Depart En Permission

Cette histoire s’est passée, il y a longtemps, quand il y avait encore un service militaire.
Je m’appelle Steve, et j’avais 20 ans à l’époque. J’étais , comme beaucoup de jeunes hommes, enrolé pour un an dans l’armée nationale. Pour plus de facilité, je vous ramène bien des années en arrière. Nous sommes Vendredi, et c’est jour de départ en permission. Pour moi, comme beaucoup d’autres de ma compagnie, l’armée a jugé drôle de nous affecter, à l’autre bout de la France, à 950 km de notre contrée d’origine. Du coup, les permissions ont 24h de plus, mais, c’est toujours trop court.
A 17 heures, nous prenons un bus qui nous emmène à la gare la plus proche . Dans cette région de l’est, les casernes sont nombreuses, et le train qui nous emmène vers Paris est rempli de bidasses. Avec deux copains, nous sommes quasi inséparables. Natifs de la même région, nous avons fait nos études ensemble, et nous retrouvons affectés au même endroit, tous trois travaillant au mess des officiers. Deux heures après le départ nous voici à la gare de l’Est. Après quelques péripéties métropolitaines, nous voici sur les Champs Elysées. Sylvain, l’un de mes copains, nous entraine pour diner dans un nouveau type de restaurant appelé FAST FOOD, dont le premier vient d’ouvrir dans la capitale. La bouffe est discutable, mais on sent bien que la formule va plaire. Après ce frugal repas, nous déambulons sur les champs, nous retournant sur les jolies parisiennes. Il est bientôt l’heure de rejoindre la gare d’Austerlitz, car le train pour Toulouse part à 23 heures.
Nous arrivons assez tôt, pour pouvoir bloquer un compartiment. Nous nous étalons sur les banquettes, nos volumineux sacs à côté de nous, et nous fermons portes et rideaux, pour dissuader les importuns. Au fur et à mesure de l’arrivée des voyageurs, la porte est entrouverte à plusieurs reprises mais voyant l’occupation des lieux, elle se referme sans que quiconque entre. L’heure du départ approche, et nous pensons avoir un voyage à dormir tranquillement dans ce compartiment, car il n’y a que deux arrêts : Limoges, et Gourdon, qui concernent peu de gens.

Cependant, alors que nous entendons le chef de gare annoncer le départ. La porte s’ouvre sur une jeune femme qui jette un œil sur nous. En général les femmes seules, en voyant la lumière éteinte, passent leur chemin, mais celle-ci, att une valise dans le couloir et entre dans le compartiment. Elle passe entre mon pote Sylvain et moi, et se dirige vers la fenêtre. Un quart de la banquette, à côté de moi est libre, et elle va manifestement s’y installer, face à Grégoire, mon autre copain. Elle ote son manteau qu’elle accroche au porte-manteau, le long de la cloison, et entreprend de hisser sa valise sur le porte-bagage. Grégoire se lève et l’aide à soutenir le poids du bagage. Elle est vétue d’un pantalon de toile écrue, qui moule un fessier petit mais bien arrondi. Quand elle lève les bras pour pousser sa valise, son gilet en laine remonte, ainsi que la chemise au dessous, dévoilant une taille fine aux abdos biens dessiné. C’est un fille, assez fine, pas très grande, à la chevelure brune mi-longue. Elle peut avoir 24 ou 25 ans. Sylvain, qui a suivi le mouvement, me lance un clin d’œil, preuve qu’il a apprécié la manœuvre.
La donzelle, se rajuste en baissant les bras et s’assied face à Grégoire. Le train s’ébranle doucement, et chacun se replie dans son coin, cherchant le sommeil dans l’obscurité. Après un moment, la demoiselle fait comme nous, et se débarrasse de ses chaussures à talons, pour poser ses pieds sur la banquette, pas très loin de ma tête. La SNCF n’étant pas avare de chauffage, nous sommes en T-shirts. Elle se défait de son gilet, dont elle se sert d’oreiller, après le passage du contrôleur, qui nous a ébloui, en allumant toutes les lumières, que nous éteignons aussitôt après son passage, pour ne garder que la veilleuse . Dans la pénombre, j’ai du mal à trouver le sommeil. Je sens ma voisine gigoter. Quand un de ses pieds s’étend près de mon visage, je pose ma main dessus. Elle ne bouge plus. Retenant mon souffle, je caresse le peton habilé d’une chaussette fine.
Je sens ses orteils bouger sous mes doigts. Je m’enhardis et vais chercher le haut de la chaussette que j’enlève sans qu’elle réagisse. Je masse doucement son pied, et je sens son autre pied se glissser contre l’autre. La seconde chaussette subit le même sort et je masse maintenant ses deux pieds. Elle s’allonge sur le dos, et étend ses jambes. Sa partie de banquette est trop court et ses jambes reposent sur l’accoudoir, de chaque côté de ma tête. Je prends mon parti de cette situation et caresse ses jambes par dessus le pantalon, remontant jusqu’aux genoux, puis sur ses cuisses. Elle pousse un long soupir. Je relève la tête, et constate que Grégoire, s’est penché vers elle et caresse sa poitrine, au dessus du chemisier. Elle a les yeux fermés, mais elle ne dort pas, c’est évident.. Les mains de Grégoire, défont deux boutons et se glissent sous le chemisier pour palper les seins de la voyageuse, qui soupire fréquemment. Elle défait un à un les boutons restants et écarte les pans de son chemisier blanc sur un soutien gorge, tout aussi immaculé. Les mains de Grégoire se promènent sur son ventre plat et sur ses seins. Elle se cambre sous la caresse, et attire Grégoire vers elle. Il est à genoux contre la banquette, et elle défait prestement sa ceinture, dégrafe le jean, et faufile sa main dans le slip tendu, pour empoigner sa verge. La situation est chaude, et pour tout dire inespérée.. Ne voulant pas rester de côté, je m’appuie sur l’accoudoir et tends les bras pour atteindre la ceinture de son pantalon. Je le déboutonne, et commence à le tirer vers le bas. Elle soulève les fesses pour m’aider et le pantalon glisse jusqu’à ses genoux . Je remonte mes mains sur ses hanches pour faire ensuite glisser sa culotte. De nouveau elle m’aide en se cambrant, , puis je soulève ses jambes pour dégager les vêtements qui finissent sur le siège, derrière moi.
La jeune femme extrait le sexe de Grégoire de son slip, et s’appuie sur un coude. Elle rejette en arrière sa chevelure brune d’un geste élégant, et vient gober le mandrin qu’elle suce doucement, le gratifiant de petits coups de langue, avant de l’engloutir jusqu’à la glotte.

Je ceraees l’intérieur de ses cuisses écartées et viens agacer sa vulve entrouverte, avnat d’enfoncer mes doigts dans sa chatte, juste ornée d’un ticket de métro. La bouche emplie par Grégoire, elle gémit son plaisir, et s’active de plus en plus vite sur son membre. Quand il commence à râler fortement, elle se dégage et le branle en l’encourageant :
« Vas y, donne tout !, envoie moi ton foutre !, jouit sur mes nichons ! » lui murmure t’elle.
Grégoire ne peut résister et envoie de longues salves blanches sur le corps de la jeune femme.
Elle se relève et je l’attire à moi en me couchant sur le dos. Elle vient sur moi, un genou côté dossier, la jambe en appui au sol de l’autre côté, et me deshabille. Elle m’ote mon jean et mon slip avant de guider mon mandrin vers sa chatte. Elle se laisse descendre, ma queue s’insinuant en elle sans rencontrer de résistance, et commence à me chevaucher, en poussant des gémissements de plus en plus bruyant. Sylvain, qui n’a rien manqué de nos ébats, se lève, et vient lui présenter son sexe. Elle tourne la tête et le capte entre ses lèvres, s’aidant de sa main pour l’orienter, et palper ses couilles, sans cesser sa cavalcade sur mon ventre. Je lui triture les seins, pas très gros, mais jolis, et ronds. Je jouis rapidement en elle .
Sylvain ne résiste pas longtemps à ses talents de suceuse et il jouit à grands traits dans sa bouche. Elle ne peut tout avaler et le sperme déborde de sa bouche. Je sors de mon sac, une serviette que je lui prète pour s’essuyer. Elle accroche son chemisier au porte-manteau et nue, se rapproche de Grégoire, qui récupère étendu sur le dos. A genoux sur le sol, elle le caresse sur tout le corps, et pose des baisers sur son torse. Elle vient cajoler son sexe, encore mou, et passe sa main sous ses testicules . SE penchant ensuite elle vient les haper, et titille son anus d’un doigt. Grégoire, est rapidement opérationnel. Elle lui demande de s’asseoir, et vient se coller sur lui, en écartant bien les jambes, le saisissant pour l’introduire dans sa cavité.
Après quelques allez-retour, elle l’expulse et se déplace un peu pour l’orienter vers son anus. La pénétration se fait plus difficile, mais après quelques gémissements de douleur, elle finit par se lancer dans une cavalcade éperdue. Grégoire rendu fou par ce cul décharge rapidement dans ses boyaux. Le spectacle nous a redonné de la vigueur, et Sylvain, après l’avoir fait mettre à quatre pattes, prend la place laissée vacante, et lui défonce copieusement le cul
La fille jouit plusieurs fois d’affilée, et quand Sylvain inonde à son tour son intérieur, je prends sa place sans difficulté dans le chemin étroit, que mes copains ont ouvert.
A quatre pattes sur le sol, cela peut durer longtemps, car, à chaque fois qu’un d’entre nous a déchargé il est remplacé par un autre, qui s’est fait sucer, et a retrouvé sa vigueur.
Après une pause, Sylvain s’assied et elle vient s’empaler sur sa queue. J’arrive derrière elle et force l’entrée de ses fesses, pour un coit, plus lent mais plus sensuel. La donzelle monte et descend sur la bite de Sylvain, et je suis le mouvement. Je sens la queue de mon copain au travers de la paroi de chair. Nous arrivons à synchroniser nos rythmes et la lave monte simultanément en nous, nous donnant un orgasme collectif qui nous laisse éreintés.
Accoudé contre la cloison, je regarde la fille dont j’ignore le prénom. Elle s’est endormie, à plat-ventre sur la banquette, une jambe trainant par terre, sa chatte et son cul encore ouverts, merveilleusement impudique.
Le train ralentit. Nous arrivons à Limoges. La belle se réveille en sursaut. Fébrilement, elle remet son chemisier, enfile son pantalon, nous cachant ces trésors dont nous avons tant profité. Le gilet, les botte, le manteau. Nous avons descendu sa valise et nous la lui portons jusque sur le quai, alors que le train va bientôt repartir. Le wagon entame sa marche et par la portière, nous la regardons nous sourire, alors qu’elle se fait de plus en plus petite sur le quai. De retour dans notre compartiment, qui sent le stupre, nous retrouvons une culotte de dentelle blanche humide, et un soutien gorge assorti
Evidemment, nous n’avons jamais revu cette femme, mais elle nous a laissé, notre meilleur souvenir de voyage en train.

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