Leçon De Choses

Après des études de sociologie, à 24 ans je trouvais ma vie insipide… Mes études ne me menaient à rien…
Du côté sentimental, malgré quelques aventures plus ou moins longues avec des mecs ou des nanas, j’étais toujours célibataire.
En cherchant un job d’été, j’ai trouvé à être embauchée un peu par hasard dans un club libertin comme barmaid. Je n’avais aucune qualification mais mon aspect physique agréable y a peut-être été pour quelque chose… mais c’était loin de la capitale. J’ai cherché et trouvé un petit studio à louer à une dizaine de kilomètres de mon lieu de travail.
Cela n’avait rien à voir avec mes études, mais les horaires décalés me convenaient tout à fait puisque mes journées commençaient à 16 heures pour se terminer à une heure ou 2 heures le dimanche matin..
En plus, si un mec ou une nana étaient esseulée et si je lui convenais, je m’offrais une partie de jambes en l’air à la fin du service en l’emmenant chez moi…


J’ai toujours eu beaucoup de succès… Je suis une femme libérée (comme dit la chanson, déjà ancienne), de plus en plus libérée si on peut dire.
J’ai presque tout expérimenté depuis mes 18 ans… C’est un peu tard à l’époque actuelle mais c’est ainsi…
J’ai été dépucelée par un copain quand nous avons fêté la réussite au bac… J’étais un peu partie et je n’en ai pas conservé un souvenir impérissable.
Au cours de l’été qui a suivi, je suis passée de bras en bras, d’homme en fille, de fille en homme… Je n’avais pas d’exclusive !
Je baisais presque tous les weekends… J’étais devenue une bonne suceuse, je me faisais défoncer de toutes les manières, parfois avec plusieurs partenaires en double dans ma chatte et dans mon cul ou simplement à deux dans ma bouche. Puis au cours de mes études j’ai fréquenté les boites de nuit et les clubs échangiste où j’étais « en chasse » !
Je me laissais draguer quand ce n’était pas moi qui jetais mon dévolu sur un mec qui me plaisait.

En club, je passais d’un homme à un autre, ou encore un couple pour une partie à trois…


J’ai des origines méridionales, brune aux cheveux longs cascadant sur mes épaules, j’ai un visage ovale illuminé par des grands yeux marron, et, vous l’avez compris, j’ai une bouche large aux lèvres ourlées toujours fardées d’un rouge « sanglant ».
Si je ne suis pas très grande, du côté de mes formes, j’ai été gâtée par la nature… Ma poitrine… il me faut de 95 D et mes seins ronds tiennent bien droit… J’en ai toujours pris soin suivant ainsi les conseils de ma mère qui, elle aussi, était dotée de la même paire de seins. Ma taille est en rapport avec ma poitrine et mes hanches, qui elles aussi, sont plutôt généreuses.
Suivant les époques, j’ai le pubis intégralement rasé et je ne conserve qu’un petit rectangle de poils drus mais très courts.

Mon boulot me plait beaucoup.
Les lieux sont aménagés avec beaucoup de goût et servent aussi bien l’été quand il fait très chaud qu’à la mauvaise saison quand le Mistral déboule dans la vallée du Rhône.
L’établissement est situé au milieu des vignes, à l’écart de tout voisinage. Il y a tout ce qu’il faut entre la piscine, le sauna, les jacuzzis, les coins « câlins », un bar extérieur, une salle de restaurant et quelques chambres pour ceux qui veulent s’isoler et finir la nuit.
En bavardant avec les autres membres du personnel, j’ai appris que tous les ans, les patrons apportaient de modifications ou des améliorations.
Après les deux mois d’été, je suis restée, le CDD ayant été transformé en CDI !

Mais ce n’est pas de mon emploi dont je veux vous parler.
C’est de ma petite sœur Samantha ! Si elle a un corps de femme, par certains côtés, c’est encore une gamine qui a encore beaucoup à apprendre des relations avec les hommes… Je sais qu’elle a une relation lesbienne avec une fille de sa classe de terminale mais elle hésite encore à passer dans les bras d’un homme.


Nous sommes très libres et lorsqu’elle est venue se confier à moi lors d’un jour de repos, je n’ai pas pu m’empêcher de la sermonner un peu ! Passés 18 ans, il était temps qu’elle connaisse L’HOMME !
• Mais j’ai peur ! Ma copine m’a dépucelée avec un gode ceinture…
• Et alors… Tu ne serais pas la première ! Sais-tu au moins sucer une bite ?
• NON… çà se fait ?
• Mais bien sur… Si tu ne veux pas coucher, c’est la solution pour soulager le mec !
• T’as raison… mais je manque d’expérience !
• Tu apprendras vite !
• Et toi… comment as-tu fait ?
• Banalement… Le premier mec que j’ai sucé m’a enfoncé sa bite dans la bouche au moment où je ne m’y attendais pas… et j’ai trouvé çà fun !
• Malgré la surprise ?
• Oui… mais je ne l’ai pas sucé jusqu’au bout… quand il a été à point, j’ai masturbé sa bite et il a giclé sur mes seins ! D’ailleurs, il voulait terminer entre mais il n’a pas eu le temps !
• J’aimerais savoir sucer…
• Ce n’est pas difficile… Es-tu prête pour une démonstration ?
• Comment ? Ne me dis pas que tu vas faire venir un mec et que tu vas le sucer devant moi !
• Mais non, j’ai un gode à ventouse, je vais le fixer sur un mur et je vais te montrer comment on fait !
Deux minutes plus tard, le gode était fixé sur le plateau de la table de salon, j’étais nue et j’invitai ma petite sœur à en faire autant et de me regarder faire.

Tout d’abord, j’embrassai le bout factice… le gland était bien reproduit et se détachait bien de la hampe. Je l’ai léché, embrassé… j’ai fait aller et venir ma langue autour, montrant à ma sœur le frein sur lequel je m’attardais… puis lentement j’ai fait enter le gode dans ma bouche pour l’humecter de salive… Quand ma bave a été suffisamment abondante, j’ai fait aller et venir ma bouche sur ce sexe factice comme je l’aurais fait avec un vrai… D’une main, je masturbais les couilles souples…
• Voila déjà un aperçu d’un début de pipe… Tu peux alterner des succions profondes et des léchouilles sur le bout et la tige… Si le mec est bien chaud, avec un tel traitement, tu devras faire attention… Il pourra décharger dans ta bouche ou, si tu ne veux pas, tu pourras le faire cracher sur ta poitrine.

• Quel goût çà a le sperme ?
• C’est assez fade… mais on s’habitue vite… D’ailleurs tu verras… tu as la même poitrine que moi et les mecs voudront le plus souvent finir entre tes seins ! C’est ce qu’on appelle une « branlette espagnole » ou encore une « cravate de notaire ».
• C’est bon quand ou est à poil…si je taille une plume vite fait, je crois qu’il est préférable de faire gicler dans le vide ou d’avaler.
• Les mecs aiment bien marquer leur domination en crachant leur foutre dans notre bouche ou sur nos seins… Ils prennent leur pied à nous « salir » comme ils disent… mais quand çà plait comme à moi, ils peuvent aller se rhabiller !
Tout en parlant, je continuais à cajoler d’une main ce sexe factice sous les yeux admiratifs de ma petite sœur !
• Je veux essayer… Cède-moi la place et tu me guideras !
• OK… Tu as vu que je me sers aussi de mes mains… Si tu tombes sur un mec avec une bite de compét’, la solution pour qu’il ne te défonce pas la bouche, c’est de mettre une main autour de la hampe… comme cela, tu limites la pénétration buccale. Pour faire une « gorge profonde », il faut déjà avoir une certaine expérience !
• T’en as déjà fait ?
• J’ai tenté mais je n’y arrive pas… dès que je sens le gland tenter de passer ma luette, je le recrache ! Mais je te l’ai déjà dit, c’est ma poitrine qui fait fantasmer les mecs !
J’ai cédé la place à Sam… qui ne se débrouillait pas si mal en fait.
Je la guidais dans cette découverte et je dois avouer que j’avais la chatte en folie de la voir sucer ainsi un sexe factice pour la première fois de sa vie. Soudain Sam s’est écrié :
• Mais je coule comme une fontaine ! J’ai la chatte tout humide !
• Mais ma belle, c’est normal… Tu es excitée par la situation.
• Oui, mais c’est un gode !
• Et alors, tu ne veux pas que je t’amène un mec pour que tu les suces !
• Pourquoi pas !
• On verra ! Pour l’instant, on va dormir… Tu sais que demain on se lève de bonne heure pour te reconduire à la gare.

• Oui… hélas, je serais bien restée… Je suis certaine que tu as encore plein de choses à m’apprendre.




Nous sommes à la mi-septembre… J’ai invité ma sœur pour le weekend et j’ai l’intention de lui faire la surprise de l’emmener sur mon lieu de travail.


• Tu verras, si tu veux sucer des bites sans voir le mec, il y a ce qu’il faut pour t’habi !
• C’est quoi ?
• Un mur avec des « glory holes ». C’est une cloison avec des orifices dans lesquels les mecs présentent leur bite à sucer…
• Waouh… c’est génial…
• Alors, je te montre le chemin !
C’est ainsi que j’ai installé ma petite sœur devant une première bite et je suis retournée au bar.
J’ai entendu quelques réflexions de mecs que ma sœur avait sucés… Elle semblait bien se débrouiller.

La leçon de chose avait porté ses fruits !

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