Soiree D'Anniversaire
Je mappelle Sandra, je suis une fille quon pourrait qualifier de jolie. Pas très grande, 1,60m blonde naturelle aux yeux bleus (pas très original) Ce que je préfère chez moi, ce sont mes seins, même sils ne sont pas énormes, ils sont sexy, bien ronds et tiennent tout seuls. Par contre, mon complexe, cest mon popotin, Je le trouve bas, bien que rembourré, mais pas assez haut pour que je puisse mafficher en string. Aujourdhui, cest mon anniversaire . En fait cétait il y a deux jours, et mon mari Fabien, a organisé une fête avec tous nos amis. Mes parents avaient fait le déplacement de Bordeaux. Cétait vraiment génial. Ce soir, cest donc une autre soirée danniversaire. Avec quelques copines, nous avons décidé dune soirée entre filles pour célébrer lévénement. Je viens davoir 40 ans, qui comme chacun sait est un cap dans la vie dune femme. Cest donc sans mon mari, qui, pour loccasion soccupe des s, que je rejoins mes amies chez Axelle, qui habite en centre ville. Quand jarrive chez elle, mes autres amies sont déjà là, et achèvent de se préparer. Axelle me reçoit avec deux grosses bises, et mentraine dans la Salle de bains, centre névralgique de préparation car ce soir, nous allons voir un spectacle de Chippendales. Ce type de spectacle destiné à une clientèle féminine sest implanté à Paris, mais, rapidement on a vu des clubs sinstaller dans les plus grandes villes, et donc à Strasbourg.
Nous sortons à quatre, ce soir. Des amies proches, toutes plus ou moins dans les même tranches dâge. Axelle, tout dabord, une brunette piquante de 1,65m, a 38 ans, et deux s, comme moi. Elle est sensiblement plus mince que moi, mais cest une fausse maigre, je men suis déjà aperçue. Ensuite Il y a Martine, 42 ans, une femme brune, opulente, et BGBG, et enfin Karine, 40 ans, la plus délurée du groupe Grande fille de 1,75m aux cheveux chatain coupés courts, une regard gris acier, et un tempérament du même métal.
Après les embrassades Martine me dit de venir peaufiner mon maquillage.
« Fais nous voir ta tenue. » demande Karine « Ouh là ! On avait pas dit sexy ? »
Je porte une robe légère rouge, tenue par deux fines bretelles, qui sarrète à mi-cuisses. Nen ayant pas vraiment besoin, jai fait limpasse sur le soutien-gorge, et jai un petit Tanga noir qui souligne mon bronzage.
« Ma tenue est très sexy »lui reponds-je,
« Tu parle !, regardes ce que cest sexy ! » Là dessus Karine remonte se jupe laissant voir des bas Stay-up, puis elle ouvre la veste de son tailleurs anthracite, sous laquelle elle porte un soutien-gorge à balconnets, qui soutient ses seins sans les recouvrir, laissant voir duex aréoles larges, maquillées au gloss.
« ça, cest de la tenue de combat ! ajoute telle, Martine montre lui ! »
Martine, faussement modeste remonte sa jupe, jusquen haut de ses bas, tenus par les pinces dun porte jarretelle. Je me tourne vers Axelle qui, pour loccasion amis une jupe, taille basse, fendue sur une jambe, et un caraco, qui dévoile ses seins (ou plutôt son absence de seins) par transparence.
« Ne tinquiète pas, Choupette, » me dit cette dernière « tu es très bien comme ça. On va bien samuser. »
Cest vrai quil y a une atmosphère de cour de récré, dans cette salle de bains, où chacune améliore, au mieux son apparence, dun trait deye-liner, ou dun fond de blush, les lèvres brillant de gloss allant du rose au rouge carmin. Ce soir nous sommes quatre célibataires qui vont se payer du bon temps.
Cest maquillées comme des voitures volées que nous rejoignons mon cabriolet, dans lequel nous embarquons, La soirée est chaude, et nous profitons de la douceur de lair. Karine, et Axelle abandonnent les places arrière, un peu engoncées, pour sasseoir, sur le coffre, les jambes pendantes à lintérieur de lhabitacle. Elles remuent au rythme de la musique que Martine a poussé à fond, en poussant des cris de fétardes. Inutile de dire que nous ne passons pas inaperçues auprès des passants, et nombreux sont les hommes qui sifflent sur le passage de la voiture.
Cest la première fois que je me rends dans ce genre de club, et en attendant notre tour, je me demande un peu ce que je vais découvrir. La seule qui a déjà visité des endroits de ce type est Karine, qui est allé en voir sur Paris. Il y a un groupe de filles devant nous, beaucoup plus jeunes. Un enterrement de vie de jeune fille mindique Martine qui sest renseignée. Les entrées payées, nous passons par un genre de hall dacceil, avec un vestiaire, comme dans les boites de nuit, puis nous entrons dans une grande pièce, avec des lumières tamisées, et des spots façon discothèque. Un podium rectangulaire est installé au milieu de la pièce, et autour des banquettes, et fauteuils disposés pour être tous, face au podium, car cest là que doit avoir lieu le Spectacle.. Nous longeons le podium et allons nous installer sur une banquette en demi cercler, au fond de la salle..
Comme en boite de nuit, une serveuse vient prendre nos commandes, et nous sommes rapidement devant nos Mojitos. La musique est assez forte.
Au bout dun mment, la musique se coupe et une voix off, nous présente le premier artiste.
Un rideau, au milieu de la salle souvre et cest un policier qui entre, alors que retentit une musique rythmée, il saute sur lestrade, et fait mine de scruter lassistance. On coprend très vite que ce bon policier a chaud. Il se défait de sa veste, sous laquelle il est torse nu, il fait saillir ses muscles, en dansant un peu et hop ! il tire sur son pantalon qui sarrache dun coup, le laissant en boxer devant nous. Après avoir dansé encore un moment, il fait mine denlever son boxer, puis sarrête. Les cris fusent dans lassistance, lencourageant à continuer. Il fait mine de sen aller, mais toutes les femelles le rappellent, et il revient, pour enlever ce boxer, ultime rempart de sa pudeur.
Lun après lautre les stripteasers se succèdent, parfois par deux et nous dévorons des yeux leurs corps musclés, leur carnation dorée, leurs pectoraux, huilés, leur biceps, ou triceps, mis en exergue par des postures de bodybuilders. Bien entendu, les alcools coulent à flot , et lambiance un peu compassée du début a fait place à une joyeuse euphorie. Quelques filles exhibent leurs poitrines. La plupart sont très jeunes, et je me dis que nous devons ressembler à une bande de cougars.
Petit à petit, une douce chaleur sinstalle au creux de mon ventre. Difficile de rester insensible à ces hommes dénudés, dont la musculature donnerait des complexes à nos maris, moins entrainés, plus investis dans leurs métiers que dans la culture du corps. Il y en a vraiment pour tous les goûts, des jeunes, des plus matures (encore que je ne pense pas quun seul ait dépassé la quarantaine) des blonds, des bruns, des blacks, un asiatique. Mes amies semblent captivées elles aussi par le spectacle, et frottent nerveusement leurs jambes, lune contre lautre.
Après plus dune heure de spectacle, le dernier stripteaser, quitte la scène sous les hourras et les bis qui fusent. Les lumières de la salle se rallument. Je pense que cest fini, mais Karine, nous dit de rester assises. La voix off vient couvrir la musique et demande si le show nous a plu. Toutes les filles présentes hurlent un OUIIIII ! massif. La question suivante est logique : Voulez vous revoir les boys ? Encore une fois la réponse est Ouiiii !
Est-ce que vous en avez assez ? Noooon !
Est ce que vous en voulez encore ? Ouiiiii !
Et là, tous les chippendales entrent en scène, vétus de smokings.
Partout dans lassistance, des chippendales se font masturber ou sucer.
« Eh ! ils nous oublient ou quoi ? » sinsurge Karine. « On va leur rappeler quon est là. Faites comme moi les filles !. »
Sur ces paroles, elle glisse ses mains sous sa robe, et redescend avec son string, quelle enlève définitivement en soulevant ses escarpins.
Axelle, la regarde en rigolant.
« Bof ! maintenant quon est là. » dit elle. Ses mains remontent sa jupe jusquà atteindre sa culotte transparente, qui se retrouve aussitôt sur ses chevilles.
Je suis un peu dépassée par les évènements. Certes je mattendais à une soirée un peu canaille, mais là, je suis surprise par lattitude de mes amies, dordinaire de sages femmes au foyer, ou du moins, cest ce que je supposais. Les autres me regardent et je ne peux me dérober. A mon tour, je faufile mes mains sous ma robe en essayant de ne pas trop me dévoiler. Heureusement le tissu suit mes mains et retombe dès que mon tanga de dentelle glisse le long de mes jambes. Nous nous tournons vers Martine, la seule à ne pas avoir esquissé le moindre geste, alors que ce nest pas ment la plus prude.Elle nous regarde dun air géné
« Je nai pas de culotte » nous avoue telle. Karine sesclaffe.
« Tu avais pris les devants, ma cochonne ! » raille telle
« Non, sexcuse presque Martine, je nen porte plus depuis des années. Si javais su, bien sur
»
« Ce nest rien, lui dis-je, tu ne pouvais pas prévoir. »
Martine, passe les mains dans son dos, et dégrafe son soutien-gorge, quelle extrait avec dextérité.
« Jai ça, qui devrait faire laffaire. »
« Super !Allez les filles, projection de culottes » ordonne Karine.
Nous jetons nos sous vêtements en direction du podium. Lun des chippendales reçoit mon tanga. Il le porte à son nez et hume le tissu. Un autre a pris le string de Karine et sen est fait un bonnet. Deux, puis trois danseurs se dirigent vers nous. Martine capte le premier et lenfourne dans sa bouche aspirant fortement la chantlly. Un blond baraqué aux cheveux ras, sest arrêté devant Axelle, qui commence à déguster la crème sucrée en y trempant le doigt, mais Karine la hue, et elle finit par emboucher un membre long et fin quelle suce un moment, avant de le passer à sa voisine, qui a déjà déboutonné sa veste de tailleur, exposant ses seins maquillés que le danseur empoigne aussitôt, et malaxe sans vergogne. Elle lèche consciencieusement la hampe fièrement érigée, et vient haper les couilles avec ses lèvres. Le danseur Brun quitte Martine et pulvérisant un nouveau nuage de chantilly, vient faire osciller son mât sous mes yeux. Je commence à suçoter le gland. Je ne suis pas folle de fellation, mais je dois reconnaître quainsi décorée cette bite est plus agréable à sucer. Je lembouche et la fait coulisser jusquau fond de ma gorge, le gout sucré se mariant à merveille avec la saveur musquée de lengin. Lhomme se contente de quelques va-et vient, et sen va proposer sa marchandise à une autre.
Mon regard vient se poser sur le podium où la petite blonde est allongée sur le dos, à même le sol, les deux jambes largement écartées, pointée vers le plafond. Le grand black la ramone avec de longs mouvements, son chibre énorme distendant louverture de son sexe, le bassin balançant darrière en avant. A chaque poussée elle emet un râle rauque. Encouragé ce partenaire, accélère son intromission, ses bourses venant taper bruyamment, sur le cul de la future mariée.
« En tout cas, le rodage sera déjà fait » commente Karine.
Lassistance est maintenant tournée vers ce couple, et bat des mains, à chaque coup de boutoir, et crie.
Les autres danseurs continuent invariablement à soccuper de cette clientèle féminine. Oh, bien sur, il y a quelques jeunes filles qui se contentent de regarder en refusant toute approche, mais elles sont moquées par leurs congénères, qui huent chaque refus. En réalité, même si je ne comprends pas bien ce quelles font là, je compatis pour ces pauvres filles, fidèles, ou un peu prudes qui ne souscrivent pas à cette ambiance sexuelle débridée. Je me dis que , seule, et plus jeune, jaurais été comme elle, tant lamour était idéalisé dans ma tête. Aujourdhui, avec plus de recul, je sais que le monde tourne souvent autour du sexe, et que toutes les femmes présentes, ne font rien de pire que ce que les hommes ont pratiqué, pendant des années dans les maisons closes. On doit être même bien en deça.
La libération des murs a apporté aux femmes plus dégalité, même si cest encore insuffisant, mais également a masculinisé leurs comportements, et nous sommes souvent à la recherche dun plaisir sexuel, en mettant à part le sentiment amoureux.
Il suffit dun coup dil sur lassemblée pour se rendre compte que les temps ont changé. Les jeunes filles, qui, autrefois, étaient des rosières pudiques et réservées, attendant leur prince charmant, sont aujourdhui, autour de moi bien dévergondées. Certaines sadonnent au plaisir de la fellation. Dautres, dépoitraillées sembrassent à pleine bouche et se caressent ostensiblement, et les plus aventureuses, ont réussi à sattirer les attentions dun Chippendale, qui après les avoir partiellement dévétues, les font crier de plaisir, en levrette, ou en missionnaire, quand elles ne se font pas sodomiser. Cette bacchanale déchainée sachève dans les hurlements de la future promise qui jouit bruyamment sous les acclamations de ses consoeurs.
La musique techno est brutalement stoppée. Les lumières se tamisent, ne laissant quun projecteur qui envoie un halo de lumière sur le podium, ou lon a installé une sorte de banquette sans dossier. La Musique redémarre. « Happy birthday. » Tout le monde se lève et tape dans les mains, alors que quatre Chippendales en smoking font leur entrée, et se dirigent
vers moi ?
Mes amies sont autour de moi et Karine me crie
« Cest la spéciale anniv, ma poulette ! »
Je suis bientôt entourée par les quatre danseurs baraqués. Duex dentre eux, me tendent la main, et cest, tenue par les deux mains quils mentrainent vers le podium, et me font asseoir sur la banquette. Je fais bonne figure mais je me demande quelle est la suite..
Maintenant assise sur la moleskine, jassiste à leffeuillage des chippendales, qui, tout en dansant, se retrouvent vite, en strings. Ils commencent à tourner autour de moi tout en dansant. Chacun dentre eux faisant une halte face à moi, pour exhiber, sa musculature, ses fesses rebondies, ses pectoraux, ou ses biceps. Après quelques tours, lun deux se débarasse de son string, et me présente ses attributs, un sexe long et volumineux, soigneusement épilé, au dessus dune paire de bourses, bien rondes. Atour de rôle les autres limitent. Si jai bien compris, je dois en choisir un. Indépendamment des considérations de taille, ou de muscles, jopte pour celui qui me semble le plus doux, que je choisis en lui prenant la main. La ronde des prétendants cesse alors et mon « chevalier servant » se rapproche de moi. Il commence à me caresser par dessus ma robe. D,abord les cheveux , puis mon visage. Il descend sur mon cou et mes épaules pour atteindre ma poitrine quil empaume de ses larges mains. Il est Blond, avec une gueule dange, et ne porte rien, à part un nud papillon, et ses chaussures. Son corps est musclé sans excès,avec des abdos saillants façon tablette de chocolat. Son sexe est long et circoncis avec un gland violacé, mais il ne bande pas, attendant, sans doute que je men occupe. Comme je ne suis pas une adepte de la fellation, je saisis son membre et commence à le branler doucement. Sous mes doigt, je le sens grossir et se tendre. Je caresses ses testicules, et glisse un doigt entre ses cuisses jusquà son anus. Cette caresse semble lui faire de leffet car son organe continue à enfler et à se raidir. En continuant mon travail manuel, dans le feu de laction je lèche son gland à plusieurs reprises. Il est maintenant complètement érigé. Un sabre, courbe et fier qui se dresse vers le ciel. Ses mains glissent sur mes flancs pour atteindre mes cuisses. Il sagenouille, et son engin méchappe.Il embrasse mes cuisses en descendant jusquà mes genoux. Il les écarte et soulève ma robe pour glisser sa tête dessous. Je sens ses baiser sur lintérieur de mes cuisses, et sa tête qui remonte mobligeant à écarter les cuisses de plus en plus, jusquà ce quil atteigne mon pubis, juste orné dun minimaliste ticket de métro. Il plante son nez dedans en humant mes odeurs, puis avance le menton, sa langue venant explorer mes lèvres intimes quil lèche en les ouvrant. Il fait courir sa langue sur ma vulve et remonte pour capter mon clitoris quil aspire en le captant entre ses lèvres avant de le relacher brusquement. La chaleur dans mon ventre sintensifie, et je mouvre un peu plus à ses caresses. Heureusement, me dis-je, il masque ce qui se passe à la vue de lassemblée, même si personne ne doit douter de ce qui se produit sous le fin tissu de ma robe. Sa langue pointue écarte mes chairs et senfonce dans la chatte, avant de ressortir et de venir titiller mon anus. Un doigt, vient sinsinuer dans mon antre, et compléter la caresse bucale, puis deux, puis trois. Je gémis de bonheur sous cette introduction, à la fois douce et impérieuse, qui ne rencontre aucun obstacle, tant le passage est lubrifié. Ses deux mains, qui poussaient sur mes cuisses pour les écarter, sont maintenant libres,, et après avoir joué dans ma chatte deux doigts sont enfoncés sans ménagement dans mon petit trou du cul. Je suis léchée, sucée, branlée par mes deux orifices, et je brûle de lintérieur. Mes jambes sont relevées et passent sur les épaules de léphèbe. Je me tortille en gémissant sous sa tête. Comme cest bon ! Comme cest jouissif, et je réclame une bonne queue pour me remplir. Tant de plaisir ne serait pas parfait si une sexe dhomme ne venait pas parachever ces préliminaires torrides. Il sextrait de ma robe, et me prenant par les mains, il me relève, et vient sasseoir à la place que jai occupée, puis il mattire à lui. Je suis obligée décarter les jambes pour me rapprocher sans buter sur ses genoux. Là, il appuie sur mes épaules et me fait descendre sur son membre dressé, quil dirige dune main vers ma cavité. Je sens son gland qui appuie sur mon sexe avant dy entrer, et de faire son chemin, petit à petit, par à coups, jusquà ce que je sois totalement investie par ce morceau de chair qui, comme un tison, me brûle au fur et à mesure de son introduction. Je me laisse manipuler par mon Chippendale qui, me tenant par la taille, arrive à engouffrer son mandrin tout au fond de moi, mon entrejambe venant prendre appui sur ses couilles à chaque mouvement.
Les jambes au sol je pousse sur elles, avant de relacher mon effort pour accen les mouvements de ses reins. Ses mains font glisser les lacets de ma robe et la rirent vers le bas pour dévoiler mes seins qui sont aussitôt pris en main.
Incroyable. Me voici, nue, en train de me faire défoncer par une énorme queue devant mes meilleures amies et un florilège de jeunes filles qui pourraient être mes s. Je suis tout à la fois honteuse, et heureuse de cet accouplement bestial qui me procure un plaisir que je nai pas ressenti depuis longtemps. A chaque fois que je crois que cest fini, une nouvelle vague memporte et je jouis en criant, en hurlant mon plaisir.
Les meilleures choses ont une faim et mon Chippendale se désunit de moi . et massied se levant face à moi. Il met ma main sur son sexe bandé, et je le masturbe énergiquement jusquà ce quil envoie plusieurs salves de sperme sur mes seins et ma robe. Puis il membrasse sur les joues avant de disparaître derrière le rideau qui masque lentrée.
Je rajuste, ma robe, tant bien que mal et tente de faire disparaître les traces de ce coit.
Autour de moi, les jeunes filles applaudissent. Enfin celles qui ne sont pas occupées à copuler. Karine, à quatre pattes, la jupe de son tailleurs relevée sur ses reins reçoit les hommages dun black, fortement membré, et Martine, a sa robe relevée sur un porte jarretelle noir. Un Chippendale de type asiatique est en train de faire coulisser son sexe long dans son cul, ce quelle a lair dapprécier . Seule Axelle est restée sage parmi nous. Elle maccueille avec un sourire.
« Ne tinquiète pas, ce qui se passe ici, reste ici. »
« Quand même , jai honte de moi. »
« On a toutes un peu honte, cest un reste de notre éducation judéo-chrétienne. Mais cest si bon de se laisser aller de temps en temps. »
« Ma pauvre Axelle, je nose imaginer ce que tu penses de nous. »
« Rassure toi, jai commis bien pire. Tu verras, une bonne douche et tout ça sera juste un bon souvenir quand tu seras vieille. »
Lambiance est en train de tomber, un peu et les Chippendales font leurs adieux.
Nous sortons sans mot dire, au milieu des gamines qui, toutes excitées sinterpèlent et parlent de boite de nuit.
Il est un peu plus de minuit quand nous regagnons la voiture.
Je dépose mes amies chez elles et rejoint le domicile conjugal. Je rentre sans faire de bruit et me rends directement dans la salle de bain. Après avoir mis ma robe au linge sale, je me jette sous la douche. Un quart dheure plus tard, jen sors, remise de mes émotions, malgré une douleur persistante, sans doute due au volume de mon amant dun soir.
Dans la chambre, Fabien, mon mari bouquine. Il lève les yeux sur moi quand je viens le coucher.
« Alors cette soirée ? »
« Bof, tu sais, rien de bien nouveau, cest un peu toujours pareil. »
« Tu as soufflé les bougies ? »
« Oui aussi » dis-je en repensant à une en particulier.
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