Strip Tease Masculin Pour Femmes
Corinne était dans sa salle de bains, en train d'épiler son pubis pour former le triangle équilatéral le plus orthodoxe possible, lorsque le téléphone sonna. C'était son amie Julie :
-Hello toi, je ne te dérange pas ?
-Je suis en train de tailler mon triangle des Bermudes, si tu veux tout savoir.
-Excuse-moi, je ne pouvais pas savoir, et ça me fait penser que je ferais bien d'en faire autant, c'est une vraie forêt tropicale chez moi.
-Qu'est-ce qui t'amène ? On ne va pas parler uniquement de nos entrecuisses.
-Non, quoique... Tu sais que samedi soir, on a la fête des anciennes du lycée, sans les mecs bien sûr.
-Oui, j'ai déjà réservé ma soirée, et alors ?
-Tu sais quel est le spectacle organisé par l'asso ?
-Non, je n'ai pas lu leur courrier, pour tout te dire.
-Un strip tease masculin avec un groupe spécialisé.
-Nooooon !
-Siiiiii !
-Alors ça, c'est une idée qu'elle est bonne. Depuis le temps que j'avais envie de voir ça. Je ne sais pas comment Christophe va le prendre mais qu'il le veuille ou non, j'irai.
-Tu n'es pas obligée de le lui dire.
-Ouais mais je voudrais pas non plus qu'il l'apprenne par la bande, il y a toujours des bavardes qui veulent le bien des couples mariés.
-T'as raison. Remarque, moi je n'ai plus ce problème, merci divorce.
-Parfois, je t'envie. Tu te rends compte, je vais avoir cinquante balais cette année dont vingt-cinq de mariage, c'est dingue.
-Moi, je l'ai déjà mon demi-siècle, rassure-toi on survit. Bon alors on se retrouve samedi soir ?
-Et comment. Allez, je te laisse pour terminer mon défrichage. Bisous.
*******
Le soir venu, Julie, la brune pulpeuse, et Corinne, la blonde élancée, se retrouvèrent près de la scène où devait s'exprimer la troupe baptisée "the smart boys". Une grande excitation régnait dans la salle où de nombreuses tables avaient été disposées pour permettre les consommations.
- J'espère qu'ils sont beaux, ces mecs. Et qu'ils baisent. Tu crois qu'on peut les rencontrer après le spectacle ?
- Je le suppose, oui. Mais si tu veux draguer, ce sera sans moi.
- Bêcheuse. Lâcheuse.
- Attends déjà de voir à quoi ils ressemblent avant de t'emballer.
Lorsqu'ils firent leur apparition sur la scène, une véritable ovation les salua. Au nombre de six, tous âgés entre 20 et 30 ans, ils étaient curieusement accoutrés d'un costume marin à l'américaine avec un bob et un ensemble pantalon-tee shirt blancs. Une sono bruyante accompagnait leur danse. Les femmes tapaient dans leurs mains en cadence. L'une d'entre elles, sans doute un peu éméchée, cria : "à poil" ! Des gloussements lui répondirent. Comme si le cri avait été un signal, les "boys" commencèrent leur numéro de strip tease, ôtant un à un leurs vêtements en commençant par le haut (le bob), le milieu (le tee shirt), révélant au ravissement de la foule des torses glabres et musclés et enfin, last but not least, le pantalon. Un caleçon apparut à la grande déception de l'assistance. Avec une certaine perversité, les danseurs demeurèrent quelques minutes dans cette tenue jusqu'au moment où le caleçon se déchira en deux (sans doute parce qu'ils tenaient par des boutons pression) et révéla, sous les hourrah des consommatrices, des sexes dissimulés par des étuis péniens et des fesses parfaitement découvertes. La température monta de plusieurs degrés et des cris fusèrent à nouveau : "le cache-sexe, le cache sexe !" Mais les "boys" semblaient ne pas l'entendre.
Corinne et Julie s'étaient fondues dans l'ambiance comme les autres. Elles avaient chaud et s'étaient mises à l'aise, Julie découvrant un large décolleté mettant sa généreuse poitrine en valeur tandis que Corinne, très avantagée côté jambes, avait laissé sa mini-jupe remonter très haut.
- Dommage que notre grand blond de tout à l'heure soit parti, je l'aurais bien sucé aussi, gloussa Julie à l'oreille de Corinne.
Une atmosphère hautement érotique régnait dans la salle, mais l'apparition de la présidente de l'association des élèves sur la scène mit fin au happening :
- Allez les filles, on remercie les "smart boys" pour le spectacle, place maintenant au buffet, buvez, mangez, faites-vous plaisir.
Et les danseurs s'esquivèrent, salués par des applaudissements nourris mais teintés aussi du regret de ne pas les avoir vus plus longtemps.
******
Après le spectacle, Corinne et Julie se retrouvèrent dans une boite de nuit avec quelques anciennes copines de lycée. Bien entendu, les six danseurs s'y trouvaient aussi. Julie entreprit sans complexe le jeune homme qui avait balancé son sexe sous ses yeux mais celui-ci avait plutôt des vues sur Corinne, il est vrai très séduisante avec sa mini robe dévoilant un dos totalement nu.
- Tu as une touche avec mon mec, maugréa la brune à l'oreille de sa copine.
- Ton mec ?
- Oui, enfin celui que je draguais.
- Mais j'en ai rien à faire !
- Mon oeil ! Tu réponds à ses regards, je le vois bien. Allez, fais pas ta mijaurée, ça ne te va pas. Tiens, le voilà qui arrive, laisse toi faire, il ne va pas te manger.
Et de fait, le danseur se présenta à Corinne en engagea la conversation en annonçant son prénom : Edgar. Corinne était flattée, quoi qu'elle en dise, de l'intérêt porté par un beau garçon vingt ans plus jeune qu'elle. Celui-ci la baratina sans vergogne et elle se laissa faire, charmée. Pendant ce temps, Julie avait porté son dévolu sur un autre danseur, un petit gars trapu dont elle avait pu apprécier la musculature sur la scène. L'entente régna très vite entre eux. Les deux jeunes hommes avaient fait quelques confidences prometteuses :
- Nous, on préfère les vraies femmes. Celles de notre âge nous stressent tellement elles ont la hantise du harcèlement. On ne sait plus sur quel pied danser avec elles. Au moins avec vous, on sait où on va. C'est oui ou non.
Si bien que deux heures plus tard, alors que la boite était près de la fermeture, deux flirts s'étaient formés entre d'une part Julie et son type prénommé Ronny, d'autre part entre Corinne et Edgar. Mais la blonde manifesta l'intention de rentrer chez elle, ayant épuisé selon elle la liberté de sortie que lui avait octroyée son mari.
- Tu rigoles ou quoi ? murmura Julie à l'oreille de Corinne. Ils sont archi mûrs. On va baiser toutes les deux, c'est sûr.
- Mais... tu oublies Christophe.
- Et alors ? Tu vas le retrouver, ton julot. Tu ne vas pas te marier avec Edgar. Tu vas juste baiser avec lui et basta. Tu n'auras pas tous les jours un mec pareil entre les cuisses à ton âge et mon non plus d'ailleurs. Allez, on va chez moi, fais pas ta bêcheuse. D'ailleurs, tu as envie de baiser, je le sais.
Corinne ne dit mot. Elle ne pouvait pas donner tort à son amie. Depuis un bon moment, ça chauffait dur dans son bas ventre. Une bite bien longue et bien dure pouvait seule éteindre l'incendie et ce n'est pas Christophe ensommeillé qui pourrait la calmer.
******
Celle-ci prit le volant de sa voiture, flanquée de Ronny tandis que Corinne et Edgar occupaient les places arrière. Les cuisses largement découvertes par sa mini robe, la blonde repoussa une première fois la main du jeune homme qui entendait les caresser. Mais son insistance finit par avoir raison de sa résistance et Corinne répondit par un long baiser aux investigations masculines, signe de sa totale adhésion. Edgar avait glissé sa main dans le dos décolleté pour atteindre un sein ce qui fit gémir sa propriétaire. Il avait définitivement gagné la partie et elle partit à son tour en reconnaissance du côté de sa braguette. La dureté qu'elle y rencontra la rassura définitivement : il avait envie d'elle. Elle plaisait toujours, malgré ses cinquante balais approchant.
- Alors, ça va les amoureux ? rigola Julie alors qu'elle se garait devant chez elle. Attendez au moins de vous retrouver chez moi.
De fait, si Corinne avait disposé alors d'un thermomètre et qu'elle se l'était glissée dans la chatte, il aurait sans doute frôlé les 40 degrés. Pourtant tiède au départ de la soirée, elle avait atteint progressivement un état d'ébullition érotique lié au spectacle des hommes nus au corps parfait sur la scène, la vision d'une bite splendide agitée à quelques centimètres d'elle, le contact d'Edgar pendant les danses en boîte et les propos crus de Julie qui l'avaient entrainé sur la pente du stupre, nonobstant sa qualité de femme mariée. La présence de son amie avait quelque chose de rassurant tout en cautionnant l'adultère en perspective.
Une fois dans l'appartement de Julie, celle-ci sortit quelques bouteilles mais Corinne avait déjà pas mal bu et se sentait suffisamment grise pour abolir les dernières barrières qui lui restaient. Les deux femmes, assises sur le canapé côté à côte, faisaient face aux deux hommes qui occupaient chacun un fauteuil. Une tension érotique extrême régnait. Julie lança :
- Et si vous nous faisiez tous les deux un strip, rien que pour nous ?
Les deux garçons rigolèrent mais posèrent leur verre et s'exécutèrent. Avec une lenteur très calculée, ils retirèrent un à un leur vêtements en chantonnant un air et en synchronisation parfaite, preuve de leur métier. Lorsqu'ils furent nus, ils s'avancèrent vers les deux spectatrices, clouées sur le canapé, et agitèrent leurs hanches en mimant l'acte sexuel, ce qui eut pour effet de faire danser leur sexe sous le nez de Corinne et Julie. Celle-ci ne résista pas à l'envie d'attr la queue de Ronny et de la porter à sa bouche en lui palpant les couilles. Mise devant le fait accompli, Corinne se sentit obligée d'emboucher à son tour l'engin d'Edgar qui commençait à la faire loucher.
- Bien, branle-le aussi, lui souffla Julie entre deux succions.
Corinne n'étant pas une oie blanche, elle ne se fit pas faute d'imiter son amie, avec une habileté telle que le pénis d'Edgar prit des proportions inédites pour elle. Elle se gavait littéralement du gland et se l'enfonçait jusque dans la gorge avec conviction.
- Bon dieu, tu es une sacrée suceuse, reconnut Edgar, qui en avait pourtant vu d'autres. Corinne apprécia le compliment.
C'est alors que Julie déclara :
- Tournez-vous maintenant qu'on vous lèche le cul.
Comme son amie, Corinne se retrouva le nez quasiment dans la raie des fesses du danseur.
- Ecarte ses fesses et met lui la langue dans le petit trou, ordonna Julie, joignant le geste à la parole.
Corinne eut envie de répondre qu'elle n'avait "jamais fait ça" mais s'abstint pour ne pas paraitre godiche. Elle avait plutôt envie de mordre dans les globes d'Edgar mais celui-ci attendait visiblement autre chose et Corinne finit par s'exécuter, non sans une certaine appréhension. Mais l'exemple de Julie, qui se régalait à l'évidence, et la tentation de céder encore à l'ambiance érotique de la pièce, la fit s'exécuter une nouvelle fois et le goût fumé de l'anus du jeune homme ne lui déplut pas.
- Oh c'est bon, gémit celui-ci, qui se branlait en même temps.
Après quelques minutes de cet exercice particulier, les deux danseurs se retournèrent et Ronny déclara :
- Vous êtes deux belles salopes mais on va vous récompenser à notre manière. On va vous baiser là, maintenant, et vous allez jouir, faites-nous confiance. D'abord, foutez-vous à poil.
Julie et Corinne firent passer leur robe par dessus leur tête, révélant la nudité de leurs seins, assez dissemblables entre les obus de Julie et les pommes de Corinne. Elles firent glisser leur string le long de leurs jambes, et s'enfoncèrent dans le canapé, en attente, cuisses ouvertes.
Ronny plongea le nez dans la broussaille de Julie qui roucoula de plaisir. Quant à Corinne, elle eut droit à une espèce de danse d'Edgar avec en vedette son pénis dont il était visiblement très fier.
- Elle est belle, ma queue, hein, tu vas l'avoir, tu en as envie, hein ?
Corinne goûta assez peu ces simagrées d'autant qu'à côté d'elle, Julie bramait de plaisir sous les assauts de son amant musculeux et râblé, entré aussitôt en action. Elle décida de donner une petite leçon à Edgar, qu'elle suspectait de la prendre un peu de haut en raison de leur différence d'âge, il est vrai réelle. Un sujet hautement sensible. Ce godelureau allait comprendre.
- Viens maintenant, lui dit-elle, cuisses largement ouvertes sur une vulve béante et humide. Edgar la pénétra et commença à onduler en elle. Avant de ressentir les premières ondes de plaisir, qu'elles savaient imminentes, Corinne lâcha :
- Tu es mou.
Edgar interrompit ses mouvement serpentins :
- Comment ça je suis mou ? répliqua le jeune homme, piqué au vif dans sa virilité.
A côté, le couple s'esclaffa franchement et interrompit lui aussi son coït.
- Oui, tu es mou alors que Ronny lui est dur, il suffit d'entendre Julie.
- Regarde ma queue, elle est molle ?
De fait, Edgar présentait une érection tout à fait respectable, légèrement incurvée, prête à l'emploi. Le couple voisin reprit son activité avec une telle ardeur que Corinne crut que Julie allait transpercer le canapé.
- Regarde-les, eux au moins ils baisent. Je suis là pour baiser, pas pour quelques chatouillis.
- Des chatouillis ? Tu vas voir.
Alors, Edgar lui empoigna les cuisses sous les genoux, la plia en deux et s'enfonça en elle d'une seule poussée, jusqu'à la garde. Corinne, chauffée depuis belle lurette, était fondante et le jeune homme abandonna ses ondulations pour cogner dur dans le confort le plus parfait pour sa bite survitaminée. La blonde réfréna son enthousiasme afin de ne pas flatter l'ego de son amant et de le contraindre à se surpasser. Sous les assauts conjugués des deux danseurs, le canapé de Julie menaçait de s'effondrer à tout moment. Les yeux dans ceux de son amant, ses ongles plantés dans ses fesses, Corinne jubilait intérieurement. Elle ne pensait plus du tout à sa transgression, encore moins à son mari qui dormait au même moment dans le lit conjugal. Elle baisait et c'était l'essentiel, tout à côté de son amie Julie, ce qui constituait pour elle une première, ayant toujours pratiqué l'acte sexuel dans l'intimité, fût-elle parfois relative. Le gaillard allait très loin en elle, il ne la ménageait pas, il la bousculait, il la fouillait sans ménagement et c'était exactement ce qu'elle voulait afin de rompre avec la routine conjugale. Elle aurait aimé riposter pour participer pleinement à cet accouplement sauvage mais le danseur la neutralisait en la pliant en portefeuille. Julie régla la question en proposant un changement de position :
- Allez les hommes, à vous de vous asseoir, c'est nous qui allons vous baiser maintenant.
Les deux danseurs s'exécutèrent sans rechigner et toujours sur le canapé, qui tenait encore debout, Julie vint s'empaler sur Ronny, face à lui, lui mettant ses seins plantureux dans le nez tandis que Corinne adoptait la position inverse en montrant son cul (qu'elle savait beau) à Edgar. Du coup, c'est lui qui fut subjugué. Il ne se souvenait pas d'avoir eu sous les yeux un aussi beau fessier, charnu, mouvant, bien fendu et il eut la sensation bizarre que sa queue s'allongeait. Corinne dansait sur la pine avec également la sensation qu'elle était devenue plus pointue. Plus question d'affirmer qu'elle était molle. La blonde se laissait tomber sèchement avec délectation, faisant presque totalement sortir le pénis avant de se le mettre bien profond, en prenant appui sur les genoux du jeune mâle. Julie observait le couple d'un oeil et constata :
- Ben dis donc, Coco, ne dis pas que tu ne baises pas maintenant. Tu la sens bien cette fois ?
- Ah oui je la sens. Elle est bonne, mmmmhhh. Et toi, elle est bonne, la tienne ?
- Epaisse, comme je les aime, elle me remplit bien.
Corinne répondit par un long gémissement car Edgar venait d'atteindre une région inexplorée de son intimité, surexcité qu'il était par les propos crus des deux amies. Mais il s'abstint cette fois de tout commentaire et se concentra sur sa tâche, soucieux de ne pas éjaculer prématurément car il avait désormais conscience d'être tombé sur un coup en or. A nouveau, Julie proposa du changement :
- Allez, maintenant, prenez-nous par derrière.
Les deux femmes se placèrent à genoux sur le canapé, face au dossier, offrant leur croupe aux deux danseurs qui, à leur tour, leur réservèrent une surprise, à l'initiative du petit brun. Celui-ci fit un clin d'oeil à son copain et prit sa place derrière le fessier de Corinne tandis qu'Edgar faisait de même derrière Julie, à la croupe vraiment joufflue mais tout aussi tentante. Mais l'une et l'autre avaient tellement adhéré au pénis de leur amant préalable qu'après quelques va et viens, elles s'aperçurent de la supercherie et tournèrent la tête vers leur nouveau partenaire :
- Oh les coquins ! gloussa Julie, pas mécontente au fond de goûter à la longueur après avoir savouré l'épaisseur.
- Allez, vas-y, à fond ! lança Corinne à Ronny en se tournant vers lui, ses cheveux blonds et raides battant ses épaules sous l'effet des vigoureux assauts du petit brun, survolté par cette nouvelle partenaire.
Le canapé fut encore agité de mouvements dangereux pour son intégrité. Les deux femmes se cramponnaient au dossier et rivalisaient désormais d'exclamations sans trop se préoccuper du voisinage endormi. Julie était tellement excitée qu'elle lâcha :
- Enculez-nous maintenant !
Corinne manifesta un bref moment d'incertitude. Non qu'elle ne goûta point la sodomie à l'occasion mais personne d'autre que son mari n'était entré dans ce lieu hautement privé. Et l'épaisseur du dard de Ronny l'effrayait un peu. Julie la rassura en se levant chercher un tube de gel et en badigeonnant l'anus de son amie. Celle-ci était tellement excitée qu'elle était prête à toutes les expériences, ayant déjà commencé en léchant un trou du cul d'homme :
- Tu vas voir, ça va entrer tout seul, dit Julie.
C'est Edgar qui eut l'honneur de cette entrée majestueuse. Une fois passée l'inévitable contraction, Corinne ressentit un certain bien être puis un bien être certain. Edgar évoluait dans un grand confort et Corinne se régalait de sa pine, augmentant son plaisir par une légère masturbation sur son clitoris. Dans un bref moment de lucidité, elle considéra sa position présente et en fut tout ébaubie. Elle était là, à genoux sur le canapé d'une amie qui se trouvait à côté d'elle dans la même position et subissait le même outrage de la part de deux parfaits inconnus quelques heures plus tôt. Et le pire, c'est que toutes deux en retiraient un plaisir intense. Julie le manifestait plus bruyamment et un de ses propos crus frappa Corinne au cortex : "tes couilles sur ma chatte, tes couilles sur ma chatte" répétait-elle à l'intention du râblé Ronny. De fait, Corinne ressentait un petit battement sur sa vulve qu'elle identifia aussitôt et la conjonction du verbe, du toucher testiculaire et de cette bite qui fouillait profondément ses entrailles déclencha dans son cerveau un foudroyant orgasme qu'elle exprima sans retenue, si ce n'est qu'elle mordit le dossier du canapé pour ne pas hurler. Julie se mit à l'unisson, si bien que les deux jeunes mâles furent incapables de retenir leur sperme et éjaculèrent quasi simultanément.
- Bon dieu, quelles salopes ! répéta Ronny en se laissant tomber au sol, la queue flappie
Edgar demeura encore quelques minutes dans le tréfonds de Corinne qui agitait spasmodiquement ses hanches, dans une sorte de convulsion érotique. Puis le couple se dissocia lui aussi et les deux femmes filèrent aux toilettes, les jambes molles mais le ventre encore en feu.
Après la douche et un ultime verre, la fatigue envahit les quatre protagonistes. Julie offrit aux deux jeunes hommes de dormir chez elle mais Corinne s'esquiva, la tête chamboulée et soudain très inquiète de la réaction de son mari, qui devait l'attendre depuis belle lurette. Le jour n'allait pas tarder à poindre...
En définitive, lorsqu'elle rentra à pas de louves, Christophe dormait profondément. Elle se glissa avec précaution dans le lit conjugal et s'endormit presqu'aussitôt. Elle se leva très tard et Christophe l'accueillit dans la cuisine, un sourire goguenard aux lèvres :
- Alors, cette soirée ? Vous avez bien rigolé avec ces strip teaseurs ?
- Euh... oui, mais j'ai fini la soirée chez Julie et on a, euh, discuté.
- Vous êtes d'incorrigibles bavardes, comme toutes les femmes. Bon, qu'est-ce qu'on mange à midi. J'ai faim, moi.
- Ne t'inquiète pas chéri, j'ai tout prévu. Je me lave et je me mets à la cuisine.
- Parfait mais prends ton temps. Tiens, en attendant, je vais aller faire un footing.
Et Corinne pensa qu'elle aurait eu bien tort de ne pas céder à ses coupables penchants...
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