« Josy » : Une Histoire De Petite Culotte. Épisode 3
Au mois de juin 68, les cours ayant repris, même si le docteur André, sous linfluence de ma mère, me laissa un peu plus de liberté, je navais que très peu de temps libre. Avec Simon, nous nous étions donnés rendez-vous le samedi après-midi, au fond du parc municipal, loin des regards indiscrets. Ce jour-là, étant en avance, javais déjà étendu la couverture sur le sol et jattendais avec impatience la venue de mon petit copain. Quelle déception lorsque je le vis arriver avec un autre garçon, je pensais ne pas prendre mon pied alors que jétais bien venue pour ça.
En fait, Simon navait pas su tenir sa langue et avait tout dévoilé sur notre relation à Patrice, son grand frère qui revenait du service militaire. Ils avaient amené de la bière, nous avions trinqué à sa libération et je métais aperçu que ce garçon de 22 ans, me plaisait beaucoup. Cela faisait vingt minutes que Simon, son bras autour de mes épaules me roulait des pelles entre chaque gorgée de bibine que je commençais à être impatiente, de me retrouver seule avec lui. Soudain, il me dit à loreille : « Tu veux bien me tailler une pipe, Patrice aimerait te regarder faire. »
Je sursautai, mon regard allait de lun à lautre, je me demandais bien ce quils avaient pu manigancer. Bien entendu, jaimais faire des fellations mais cette demande était tout de même particulière. Me voyant hésitante mais pas très offusquée, Patrice sassis contre moi à lopposé de Simon et passa, lui aussi son bras autour de moi : « Tu sais, personne ne le saura, tu me plais beaucoup. » Me dit-il avant de membrasser sur la bouche. Les deux frères avaient dû se donner le mot. Ils prirent chacun une de mes mains et les posèrent sur leur sexe.
La raison me disait de me sauver, mais mon ventre le contraire, jétais très excité par lidée de sucer deux bites en même temps. Cinq minutes plus tard, ils étaient tous les deux allongés, le pantalon sur les chevilles et la verge à la verticale que jembrassais, léchais, suçais à tour de rôle, tout en continuant avec les mains de les branler.
Je navais pas encore fini de tout avaler que Patrice tirait sur ma tête afin que je le prenne en bouche. Après quelques petits sucions, lui aussi gicla au fond de mon gosier. Cette situation mavait fait mouiller, javais la culotte trempée. Toutefois, je ne savais pas comment gérer la suite, allaient-ils me baiser tous les deux, si cétait ce quils désiraient, je me voyais mal leur refuser maintenant. Néanmoins, lorsque Simon qui se rhabillait nous dit : « Jy vais, mon père mattend au magasin », je ne savais plus quoi faire.
Devais-je rentrer aussi ? Alors que je serais bien restée un moment. Patrice me plaisait beaucoup plus que son frère mais je ne voulais pas lui montrer. Simon allait repartir, je mapprêtais à le suivre quand Patrice me souffla à loreille : « Je ne suis pas pressé Josiane, tu peux rester avec moi. » Toujours assis, tenant son sexe dans la main, de lautre il mattrapa le bras et me demanda de rester. Il navait pas eu besoin dinsister beaucoup, très vite je métais retrouvée allongée à côté de lui, la poitrine nue sortant de mon corsage et ma culotte sur le sol.
Patrice avait la tête entre mes cuisses me léchant le minou, lorsque nous avions entendu du bruit. Pensant que Simon revenait, je ne métais pas inquiétée, jétais au bord de lexplosion. Soudain Patrice stoppa net son cunnilingus, il se releva en hâte en remontant son pantalon et me criant : « Cest le garde champêtre, sauve-toi Josiane. Retrouve-moi au cabanon » En effet, en me tournant, je vis la tête de Gaston à travers le buisson, cela devait faire un bon moment quil nous observait.
Patrice le salaud, était déjà devant, je neus que le temps de remettre de lordre dans mon corsage, de prendre la couverture et de courir.
Non, je ne pouvais pas rentrer sans ma petite culotte. Après mûres réflexions, je me décidai de faire demi-tour pour la demander au garde-champêtre. Gaston était un vieux garçon, toujours célibataire à 48 ans, laid comme un pou, on ne lui connaissait pas de petite amie. Comme sorties et distraction, il se disait dans le village quil allait en ville, voir les putes le samedi soir. Essoufflée, jarrivai devant lui et tendant la main, je lui demandai mon sous-vêtement intime :
Tu ne serais pas la fille de la boniche du doc ? me lança-t-il ?
Si Monsieur mais sil vous plait donnez-moi ma culotte.
Je tai vu tout à lheure, aussi salope que la Colette à ce que je vois. Tu la veux vraiment ? Me demanda-t-il en la tenant du bout du bras avec un grand sourire.
Je nosais pas y penser, mais je pensais bien quil allait me demander quelque chose et je ne savais vraiment pas si jallais accepter. En effet, ce fut le cas, ne répondant pas, il continua : « Et moi, ça te dirait de me faire une petite gâterie ? » Je ne le connaissais pas suffisamment cet homme, je ne savais pas comment allait-il réagir à ma requête. Néanmoins jessayai de bluffer : « Vous navez pas le droit de me demander ça, je vais le dire au docteur. » À mes mots, Gaston éclata de rire puis me dit fermement en débouclant sa ceinture :
Daccord dis-lui au doc. Maintenant tu me suces si tu veux ta culotte toute puante.
Sil vous plait Monsieur Gaston, donnez-la-moi, je vais vraiment me faire gronder.
Que dirais le docteur si je lui disais ce que tu étais en train de faire avec les fils du boucher ?
Cétait bien ce que je pensais, il devait être là depuis un moment et avait tout vu.
Appuyé le dos contre un tronc darbre, Gaston me sourit lorsque je lui dis : « Daccord mais vous ne dites rien. » Je déposai la couverture pliée en quatre sur le sol, me mis à genoux et la tête entre ses jambes poilues, je mactivais, sa queue entre mes lèvres. Nétant pas très longue, javalais facilement cette verge entièrement, je ne pensais plus à qui elle appartenait. Me maintenant la tête entre ses mains, il râlait à chaque fois que son gland cognait au fond de mon gosier.
Il navait pas fallu très longtemps avant que je ressente son sperme sécouler par jets à lintérieur de ma bouche, javalai tout sans rechigner, messuyai les lèvres avec mon avant-bras avant de me relever, pendant quil se rhabillait en me disant : « Merci, tu es une bonne suceuse » Impatiente de partir, jattendais quil me redonne mon bien mais celui-ci lavait déjà enfui dans la poche intérieure de sa veste : « Bon ! Maintenant, donnez-moi ma culotte, je suis en retard. » Il éclata une nouvelle fois de rire avant de répondre :
Non ! Ce soir jen ai besoin pour me branler. Tu viendras demain après-midi chez-moi, je te jure que je te la rendrai.
En le voyant déjà repartir par où il était venu, je savais bien quil ne me la redonnerait pas. Cependant, je nétais pas encore certaine quil se taise : « Ok, je viendrai vers 15 heures, mais ne dites rien. » « Promis » Me répondit-il avant de disparaitre. Mon problème nétait toutefois pas résolu, je devais récupérer une petite culotte avant de rentrer chez-moi.
Je me devais dêtre maline, je savais très bien quil ne voulait que me baiser. Je ne voulais pas lui céder avant quil me rende un petit service. Je lui expliquai mon aventure avec Gaston, sans lui dire que je lavais sucé : « Il faut que tailles me chercher une petite culotte. Pas une de ta mère, elle serait bien trop grande, mais une de ta petite sur. Je te jure que je ferai ce que tu voudras après. Fais vite car il ne me reste pas longtemps, je devrai rentrer rapidement. »
Lorsque je vis Patrice revenir avec ce que je lui avais demandé, jétais folle de joie. Je lui avais sauté au cou et en lembrassant à pleine bouche, je lui avais enlevé sa chemise. Je me couchai à ma place, sur les sacs de ciment en écartant les cuisses je lui dis : « Mange-moi le minou. Vite ! » Là encore, javais joui très vite et lui aussi fut surpris de mon éjaculation. Il baissa son pantalon à la hâte, il était prêt, sa bite semblait vouloir exploser tellement il bandait.
Pendant dix minutes, il me ramonait comme un fou, jétais en extase. Je lencourageais à aller plus loin et plus fort. Soudain, il se retira et me plaça à quatre pattes, pour me prendre en levrette, je continuais à gémir de plus en plus. Sentant quil nallait plus tenir très longtemps, je le rassurai : « Vas-y ! Je prends la pilule. » Il me lima encore puissamment quelques minutes avant que jatteigne un nouvel orgasme lorsquil déchargea tout dans ma chatte.
Nous étions si bien ensemble, que nous étions restés un moment à nous embrasser. Je me demandais si je nallais pas tomber amoureuse de Patrice. Quant à lui, je nétais pas la femme de sa vie et me dit quil aimait Nicole et quils allaient se marier lannée suivante. ment jétais déçue lorsque je dus rentrer à la maison, cependant cette petite baise semblait lui avoir bien plu, il nétait donc pas exclu que nous renouvellerions cette expérience, jen étais bien décidée.
En pénétrant dans le salon où André se trouvait dans son fauteuil, jappréhendais un peu de me faire disputer car javais un quart dheure de retard. Pour me faire pardonner, je me fis toute câline et vins lui faire une grosse bise en lui souhaitant bonne soirée. Ma mère se trouvant dans la cuisine, celui-ci en profita pour glisser sa main sous ma jupe et me caressa les fesses délicatement : « Alors ma puce, tu as passé un bon après-midi ? » Javais vu juste, heureusement que Patrice était là pour me sauver la mise.
Tout en conservant sa main sous la jupe, un de ses doigt glissa sous ma petite culotte et vint me titiller lanus. Je trémoussais, me serrant un peu plus contre lui. Il enleva sa main, mattira vers lui puis après mavoir fait une petite bise discrète sur mes lèvres, il poursuivit : « Ta mère est de sortie ce soir. » Javais tout de suite compris ce quil attendait de moi, je lui tendis mes lèvres pour un petit baiser avant de remonter dans ma chambre afin de me changer en cachant au fond dun tiroir la petite culotte de Danièle.
En effet depuis quelques jours ma mère, quelque peu délaissée par les deux docteurs qui manifestement me préféraient à elle, avait trouvé un nouveau Jules au village. Jétais très heureuse autant pour elle que pour moi, non seulement je ne métais pas fait disputer mais je pouvais enfin rejouer mon rôle de petite salope auprès du docteur qui appréciait de plus en plus ma bouche mais voulait surtout me sodomiser, il adorait mon petit cul quil ne ménageait guère.
Ce soir-là, André fut très performant, après mavoir éjaculé dans le fond de mon gosier et après mavoir fait jouir de nombreuses fois avec ses doigts et sa langue, il eut encore suffisamment de force pour prendre ma petite chatte avant de me retourner pour une sodomie infernale. Il allait et venait sans ménagement dans mon rectum en me disant : « Oh Oui Josiane, tu es ma petite salope, jaime trop tenculer. » Puis dans un énorme râle, il menvoya la sauce qui dégoulinait dans mon conduit anal pendant que je jouissais une nouvelle fois.
Cette nuit-là épuisée, javais très bien dormi, cependant au réveil je minquiétais encore. Je devais récupérer ma petite culotte et pour ça, je devais aller chez le garde-champêtre. Je ne voyais pas dautre solution, dautant plus que lorsque nous étions sortis de léglise avec André et maman, Gaston sortit du bistrot et vint saluer le docteur. Javais une trouille bleue quil dise quelque chose, mais ce ne fut pas le cas. Je compris dans son regard quil voulait tout simplement me faire comprendre quil ne fallait pas que joublie notre rendez-vous.
Heureusement, le garde champêtre résidait une petite maison à la sortie du village, juste derrière le parc. Je my étais rendu discrètement en passant par le jardin ds. À quinze heures tapantes, je me présentai à sa porte, Gaston devait probablement mattendre car il mouvrit avant que je sonne. Il était tout propre et bien habillé, cela lui changeait de son uniforme quil semblait ne jamais quitter de la semaine. Pour ma part, jétais venue sans sous-vêtement sous ma petite robe afin quil ne me les confisque pas.
Cet homme était complètement différent sans son képi, ses cheveux poivre-et-sel étaient propres, bien coiffés et sa grosse moustache comme Georges Brassens, lui allait très bien. Il minvita à la cuisine et moffrit un soda pendant quil se servait une goutte quil faisait lui-même. Je savais ce que jétais venue faire chez lui, je devais absolument récupérer mon bien, tout en sachant que je devais certainement, en contrepartie lui faire une nouvelle pipe. Après avoir bu une lampée, je métais lancée :
Monsieur Gaston, vous devez me rendre ma petite culotte.
Si tu es une gentille fille, je te la donne. Répondit-il en la sortant de sa poche pour la poser sur la table.
Je suppose que vous désirez que je vous suce, cest ça ?
Oui bien sûr, cest un minimum mais pourquoi pas un peu plus.
Il se leva et vint dans mon dos. Il passa ses bras au-dessus de mes épaules et ses mains posèrent sur mes deux seins quil malaxa doucement. Il baissa sa tête et membrassa dans le cou en me disant : « Tas vraiment de beaux nibards ma jolie. » Son bisou et ses caresses me firent frissonner, mes tétons pointaient, ma chatte commençait à mouiller, je me moquais de qui me pelotais, je fermais les yeux en soupirant :
Allez, nattendons pas, suce-moi.
Ces propos me sortirent un peu de ma léthargie, il défit son pantalon et baissa son slip, Gaston bandait fortement déjà lorsquil me présenta son pénis devant mon visage. Bien décidée à récupérer ma petite culotte, jétais prête à tout. Je me mis à le pomper et à le branler mais au moment où je pensais quil allait me gicler dans la bouche, il se retira, me releva et dun geste prompt me coucha sur la table en me tirant larrière train vers lui.
Le garde champêtre ny était pas allé avec des pincettes, il me pénétra la chatte brutalement. Heureusement, étant bien mouillée et vu la modeste taille de sa queue, elle glissa toute seule dans mon vagin dilaté. Il sactivait comme un damné derrière moi en me cramponnant les hanches. Il me secouait, ses couilles me frappaient le derrière à chaque coup de rein. Cela alla très vite, je sus que je ne jouirai pas avec lui quand je lentendis râler plus fort. Quelques secondes plus tard, il sortit sa bite et marrosa le bas du dos en disant : « Tu seras la même salope que la Colette. »
Vous avez déjà baisé ma mère ?
Non ! Malheureusement mais je lai vu avec le Marius et ses copains dans le bistrot, un soir de cuite.
Gaston avait tenu enfin sa promesse, il me rendit ma petite culotte en me menaçant toutefois : « Attention Josiane, je pourrais toujours dire au docteur ce que tu as fait aux fils du boucher. » Je lui avais menti en lui promettant de revenir de temps en temps, lui faire une petite gâterie. Il nétait pas dupe, il se doutait bien que javais également des choses à dire sur son comportement de voyeur. Depuis ce jour, le garde-champêtre fut très gentil avec moi et ne mavais jamais plus importunée.
Dans la foulée, jétais retournée rendre une petite visite à Patrice, lui rendre la petite culotte de sa sur Danièle mais pas que
La suite de lhistoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Josiane, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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