Au Dela Du Cercle Polaire
Cette histoire mest arrivée, il y a quelques années. Javais été invité par un de mes fournisseurs , avec quelques autres de leurs clients, à un voyage en Laponie.
Je passerais rapidement sur la première partie de ce voyage, qui était , en fait, la partie promotion avec visite dusines, et réunions promotionnelles pour vanter leurs produits. Nous étions trois invités, et deux accompagnateurs (ces voyages se font toujours en petit comité), tous des hommes. Après la dernière réunion, nous avons tous embarqué dans un mini-bus, direction nord. Après quelques heures de route, nous nous arrêtons à Rovaniémi, ville connue pour être celle du père Noel, mais surtout, qui est sur la limite du cercle polaire. Un de nos hôtes, nous précise alors. « Ce qui se passe au delà du cercle polaire, reste dans le cercle polaire. »
Encore quelques heures de route, et nous arrivons dans une petite ville Laponne, ou nous attend notre hôtel. En recevant nos clés de chambre, nous remarquons que létablissement est doté dune immense piscine à vagues, avec nage à contre courant. Lorganisateur nous précise quil y a aussi un Sauna, solarium et Jacuzzi.
Nous sommes en mai, et déjà, la nuit boréale est terminée, la neige commence à fondre, et les journées sont interminables. Un peu déphasés par le voyage, et lamplitude solaire inhabituelle, nous trainons longuement au bar, après le diner, les tournées de bière finlandaise se succédant les une aux autres. Finalement, vaincus par la fatigue et lalcool, nous regagnons très tard nos chambres, ou personnellement, je mendors dun sommeil sans rêve.
Le lendemain matin, cest à dire quelques heures plus tard, nous partons dès potron-minet, pour une excursion en moto-neige. Le froid est vif en ces premières heures, et les combinaisons sont plus quutiles. Une fois équipés et familiarisés avec nos montures, nous partons, pour une journée de randonnée en ski-doo, dans les forêts environnantes. Cette promenande,après un début tranquille, sintensifie, dans laprès-midi avec des vitesses plus élevées, sur des chemins étroits entre les sapins.
Nous rentrons en fin daprès-midi, fourbus. Un peu de réconfort dans la piscine à vague, et nous voilà parti pour un diner, bien arrosé dans un établissement, qui fait restaurant, dancing, casino, salle de jeux, fréquenté par toute la ville, en labsence dautres sources de loisirs.
La soirée est joyeuse, et nous apprenons , de visu que les femmes laponnes sont de solides matrones à la carrure de bucherons, et non des tops modèles scandinaves, comme nous les imaginions. Le lendemain, nous partons, plus tôt encore, pour aller plus dans les steppes, et sur les lacs. Nous pensions faire de la vitesse mais, nous devons aussi alterner avec des passages plus techniques, sur la glace qui fond, et seffondre au passage de nos engins. Nous nous arrêtons pour regarder de plus près des maisons de glace. Constructions éphémères, qui ne servent que pendant lhiver, et disparaissent naturellement à la belle saison.
Après un déjeuner dans une hutte typique Laponne dhiver, composé de saumon fumé au bois dérable, nous repartons pour une dernière ligne droite, sur des terrains plus dégagés où nous pouvons exploiter toute la puissance de nos machines, qui atteignent jusquà 180km/h.
De retour, à notre hôtel, nous décidons de ne pas repartir sans faire un sauna, et nous donnons rendez-vous, dici quelques minutes. Malheureusement (ou heureusement) après mêtre deshabillé, je mallonge quelques instants pour récupérer, et mendors. Je méveille en sursaut une heure plus tard. Jenfile un maillot de bain un peignoir, et , les pantoufles de lhôtel aux pieds, me mets à la recherche du Sauna. Il faut bien dire que les indications, en finnois ne maident pas. Après avoir erré, de longues minutes dans des couloirs, je trouve, à proximité de la piscine, le sauna.
« This place is for women only. You understand ? »
Ah, je comprends mieux pourquoi je ny vois pas dhommes ! Dommage quand même, car certaines de ces dames étaient tout à fait consommables. Je mexcuse pour ma méprise et me retrouve dehors. Maintenant, lidée de me retrouver dans un sauna, empli dhommes nus, me tente beaucoup moins, ment.
Je me rabats sur la piscine à vagues, et vais mexercer un peu à la nage à contre courant. Je me lasse assez vite de ces attractions, et pars explorer lespace aquatique de lhôtel. Au détour dun couloir, je tombe sur ce qui doit être le solarium. En fait un espace, clos en demi-cercle avec une plage , en carreaux au sol, et des lampes à bronzer, installées régulièrement au plafond, avec des minuteurs , au mur, pour les faire fonctionner. Il ny a quune personne, et quelle personne. Allongée complètement nue sous les spots brûlants, une bombe comme jen ai rarement vu. Elle est étendue sur le dos, les yeux clos. Un visage un peu asiate, aux pommettes hautes, assez mat, mais pas brun, et des lèvres roses, pulpeuses qui semblent faire la moue sous un charmant petit nez. Sous lovale de ce visage, un cou gracile amène mon regard sur des épaules pas trop larges, et des bras longs et fins. Les seins sont implantés hauts, et malgré la position, ne semblent pas souffrir de la pesanteur. Au dessous, un ventre plat, et des abdominaux bien dessinés mais sans excès, encardent un petit nombril, jusquà la fourche de ses jambes, elles aussi longues et fines,qui sétendent vers des pieds menus aux ongles aussi bien manucurés que ceux de ses mains.
Je ne suis pas un apollon, jen suis conscient, et mes chances avec ce type de nanas sont assez proche du zéro. Je fais 1,75m, un visage régulier, mais assez quelconque à mon goût, malgré des yeux verts clairs, et une musculature qui fut un temps assez présente, mais la bonne chère, et une vie sédentaire mont doté dun embonpoint qui, jen ai déjà fait lexpérience, est assez rédhibitoire auprès de la gent féminine. Je devrais me contenter de lobserver, puis passer mon chemin, mais comme je suis seul, et pas à mon premier rateau, je fais le contraire. Je prends un coussin, et lapprochant de la belle lui demande si je peux minstaller à côté delle sans la déranger. En français dabord, je nobtiens aucune réaction. Jessaie en anglais, mais la dame reste de marbre. Nayant pas dautres langues à ma disposition, je minstalle à ses côtés après avoir lancé les lampes bronzantes.
Comme la seule occupante présente est nue, je me défais de mon maillot de bain, avant de métendre sur le dos. Au moins , de ce côté là je ne suis pas défavorisé. Le sol est un peu dur pour mon dos, mais je me laisse aller à la douce chaleur des lampes bronzantes. De temps en temps jouvre un il et surveille ma voisine, qui semble pétrifiée dans sa position, et na même pas ouvert les yeux. Je me dis que lendroit nest pas clos et que plus jattends, plus je mexpose à larrivée inopportune dautres personnes, voire dun mari ou petit ami. Prenant mon courage à deux mains, jétends mes bras de part et dautes de mon corps, et viens, par inadvertance toucher sa hanche. Je la sens frémir imperceptiblement, mais elle na pas bronché.
Toujours sans ouvrir les yeux, elle appuie sur ma main. Comprenant ce quelle veut, je caresse lappendice qui sérige sous mes doigts et sort entre ses lèvres. Plus bas, cest mouillé et la cyprine sécoule de sa fente entrouverte sur des chairs bien roses. La pression sur ma main saccentue, et , tout à coup, la belle se cambre , les dos en arc de cercle, laissant mes doigts la pénétrer, avant de retomber dans un soupir, et de repousser ma main. Cest fini. Elle a repris sa posture et tend ses bras au dessus de sa tête, faisant saillir ses seins durs aux mamelons qui dardent vers les soleils artificiels.
Quelques instants plus tard, je sens du mouvement. Jouvre les yeux, et croise son regard. Deux yeux dun bleu sombre mobservent et me détaillent comme un maquignon le ferait dun bestiau. Doù je suis, mon regard est intercepté par sa chatte lisse, et pudiquement close, puis par les protubérances de ses seins, avant darriver à son visage. Difficile dy déceler quoi que ce soit. Peut-être une amorce de sourire, mais cest sans doute une illusion. Elle fait demi-tour et séloigne vers la sortie, ce qui me fait loccasion dadmirer son cul ferme aux fesses hautes, sous un dos étroit qui sévase vers le haut. La taille est fine et marquée et sa démarche souple, fait chalouper devant moi son popotin doré.
Je me lève, ramasse ma serviette et mon maillot, et je me dirige vers lissue quelle a empruntée à lopposée de celle par laquelle je suis entré.
Le solarium débouche sur un espace occupé principalement par un grand jacuzzi ovale, qui surplombre les bassins de la piscine. Là dans leau qui bouillonne, la tête de mon inconnue émerge. Les yeux clos, semblant profiter des bienfaits des eaux qui masquent son corps parfait.
Je pose mes affaires et descends dans le bassin, assez large pour faire quelques brasses. Je vais minstaller sur la banquette, pas très loin de la belle, à un endroit doù je peux voir les piscines au dessous. Eux ne peuvent apercevoir que ma tête.. Bien installé, la tête en appui sur un coussin de cuir blanc, je me laisse aller et fermes les yeux. Je suis sur le point de mendormir quand je perçois un mouvement. Jouvre les yeux pour voir ma belle inconnue, en train de nager vers moi. Elle vient sagenouiller face à moi. Je sens ses seins contre mes genoux. Elle me dévisage de ses yeux outremer quand je sens une main semparer de ma verge. Elle lenveloppe doucement et coulisses de haut en bas. La caresse de sa main, la tiédeur de leau et ce regard impassible, mexcitent au plus haut point. Elle savance vers moi, mobligeant à écarter les genoux, puis, sans me lacher des yeux, se laisse couler devant moi. Presque aussitôt, un fourreau brûlant vient remplacer ses mains, et pomper ma queue, tandis quune langue curieuse senroule autour de mon gland. Les mains ne restent pas inactives, et palpent mes couilles, se glissent dans mon sillon et viennent titiller mon anus.
Elle refait surface pour respirer, son chignon dégoulinant deau, et replonge bientôt por reprendre cette merveilleuse fellation, à peine interrompue. La tiédeur de leau et surtout ces lèvres serrées autour de ma hampe, qui agacent mes terminaisons nerveuses, me mènent rapidement au bord de lexplosion. Jessaie de la faire sortir, mais elle continue de plus en plus vite jusquà ce que jexplose dans sa bouche. Elle continue ses va-et-vient jusquà ce quelle ait extirpé la dernière goutte de plaisir. Elle remonte enfin et vient se coller à moi . Ses lèvres se plantent sur les miennes pour un baiser, salé.
Est ce le contact de cette naiade, limprévu de la situation, ou ses seins magnifiques dont je mordille les tétons ? Toujours est il que je reprends rapidement de la vigueur. La belle la senti et vient sasseoir sur moi. Elle faufile sa main entre ses jambes pour saisir ma queue quelle glisse dans sa chatte . Cest chaud et si bien lubrifié que je my enfonce sans difficulté. Dos à moi, elle commence un mouvement dascenseur, sur ma queue bien tendue, tantôt roulant des hanches et du cul, tantôt sagitant comme un derrick fou. Elle gémit continuellement. Jai passé mes bras sous les siens, et je capture ses seins dans mes mains. Je les malaxe, les triture, les tripote, les pince, ou les serre. Tout a lair de lui faire de leffet.
Elle se raidit soudain et lâche un soupir en senfonçant une dernière fois sur ma queue.
Comme souvent, après avoir joui une première fois, la seconde demande un peu plus de temps, et mon sexe est encore bien raide quand elle lextrait. Elle le garde en main et, sans changer de position, vient le pointer vers son petit trou. Je sens mon gland qui écarte les sphincters, alors quelle sempale progressivement, la bouche ouverte, sans autre plainte quun léger rictus qui ne parvient pas à lenlaidir. Petit à petit, son anus avale ma queue, et je menfonce jusquà ce que ses fesses en béton viennent cogner sur mes couilles. Elle recommence alors à remuer, et à coulisser sur mon membre, allant presque jusquà sortir complètement, avant de me réintroduire dans son étroit conduit. La sensation est intense , nous nous ébattons parmi les bulles du jacuzzi, dans le floc-floc produit par nos mouvements, dans le bassin, son fessier musclé venant taper sur les bourses à chaque aller.
Je la cramponne par les hanches, pour augmenter lampleur et la force de notre coit,. Je sens le feu monter dans ma bite, mes couilles prètes à lacher leur semence, et jaccélère encore le mouvement, sentant à ses halètements que la libération est proche. Alors quelle feule sous mes coups de boutoir, je sens de longues salves brûlantes secouer mon vit. Elle sécroule en arrière sur moi, et je la serre contre moi, mes mains enveloppant ses seins. Après plusieurs secondes, elle sextrait et sassied à mes côtés les bulles du jacuzzi bouillonnant autour de nous. Elle repose sa tête sur les coussins, et ferme les yeux, de nouveau impassible. Seule sa main, invisible sous leau, qui tient mon sexe, me confirme que je nai pas rêvé.
Cest à ce moment là que mes collègues me rejoignent, et entrent à grand bruit dans le jacuzzi.
« Alors, on ta attendu au sauna ! tu faisais quoi ? »
« Je me suis endormi, et ensuite je nai pas trouvé le sauna des hommes. Je me suis baigné, et je suis venu me détendre ici. »
« Eh, en tout cas, tu es assez tranquille ici » me fait remarque lun deux « Et la dame à côté de toi, elle parle français ? »
« Je ne crois pas. Anglais non plus dailleurs. »
« Dommage que nos hôtes ne soient pas là pour traduire, parce que nous, en finnois
»
Le charme est définitivement rompu. Quelques minute plus tard mon inconnue, se rapproche des marches et sort du jacuzzi, laissant mes collègues, la bouche béante, en découvrant sa plastique irréprochable. Elle att une serviette, et sessuie avant de se tourner face à moi, pour enfiler un peignoir et masquer sa parfaite nudité sans me laâcher des yeux. Elle se détourne enfin pour repartir vers le solarium et la sortie.
« Waouhhh ! quelle gonzesse ! » commente un des collègues
« Tu nas pas tenté de lapprocher ? » demande un autre
« Avec la barrière de la langue, ce nest pas si évident. » réponds-je
« Enfin, cest couillon quelle se soit barrée, on aurait pu en profiter. » dit le troisième
« Oui, cest bète » dis-je. Je suis sur que mon inconnue préfère que je me comporte en gentleman.
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