Sos... Pour Copine En Detresse...
Ce soir-là, en rentrant du travail je trouvais ma femme avec Sylvie. Une bonne collègue à elle. Elle était mignonne, mais balourde. Aux cheveux blond-roux. Quelle portait longs, retombant constamment en pluie sur son visage.
Ma femme mannonça quelle lavait invité à dîner. Ce qui était loin de me gêner. Surtout que Sylvie fraichement divorcée était une gentille fille, très agréable.
Après avoir bien arrosé la nouvelle vie de célibataire de sa collègue, ma femme avait pensé quil était préférable quelle passe la nuit dans la chambre dun gamin. Parti pour le week-end chez ma sur.
Après mêtre brossé les dents, je partais en direction de ma chambre. Alors que je passais le pas de porte, je vis ma femme allongeait sur notre lit. La culotte bâillait, laissant deviner les grandes lèvres de la chatte.
- Je ne sais pas ce qui marrive ce soir mais jai envie que tu me fasses jouir
Elle avait dit ça avec un naturel confondant. Comme si elle proposait une balade dans un parc.
- Pourquoi pas, répondais-je, tout en faisant tomber mon slip à terre.
- Je nai pensé quà ça pendant le dîner
Je vins mallonger auprès delle et posai mes lèvres sur les siennes. Au contact direct de ma main sur sa peau, elle frémit. Laissa échapper un gémissement. Elle avait gardé les jambes écartées. Javais posé mes doigts sur sa chatte à travers la dentelle. À ce contact, elle ne put sempêcher de gémir de nouveau. Je glissais mon index dans sa culotte, caressais les petites lèvres. Nos langues sentremêlaient toujours.
Puis je métais glissé le long de son corps pour arriver à la hauteur de son sexe. Écartant la dentelle sur le côté, javais pris ses petites lèvres en bouche, les aspirants. Dans un mouvement de va-et-vient, je les avais sucées longtemps. Elle avait posé ses mains sur le haut de mon crâne, alors quelle gémissait de plus en plus fort, en gesticulant le bassin.
Puis la pression de sa main se fit directive, voulant me conduire jusquà son bouton.
Méchappant, elle se positionna à quatre pattes sur le lit. Ses petites lèvres pendaient sous les plis de la culotte. Je pris position entre ses jambes, bouche ouverte, langue tendue. Par à-coups, elle basculait son bassin afin que son sexe revienne au contact avec ma bouche. Puis elle écarta sa culotte, et vint placer delle-même son clito sur ma langue. Elle se mit à onduler du bassin, cherchant son plaisir en se frottant. Elle geignait de plus en plus fort. Minondant la figure de la liqueur. Finalement, elle lâcha un râle ultime, étonnamment aigu, je compris quelle avait joui.
- Je ne tiens plus ! Jai envie
jai envie
de ton jus dans au fond de ma chatte
Pour cela, elle menfourcha, sempala avec un grognement de plaisir.
- Oui
Oui ! Ça y est je te sens. Tu es dedans. Que cest bon
défonce-moi ! Tu entends, défonce-moi.
Elle sexprimait en haletant. Commençant alors à sagiter. Ses seins ballotaient au rythme de ses coups de reins. Elle se mit à hurler. À délirait. Ma queue aspirée par son vagin, dégoulinait dabondantes sécrétions vaginales. De même pour mes couilles. Trempés de suc. Quils battaient contre ses fesses. Quelle cambrait pour mengloutir au plus profond de sa chair. Elle se souleva pour mieux se laisser. Retomber sur sa queue. Entre deux halètements, jentendais bien distinctement :
- Baise-moi... fais-moi jouir !
La prenant par les fesses, je la soulevais. Pour lui donner des coups de reins. À en avoir le bout de ma queue butant contre le fond du vagin. Elle me chevaucha de plus belle. Ses seins couverts de sueur ballottaient avec des bruits mats. Les yeux clos, la bouche tordue, elle balbutiait :
- Ah oui, encore ! Je vais jouir
oui jouir
!
De la mouille chaude ruisselait toujours sur mes couilles. Elle s'abattait sur lui.
- Jespère que Sylvie ne nous a pas entendus. Que cela ne lui monte pas à la tête. Fit-elle en riant avant de couper la lumière.
Ce fut la bouche de ma femme qui mavait sorti de mon sommeil. Me tétant à pleine bouche, avec des bruits de succion. Pressant mes couilles dans sa main. Grâce à la clarté du jour naissant je vis sa bouche allait et venait, très vite le long de la tige qui brillait de salive. Ses mamelles ballottaient. Tenté japprochais mes mains pour les malaxer. Elle me lâcha tout de suite après que jai joui.
- Tu me suces ? Me défia-t-elle.
- Si tu veux, répondais-je en prenant la position.
- Non, je dois me préparer pour aller bosser.
Après sêtre habillée, et avant de sortir, elle me dit :
- Reste au lit. Repose toi tu en as besoin
Dailleurs je ne mis pas longtemps à tomber dans les bras de Morphée. Ce fut la porte de la chambre qui me réveilla en sursaut, en souvrant.
- Et bien Alain ce nest pas une tenue ça. Fit Sylvie un sourire ironique flottait sur ses lèvres. Je suis une femme en manque ... et tu as une belle bite ! Elle me fait envie...
Elle se tenait nue au milieu de la chambre. Malgré sa silhouette mince, elle avait des seins bien marqués. Elle se comportait avec moi comme une chatte en chaleur essayant de maguicher par de menues agaceries féminines, qui me touchaient par leur naïveté. Avec cette mentalité de courtisane avait tout pour me séduire. Je navais absolument aucun mal à limaginer se tripotant en entendant cette nuit nos gémissements à travers la cloison.
Elle sétait approchée jusquau bord de mon lit. Avait posé sa main sur ma nuque et mavait lentement attiré contre son ventre. Ma bouche picora dans sa toison sur le ventre même et dans la vallée douce des aines. Je mordillais avec tendresse la chair offerte et sans défense. Elle soffrait avec complaisance. Ne pouvant retenir une vive contraction quand ma langue avait touché son point le plus sensible. Elle respirait fort, gémissait de temps en temps. Il nen fallait pas plus pour faire monter une tension en moi. Marrachant un grognement de joie.
Lagrippant par les hanches je la fis basculer sur mon lit. Et plaquais mon sur la fente, la fouillant avec mon nez. Je me saisie des grandes lèvres et les écartais au maximum. Elle ruisselait. Ne contrôlant plus rien. Pour la seconde fois, elle mavait attrapée la nuque, collant ma bouche à son buisson. Elle se tordait sur mon lit. En proie à une série dorgasmes. Éjectant un liquide, aussi épais quune de mes éjaculations.
Elle avait fini par sécrouler. Jamais rassasié quand jai une chatte à porter de main. Je portais mes doigts et mamusais à en lisser les poils crémeux. Puis jenfonçais mes doigts dans la chatte et dans le cul. Les deux trous distendus acceptaient naturellement toutes mes caresses. Mes doigts baignaient sans effort dans des trous torrides. Sylvie resta impassible, alors que mes doigts la fouillaient. Son cul palpitait tout autour deux.
Transie, toute chaude, elle me fixait. Son odeur de femelle démente venait titiller mes papilles. Elle tendait son cul vers moi. Je branlais simultanément les deux orifices. Deux doigts dans chaque tunnel. Elle avait les yeux complètement révulsés. Dans la fente de ses paupières, entre ses cils, seul le blanc se voyait. À chacun de mes va-et-vient, elle hoquetait. Son visage était façonné par les grandes houles du plaisir.
- Encule-la, me disais une voix. Oui
oui
encule-la. Fais-le ! Fais-le je ten prie
Javais attendu quelle prenne son pied, pour minstaller pour prendre le mien.
- Oh la ! Oh la ! Fit-elle. Pas de pénétration
monsieur Alain.
- Ah oui ! Tu en es sûr ? Répondais-je.
- Oui, jen suis fait le serment à ta femme
- Alors ! Tout ça
. Cest
- Oui, un accord entre ta femme et moi. « Pas de pénétration de queue
le reste je men fou » Cela a été ces mots ce matin avant de partir.
- Message compris
alors branle-moi
Elle posa sa main sur ma verge gonflée. Et entreprit de me branler dun mouvement régulier. Me masturbant avec délice. Tirant sur ma queue de plus en plus. Elle me soutirait des gémissements à chaque mouvement. Pendant mon éjaculation, elle avait maintenu ma queue à la verticale. Mon sperme inonda sa main. Elle se pencha, et lécha jusquà la dernière goutte le sperme qui sétait répandu sur sa main
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