Heure Sup...
Les premiers kilomètres sécoulaient dans le silence. Je regardais la route devant moi. Les mains crispées sur le volant. Parfois je jetais de rapides coups dil sur ma passagère, qui imperturbable les pans de son manteau écartés, se contentait de chantonner. La cinquantaine, bien conservée, la poitrine prometteuse, que je voyais bouger librement sous son chandail de couleur rouge vif. Toute rondelette, garnie dappas développé, une bouche ronde, éclairé par deux grand yeux bleus, pétillant de malice, aux cheveux blond-cendré coupé au carré.
Quun mot me vint alors à lesprit, sublime. Oui ! Cette femme était sublime. Cela faisait une heure que je lavais comme passagère. Jétais passé la prendre chez elle dans la région Parisienne. Le paysage de banlieue défilait, morne, et la pluie qui commençait à tomber sajoutait à la grisaille ambiante dun mois de novembre.
Laprès midi, après le déjeuner, je lavais prise dans le hall de son lhôtel. Où elle mattendait, un cartable à la main. Je la déposais dans la première école inscrit sur la longue liste, qui devrait occuper son temps pour la semaine. Pendant les deux, trois heures où elle exposait la vertu de bien dormir, moi je lattendais à bord de la voiture. Occupant cette pause comme je le pouvais. Cela aller de la lecture à lécriture.
Le deuxième jour, elle avait engagé la conversation. Nous avions parlé de banalité. Le troisième jour, javais décidé de linvité à déjeuner avec moi. Comme pour attiédir un peu plus notre relation. Elle avait tout de suite accepté. Après sa conférence, nous nous étions retrouvés autour dune pizza. Le café avalait, nous reprîmes le chemin dune énième école.
Cette dernière sétait éternisée. Au trois heures habituelles, sétait ajoutée une bonne demi-heure. Je ne vous cache pas ce que fut mon plaisir de la voir sortir du préau. Sourire aux lèvres, tenant en main son éternel cartable. Elle sautorisa même un clin dil à mon égard quand elle arriva à hauteur du pare-brise.
- Je suis congelé, sexclama-t-elle en cliquant sa ceinture de sécurité.
- Il ny avait pas de chauffage ?
- Oui, mais le préau est un nid à courant dair. Un vrai frigo.
- Je vous ramène à votre hôtel ? Fis-je en embrayant, quittant le lieu à vitesse modérer.
- Dîtes-moi, nous sommes loin de
? Fit-elle en me donnant
Le nom dun village distant dune soixantaine de kilomètre.
- Si loin que ça ?
- Ce nest tout de même pas le bout du monde. Répliquais-je.
- Jai une copine de fac qui vit là-haut.
- Et vous voulez lui rendre une petite visite.
- Oui
mais soixante kilomètres ?
- Vous désirez que je vous y conduise oui ou non ?
- Cela ne vous dérange pas.
- Je suis à votre service pour la semaine.
- Il ne faut pas que cela vous dérange
.
- Jai juste une petite question à vous posez avant de prendre la route.
- Oui, je vous écoute ?
- Vous êtes sûr quelle sera là.
- A cent pour cent. Après un accident de moto elle a perdu la motricité de ses jambes.
Plus rien ne pouvait nous empêcher de prendre la route. Après seulement quelques kilomètres, elle se plaignait davoir froid aux pieds.
- De vrai glaçon, se confessa-t-elle. Celui vous ennui que je me déchausse.
- Faîte-donc
- Merci, fit-elle, en sôtant avec son pied opposé ses escarpins. À travers le nylon couleur pêche, par transparence je distinguais ses ongles délicatement vernis en rouge. Je décelais de ma hauteur, une petite callosité sur le talon du pied gauche.
Avec la souplesse dune gymnaste, elle posa ses pieds en appuis sur le tableau de bord. Se penchant ensuite vers eux, elle les prit un dans chaque mains. Mon regard se portait tantôt sur la route, tantôt sur ses mains. Très vite je fus obsédé par une envie irrésistible de caresser ses pieds.
- Je vois que ce nest pas très confortable.
- Je ne vous le fais pas dire
Jen ai le souffle coupée à me casser comme cela, en deux
- Vous désirez que je vous les masse ? Lui proposais-je.
- Cela ne vous ennuie pas ?
- Si je vous le propose cest que je serai ravi de vous prendre ce service.
- Comment fait-en ?
En quelques mots je lui indiquais comment je voyais la chose. Elle sexécuta, pivotant sur son siège. Moffrant une vue plongeante sur son entrecuisse, avant dapposer ses pieds sur mes cuisses. Je ressentais comme une terrible décharge électrique dans tout le corps, lorsque le bout de mes doigts fébriles entrait en contact avec la peau nylonnée. Je me mis à frictionner ses petons en faisant tout pour cacher mon trouble. La réaction de la femme était tout à fait normale.
- Cest très agréable, fit-elle. Vous avez tes doigts de fée
Commençant à prendre goût petit à petit à ce que jexerçais sur ses pieds. Je lui fis remarquer quils étaient juste magnifiques. Pas un seul pli, pas un orteil plus déformé que l'autre, pas de surcharge avec le verni à ongles rouges. Bref, ses pieds étaient célestes.
Mon désir était tellement vigoureux que je ne pu combattre à l'envie de porter son pied à la hauteur de mon nez. Laquelle avait eu un léger frémissement du buste, mais ne se déroba pas à ma manuvre. Se contentant seulement de refermer sa jupe, inquiète sans doute de mexhiber ce qui ce trouver en-dessous.
Le collant sentait fort. Comme sil avait été porté plusieurs jours. Ma pulsion sexuelle atteignait à cet instant son summum. Seul le bruit du moteur coupait le silence. Je sentais mon cur battre la chamade, et la sueur ruisseler dans mon dos. Collant mon tee-shirt à mes omoplates. Sans aucune gêne je me mis à pourlécher le pied à travers le nylon qui le rendait rugueux. La tête en appui contre le montant, elle avait les yeux clos.
Je décelais sortir de sa bouche quelques gémissement étouffés. La coquine avait maintenant les yeux ouverts, et fixait la bosse que faisait mon érection sous mon pantalon en tergal. Elle me proposa même :
- Il serait plus raisonnable de sarrêter, vous ne croyez pas ?
- Je pense que vous avez raison
Pour ma future manuvre, je posais son pied sur mes cuisses et chercher un coin où nous pourrions nous poser en toute quiétude. Sitôt stationner elle exigea de ma part de lui exhiber ma verge. Ce qui nétait pas pour me déplaire.
En quelques gestes bien précis, je mis à lair ma verge bandée. Je la vis pâlir de convoitise en la fixant. Elle sen était saisit du bout de ses pieds et me masturba. Tantôt avec les deux pieds, tantôt entre les orteils de chaque pied. Je faillis pousser un cri de bonheur, lorsque le nylon effleura le gland. Secouant tout mon corps dondes délicieuses, de plus en plus puissantes.
Enfin, parce quelle nen pouvait plus de désir, elle décida de passer à la vitesse supérieure. Pour ce faire, elle me délaissa quelques instants. Le temps de se remettre en position assise sur son siège.
Ses doigts mappelaient. Je me déplaçai pour lui mettre ma queue dans la main. Quelle serra, tâta, palpa avec une fébrilité avide. Lidée quelle me branlait me gorgeait de délices. À en claquer des dents. Jécartais les cuisses pour quelle puisse aussi toucher mes couilles. Le message était bien passé, puisquelle magrippait tout le paquet. Le serrant très fort, à me faire mal. Mais cétait si délicieux quelle me fasse mal.
Quand je sentis que le plaisir arrivait, je lui griffai le poignet.
Le don terminé, avec sa jupe plissée roulée sur le haut de ses cuisses. La nuque renversée sur lappui-tête, elle donnait limpression de somnoler alors quelle se gavait du sperme avait souillé sa main.
Je détachais la ceinture de sécurité, puis je plongeais carrément la tête entre les cuisses de la femme, entrainant sa jupe vers le haut. De sa fourche, un parfum capiteux sen exhalait. Achevant de me tournebouler les sens. De mettre à bas mes dernières résistances. Mon ultime pudeur. La femme, elle restait immobile comme une statue. Attendant la suite du programme, parce quelle savait quil nallait pas sarrêter en sin bon chemin. Je fis connaissance avec sa culotte très pudique, blanc, bordé dune fine dentelle, couvert par le collant. Doù se dessiner un mont de Vénus bombé. Instinctivement, elle cambra les reins et son ventre. Jentrepris de lui soutirer le collant, puis de sa petite culotte. Je tremblais dexcitation et dimpatience.
Dessous se tenait une petite bande de poils châtain. Le reste de son sexe était consciencieusement épilé. Un dôme bombé doù saillaient les lèvres intimes. Son pubis sentait bon la sueur, et la crevette. Ivre de désir, je plaquais ma bouche aux grandes lèvres et suçais la mouille qui en dégoulinait. Elle avait un goût salé et acide durine qui affolait mes sens. Je la pourléchais méthodiquement. Et au bout de quelque caresse elle déchargea dans ma bouche une abondante mouille grasse.
Il était pour moi à cet instant de signer mon uvre. Pour cela je passais de son côté. Positionnant son siège en couchette. Qui grinça sous mon assaut. Elle sabandonnait à moi. Les bras croisés autour de lappui-tête, elle ne put réprimer des gémissements qui lui donnaient la chair de poule. Pour mieux souvrir, elle souleva une jambe pour la passer autour de ma taille, me tendant sa chatte.
Ainsi elle me forçait à menfoncer plus profond dans son sexe. De la mouille plein le menton, jallais et venais en elle, de plus en plus vite, de plus en plus fort. À mesure que jaccélérai mes coups de reins, mon cur se mettait à battre plus vite, plus fort aussi.
Je sentais de légères vagues de mon propre plaisir naître au plus bas de mes reins pour en faire un tsunami. Je me déversais à grands jets bouillonnant et spasmodiques, au fond de son ventre.
Je me redressais, refermant mon pantalon. Jembrayais et roulais tout en jetant des coups dil du côté de ma passagère, remettant de lordre dans sa tenue.
Après être sorti de chez sa copine, je lavais ramené à lhôtel. Elle mavait invité à monter avec elle dans la chambre, où nous avions eut un autre rapport. Puis le lendemain chez elle à Paris
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