Ivresse Et Tentation
Après les aventures avec ma première belle sur, voici ce qui s'est passé avec la deuxième.
Il s'agit en fait de la demi sur de ma femme, son père s'étant remarié. Je l'avais connu toute gamine, au début où j'avais rencontré ma femme.
On ne voyait pas son père très souvent et donc elle non plus. Je ne l'ai pas vu se transformer en jolie jeune femme, je n'ai donc pas fantasmé sur elle comme pour sa demi sur. De plus, elle était un peu naïve et un peu pouf sur les bords en même temps, ce qui n'arrangeait rien. Mais dernièrement, elle et ma femme ont renoué les liens, ce qui m'a amener à la voir plus souvent. C'est ainsi qu'elle vint passer une petite semaine de vacance à la maison.
J'étais comme un coq dans sa basse-court avec mes deux femmes, ou plutôt j'aurais aimé. Voir cette gamine de vingt ans au corps de mannequin chez moi me donnait envie mais il n'était clairement pas possible de tenter quoi que ce soit. Ma femme avait perçu mon attirance pour sa sur et me le fit remarquer avec humour, une fois au lit. Devant ma gène et mes aveux, elle me gronda comme avec un mais me proposa de faire tout ce que je voulais pour me calmer. C'était devenu une vraie petite chienne en chaleurs au lit. Les deux premières nuits, elle se prépara pour moi une fois que sa sur avait rejoint sa chambre. Nuisette ultra sexy, string minuscule et porte jarretelle avec ses bas, la totale. Et surtout, le plug anal que le je lui avais offert, planté dans le cul. Elle savait me rendre fou et quand elle était habillé comme ça, c'est elle qui lançait les hostilités. Elle prenait un malin plaisir à jouer son rôle et me colla sa chatte sur le visage pour que je la lui "bouffe". Ces deux soirées se sont déroulées à peu près de la même manière. Après lui avoir rempli une fois la bouche de sperme, elle me fit tout de suite rebander à cause de son comportement de salope. Je la baisai à fond dans la foulée pour finir par remplacer son plug anal par ma queue.
Ces deux soirs là, nous avons baiser jusqu'à nous mettre en sueur.
La soirée suivante ne s'annonça pas de la même façon. Nous avons fêté l'anniversaire de sa sur. L'alcool coula à flot et j'en fut le premier surpris.
Je ne pensais pas qu'on allait picoler comme ça avec sa petite sur. Il y avait un écart de génération et on était pas dans le même "délire" mais curieusement, ce soir là, tout le monde était raccord. On parla de tout, on joua à plein de jeux de société tout en regardant des trucs débile à la TV, et sans s'en rendre compte on sombra tous de sommeil sur le canapé, complètement bourré. Je me réveillai le premier vers 4h du matin. Je tenais quand même mieux l'alcool que les filles et j'étais valide. Je réveillai doucement ma femme pour l'accompagner dans notre chambre. De son coté, c'était pas la même chose. Elle titubait et je du l'a soutenir pour monter les escalier avec bien du mal. Elle s'affala sur le lit avec la ferme intention de dormir toute habillée. Je lui retirai quand même son pantalon pour qu'elle soit plus à l'aise. Une fois en petite culotte, je la plaçai sur le dos sous la couette, à sa place. Je décidai de lui retirer sa culotte, c'était plus fort que moi. Elle était complètement endormie et je la regardai un instant, les jambes écartées. J'avais envie de lui faire une blague alors je pris quelque photos d'elle pour lui envoyer sur son portable. Après tout, on s'envoyait parfois des photos coquines, elle n'allait pas mal le prendre. Et puis celle avec sa culotte sur sa tête devrait bien la faire rire !
Je fini par une petite léchouille et je la laissai tranquille.
Il fallait maintenant que je couche ma belle sur. En descendant les escaliers, j'étais partagé entre la raison et l'envie...
J'avais envie de profiter d'elle mais c'était carrément immoral. Sa sur s'était laissée faire à la piscine, là ce serait pas la même chose.
Je la regardai dormir quelques secondes et décidai de la réveiller pour qu'elle gagne sa chambre.
Le canapé était tout neuf ! Je n'avais pas ment envie qu'elle vomisse dessus !
Elle ne l'entendit pas de la même oreille. Elle n'était visiblement pas motivé pour monter les escaliers. Je lui demandai si je pouvais la porter et elle me sorti un "mmmmmm" en guise de réponse. Je la pris donc dans mes bras comme un jeune marié qui porte sa femme jusqu'à la chambre. A ce moment là, j'avais décidé de ne pas aller plus loin, je ne voulais pas lui faire ça.
Arrivé au milieu des escaliers, ma belle sur commença à se tortiller et montrer un peu de douleur sur son visage. Non ! Pas ça ! Je connaissais bien cette tête là, c'était celle des gens qui allait vomir. Je fis immédiatement marche arrière, préférant salir le carrelage plutôt que les escaliers en bois !! Laure se mit à vomir sur elle avant que j'arrive à la salle de bain pour la mettre au dessus des toilettes... Je fut obliger de lui redresser la tête pour ne pas qu'elle s'étouffe dans son vomi. Je la serrai contre moi pour faire une cuvette avec son corps et je réussi à ne pas en mettre une goûte par terre ! Évidemment, la scène ne se déroula pas sans que je fasse quelques commentaires, dégoutté et en colère à la fois. Ça avait réveillé ma belle sur et elle se mit à s'excuser avec une voie bien vaseuse. Elle était clairement encore bien bourrée... Je lui expliquai que j'allais la mettre dans la baignoire et qu'elle devait se laver. Elle ne comprenait rien à ce que je lui disais et elle se contenter de s'excuser en boucle. Je montai dans la baignoire en prenant soin de ne pas vider ma cuvette humaine au sol et j'assis Laure sur la partie carrelée près d'un coin, pour qu'elle tienne assise contre le mur. Elle avait du vomi partout et moi j'en avais sur mon tee shirt et mes chaussettes !
Je réfléchi un instant à comment j'allais me sortir de cette situation. Après avoir secoué un peu ma belle sur, il me paru évident qu'elle n'était pas capable de se débrouiller elle-même. Ma femme étant dans le même état, c'est à moi que revenait la punition.
Je mis en boxer et rinça mes vêtements avant de les mettre en machine et il fallait que je fasse pareil avec ma belle sur et... retirer les "morceaux" !!
J'expliquai la situation à Laure et elle se contenta d'acquiescer par un oui de la tête. Elle s'excusa encore un moment mais je lui dit de se taire.
Elle me gonflait là.
Je me mis à rincer Laure par dessus ses vêtements pour retirer le plus gros. Il fallut que je retire les morceaux pour ne pas boucher le siphon de la baignoire. Brrr... Jexpliquai ensuite à ma belle sur que je devais retirer ses vêtements pour les laver et ensuite qu'elle devait se laver, elle.
Elle me répondit "oui mais tu vas me voir toute nue", toujours dans un état second. Je lui demandai une dernière fois si elle était capable de se débrouiller et devant sa réponse négative je lui expliquai à nouveau que j'allais le faire, et que ce n'était pas grave si je la voyais toute nue.
Elle accepta. Je l'aidai donc à retirer son haut à la fois trempé et encore souillé de vomi. Je le posai dans le fond de la baignoire et entamai dans la foulée le retrait de son pantalon. Laure s'appuya sur le rebord de la baignoire pour soulever ses fesses. J'attrapai son pantalon et sa culotte en même temps, pour ne faire qu'un voyage. Je baissai le tout avec difficulté, l'eau n'aidant pas, jusqu'à voir apparaître une petite chatte entièrement rasée. Elle était là, sous mes yeux, parfaitement lisse et sans aucun boutons de rasage. Elle devait s'épiler. C'était trop parfait pour en être autrement. Lorsque je soulevai ses jambes pour faire passer ses vêtements au cheville, je profitai de l'occasion pour regarder à l'intérieur de ses cuisses que j'avais légèrement ouverte. Ses lèvres extérieures étaient courtes et laissaient ses petites lèvres, roses pâles, parfaitement visibles.
Une très joli petite chatte, me dis-je intérieurement. J'allais au moins avoir un beau spectacle visuel, dans mon malheur.
De mon coté, j'étais comme fou. J'avais complètement oublié mon dégoût de la séance vomi et je bandai comme un malade en regardant Laure pisser en gros plan sous mes yeux. J'en pouvais plus... Une fois le jet terminé, je dirigeai la pomme de douche sur sa chatte et y colla ma main pour faire mine de la frotter. Je lui demandai si elle avait terminé comme si de rien n'était alors que mon index et mon majeur fouillaient sa fente de haut en bas, mais sans la pénétrer. Elle me soupira un "oui" sans prêter attention à ce qui se passait entre ses jambes. Je continuai alors à la mouiller tout en la chatouillant.
Je n'étais pas très fier de moi mais je ne pouvais plus m'en empêcher. Je décidai de passer au savonnages pour me calmer un peu. Je lui lavai les cheveux au shampoing pendant un petit moment en prenant soin de lui masser le cuir chevelu avec douceur. Elle soupira de plaisir sous mon massage. J'avais envie de lui rendre ce plaisir qu'elle m'offrait depuis le début.
Je passai ensuite à son corps. Je lui lavai rapidement les bras et les épaules pour ensuite mattarder sur ses seins. Ils étaient vraiment bien fermes et ses tétons se mirent à durcir à mon passage. Laure soupirait toujours de plaisir et sa respiration s'accéléra lorsque j'insistai un peu plus mon traitement.
Elle me regarda avec des yeux bien explosés sans dire un mot, juste des petits sons de plaisir. Ça devait être mécanique, mais dans mon excitation, j'osai lui demander timidement si ça faisait du bien. Elle hocha la tête et me dit "oui" alors je me senti un peu rassuré, même si j'avais des remords de profiter de la situation. Je continuai le savonnage en descendant sur ses hanches puis ses cuisses. Je lui lavai les deux jambes sans quitter des yeux sa petite chatte qui m'appelait. Je fini par la lui savonner en faisant de nouveau traîner mes doigts un peu partout. Mes deux mains passèrent sous ses fesses et remontèrent un bon nombre de fois en passant sur ses orifices. Je lui demandai à nouveau si ça faisait du bien et si tout allait bien pour elle, pour me rassurer encore une fois. Elle répondit de la même manière, sans trop se rendre compte de la situation.
Je n'osai pas aller plus loin et me contentai de la "laver" à ma façon. Je voyais bien que sa tête n'arrêtait pas de bouger de droite à gauche et que Laure lutait pour ne pas seffondrer. Elle répondait tout simplement automatiquement comme une personne bourrée qu'elle était. Je la fit se redresser avec prudence pour lui laver le dos et je finis fatalement par faire descendre mes mains sur ses fesses. Laure se tenait debout en calant son menton sur mon épaules, collant légèrement sa poitrine contre mon torse. Je sentais sa respiration calme et apaisée sur mon cou et je pouvais entendre le moindre gémissement discret qu'elle pouvait émettre sous mes caresses. Après avoir longuement massé ses deux fesses et passé mes majeurs à tour de rôle dans sa raie pour bien la "nettoyer", une de mes mains quitta son poste pour repasser devant et retrouver sa petite chatte bien lisse. Je lui savonnai ses deux orifices pendant un temps qui me paru une éternité, sans jamais osé la pénétrer. Dans ma tête, je me répétais en boucle "je la lave, je la lave, je lave!"
Je résistai tant bien que mal à ne pas la prendre sur le champ et à en faire mon objet sexuel. Ce que j'étais en train de faire me faisait déjà énormément culpabiliser et j'étais assaillit tantôt par des images perverses, tantôt par les visages en pleure de ma femme et sa petite sur. Si je m'arrêtais là, j'aurais été le beau frère qui à lavé sa belle sur, en lui confiant tout de même qu'il l'avais vu toute nue. Si je cédais à toutes mes pulsions, ma belle sur se serait réveillée avec de sacrés douleurs entre les jambes, tellement j'avais envie de la sodomiser. Mon index appuyait toujours plus sur son petit trou en y repensant et je dus me forcer à revenir à la raison avant de l'y enfoncer avec brutalité. Nom de Dieu que j'avais envie de la baiser !
Il fallait à tout prix que j'arrête d'y penser et que je me dépêche de terminer avant de passer à l'acte. En chassant son cul de mes pensées, je pus revenir à la réalité et entendre que Laure se plaignait du traitement que je lui infligeais sur le devant, sans m'en rendre compte. Je n'avait toujours pas visité l'intérieur de son vagin (ouf! me disais-je, comme si ça pouvait m'excuser) mais mon index lui frottait le clitoris avec insistance. Ça devait lui faire de l'effet car il était devenu tout dur. J'arrêtai immédiatement ce traitement et l'invita à sasseoir pour que je la rince. Cette fois-ci, dans le fond de la baignoire, de profil donc, me cachant toutes les parties intimes de son corps. Je la rinçai correctement en évitant presque de la regarder. Elle devait tenir une sacrée cuite car malgré tout ce moment passé à se faire laver et rincer, elle était encore dans le même état qu'au début.
Je lui expliquai maintenant que j'allais la sortir de la baignoire et que j'allais la sécher. J'étais plus au moins redescendu de mon nuage et je tenais à lui parler, pour qu'elle puisse éventuellement se rappeler que j'étais là avant tout pour l'aider. Elle me répondit par un "d'accord" puis reparti à la dérive en secouant la tête. Je la séchai entièrement et ne pu m'empêcher de lui tamponner l'entre jambe avec la serviette. Je pris ensuite le temps de lui sécher les cheveux et de la coiffer comme une poupée. Je pouvais maintenant la monter dans sa chambre, lui passer son pyjama et la coucher. Dans ma tête, j'imaginai maintenant la chatte de ma femme sur laquelle j'allais me défouler. Ça m'aida à ne pas sauter sur ma belle sur. Je l'a pris dans mes bras, entièrement nue, et montai les escaliers pour rejoindre sa chambre.
C'était la fin ! J'allais bientôt pouvoir me sauver ! Alors que je l'assis sur le coté du lit, Laure se fit tomber directement sur celui-ci, certainement pressée de pouvoir enfin dormir. Ses jambes restèrent au sol et s'ouvrirent de nouveau, de dévoilant sa petite chatte maintenant toute propre. Je résistai à l'envie d'y fourrer ma langue et je fis le tour du lit pour prendre son pyjama de la veille que je voyait sur son sac de voyage. Je l'ouvris pour prendre une culotte propre et je revins devant ma belle sur avec la ferme intention de l'habillé illico. Je ne sais pas pourquoi, par faiblesse sûrement, mais je redressai d'abord Laure pour lui passer son petit débardeur. Sa chatte restant à portée de vue. Je lui resserrai ensuite les cuisses et me mis à croupi devant ses pieds pour lui passer sa culotte. Alors que je la lui glissai jusqu'aux genoux, ma belle sur se laissa de nouveau tomber sur le dos, emmenant avec elle ses jambes. Surpris, j'accompagnai son geste, mes mains toujours sur ses genoux que je levai vers le plafond. Laure se retrouva les jambes en l'air, et moi j'avais mon visage juste en face de son cul. Sa petite fente était juste sous mon nez. Elle sentait bon le propre et ses petites lèvres bien lisse juste au dessus de son petit trou du cul tout serré me firent craquer. Je marquai un cour instant, admirant le tableau en me disant "ok... je lui bouffe la chatte et c'est tout!"
Je fis glisser lentement mes mains sur ses cuisses jusqu'à placer mes pouces de chaque coté de ses lèvres. Je les ouvris tout doucement pour me faire un passage, entendant un petit bruit de décollement. J'observai quelques secondes sa chatte grande ouverte et j'approchai enfin ma tête en tremblant de tout mon corps. Quand ma langue entra en contact avec l'entrée de son vagin, je ne pu m'empêcher de pousser un râle de délivrance. Je lui léchai la chatte avec passion pendant au moins 20 minutes. Je le sais car j'avais son radio réveille pour vérifier quand je relevai la tête la première fois. Laure s'était endormie et ronflait doucement. Je me sentais alors tranquille et me dis "aller encore 5 minutes".
Je passai alors à son anus que je gobai en faisant pas mal de bruits de succion. Mes mains lui écartait les fesses à fond jusqu'à lui entre-ouvrir son petit trou. Elle était complètement relâchée. Je pus alors faire rentrer le bout de ma lange dans son petit cul, en me retenant de ne pas aller trop profond. J'avais encore cette barrière sur la pénétration. Je lui bouffai le cul pendant encore 20 minutes alors que j'étais parti pour 5 mais c'était tellement bon. Je me résignai enfin à l'abandonner et reculai ma tête avec tristesse. Je l'aurais bien baissé dans tous les sens ce petit cul mais je ne devais pas. J'étais déjà aller trop loin. Je lui passai enfin sa culotte jusqu'au hanche puis son bas de pyjama. Je la couvris, lui déposa un baiser sur le front en lui souhaitant bonne nuit et quitta enfin sa chambre.
Je regagnai la mienne comme un zombi et ouvris la table de nuit pour prendre le lubrifiant de ma femme. Je retirai la couette qui la couvrait sans entendre la moindre protestation. Je la plaçai dans la même position que sa sur et me pencha sur son cul pour passer ma langue sur ses orifices. Ils n'avaient pas la même fraîcheur que ceux que je venais de sucer mais qu'importe, j'étais trop excité pour faire mon difficile. Ma femme ne réagit toujours pas, encore bien bourrée elle aussi. Je me plaçai devant elle en plaçant ses jambes sur mes épaules puis j'appliquai un peu de gel sur mon gland que jintroduis tout doucement dans son cul. Ma femme neut qu'un "mmmm" comme réaction quand j'arrivai au fond de son cul. Jattendais quelque seconde pour que ma queue se mette bien en place et je ressortis entièrement pour reproduire le même mouvement 2 fois. Ma femme ne réagissait même plus alors je me mis à la pilonner bien à fond jusqu'à jouir comme un malade en elle. En réalité il ne suffit que de 2 aller retour pour me faire éjaculer un torrent de sperme dans son trou du cul. La sodomie la plus courte de ma vie ! Je me retirai et m'allongeai à ses cotés en nous recouvrant de la couette, en laissant derrière moi toutes les traces de mon passage, c'est à dire une grosse plaque de sperme entre ses jambes qui coula d'elle durant la nuit. Je dormis comme un bébé...
Le lendemain, je fus réveillé par ma femme qui m'engueula gentiment car elle avait du sperme collé partout entre ses jambes et des photos bizarre dans son téléphone. On discuta un moment au lit et je lui livrai ma version de ce qui c'était passé la veille. Elle comprit pourquoi je m'étais défoulé sur elle et me demanda avec insistance si je n'avais rien fait de mal avec sa petite sur. Je lui avouai honteusement que je n'avais pas pu m'empêcher de lui léchouiller 2 minutes la chattes au moment de l'habiller, mais c'est tout. Cette fois-ci elle m'engueula pour de vrai mais finit par se calmer face à mon "honnêteté" et l'argument comme quoi j'ai résisté alors que j'étais aussi alcoolisé.
Je fini mon argumentaire en répétant plusieurs fois "mais qu'est-ce qu'on va lui dire ?" espérant que ma femme réponde "rien". A la place, elle préféra la carte de "honnêteté" aussi et expliqua tout à sa sur autour du petit déjeuner. Je m'excusai à mainte reprise auprès de Laure, lui affirmant à quel point j'avais honte de moi (c'était vrai). Elle s'agrippa au bras de ma femme avec un visage choquée pendant un petit moment, écoutant mes excuses en boucles et les remontrances de ma femme, mais elle finit par retrouver la parole en acceptant mes excuses. Elle ne se souvenez de rien et me remercia pour mon "honnêteté" (et ben...) et finit limite par me remercier de ne pas l'avoir violer. S'en suivit une longue conversation sur les risques en soirées avec ma femme qui lui somma de faire plus attention avec l'alcool.
Ce fut le pire moment de ma vie...
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