Visite Dans Un Eros Center

J’en avais un peu assez des clubs de rencontres libertines du secteur aussi, pour changer, j’ai décidé de franchir la frontière pour aller dans la périphérie de Sarrebruck où se trouvait un de ces établissements dont les allemands ont le secret pour éviter la prostitution de rue (ce qui n’empêche rien d’ailleurs…).

Cela ne me gênait pas d’avoir recours à des amours tarifés, ce n’était pas la première fois et de toute manière, l’entrée dans un club coquin n’est pas donnée non plus…

J’avais choisi sciemment d’y aller en milieu d’après midi et en semaine… cela évitait la cohue du soir et les filles débutaient leurs prestations.
Lorsque je suis arrivé devant le bâtiment il ressemblait à un immeuble de bureaux tout à fait classique si ce n’était l’enseigne lumineuse représentant un cœur bleu traversé par une flèche rouge, il y avait peu de voitures sur le parking...
Après avoir franchi une double porte vitrée garnie de rideaux épais masquant toute vision depuis l’extérieur, je me suis trouvé dans un bar bien aménagé avec des petites alcôves où des couples installés devant des coupes de champagne ( ? ) et un bar derrière lequel deux filles légères et court vêtues officiaient sous le regard soupçonneux d’un homme d’une trentaine d’années.

La barrière de la langue n’étant pas un problème pour moi, je me suis adressé à l’une des filles qui m’a invité à passer avec elle dans un petit salon attenant.
J’avais déjà exposé quel genre de fille je voulais rencontrer et sur un écran d’ordinateur, elle m’a présenté une série de photos plus ou moins dénudées des « pensionnaires » de l’établissement.
Mon choix s’est arrêté sur une jeune femme à qui je donnais environ 30 ans, au teint pale mais avec une ascendance négroïde très visible.
Elle était justement disponible… et la barmaid qui avait servi d’intermédiaire me dit en souriant que j’avais fait un « très bon choix » et « que je ne serais pas déçu par l’exotisme de Kassy ».

La transaction effectuée, je me suis dirigé vers la porte de la chambre où la belle officiait !
Un coup de sonnette été un déclic plus tard, la porte s’ouvrait sur une pièce plongée dans une demie pénombre…
Il y avait juste un spot qui éclairait la tête de la fille… Un bien joli visage aux grands yeux noirs, un nez un peu épaté et de lèvres ourlées. Les cheveux décolorés allaient du noir le plus profond au gris cendré pour les pointes.
Je distinguais l’amorce de la poitrine au dessus du paréo : des jolis petits seins.
Bref, la fille correspondait en tous points aux photos de présentation.
Elle s’est levée et s’est présentée avec un accent vaguement américain :
• Kassy… J’espère que nous allons nous entendre…
• Enchanté ! Pourquoi pas ?
J’avais bien choisi… Cette fille perchée sur des talons était presque aussi grande que moi… Elle avait des formes menues et des hanches étroites.
Elle a entrepris de me déshabiller et m’a entrainé vers le cabinet de toilette où elle a consciencieusement nettoyé mon « service trois pièces »… en me faisant comprendre que nous allions passer aux choses sérieuses…
N’étais-je pas venu pour çà ? J’avais envie de baiser !
Elle m’a fait allonger sur le lit et elle a fait glisser le haut de son paréo, laissant apparaitre une poitrine menue, visiblement très ferme et dont les tétons pointaient au milieu d’une aréole bistre.
Vous connaissez sans doute mon goût pour les poitrines des femmes, petites ou plus volumineuses, je ne peux m’empêcher d’y mettre les mains ou les lèvres…
Mais là… Pas question ! On ne touche qu’avec les yeux ! C’est l’usage avec ces filles !
Mais, la fellation qu’elle m’a prodigué pour faire monter la pression était véritablement du grand art… Il n’y a pas eu une parcelle qui n’ait pas été léchée, sucée, mordillée, humectée de salive entre ses lèvres…
Jugeant certainement que j’étais « à point » Kassy m’a dit moitié en allemand moitié en anglais que j’allais avoir une surprise !
Et quelle surprise !
Lorsqu’elle a ôté son paréo, j’ai eu la surprise de découvrir que Kassy possédait un membre masculin de belle taille qu’elle a masturbé doucement, ajoutant :
• Moi… homme et femme ! Toujours envie ?

Que répondre ?
J’avais déjà eu dans ma jeunesse des rapports avec des hommes… je savais ce que c’était… mais là, la belle m’offrait de la sodomiser comme je l’aurais fait avec une autre femme… et j’étais partant !
• OUI ! Bien sur ! Je suis certain que ton cul est aussi bon qu’une chatte !
• Oui… Il est très souple et très profond !

La traditionnelle protection en latex enfilée sur ma bite qui n’en pouvait plus, je me suis approché de la fille qui s’était installée sur le lit, prosternée et le cul haut levé.
• Viens… J’attends toi !

Et je ne me suis pas fait prier… J’ai approché mon gland de son sphincter et je me suis enfoncé lentement dans son boyau étroit qui s’est ouvert comme par enchantement.
Elle était effectivement souple et chaude… Je sentais la chaleur au travers du latex…
J’ai baisé Kassy comme j’aurais baisé une autre fille, sans penser à ce qu’elle était en réalité : un travesti bien joli avec une poitrine artificiellement gonflée mais pas trop…
Lorsque je me suis lâché au fond de la capote, Kassy a joui en même temps que moi, projetant quelques jets venus de son membre…
Çà avait été chaud… Mais le temps passait si vite qu’après une nouvelle toilette intime, Kassy m’a gentiment congédié.
Elle aurait le prix de sa passe par le gérant…
J’ai quitté l’établissement, les couilles bien vides… mais qu’est-ce que c’était bon !