Collection Zone Rouge. La Comtesse Juliette De La Panouille (1/1)

Comtesse Juliette de la Panouille, je devrais plutôt dire Madame Juliette de la Panouille, étant donné que depuis la révolution nos titres de noblesse nous ont été retirés, nous laissant nos particules.
Juliette la négrillonne, papa étant haut fonctionnaire à Paris, maman descend d’un chef de village du Togo habitant depuis sa plus tendre enfance, elle aussi à Paris.
Où se sont-ils rencontrés, je ne l’ai jamais su et ne le saurai jamais maman étant partie en me mettant au monde, papa ayant dérivé après s’être trouvé seul et se trouve depuis dans une maison qui s’occupe bien de lui ?

Il y a deux ans que j’ai épousé le Comte Hubert de la Panouille, ayant fait l’ENA et ayant choisi d’être ambassadeur pour la France sans affectation en ce moment.
Il rentrait du Sénégal quand je l’ai rencontré dans une soirée où je gardais le vestiaire à l’entrée d’une soirée, chez des amis par compassion à mon père et ma mère.
Il passe ses journées aux affaires des Affaires étrangères où il gère plusieurs choses dont je me fous royalement, la seule chose qui m’importe, c’est le bien-être matériel qu’il m’apporte.

Pendant ce temps, depuis quelques semaines, je m’ennuie, j’ai fait des études de droit, mais mon mariage m’a exempté de devenir avocate pour survivre.
Hubert me baise régulièrement, mais le fait vieille France et par moments, je me demande à quoi dois me servir l’argent de la tutelle de papa, la carte bancaire que me procure mon mari avec des chiffres à plusieurs zéros.

Nous habitons près de la place de l’étoile dans un appartement de cinq pièces avec vue sur le quartier de la défense, nous avons à notre disposition une cuisinière et une femme de ménage qui me tient lieu de camériste et un chauffeur s’appelant Lucien disponible pour moi dès qu’il a conduit Hubert à son ministère.
Ces trois personnes sont logées dans les chambres de bonne situées sous les toits, un étage plus haut et accessible par la cuisine.


Lucien garçon un peu plus vieux que moi aussi noir que maman pouvait l’être est célibataire et me ferait bien envie.
Il faut dire que le Comte ne m’a pas épousé vierge bien que j’aie perdu mon pucelage au cours d'un de ces bals pince fesse identique à celle où je l’ai connu, est-ce sa peau noire qui m’a attiré, il était l’un des serveurs dans la propriété de mon amie Alexandra, je devrais dire des parents de mon amie.
C’est dans les écuries que nous nous sommes isolés et qu’en parfait gentleman malgré son niveau social, il a mis une capote avant de perforer ma chatte épilée après trois séances de laser.
Ces séances ont été la première grosse dépense que j’ai faite après avoir reçu mon autorisation de tutelle de nos biens familiaux.
Je disais donc que je commençais à m’ennuyer alors j’ai pris une initiative.

• Julien, garez la voiture dans un lieu discret et venez me rejoindre à l’arrière de la voiture.

La voiture grosse cylindrée allemande avec vitres teintées empêchant de voir qui se trouve à l’arrière avec un bar et un ensemble vidéo dernier cri, est un véritable palace sur roue.
Je vois que nous descendons dans un parking souterrain au plus bas où se trouvent seulement une ou deux voitures garées, je sais qu’il y a des caméras, mais je vois que Lucien le sait aussi, car il se gare hors de leur portée.
À travers la vitre de séparation elle aussi opaque me protègent de ses regards, je le vois descendre et monter à mon côté.

• Madame que désirez-vous ?
• Vous posez une seule question.
• Laquelle ?
• Avez-vous une petite amie ?
• Des relations passagères, mais rien de bien sérieux, pourquoi me posez-vous cette question Madame ?
• Dans ce cas, voulez-vous être mon complice ?
• Cela dépend pourquoi, si c’est pour votre mari hors de question, j’aime trop ma liberté, pour autre chose, vous pouvez entièrement compter sur moi, je vous serais toujours dévoué.


J’éclate de rire.

• Je vais tout vous dire, hors de question de mon mari, je m’ennuie et j’aimerais vivre un peu plus librement, mais si je fais des choses déraisonnables, j’ai besoin de votre complicité.
• Elle vous est tout acquise comme je viens de vous le dire.
• C’est bien, mais insuffisant, je veux que nous celions notre pacte en baisant ensemble, vous m’aidez, vous restez discret et une fois par mois outre une augmentation de salaire, je serais à toi.

Un peu surprit le Julien, mais quand j’ouvre mon manteau de fourrure, je lui montre mon corps chocolat au lait entièrement nu.

• Merci Juliette, je serais ton amant discret, tu pourras tout me demander rien ne me choquera.

En disant ces mots, il pivote la voiture étant assez spacieuse et se retrouve à genoux entre mes jambes que j’ouvre au maximum.
Si sa verge est aussi experte que sa bouche, j’ai bien fait de lui faire confiance, je récupère un allié doublé d’un amant dont je pourrais me servir à mon gré une fois par mois ou plus si j’en ai envie.
Sa langue arrive à me donner de savoureux frissons, mais quand il sort sa verge que je mets à mon tour dans ma bouche son volume à du mal à entrer.
Un tel engin, je le veux rapidement en moi, je me place à quatre pattes, après avoir mis la capote que je lui ai tendue.
Je l’ai sortie de la poche de mon manteau l’ayant récupéré dans la table de nuit où elle se trouvait et où je les ai découvertes avec ses copines, au lendemain de mon mariage en fouinant pour découvrir si la Panouille avait des petits travers cachés.
Hubert devant s’en servir, du temps de son célibat et tête en l’air, il a dû les oublier.

Oubli fâcheux pour lui, car Lucien étant entré en moi, me pilonne vigoureusement en me malaxant les seins allant même jusqu’à tirer dessus chaque fois qu’il plonge son pénis en moi.
Heureusement, au moment où il décharge et où un orgasme simultané me cloue sur la banquette notre isolement, parfait vu les cris que nous poussons.

Putain que c’est bon, j’ignorais que baiser en prenant son plaisir était possible, même si avec Hubert un léger frisson lui permet de penser qu’il était un bon mari.

• C’est bien Lucien, nous sommes amants donc complices, j’espère que tu respecteras ta parole, tu m’as baisée comme une reine et dans un même temps, tu m’as montré ce que nous pouvons faire avec nos sexes.
• Tu commandes, j’exécute.
• Tu m’as comblé pour le moment, je te dirais quand mon corps aura envie de sensation forte, bien sûr dans l’intimité, je t’autorise à me tutoyer, mais en public et surtout devant le Comte, le vous reste de rigueur.
• Où voulez-vous que je vous conduise madame la Comtesse ?
• Je rentre chez moi Lucien, il faut que je digère certains coups de pines qu’un amant exceptionnel vient de m’asséner, mais avant remettez votre pantalon et votre casquette, qu’est-ce que c’est que cette tenue débraillée devant votre patronne.

Nous éclatons de rire, complice jusqu’au plus haut point.
Je savoure ce premier gros orgasme pendant plusieurs jours me demandant ce que je peux faire de cette complicité, surtout quand le même soir où je prends un amant, Hubert vient frotter sa verge sur mes fesses, la sortant de la poche kangourou de son pyjama, espérant me prendre la chatte par l’arrière.
Il me fait pivoter et me la met dans le vagin encore sensible à celle-ci vigoureuse dans tous les sens du terme de Julien dans le parking souterrain.

• Bonjour, Alexandra, tu m’as demandé de venir.
• Il y a des lustres que mon amie me délaisse, il faut que je tombe malade pour que tu daignes me rendre visite, tu peux entrer, je me suis levée pour la première fois aujourd’hui un peu chancelante, mais je n’ai plus ni fièvre ni frisson.

Je m’assieds sur son lit repensant au frisson que mon amant m’a procuré, ma chatte me démange de nouveau et je pense que je vais lui demander de me trouver une solution pour éteindre le feu qui couve en moi.

Je caresse le front d’Alexandra qui me regarde intensément, ma main glisse sur l’ovale de son visage, pour toucher son épaule et sans que rien ne soit prémédité, je la laisse glisser dans le décolleté de sa nuisette empaumant son sein.
Je caresse le front d’Alexandra qui me regarde intensément, ma main glisse sur l’ovale de son visage, pour toucher son épaule et sans que rien ne soit prémédité, je la laisse glisser dans le décolleté de sa nuisette empaumant son sein.

• Juliette passe ta main sous le drap, voit comme tu me fais mouiller.

C’est ce que je pensais, elle en veut plus, dans ma tête découvrir les plaisirs féminins ce qui a ce jour m’est inconnu, n’est pas pour me déplaire, je n’y aurais pas pensé, Alexandra pouvant m’aider dans ma nouvelle démarche sexuelle.
Nos regards sont intenses et nos bouches se trouvent sans calcul, du moins de ma part, quand je suis rentrée dans cette chambre, est-elle lesbienne et en m’engageant dans ce baiser, j’espère que ma liberté retrouvée grâce à Lucien s’arrêtera à ce simple moment.
Mes doigts la trouvent mouillée, j’ignorais que je pouvais faire couler la chatte de mon amie comme cela, depuis quand espérait-elle que nous fassions ce que je fais quand alors qu’elle a rejeté drap et couverture, elle me présente son abricot aussi épilé que le mien.
Elle commence à battre des ailes, ses mains finissant sur ma tête m’obligeant à aller plus profond en elle et comme moi avec Lucien, son corps s’arc-boute et elle se met à crier, non, à gueuler son plaisir.
Elle a son souffle court pendant de longues minutes, que je respecte, chaque fois que j’ai un orgasme, j’aime faire redescendre le feu qui est en moi lentement ignorant quand sera le suivant.
Ça a été le cas avec Lucien et avec le comte la nuit suivante, j’ai joui intensément malgré sa verge maladroite à la simple évocation mentale de la salope que je tends à devenir maintenant que je souhaite lâcher les chevaux.

Je reste deux heures chez elle, elle tient à me rendre son orgasme en me broutant à son tour, mais elle a du mal à me faire partir, il me fait plus qu’une langue pour cela.

• Attends, je passe un coup de téléphone, tu vas voir, j’ai quelqu’un qui va te respecter en me satisfaisant.

J’appelle mon chauffeur.

• Lucien, vient me rejoindre !

Il me donne du Madame la Comtesse, j’arrive.

• Alexandra, Lucien, mon chauffeur et amant, Lucien Alexandra, je te préviens, j’ai besoin de toi pour me faire éclater, mais ôtes-toi de la tête que tu vas nous baiser toutes les deux, ma copine est lesbienne et rien que lesbienne.
• Bien, Madame la Comtesse, vous pouvez compter sur moi, je saurais vous satisfaire sans porter la moindre main sur vous madame.
• Je vois que tu l’as bien dressée Juliette, embrasse-moi.

Nous reprenons nos jeux, rapidement, je me retrouve prise en sandwich entre Alexandra qui recommence à me lécher, ma langue dans sa chatte en position de 69 et mon amant qui vient me prendre les hanches pour venir dans ma chatte.
Nous explosons tous les trois chacun et chacune trouvant son plaisir, moi un peu plus, car la langue de mon amie m’apporte de plus en plus de plaisir.

J’ai trouvé un lieu très sécurisé pour vivre mes amours adultérins, Alexandra invitant des amies féminines, même aujourd’hui un couple avec lequel elle entretient des rapports dans les mêmes dispositions que nous avec Julien.
La différence, c’est que Benoît le mari est candauliste et adore regarder sa femme se faire baiser, la présence de Julien donne du piment à son couple, je suis à genoux entre ses cuisses et je viens de prendre sa verge en bouche.
Sur le canapé, Alexandra à son habitude broute Arlette qui s’apprête à recevoir la verge de mon amant en elle.
C’est à ce moment que la situation évolue, Alexandra les yeux placés comme elle est, se saisir pour la première fois de la verge d’un homme et l’introduit dans Arlette.

• Alexandra, tu sais que j’aime me faire sodomiser, tu l’as placé comme je l’aime.

Je vois Lucien mettre un grand coup de bite en avant, faisant sortir des bruits bizarres de la bouche de celle qu’il vient d’enculer.
Il va falloir que je me fasse enculer, il est vrai que j’ai oublié d’explorer cette pratique sexuelle qu’Arlette semble beaucoup apprécier.

Mon futur sexuel dans le confort de ma situation avec le Comte de la Panouille va devenir torride, je vais devenir une chaude du cul appréciant pour la première fois le sperme de Benoît qui m’arrose les amygdales.

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