La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1166)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) (suite de l'épisode précédent N°1165)
Laurent est avec Monsieur Le Marquis, ils terminent la soirée dans le salon privé avec quelques esclaves à leur service, lorsquil reçoit ce message, il regarde la photo un peu inquiet...
- Commandant, une mauvaise nouvelle ? sinquiète Le Noble voyant le visage de son ami.
- Rien de grave mais
un de Vos chiens a abîmé une de Vos soumises.
- Comment ça ?
- Lisez plutôt, dit-il en lui tendant le téléphone.
Monsieur Le Marquis prend connaissance du message, son visage change, il semble soudainement en colère. Il prend son téléphone dans sa poche et appelle immédiatement Vanessa. La jeune femme est dans la remise à désinfecter lambulance lorsquelle voit le numéro du Maître safficher, elle se met en retrait pour Lui répondre.
- Bonsoir Maître.
- soumise, comment vas-tu ?
- Rien de grave, merci de Vous en soucier, jai mis de la glace, dans 4-5 jours il ny aura plus de marques.
- Bien, dès que tu le peux, je veux un mail faisant le rapport complet de ce qui sest passé. En attendant je veux son nom.
- Un certain Thomas, je nai pas réussi à avoir son nom de famille, il navait pas de papiers sur lui, mais il est au poste de Police de la ville si vous voulez le récupérer.
- Bien, je vais moccuper de son cas.
Quelques heures plus tard Le Noble et Le Commandant arrivent au commissariat. Dégrisé, lhomme a repris ses esprits et ayant bien conscience de son erreur, de son attitude sous lemprise de lalcool, quil braille dans tout le commissariat, demandant à parler au pompier quil a frappé.
- Je vous en supplie, je dois lui parler, je dois lui présenter mes excuses, faites-la venir, je vous en prie, répète-t-il sans cesse.
Lofficier de garde reconnaît Laurent et vient rapidement à sa rencontre.
- Laurent, bonjour tu viens pour déposer la plainte.
- Non, le service ne déposera pas plainte pour cette fois.
- Tu es certain ?
- Oui, je te présente Monsieur Le Marquis dEvans, lhomme en question est un de ses employés.
- Monsieur Le Marquis, je ne vous avais pas reconnu, je vous prie de bien vouloir mexcuser.
- Aucun souci commissaire, sourit Le Noble.
- Pourrais-tu nous faire la faveur de supprimer les rapports de tout ce qui concerne cet homme, et nous laisser le ramener chez lui ?
- Tu me demandes deffacer toute trace de ce qui sest passé ce soir, cest ta compagne tout de même qui a été agressée. Tu es certain de ton choix.
- Monsieur Le Marquis est un ami de notre couple, et Vanessa est daccord. De plus, Monsieur Le Marquis est un ami personnel de Monsieur le Préfet
Alors tu peux Lui faire confiance
- Entendu, je me charge de ça immédiatement.
Le commissaire fait signe à un de ses hommes qui part chercher lhomme en question pour le ramener dans son bureau, il le sort de sa cellule et le mène dans le bureau du commissaire. En passant la porte, il continue dimplorer.
- Je vous en supplie, je veux juste lui parler, je dois absolument lui présenter mes excuses avant que
- Avant que je ne sois mis au courant, coupe la voix sans appel du Noble quil reconnaît immédiatement.
Tétanisé, lhomme se fige instantanément, si Le Maître a pris la peine de se déplacer en personne, ce nest pas une bonne chose pour lui.
- Maî
Monsieur, je suis désolé, je ne savais plus ce que je faisais, je
- Suffit, nous en reparlerons le moment venu.
Lhomme fait silence, restant debout face au bureau du commissaire à quelques pas du Noble dont il redoute la sanction à venir.
- Bien, Monsieur, je tiens à vous faire savoir que ce qui sest passé ce soir na jamais eu lieu, ce nest pas tous les jours que des personnes influentes viennent plaider la cause dun homme alcoolisé, jespère que vous avez conscience de votre chance qui a pour conséquence quaucune poursuites judiciaires naura lieu, et je souhaite ne jamais vous revoir pour de tels faits, ponctue le commissaire.
- Monsieur je vous remercie pour votre faveur, nous allons vous laisser et je ne manquerai pas parler, en de très bons termes, de vous, au Préfet, Monsieur le commissaire, annonce Monsieur Le Marquis.
- Je
Je vous en remercie
Lhonneur était pour moi Monsieur le Marquis.
Dun signe de la main Le Noble fait comprendre à son esclave quil doit le suivre debout, ils sortent donc rejoindre la Rolls conduite par Walter qui patiente sur le parking. A peine la porte de la voiture refermée, Le Noble pousse son esclave à Ses pieds.
- Retire-moi ces vêtements, immédiatement, dit-il dun ton particulièrement fâché
Lhomme sexécute sans tarder puis patiente, nu, les mains dans le dos, la tête baissée, tremblant de ce qui lattend.
- Donc que je fasse le point : Tu exhibes MA marque devant un public non-averti, heureusement que Ma soumise a eu la promptitude de la cacher avant que quelquun ne soit plus curieux
- Maître, je
- Suffit, dit-Il en le giflant, il me semble que tu as suffisamment pris la parole pour ce soir, tu parleras lorsque JE te le permettrais. Donc, tu manques de respect à mon ami ici présent, tu insultes une de Mes soumises dans le cadre de son travail, comme si ce nétait pas suffisant tu lagresses physiquement. Je taurai bien laissé ici, mais je pense que Mes cachots seront plus appropriés, pour te faire expier tes fautes, que le confort des cellules du commissariat.
La voiture arrive devant le perron du Château, Walter ouvre la porte, Le Noble et Le Commandant en sorte.
- Walter, je te laisse prendre les premières dispositions, et me tenir informé en cas de tout nouvel écart de conduite le concernant, annonce dune voix forte le Châtelain.
- Bien Monsieur le Marquis, il sera fait selon vos désirs.
Le Majordome reprend le volant vers le Chenil du Château, pour soccuper de cet esclave, il se gare devant le Chenil et ouvre la porte de la Rolls.
- Allez chien, sors de là, intime-t-il dune voix autoritaire.
Le soumis sort sans tarder et se place aux pieds du Majordome en position dattente. Walter lui passe une corde autour du cou et le traîne à sa suite. Il sarrête devant une cage. Il décroche la cravache de sa ceinture et commence à frapper le fessier du fautif en cadence, sa main est forte, bien plus quà son habitude, il appuie chaque coup, lhomme comprend quil a vraiment fâché Le Maître en touchant à Vanessa. Une fois le fessier zébré plus que de raison, il stoppe.
- Le Maître a estimé que tu ne mérites pas Son collier, il te faudra donc attendre longuement pour le sentir de nouveau autour de ton cou. Si toutefois il te garde son Sous joug, car tu tes attaqué à une des favorites du Domaine, cest une faute impardonnable.
Sans dire un mot de plus, il le pousse du pied dans la cage et referme la porte, laissant lhomme seul, perdu dans ses pensées, regrettant amèrement ses actes, cherchant comment se rattr aux yeux du Maître
Le lendemain matin, Vanessa retrouve Laurent en rentrant chez elle, il lattend avec un petit-déjeuner copieux quil lui a préparé. Il regarde son visage inquiet, caresse sa joue, tout en lembrassant amoureusement.
- Promets-moi à lavenir dêtre plus prudente.
- Cest entièrement ma faute, habituellement je prends mes distances, jétais persuadée que lui rappeler quil pouvait risquer des sanctions suffirait à le calmer, jai fait une erreur de jugement.
- Le principal est que ce ne soit pas trop grave.
- Comment va-t-il ?
- Qui ?
- Le soumis qui ma frappé.
Laurent sourit, décidemment Vanessa a vraiment beaucoup de cur, elle devrait sen moquer, voir espérer quil soit dans la tourmente, au lieu de cela elle sinquiète de son sort.
- Il est au Chenil du Château entre les mains de Walter. Mais ne tinquiètes donc pas de son sort, il doit assumer ses actes, il connaît les règles depuis bien plus longtemps que toi.
Il la prend par la main et la mène vers la table du déjeuner. Après sêtre restauré, la jeune femme part dans le garage soccuper de lentretien de sa voiture, alors que Laurent sinstalle à son ordinateur. Alors quelle est coulée sous la voiture à faire la vidange, Laurent vient la déranger.
- Chérie, tu peux venir, on a de la visite.
- Zut, il faudrait que les gens préviennent avant de débarquer, tu nas quà les faire attendre, dit la jeune femme visiblement très occupée.
- Il y a des visites quon ne fait pas attendre, mon cur.
Elle jette un il en direction de Laurent, et reconnaît immédiatement les chaussures qui sont à côté. Vanessa sort en catastrophe, avant de sagenouiller devant Le Noble qui samuse de la voir ainsi
(A suivre
)
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