul largement ouvert, cest pourquoi son zob a pénétra en vitesse dans mon cul jusquaux couilles. Puis le gars me sodomisa en force. Il me niquait en soufflant fort et moi, appuyé sur le mur, je me suis courbé encore plus, en écartant au maximum jambes et cuisses. Je ne sais pas combien cela a duré car, sincèrement, jai gouté fortement cette sodomie surprise et lorsque il éjacula dans mon intérieur, je nai pas pu mempêcher de crier mon plaisir « ah ya qari ! ah ya teremti ! hadha cado jak ! » (ô mon cul ! ô ma terma ! ça cest un cadeau reçu!).
Puis, le gars ma repoussé et a réussi à pisser dans le bidet. Jai alors observé son zob qui dégonflait. Il était pas mal. De toute façon, il ma donné du plaisir. Avant de partir, il ma dit « teremtek skhouna ! malssa ! malfa bi zob !by by » ( ta terma est brulante ! et lisse ! habituée au zob ! bye bye !). Jai pissé un coup, je me suis vidé du sperme et nettoyé le cul puis jai rejoins le match avant la mi-temps.
Jai rapidement repéré mon ancienne place et mon dragueur noir. Jai eu limpression quil ne sétait même pas aperçu de mon absence. Jai cogité un bon moment pour décider de ne pas le rejoindre. Mais, ma main ma trahit, elle sest rappelée de la grosseur et longueur de la bite du noir et ma terma a suivi le signal. Elle recommençait à me chatouiller et me démanger de nouveau, alors, je suis allé rejoindre mon dragueur, juste au moment ou larbitre sifflait la mi-temps. Mon gars ma regardé « wén kount ? » (où tu étais ?). Tiens, il avait remarqué mon absence. Jai répondu « fi bayt ra7a » (aux toilettes). On sest levé et il ma entrainé vers le coin des casses croute. On a mangé et bu du gazouz, puis larbitre a sifflé pour la seconde mi-temps. Les gens ont rejoint leurs places, mais pas mon dragueur.
Il ma entrainé vers les toilettes car il voulait aller pisser.
Après quelques vas et viens vigoureux, je commençais à bien ressentir la grosseur, la longueur spéciale et la puissance monstrueuse de son zob, comme tous ceux des noirs que jai déjà longuement pratiqué. « zébek kbiir, touiil wa mtiine » lui ai-je avoué (ton zob est gros, long et dur !) Et lui « akbar mine elli nakak gbeil ! ya qahba ! » ( plus gros que celui qui ta niké tout à lheure ! putain !). En entendant ces mots, jai reçu un choc ! Comment pouvait-il savoir ? .
Tout en me sodomisant avec force et le souffle bruyant et accéléré, il ajouta « qarék miliane zanna ya qahba ! » (ton cul est plein de sperme ! putain !), puis, « gbeil kanate teremtek t7ariate ! 3arafatha klatak ! » ( (tout à lheure jai vu ta terma te démanger ! ) et «rouhoute baradha bi zob ! » (tu es allé la calmer par un zob ! ) et enfin « ma 3lihich ! dhoug ezebi lakhchine thourka ! » (ça ne fait rien ! goutes mon gros zob maintenant !). Il est très gentil et complaisant, lamateur de ma terma !
Et il continua toujours avec vigueur et ahanements bruyants à me niker et me secouer dans ce cabinet étroit.
Moi, je me suis encore une fois vidé le cul et lavé la terma. Mon plaisir était certes très grand, mais on dirait que javais encore de la ressource. Alors, jai repris mon premier geste : Je recommençais à me masturber la bite, lentement et doucement, tout en me branlant le cul avec mes doigts. Les restes de sperme maidaient à mieux faire mes vas et viens à lintérieur de ma terma. Ces attouchements des deux cotés mont rapidement amené à un sommet de plaisir aussi intense que ce que jai ressenti avec les deux hommes. Et lorsque jai éjaculé sur le mur, ce fut un feu dartifice. Des jets puissants et beaucoup de sperme et, poussé par le plaisir intense, je me suis automatiquement enfoncé les doigts et presque la main au fond de mon cul.
Puis, nétant plus intéressé, ni par le match, ni par les gars, je suis sorti du stade avant la fin, me promettant, toutefois, de revenir dans le voisinage, au prochain match pour essayer de retrouver , soit mon dragueur complaisant, soit mon nikeur surprise, prêt à enfoncer son zob dans toute terma devant lui.
Jai tenu trois semaines loin de ce quartier, mais un soir, en voyant un film porno, le zob dun homme de couleur ma relancé sur mon dragueur. Limage de son gros zob noir gonflé de nerfs, ma tenu réveillé une bonne partie de la nuit et les démangeaisons de ma terma ont été une épreuve pénible, que je nai pas pu calmer avec les vas et viens de mes doigts. Je me suis endormi difficilement.
Le matin, mon cul continuait à frémir, alors vers 10h, je suis allé vers le quartier du stade. Jai erré deux bonnes heures sans trouver mon gars. Certes, il y avait beaucoup de gens et parmi eux des dizaines de noirs, mais je désirais mon homme et son zob, pas un autre. Vers midi, découragé, je suis rentré dans un petit bar pour prendre un café et un sandwich, et cest alors que lange de ma terma intervint. Une main sest posée sur mon épaule et, me retournant, cétait mon homme de couleur avec son large sourire et ses dents éclatant de blancheur.
Il me salua « sa7tak khti ! twa7ach tak ! » (santé ma sur ! tu ma manquée !) et doucement à loreille « zébi a7zane 3ala teremtek ! « (mon zob est en deuil de ta terma). Cétait bien lui, blagueur et direct. Alors, moi « rani dawarate 3alék ! essab7a kamla ! albara7 7lamate 3ala zébék » ( je tai cherché ! toute la matinée ! hier soir jai rêvé de ton zob !). Et le prenant par la main jai essayé de lattirer hors du bar «aya ! fissa3 ! laazam anikou ! teremti raha tsiil bi chahoua ! » ( viens ! vite ! on doit niker ! ma terma mouille de désir !). Il rigolait en mentrainant vers chez lui.
Heureusement, il habitait un quartier pas très loin, dans un studio dun immeuble, au quatrième étage. Avant de visiter les lieux, on sest débarrassé de nos vêtements et, nus sur le lit, il a honoré ma terma. Il ma léché les fesses et leur sillon puis mon anus ou sa langue ma affolée, puis, constatant que jétais assez chaud et ouvert, il ma donné son gros zob à lécher, sucer et branler. Je lai préparé avec jouissance et quant il est devenu très dur comme un pieu en fer, je me suis couché sur le lit, le dos sur le matelas et levant jambes et cuisses, jai offert mon cul à mon amant.
Rapidement, dès que son gland a touché mon anus, jai crié de plaisir « Ah ! ya teremti ! hili qarek li zeb lakhchine ! doukou ya sahbi ! fissa3 ! rani nsiil ! » ( ah ! ma terma ! ouvres ton cul au gros zob ! enfonces ô mon ami ! vite ! je coule ! ). Et le zob glissa avec force et vigueur dans mon cul et senfonça en vitesse jusquà heurter avec jouissance mon fond, ce qui ma fait encore crier « aaahh ! assaneitha mine al bara7 ! 3amarli qari ! » ( aaahh ! je lai attendu depuis hier soir !) et « ag3arli karchi bi zébék ! touiil ! touiil ! aaahhh ! » ( rempli moi le cul ! défonces moi le ventre avec ton zob ! long ! long ! aaahhh !). Devant tant de plaisir et de jouissances, je me suis presque évanoui. Et mon amant se lança dan un pilonnage fiévreux, acharné et bruyant dans mon cul.
Il hurlait lui aussi « teremtek spéciale ! zébi hbal 3aléyha ! » (ta terma est spéciale ! elle affole mon zob !) et « nkharjoulak mine karchak ! aaahh ya zébi ! hlouwa ! hlouwa teremtek ! wa qarek mlass ! 3assal !» ( je le sortirais par ton ventre ! aaahh ô mon zob ! succulente ! succulent e est ta terma ! et mielleux est ton cul !).
Et il fonça en me secouant à chaque enfoncement de son zob, et il membrassait le cou et les seins tout en grommelant je ne sais quoi. Cela augmentait mes jouissances. Il gueulait « bzazzel mgonfliine ! bi chahoua ya kahba ! » ( tes seins sont gonflés ! de désir putain !) et moi « anka3 ! anka3 bzazli ! kharajli hlibi ! mouss ! mouss ! aahh ! » (tètes ! tètes mes seins ! sort moi mon lait ! suces ! suces ! aahh !). On était affolés de désir. Cela dura un temps infini et nous continuons à crier nos joies et jouissances. Et enfin, il hurla « hahi jaate ! hahi jaate ! hlibi ! hliib zébi ! 3assal zébi rah jay ! » ( elle arrive ! elle arrive ! mon lait ! le lait de mon zob ! le miel de mon zob ! ).
Et sagrippant à me faire mal aux hanches il senfonça encore plus dans mon cul et lâcha une dizaine de jets puissants de sperme chaud qui menflamma les entrailles de jouissances. Il hurlait je ne sais quoi car moi aussi, je gueulais encore une fois mon plaisir, à linfini « aaahhh ! aaahhh ! 3amaratli qari ! 3assal qlawiik ! ziid ! ziid ! » (aaahhh ! aaahhh ! tu ma rempli le cul ! le miel de tes couilles ! encore ! encore !). Je serrais mon cul, mon sphincter et mes entrailles pour lui sucer son zob au maximum. Et je le sentais très bien, sa chair brulait ma peau interne et jai crié « oug3oud dakhal qari ! khali zébek fi teremti ! raha tmouss fiih ! » ( restes à lintérieur de mon cul ! laisses ton zob dans ma terma ! elle est en train de le sucer !).
On est resté ainsi, un long moment couchés lun sur lautre et son zob à lintérieur de mon cul, sans nous soucier des filets du sperme qui coulait le long de nos cuisses. On sembrassait de plaisir et il ma avoué « jamais nikat wa7ad kima nta ! terma kima nta3ak ! » (jamais je nai niké un gars comme toi ! une terma comme la tienne !). Je lui ai, moi aussi avoué « teremti raha spéciale ! ta3raf toussroute ou tmouss ezob ki ya3jabha ! » ( ma terma est spéciale ! elle sait engloutir et sucer le zob qui lui convient !) et « zébék khchine wa thquiil ! magdar wa hlou ! »( ton zob est gros et lourd ! puissant et doux ! ) enfin « hadha zbouba soumour ili ta3jaq houm teremti » (cest le genre de zobs noirs que ma terma adore).
Après nous être calmés, on sest nettoyés dans sa minuscule salle de bain. Jai visité son petit studio dune chambre, cuisine, petit hall avec télé et minuscules douche-wc-lavabo. Ensuite, on a baisé deux autres fois encore, une par derrière alors que jétais à genoux sur le lit et la dernière, par surprise au moment de nous quitter. En effet, jallais ouvrir la porte car je devais partir, mais il me tenait par la taille et embrassait mon cou en me suppliant de ne pas tarder à revenir le visiter. Comme réponse, jai fait un geste, je dirais maladroit ou sensuel ou damour, je ne sais pas. Jai tendu ma main vers sa braguette, sans trop réfléchir et jai attrapé sa bite à travers le vêtement. Soudain, ja senti son zob qui réagissait en se gonflant très rapidement. « aahh ! zébi rah tanane ! ya kahba ! » (aahh ! mon zob sest regonflé ! putain !).
Cette réaction de son zob sest signalée à ma terma qui a sursauté en me chatouillant et dans un geste sans calculs, jai tourné ma terma vers son zob et frotté ce dernier contre mon cul, à travers les vêtements ! Alors, mon gars a sauté sur loccasion, il a descendu son pantalon et slip et dégagé son zob, effectivement, entièrement bandé et gonflé der désir. Et moi, que pouvais-je faire ! jai glissé mes vêtements par terre et debout, les mains plaquées sur la porte, je lui ai tendu ma terma. En extrême vitesse, il trouva mon anus et me pénétra en force. Peut être que les restes de sperme ont aidé, toujours est-il que son zob plongea dans mon cul jusquaux couilles. Et on recommença une sodomie endiablée, debouts, contre la porte de son studio.
Elle a éé certes assez rapide mais, croyez moi, elle fut violente en plaisir. Ma terma a tout de suite recommencé à jouir et chacun de ses coups de reins me soulevait presque de terre. Jambes et cuisses largement écartées, le cul entièrement ouvert, de même que ma bouche essoufflée par le plaisir, jai autant gouté cette sodomie surprise que les deux autres. « aahh ! ya teremti ! mazaal dawri 3ala ezeb lemtiine ! » (aahh ! ma terma ! tu veux encore gouter du gros zob !).
Hélas, mon homme arriva vite à son plaisir et vida le reste du sperme de ses couilles dans mes entrailles. Afin déviter de salir mes vêtements, coincés sur une de mes jambes, je men suis débarrassé sur le sol et nu par-dessous la ceinture, jai couru aux toilettes où je me suis nettoyé au mieux que je pouvais. Puis je me suis rhabillé en vitesse, et cette fois jai évité de lui toucher le zob quant il ma donné un bizou à lentrée. Je me suis enfoui en me promettant de revenir vers ce gars qui me semble affolé et insatiable de ma chère terma.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!