Un Séminaire À La Baule
Cette histoire est en grande partie vraie, juste un peu arrangée. Enfin, à vous de voir !
La Baule, il y a quelques mois :
Trois jours à la Baule, ça ne se refuse pas ?
Bon, sur trois jours, il allait y avoir deux jours et demi enfermée dans une salle à écouter (ou faire semblant découter) des oratrices et orateurs. Jétais là-bas pour une conférence et un séminaire, envoyée par ma boîte.
Lundi, le premier jour :
Je suis installée dans un hôtel très sympa, avec une jolie vue sur la mer depuis ma chambre.
Il est à quelques pas de la salle de conférence, qui se trouve dans un autre hôtel. Pour rejoindre la salle, je dois longer le front de mer. Plutôt pas mal.
Après avoir pris un café, je me suis installée dans la salle. Des chaises ! On va être cassés en sortant de là. Ils auraient pu prévoir une salle avec des fauteuils !
Je mavance dans lallée entre les rangées de chaises en velours rouge. Ça commence déjà à se remplir.
Je repère des places disponibles dans une rangée vers le milieu de la salle.
Un homme occupe le premier siège :
- Excusez-moi, lui dis-je
Il met ses genoux de côté senfonce dans son siège pour me laisser lespace de passer. Je me glisse de dos et avance en crabe de manière à ne pas le toucher. Je maperçois quil a mes fesses à hauteur de visage. « Profites du spectacle, cest gratuit » me dis-je.
Je minstalle au milieu de la rangée de chaise. Le type est à trois sièges sur ma droite. Devant moi, il y a deux grands baraqués : « super, je vais pouvoir me planquer derrière eux ». Derrière moi, cest vide sur deux rangées. A ma gauche, une femme est installée, deux sièges plus loin. Elle me regarde, je lui souris. Elle me rend mon sourire.
Ce nest pas la plus jolie femme que jai eu loccasion de croiser, mais elle est assez mignonne. En fait cest son nez un peu proéminent qui dépareille un peu, de jolie elle passe à pas laide quoi.
En fait, son nez, que javais dabord considéré comme un défaut, la met encore plus en valeur finalement. Cest le petit plus, qui la rend belle et désirable. Son nez lempêche dêtre une femme de papier glacé. Il la rend humaine. Avez-vous déjà eu ce sentiment ? Les femmes sublimes, sans défaut, finalement semblent tellement inaccessibles, quelles en en deviennent beaucoup moins désirables. Le nez de cette femme la rendait proche de vous et finalement désirable.
Jen fais beaucoup avec son nez, mais relativisons, ce nest pas non plus un appendice disproportionné. Légèrement busqué, certes, mais cest surtout de profil quon le remarque vraiment. Quand elle sest tournée vers moi pour me sourire quand je me suis installée, ça choquait beaucoup moins de face. Le souci, cest que je la vois de profil ma voisine.
Jen étais là de mes réflexion, quand le séminaire à débuté. Un type venait de prendre la parole et nous présentait le programme. Vu le contenu, on ne va pas se marrer !
Je me tourne vers mon voisin de droite, trois sièges plus loin. Il me regarde, penche la tête sur le côté et souffle, avant de sortir son smartphone et de pianoter dessus. Daccord, il est dans le même état desprit que moi lui.
Je laisse mes pensées divaguer.
« Quest-ce quon semm
. ». Un changement dorateur me fait revenir à la réalité. Et quest-ce quon est mal installés sur ses foutus sièges. Je vais avoir le dos cassé en sortant de là et je commence déjà à avoir des fourmis dans les jambes. Je décroise et croise mes jambes dans lautre sens, histoire de ne pas choper de courbatures et de faire circuler le sang. Je vais faire comme mon voisin, je vais prendre mon portable, faire un SMS à Maelenn, consulter mes mails, histoire de ne pas perdre complètement mon temps.
Je me penche sur ma gauche, vers le siège voisin, où jai posé mon sac à main, pour fouiller dedans.
Ma voisine de gauche détourne le regard. Elle re regardait et quand je lai vue, elle sest détournée. Tiens donc ! A suivre !
Je tapote un peu sur mon portable, avant de glisser mon regard à nouveau sur la gauche. Cette fois, ma voisine ne se détourne pas. Nos regards sont lun dans lautre. Elle me sourit à nouveau. Puis ses yeux descendent sur mes jambes croisées lune sur lautre. Je porte une jupe grise pied de poule, au-dessus du genou. Amis assise, elle découvre une partie de mes cuisses. Le spectacle à lair de lintéresser.
Ma voisine nen perd pas une miette. Elle croise ses jambes également dun mouvement assez accentué, ce qui a pour effet de faire remonter haut sa robe.
Mon regard descend sur les cuisses ainsi découvertes. Son index et son majeur se positionne juste en dessous de lourlet de la jupe et caressent très légèrement le voile du collant. Se doigts vont et viennent de hauts en bas.
Voilà maintenant, quelle se touche la cuisse ! Elle me fait du rentre-dedans, plus de doutes !
Je ne vais pas être en reste ! Je fais glisser ma main sur mon ventre, sur le côté de mon bassin. Je la fait descendre sur ma jambe, afin dagripper le bas de ma jupe pour la remonter un peu plus haut. Ce nest pas évident, mes jambes croisées tendent le tissu. Je décroise donc, écarte légèrement mes jambes, et ainsi je peux remonter ma jupe plus haut. Je plaque ma paume sur ma cuisse, afin de la caresser aussi.
Je jette un regard sur ma droite, mon voisin est absorbé par son téléphone et de toute façon nous sommes maintenant dans une semi-pénombre, cest lestrade des orateurs, où vient de sengager un débat
. édifiant, sans aucun intérêt, qui est éclairé.
Derrière, nous sommes planquées par nos manteaux sur les dossiers des chaises. Devant ça roupille. Nous sommes tranquilles.
Ma voisine a laissé sa cuisse, sa main est remontée vers sa poitrine. Elle fait comme si elle se grattait discrètement le décollette, puis après un regard sur les côté et derrière elle, elle empaume carrément un de ses seins. Avant de reposer sa main sur le dessus de sa cuisse.
Nos regards sont maintenant rivés lun dans lautre. Elle entrouvre légèrement la bouche et passe sa langue sur ses lèvres. Jai aussi ouvert la bouche et je fais aller ma langue de haut en bas, mimant ainsi un cuni.
Ma voisine se mord la lèvre inférieure. Je nen peux plus, je suis en train de mouiller ma culotte. Je limagine elle aussi dans le même état. Quest-ce que je vais faire ? Je vais massoir à côté delle pour pouvoir la toucher ? Non, on va finir par se faire repérer.
Tant pis ! Je me lève, att mon sac à mains, me mets de profil et passe devant elle. Je frotte mon mollet au sien en passant. Du regard, je lui fais signe de me suivre.
Je prends lallée et me dirige vers les toilettes. Je suis devant le lavabo et je me regarde dans la glace, me recoiffant légèrement du bout des doigts. Elle ne me rejoint pas ? Peut-être quelle attend quelques instant, histoire de pas faire trop louche.
Deux minutes plus tard, jentends le bruit de talons derrière la porte, qui souvre. Cest elle. Je me retourne. Elle me coince au bord du lavabo et se colle à moi. Sa langue pénètre dans ma bouche et senroule autour de la mienne. Je pose mes mains sur ses fesses. Jécarte les jambes, afin quelle se colle encore plus à moi. Comme elle est légèrement plus grande que moi, ça loblige à baisser la tête. Ses mains frottent mon dos.
Enfin, nos bouches se séparent :
- Jai eu envie de toi, dès que je tai vu ! me dit-elle dans un souffle
- Ah oui ? Et ça tarrive souvent de craquer sur des inconnues ?
- Oui, souvent, mais en général, ça en reste là, je nose pas aller plus loin. Cette fois, jai pris mon courage à deux mains et voilà
Quoi
- Tu mas draguée à distance !
- Oui, mais ne tinquiète pas, je ne suis pas un nympho, mais là
- Oh, je ne minquiète pas, même si tu étais une nympho, tu serais une très jolie nympho
- Ce genre de séminaire, cest loccasion davoir des expériences sexuelles aussi !
- Ah oui ? Et ça tarrive souvent davoir des expériences sexuelles ?
- Avec des femmes non ! Même si cest mon gros fantasme ! Et toi ?
- Moi quoi ? Les femmes ou les expériences sexuelles dans les séminaires ?
- Les femmes !
- Je suis lesbienne, donc, oui, ça marrive. Je suis en couple, mais je nai rien contre une aventure sexuelle par ci par là !
Nous étions toujours collées lune à lautre. Elle sécarte de moi, je lui glisse :
- On ne va pas faire ça ici sur le lavabo, quoique ça puisse être dun érotisme torride. Quelquun va finir par entrer. Le café de ce matin ne va tarder à faire de leffet auprès de ces dames.
- On peut aller dans ma chambre, je suis dans cet hôtel
- Bonne idée, sauf que nos manteaux sont restés là-bas.
- Ecoute, on y retourne, on reprend nos places et à la pause on séclipse
- Daccord, jy vais la première, tu attends deux ou trois minutes, histoire de rester discrètes.
- Cest daccord. Ah au fait ! Cest quoi ton prénom ?
- Laetitia et toi ?
- Claire
Nous avons regagné nos places à quelques minutes décart. Nous ne nous regardions plus, histoire de ne pas nous enflammer à nouveau. Mais quest-ce que javais envie delle. Jimaginais quelle aussi de son côté avait envie de moi. Je repensais à notre baiser fougueux. Je pensais à ce que nous allions nous faire dans sa chambre. Mais p
., ça nen finit plus ce truc ! Cest quand la pause ? Jespère quil y en a une au moins, quil ne va pas falloir attendre midi. Il nest que 10h15 en plus.
Enfin vers 10h45, on nous a annoncé la pause.
- 15 minutes, pas plus ! Nous avons un programme chargé après, annonce le type sur lestrade
« Oui tas raison, nous aussi nous avons un programme chargé » pensais-je en agrippant mon sac à main, mon manteau et en quittant la salle juste derrière Claire.
Je lai suivie dans le hall de lhôtel, puis jai attendu à lécart derrière une plante verte, quand elle a été cherché la carte magnétique de sa chambre à la réception.
Nous avons appelé lascenseur :
- Cest au huitième me dit-elle
Dans lascenseur, nous avons repris notre baiser et nos attouchements, nos manteaux et nos sacs posés à nos pieds.
Javais très envie dappuyer sur le bouton arrêt pour immobiliser lascenseur et de faire notre petite affaire ici. Ma main sest glissée sous sa robe et sest plaquée sur le haut de sa cuisse. Ce nétait pas des collants, mais des bas quelle portait. Jétais partie à la recherche de sa culotte, quand le « ding » de lascenseur ma interrompue. Nous étions au huitième, faute de septième ciel, mais ça cétait juste une question de temps assurément.
Nous avons ramassé nos affaires à nos pieds, puis nous sommes sorties dans le couloir.
- Cest là, me dit-elle devant la chambre 808.
Empêtrée avec son manteau, son sac, Claire avait du mal à passer la carte dans la fente réservée à cet effet, afin douvrir la porte. Ses mains tremblaient légèrement, surement à cause de lexcitation. Moi je pensais à sa fente à elle réservée à un tout autre effet.
Faut dire, je ne laidais pas pas beaucoup sur ce coup-là. Après avoir jeté un regard à droite et à gauche, pour vérifier quil ny avait personne dans le couloir, je lui ai agrippé les fesses entre mes mains, je me suis collée à elle et je lai embrassée dans le cou :
- Arrête ! Laisse-moi ouvrir, dit-elle dune voix hachée et fébrile.
Nécoutant rien, jai insisté dans son cou. Ce nétait plus ma bouche mais ma langue qui lui léchait la peau :
- Une fois à lintérieur, je vais te lécher partout
Enfin, le bip de la serrure électronique retenti et la porte souvrit.
- Tu as de la chance ; si tu avais encore lambiné à ouvrir, je te faisais ton affaire là dans le couloir, lui dis-je.
Dans le petit vestibule, elle ma plaquée contre le mur, après avoir laissé tomber son sac et son manteau au sol, a agrippé le bas de ma jupe pour la remonter. Elle a filé mon bas avec son ongle :
- Oh excuse ! Désolée, jai filé ton b
- On sen fout, continue, lui dis-je en ouvrant ses lèvres avec ma langue et en la glissant dans sa bouche
Ma jupe était maintenant relevée haut, elle me griffait le haut de la cuisse, au-dessus du bas avec ses ongles. Ça allait marquer sur ma peau de blonde, cest sûr. Elle ma décollée du mur pour passer ses mains sur mon cul, remontant la jupe cette fois complètement. Ses doigts se sont glissés sous la dentelle de mon string et parcouraient la raie de mes fesses.
Elle a dégagé sa bouche de la mienne. De la salive brillait au coin de sa bouche. La mienne ? La sienne ? Surement un mélange des deux.
Elle a fait glisser mon spencer sur mes épaules et me la retiré. Puis fébrilement elle a attaqué les boutons de mon chemisier.
- Je vais te déshabiller
- Oui, Vas-y, mais narrache pas tout, lui dis-je pendant quelle se bagarrait avec les boutons.
Je repris sa bouche, pendant quelle tâtonnais avec mes boutons, puis jai glissé ma langue dans son cou :
- Dior ? lui dis-je en relâchant mes baisers
- Oui ! Et toi, Guerlain ?
- Oui, tu as le nez fin ! (oups, pensais-je intérieurement).
Le chemisier enfin ouvert, elle a découvert mes seins mis en valeur par un soutien-gorge parme. Le chemisier a rejoint le reste au sol. Elle se sest pas embêtée avec les boutons des poignets, elle carrément retournée les manches et tiré le vêtement vers le bas, forçant quand mon bracelet empêchait de laisser glisser la manche.
Puis, elle sest agenouillée devant moi, a glissé ses mains derrière moi, a déboutonné ma jupe, fait glisser la fermeture éclair et fait tomber le tissu sur mes chevilles. Jai levé ma jambe gauche, puis la droite pour enjamber le vêtement.
Elle ma belle et bien griffé le haut de la cuisse tout à lheure, je voyais de légères balafres roses sur ma peau. Et mon cul devait être dans le même état.
- A toi maintenant Laetitia déshabille moi
- Non, jaimerai que tu le fasses toi-même et que je te regarde le faire
Je me suis dirigée vers la chambre, enjambant les vêtements et sacs à main au sol. Je me suis allongée sur le dos sur le lit, me tenant sur les coudes.
Claire sest mise devant moi. Elle a ouvert les boutons sur le devant sa robe. A chaque nouveau bouton, elle dévoilait de magnifiques seins et la dentelle noire de sou soutien-gorge. De bouton en bouton, cest son ventre, maintenant quelle était en train de découvrir.
- Tu es superbe Claire !
- Merci, pas autant que toi !
- Si si !
« Et même ton nez te donne un charme fou » pensais-je intérieurement.
Toujours allongée sur le lit, jai écarté les jambes pour glisser ma main sur le tissu de mon string. Une auréole apparaissait distinctement au niveau de mon sexe à travers la dentelle parme.
Claire sest retournée. Elle a fait glisser le haut de sa robe sur ses épaules, puis jusquà ses hanches, découvrant ainsi, les bretelles de son soutien-gorge, puis son dos.
Tortillant des fesses, elle a fait tomber sa robe au sol. Elle était là devant moi en soutien-gorge, shorty et bas, le tout noir.
Je me caressais lentrecuisse en la regardant faire :
- Enlève ton soutien-gorge et ta culotte
Elle a mis ses mains dans son dos pour enlever lagrafe du soutien-gorge, puis pour le faire glisser au sol. Elle était légèrement de trois-quarts, je pouvais donc voir un de ses seins, le téton bien tendu.
Elle a fait glisser son shorty sur ses cuisses, puis la ôté.
- Tourne-toi maintenant.
Elle sest retournée. Quel corps magnifique. Les seins dressés, le sexe épilé, les cuisses fermes.
- Viens avec moi sur le lit, je nen peux plus !
Elle sest couché à côté de moi, a fait jaillir un sein de mon soutien-gorge et en a mordillé le téton. Sa main courait sur mon ventre, puis ses doigts se sont glissés sous le tissu de mon string. Elle a fouillé, écartant les lèvres pour chercher le clito. Elle la vite trouvé et a appuyé son doigt dessus.
Je lai repoussée en arrière, puis mise sur le dos. Je me suis agenouillée devant elle, enlevant mon soutien-gorge également. Puis je me suis penchée, jai léché ses seins lun après lautre, puis ma langue a glissé sur son ventre, insistant sur son nombril. Elle a agrippé mon string pour le tirer vers le bas et me lenlever. Elle a flatté ma croupe pendant que je lui léchais toujours le ventre.
Jai enlevé mes chaussures. On est toujours plus à laise pieds nus quavec des talons pour les ébats. Et puis on nest pas dans un film porno ! Enfin, jai enlevé ma chaussure, parce que jen avais déjà perdu une avant dans la bataille.
Je lai enjambée, plaçant mon bassin au-dessus de son visage.
Elle a mis une claque sur mes fesses. Surement quelle en avait très envie. Moi, je nai rien contre, bien au contraire :
- Oui, vas y mets moi une fessée, lui dis-je en tortillant du cul au-dessus delle.
Elle ne sest pas fait prier, me collant quelques claques supplémentaires :
- Plus fort ?
- Oui, plus fort ! Vas-y !
Cette fois, elle y allait plus franchement des deux mains. Je me suis penchée en avant, dressant le cul en lair. Javais le visage au niveau de ses cuisses, au-dessus du genou. Je passais ma langue sur le voile de son bas.
Après une dizaine de claques, Claire a dû penser que javais mon compte, ou plus surement le rose, voir le rouge devait teinter maintenant ma peau.
Je me suis redressée agrippant son mollet et le levant vers le haut. Ma langue a couru sur le bas, autour du galbe du mollet. Puis descendant vers le genou, jai passé la langue sur le pli arrière, puis ma bouche a glissé sur la cuisse, jusquau moment où jai rencontré la peau au-delà du bas. Jai abondamment léché lintérieur de sa cuisse, remontant sur le bas, puis redescendant sur la peau.
Jai reposé sa jambe, jai agrippé lautre, une main sur chaque cuisse, jai écarté, découvert son sexe ruisselant. Ses lèvres se sont écartées et jai appuyé ma bouche dessus, embrassant, léchant à tour de rôle, clitoris, lèvres intimes, entrée du vagin.
En même temps, jai posé mon sexe sur son visage, le frottant sur sa bouche, sur son nez (jen avais envie depuis le début de frotter mon sexe sur son nez !). Elle a pris mes fesses entre ses mains, mimmobilisant afin de glisser sa langue sur mon intimité. Je remuais encore un peu du bassin.
On nentendait plus que les « hummpfff » étouffés sortant de nos deux bouches occupées à gober le sexe de lautre. On entendait aussi quelques bruits de sussions. Puis de manière un peu bizarre, nos langues ont commencé à sactiver en cadence sur le même rythme, de haut en bas. Cest Claire qui craqua la première. Elle libéra sa bouche, pour pousser un retentissant « Oh ouiiiii ». Ses muscles se sont tendus, elle a lâché mes fesses, pour agripper le couvre lit et le serrer fort.
Bizarrement après son cri juste avant lorgasme, Claire a joui en silence, serrant toujours le pauvre couvre lit de ses doigts, respirant fortement tout de même. Je ne voyais pas son visage, puisque jétais à califourchon sur elle, mais jimaginais la bouche ouverte happant lair, mon sexe et mes fesses juste au-dessus.
Le mouvement vertical de ma langue sur son sexe sest interrompu lorsque les muscles de Claire, se sont relâchés et lorsquelle a enfin lâché le couvre-lit.
Je me suis relevée, lai à nouveau enjambée, lai aidée à se redresser et à se lever. Puis, je me suis mise à quatre pattes sur le bord du lit et implorante je lui ai dit :
- Vas-y, finis-moi
Claire sest agenouillée derrière moi au pied du lit, à légèrement écarté mes cuisses, a glissé sa langue le long de mon intimité. Ses mains me caressaient le bas du dos.
Je me suis cambrée, je frissonnais sous leffet des caresses simultanées de ses mains et de sa langue. Mon bassin sest mis a ondulé. Je sentais son nez sur mes fesses, se frottant sur mon anus au rythme des mouvements de sa tête et des coups de langue sur ma chatte.
Une de ses mains a quitté mon dos pour se glisser sous mon ventre. Ses doigts ont dabord joués avec mon nombril, avant de descendre un peu plus et me fouiller pour chercher mon clitoris.
Cest ainsi quelle ma finie comme je lui en avais fait la demande. Mon orgasme fut, comme à mon habitude quand je me lâche, bruyant. Cela fit rigoler Claire :
- Eh ben dis donc ! Tu ne fais pas les choses à moitié toi !
- Cest toi qui es plutôt
douée aussi !
- Du coup, tu hurle ?
- Je nai pas hurlé, jai manifesté ma satisfaction, lui dis-je en me retournant et en mallongeant sur le lit sur le dos.
Jai attiré Claire sur moi. Jai embrassé sa bouche qui luisait de sa salive et de ma cyprine, goutant ce cocktail magique.
- Cest peut être bien la recette du philtre damour !
Je caressais son dos et ses fesses, nous nous titillions mutuellement le bout de la langue.
- Il va être midi, il va peut-être être temps quon y retourne
- Humm, oui peut être !
- Ça va être lheure du repas, notre absence va être remarquée.
- Tu as raison, on a juste le temps de se rafraichir, de se refaire une beauté et dy retourner.
- On va se rhabiller aussi, sinon, pour le coup, on va vraiment se faire remarquer !
Nous avons quitté sa chambre pour descendre à la salle du séminaire. Il y avait un un cocktail dorganisé avant le repas.
Nous nous sommes empiffrées de petits fours. Oui oui la ligne, je sais !) Mais ça creuse le sexe !
Tout en trinquant nos coupes de champagne, Claire a glissé à mon oreille :
- Quest-ce quon fait cet aprèm ? On va au séminaire, ou bien on retourne baiser ?
- Hmmm, ce soir dans ma chambre, cette fois, jai une baignoire balnéo, mon patron nest pas regardant sur les notes de frais.
- Ah oui ? et on y entre à deux ?
- Oui bien sûr, à condition de se serrer lune contre lautre.
- Ça va être dur dattendre ce soir !
- Oui, je sais, pour moi aussi. Mais faut faire un peu acte de présence. On va sassoir lune à côté de lautre et jessaierais de te peloter les cuisses discrètement. Tu pourrais même retirer ta culotte dans les WC avant dy retourner.
- Tu es pleine de ressources Laetitia ! Tu vas finir par avoir une mauvaise influence sur moi !
- Jai très envie de tembrasser, tu sais ? Mais je vais me retenir, on ne va pas faire ça en public ! Si ?
- Arrête, je mouille à nouveau ma culotte !
- Cochonne ! Pas grave, de toute façon tu vas lenlever !
- Cest toi qui me rend salope, je ne suis pas comme ça dhabitude.
- Ben voyons, joue à la Sainte Nitouche, menfin, cest toi qui a commencé à te toucher les cuisses pour mexciter ce matin
Pas eu besoin de te forcer pour que tu fasses ta salope
Claire et moi, avons continué tout au long du cocktail et du repas à échanger discrètement des propos égrillards, histoire de faire monter la pression.
Nous avons passé laprès-midi à nous toucher les cuisses discrètement.
Cest ainsi que cest continué ce séminaire, beaucoup moins rébarbatif que je ne me limaginais au départ. Nous avons passé ces trois jours à alterner nuits damour et somnolence dans la salle de conférence pour compenser nos heures nocturnes passées les jambes en lair. Ce fut débats et ébats en quelque sorte.
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