Terma 29- Mes Autres Sodomies Surprises, Au Foot :
Terma 29- Mes autres sodomies surprises, au foot :
Trois jours plus tard, je suis allé chez mon ami, mais il nétait pas dans son studio, alors je suis passé au bar de lautre quartier. Le serveur ma informé quil y a un match important et que celui que le cherchais devait être au stade. Jai pris un billet et jai cherché sur les gradins. Le match était bien avancé et comme tout le monde était assis, jai pu repérer mon ami et je lai rejoins rapidement. Il était très content et comme lautre fois, il sest vite totalement investi dans le match. Comme jétais en manque de zob, je lui ai caressé le contenu de sa braguette mais il ma repoussé. Comme jinsistais, il a rigolé et il a appelé un de ses copains, un autre noir assis pas très loin, et il ma conseillé de le suivre.
Jai suivi son copain qui ma vite mené vers les toilettes. ça métait égal que ça soit celui la ou lautre, moi javais besoin en urgence dun zob pour ma terma et ce gars semblait faire laffaire, comme son copain. En effet, dans un cabinet, il sest découvert le zob et jai été très satisfait, car son zob bandait déjà et était aussi gros et aussi long que celui de son ami. Je lui tourné le dos et descendu mes vêtements pour lui découvrir ma terma, puis je me suis appuyé au mur en me penchant au maximum. Il ma écarté les jambes et cuisses avec autorité et doigté mon anus. Puis il a frotté sa bite lubrifiée par sa salive tout le long du sillon de mes fesses pour gonfler encore plus son zob. Je lui ai dis « achtar ! dakhlou fi qari ! raha naar chaâla fi teremti ! » (vite ! enfonces le dans mon cul ! ma terma brule !).
Comme son copain, il a rigolé bruyamment et avec vigueur il a enfoncé son zob dans mon cul. Mon anus na pratiquement pas résisté pour engloutir le gros zob qui sest enfoncé jusquau fond de mes entrailles. Il ma tenu les hanches et rapidement, il sest lancé dans une course endiablée de vas et viens à la mesure de la faim de ma terma.
Au bout dune vingtaine de pilonnages et de lissages de ma terma, il arriva à son top et tenant bien mes hanches, il éjacula avec abondance son sperme dans le fond de mon cul. Il resta un moment dans mon intérieur pour se vider au maximum, puis il se retira. Cest alors seulement quil parla « qarak skhoune wa hlou ! kheir mine ta3 labnaate ! lazam nikak fi studio sahbi ! » ( ton cul est chaud et doux ! meilleur que celui des filles ! il faut que je te nike dans le studio de mon ami !). Puis il ferma sa braguette et fila vers le match. Moi, je me suis vidé et nettoyé rapidement. Jaurais souhaité une seconde sodomie car ma terma nétait pas entièrement rassasiée. Que faire ? retourner au match et attendre la mi temps pour une baise avec mon premier amant ?
Non ! Jai décidé de refaire le coup de la dernière fois. Jai attendu et au bout dun moment, un gars sest présenté dans le cabinet à coté pour pisser. Je me suis mis en position comme la dernière fois et commencé à me branler et haleter avec bruit. Et ça a marché. Comme javais laissé ma porte exprès un peu entrouverte, le gars a jeté un coup dil dans mon cabinet et il ma vu me doigter le cul bien offert à sa vue. Aussitôt, il plongea. Il rentra dans mon cabinet et ferma la porte, puis sans même me parler, il repoussa mes doigt et mis les siens à la place dans mon cul. Il me tripota un peu le sphincter, puis je lai entendu cracher, puis jai bien ressenti sa salive sur le sillon de mon cul. Il sest un peu branlé, certainement aussi avec un peu de salive sur le zob. Immédiatement apès, il enfonça son zob dans mon anus, largement ouvert par la première sodomie.
Ensuite il commença la danse du plaisir dans ma terma. Jétais content de lavoir piégé et ma terma sera satisfaite par cette seconde sodomie de suite.
Il me sodomisa longtemps, plus de quinze minutes, il me semble, puis il me dit « enzidak ! wala chba3ate ? » ( je continue ! ou bien ça te suffit !). Jétais certes très satisfait mais je voulais savoir sil se vantait et jai répondu « aahh ! zidni chwya ! zébéb mtiine ! ya3raf inike ! zidni ! zidni ! aahh ! » ( aahh ! encore un peu ! ton zob est puissant ! il sait niker ! encore ! encore ! aahh !). Il rigola encore plus fort, content davoir été à la hauteur et avoir contenté cette belle terma large, blanche et si douce. Alors, il continua en appuyant ses vas et viens et en les modulant. Ces mouvements modulés amplifiaient mes jouissances et lui aussi je lentendais expirer ses « aaahh ! aaahh ! » au même rythme que moi. Nous nikions en phase, zob et terma en communion.
Après encore une dizaine de pilonnages calculés, il répéta « enzidek wala yasser ! ya terma al3atchana ! ! » ( je tajoute encore ou ça suffit ! ô terma assoiffée !). Et moi « leh ! atlag hliib zebek ! atlag ! » (vas-y ! lâche ! libères le lait de ton zob ! libères ). Alors, il fonça, et en deux fortes vas et viens, il sagrippa à mes hanches et projeta plusieurs jets puissants de son sperme dans mes fondements. Il hurla et se libéra en force « aahhh ! aaahhh ! ». Moi, jai reçu ce cadeau en le goutant avec calme malgré quil me brulait de jouissances le fond de mon cul.
Je me suis nettoyé et retourné au stade car la mi temps nétait pas encore arrivé. Mon ami ma demandé si la sodomie de son copain a été bonne « wach ! sahbi nakake mli7 ? zabou kbir kima nta3i ! » ( alors ! mon ami ta bien niké ? son zob est est gros comme le mien !). Je lui ai lancé un sourire hypocrite et répondu « neikaate al youm ou 7adhoum ! sawal teremti ! ta7kilak ! » ( les sodomies de ce jour sont uniques ! questionnes ma terma ! elle te racontera !). Par la suite, bien sur, dès le début de la seconde mi temps, comme lautre fois, il ma amené aux toilettes et on a fait une sodomie « fissa3 ! fissa3 ! » (rapide ! rapide ! » avant de revenir au match.
Ensuite, jai réussi à méclipser car je ne voulais pas aller chez lui. Jai essayé de repérer mon second sodomiseur dans la foule, sur les gradins, mais je nai pas réussi. Je désirais sincèrement aller avec lui pour gouter encore sa technique de sodomie. Mais comme cest un amateur de foot, ce sera facile pour moi de le retrouver au prochain match, ainsi que lautre copain noir de mon ami. Ces deux la, je vais les mettre dans mon agenda, dans le calendrier de ma terma , car ce fut merveilleux. En retournant chez moi, javais encore dans ma chair, le gout de leurs zobs et ça me démangeait encore. On verra dans deux jours, au prochain match !
Deux jours plus tard, il y avait match et jai cherché dans la foule qui achetait les billets dentrée. Rapidement, jai repéré mon premier amant de couleur et son copain. On sest dit bonjour mais jai refusé avec énergie de les accompagner et je me suis presque fâché, alors ils ont abandonné lidée.
Il ma demandé « wach ndirou lyoum ? » (que fais ton aujourdhui ?) et moi « ki yabda lmatch, nrou7ou njibou barti ! teremti métou7 cha zébék ! » ( dès le début du match, nous irons faire une partie ! ma terma sevrée est impatiente de ton zob !). Il rigola en silence et attira ma main sur sa braguette. Il bandait déjà et moi javais hâte de gouter son zob et sa technique. Quelques minutes plus tard, le match démarra. Nous avons attendu un peu, puis, discrètement, on sest éclipsé vers les toilettes.
A lintérieur d(un cabinet, ja carrément enlevé mon pantalon et mon slip et lui en a fait autant. Puis, il sest placé derrière moi, alors que je me courbais, appuyé au mur et les jambes et cuisses largement écartées. Il ma léché les fesses, le sillon et mon anus, ma vrillé ses doigts dans le cul et très rapidement, son zob ma pénétré, dabord doucement, puis avec force et presque avec violence. Nous étions affamés de sexe tous les deux. « zébék rah skhoune lyoum ! wach biik ? » ( ton zob est brulant ce jour ! que tarrive til ?). Il ma avoué « rani mine youmène, madwass m3a marti ! ma nakat hach ! hakhdha zébi rah 3atchane wa skhoune ! » ( je suis fâché avec ma femme depuis deux jours ! et je nai pas baisé ! cest pourquoi mon zob est affamé et brulant !).
Et moi « hadha zahri wa zhar teremti ! atfach fina bi zébek ! nike bil for ! ag3ar wa a7ragli teremti ! » ( cest ma chance et celle de ma terma ! venges toi sur nous avec ton zob ! nike avec force ! défonces et brule moi la terma !). Et il fonça en me pilonnant avec violence, en secouant mon derrière sur son zob à droite et à gauche. Il sortait doucement sa bite puis la plongeait en vitesse dans mes entrailles jusquaux couilles qui claquaient sur mes cuisses, à chaque enfoncement. Après une dizaine de vas et viens, il commença à entrer dans le désir et criait son plaisir « aahh ! afra7 ya zébi ! fi terma albaydha ! al kahba ! aterma askhouna ! »( aahh ! sois heureux ô mon zob ! dans la blanche terma ! la putain ! la chaude terma !). Moi aussi jétais déjà dans la jouissance complète et je limitais dans ses cris de plaisir « hakhdha ! ziid ! khali teremti tachta7 3ala zébék ! » ( comme ça ! continues ! fais danser ma terma sur ton zob !).
Nous continuâmes ainsi un long moment et lorsquil sest figé pour éjaculer, je lai supplié de ne pas le faire, mais de continuer encore un peu à me frotter le cul car cétais follement agréable, jouissif. Je savais quil était maître de son zob et de son plaisir depuis notre dernière sodomie « essanna ! ma tatlaqach hlibik ! rani zahi bil 7ak anta3 zébék dakhal qari ! essanna ! » (attends ! ne lâches pas ton lait ! je suis en plein plaisir avec les frottis de ton zob à lintérieur de mon cul ! attends). Il sest bloqué et sest même retiré doucement, mais sans sortir de mon cul. On a soufflé un moment, le temps que son zob se calme et que son jus revienne dans ses couilles. « hani sanaytak ! bessa7 zébi rah mgonflé afon ! grib yatartag ! » (voila je tai attendu ! mais mon zob est gonflé à fond ! presque à exploser !) et moi, après un moment de calme, « houk dhorka ! houkli qari bah n3awade nouskhoune ! » ( maintenant frottes ! frottes moi le cul pour le réchauffer de nouveau).
Et il rebelote ses vas et viens avec modulation dans ses vitesses et entrées sorties. Sa technique est affolante pour moi et ma terma. Ces mouvements aléatoires de son zob dans mon cul font que je suis dans mon esprit et mes sens toujours en léveil, toujours en attente de surprises et de plaisirs . Tout en me sodomisant à sa manière, il me dit « rani nachtiike ! a3liha rani ndirlak wach thab ! » ( je taime ! cest pourquoi jaccepte de te faire ce que tu désires !) et moi, avec un ricanement « gouli rak t hab teremti ! mich ana ! zébék jatou 3ala goustouh ! nilke ! nike ! wa khalina mine lakhrouti ! » ( dis moi plutôt que tu aimes ma terma ! et non moi ! elle est au gout de ton zob ! nike ! nike ! et arrête de raconter des fadaises !). Je lentendais aussi ricaner de mes paroles et il accentua son pilonnage.
Encore une dizaine ou plus, je ne sais plus, de vas et viens et tournoiements de son zob à lintérieur de mon cul et mon amant arriva encore une fois au top. Il se bloqua et immédiatement il se libéra du sperme de ses couilles dans le fond de mes entrailles. Presquune dizaine de jets puissants de son jus chauds, brulants, mont inondé le fond de ma terma. A chaque jet, il plongeait encore plus, son zob dans mon cul comme pour lenfoncer plus loin, et tout en hurlant « haki ya kahba ! haki ya marti ! nfaraq fi qarek qlawya ! » ( tiens ô putain ! tiens ô ma femme ! je vide mes couilles dans ton cul).
Malgré les jouissances qui métourdissaient, durant ces moments de plaisir, jai retenu ce quil disait. Et lorsque, calmé, il se retira de mon cul, je lui ai demandé « rak dafakate fi qari ana ! la fi qaar martak ! ya sahbi ! fahamni ! » ( tu test vidé dans mon cul ! et non dans celui de ta femme ! ô mon ami ! expliques moi !). Il secouait son zob pour vider les dernières gouttes et mavoua « ki kounoute fi qarek ! kanate marti fi rassi ! nasskheib rani enike fiha ! nsaytak ! assma7li ! » ( quant jétais dans ton cul ! ma femme était dans ma tête ! je croyais que jétais en train de la baiser ! je tai oublié ! excuses moi !). Et moi « ma3liih ! al mouhim teremti zhaate bi zébek ! » ( ça ne fait rien ! lessentiel, ma terma a pris tout son plaisir avec ton zob !).
Je me suis assis sur le bidet pour vider son sperme et il était debout devant moi, encore tenant son zob qui navait pas beaucoup dégonflé. Je lui ai demandé de rester car je désirais une autre sodomie différente. Puis, jai ajouté « martak, tnike ha mine nterma ? » ( ta femme , tu la baise de la terma ?) et lui « anike ha mine souwatha gbal ! mine baâd mine qarha ! ntaâk hlou kima nta3ha ! ana nahbal 3ala trami nsa wa rjaal !» ( je la baise dabord dans sa chatte ! ensuite dans son cul ! le tien est aussi doux que le sien ! moi je suis fou des terma des femmes t des hommes ! ). Ainsi, parce que nos deux terma sont douces, presque identiques, il ma confondu avec sa femme, le salaud ! Enfin, je lui pardonne sa sodomie ma donné beaucoup de plaisir, et on va continuer.
Ensuite, on est passé à la seconde neika que je voulais à la manière que jaime. Je lai obligé à sassoir sur le bidet fermé. Puis, jai léché, sucé et branlé son zob jusquà le gonfler au maximum. Son zob avait un gout succulent, peut-être à cause des traces de sperme, en tout cas je le suçais avec gout. Quant il fut au point, écartant mes jambes des deux cotés de ses cuisses, je me suis assis sur son zob, face à face. Jai pris son zob à la main et farfouillant entre mes fesses, par derrière, jai réussi à le pointer sur mon anus. Puis, je lai enfoncé doucement. Aidé par les restes de sperme et comme il était déjà assez ouvert, mon anus avala en vitesse le gros zob. Alors je me suis assis carrément sur lui et le zob sest enfoncé jusquaux couilles. Puis jai commencé à danser sur lui en remuant du derrière de tous les cotés. Ces mouvements ont mis le zob en très bonne position dans mon cul et je sentais quil me remplissait merveilleusement.
Ensuite, en mappuyant sur les épaules de mon ami, je faisais des mouvements verticaux sur son zob. Me soulevais et menfonçais alternativement sur son pieu de chair, je modulais moi aussi mes gestes et mes vitesses. Mon ami ayant remarqué ma technique me fit la remarque : « rak ta3raf tachtah 3ala ezéb ! thab tfarah wa tzahi teremtek ! zahiha ! al3ab bi zébi lamtanane ! al3ab !» (tu sais danser sur le zob ! tu aimes faire plaisir et faire jouir ta terma ! fais la jouir ! joues avec mon zob gonflé ! joues !).
Son zob était effectivement gonflé et dur comme un pieu de fer. Mais , paradoxalement, il était aussi comme un muscle puissant et doux en même temps, surtout quant il senfonçais jusquau fond de ma terma. Javais limpression quil allait sortir par devant, dans mon ventre, je le sentais presque ! Et je lai avoué « zébek ki yadkhoul kamel ! nhiss yag3arli karchi ! adaqdiqa hloua ! thabal ! 7ata zébi ana rah tanane ! » ( lorsque ton zob senfonce complètement ! je sens quil va sortir par mon ventre ! sa caresse est douce ! affolante ! même mon zob sest gonflé !). Alors, il avança sa main vers mon bas ventre et pris mon zob excité. Et, avec gentillesse, il commença à me branler pendant que moi, je dansais sur son ventre et masturbais mon cul sur son zob.
On continua ainsi un long moment jusquau moment où jai remarqué quil faisait des grimaces de plaisir. Je savais quil allait atteindre son top et risque déjaculer brusquement. Alors, ny tenant plus, il magrippa par les hanches et prit la direction des événements. Il me secouait, me soulevait et mabaissait brusquement sur son zob avec vigueur et hurlement de plaisir. Moi aussi jétais dans les vapeurs au milieu de cette danse endiablée. Et, enfin, il arriva au plaisir. Il me colla sur son zob, bien assis sur ses cuisses , et il lâcha ses missiles de sperme dans mes fondements. Etourdi par la jouissance, jétais san force et je risquais de mécrouler par derrière sur le sol. Heureusement que ses mains me retenaient fermement par les hanches et le dos. Et, après un long moment darrêt et dintense plaisir commun , on sest calmé et je me suis redressé. Debout, il se nettoya rapidement le zob et moi jai pris sa place sur le bidet pour me vider et me nettoyer.
Ensuite il est parti sans mattendre. Après mon nettoyage, jai rejoins les gradins, très satisfait de mes deux sodomies. Au lieu de rejoindre mes deux blacks pour dautres sodomies, jai préféré quitter le stade. Je, savais, maintenant, comment retrouver mes amants, chacun selon sa spécialité et mon désir, chaque fois que ma terma me démangerait. Les gens vont au stade pour les plaisirs du foot, mais moi, jy allais plutôt pour les plaisirs du sexe, de la terma et de la sodomie jouissante.
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