Je Fais La Salope Suite , Les Petits Jeunes De Midi
Nous étions lundi, et le we avait été encore bien rempli comme mon postérieur.
Pascal maccompagnait la matin après le petit passage dans son boxe. En bonne salope je lui avais demandé de me sodomiser et je jouir dans mon cul. Je ne pensais quà ça.
En arrivant au bureau, je suis allée me faire une petite fraicheur, car avec mes orifices bien ouverts, jai serré les fesses.
Cela ne ma pas empêché de continuer à faire ma salope, mais jadore cela. Moi qui avant était si réservée. Cest de la pure décadence.
Le midi je décidais de forcer le destin, car les deux petits jeunes mavaient particulièrement émoustillée.
Jy ai pensé plusieurs fois dans le we.
Je retournais pour déjeuner dans la brasserie du vendredi en espérant les revoir pour me faire draguer.
Je me suis installée, bien en évidence, toujours avec mon attitude de chienne en manque.
Le repas sest passé, le café est arrivé, jai réglé laddition sans voir personne. Jétais un peu déçu.
Je retournais au bureau en flânant.
En passant au coin dune rue, je me suis retrouvée, nez à nez avec Vincent et Jonathan.
Jai été tellement surprise que jai eu un élan en arrière.
Vincent avec un grand sourire « Bonjour Helen »
Moi « Bonjour » jai eu le réflex de lui tendre la main, car il sapprochait de moi pour me faire la bise.
Vincent « nous sommes contents de vous voir » et de rajouter « je nai pas arrêté de penser à vous tout le we »
Moi « avec une jolie fille à chaque bras »
Vincent « non nous sommes restés sages tout le we, nous ne sommes même pas sortis, hein Jonathan »
Jonathan ne répondait pas
Moi « les pauvres petits ils sont restés seuls tout le we, alors quil y a tant de belles jeunes filles disponibles sur Paris »
Vincent « oui mais elles ne sont pas aussi jolies que vous »
Moi « Vincent, je ne suis pas une jolie jeune fille, je suis une femme, je ne suis pas votre petit copine décole, je travaille » et en regardant ma montre « il faut que jy aille »
Vincent un peu décontenancé « vous ne parlez que de travail »
Moi « Oui Vincent, je ne suis plus étudiante, il faut que je mange »
Vincent « vous aurez bien le temps de prendre un café »
Moi « mais il ny en a pas dans la rue, il faut que jy aille »
Vincent « mais mon oncle habite à pas 5 minutes et en plus il a une machine à café à capsule avec laquelle vous pourrez choisir les aromes, cest bien meilleur que celui que lon a bu la dernière fois »
Jallais répondre, lorsque Jonathan qui ne parlait pas beaucoup dit « oui vraiment excellent, sans comparaison »
Moi en regardant ma montre « vous êtes gentil, mais il faut que jy aille, je vais être en retard »
Vincent « cest las vacances, cest plus cool en ce moment, il y a moins de travail, vous nêtes pas à 5 minutes, sil vous plait » il adopta un petit air gentil qui ma fait plus ou moins craqué.
Moi « jaccepte, mais pas longtemps. Il habite où votre oncle »
Vincent « XX rue XXXX 5eme étage »
Moi « avancez, je vous rejoins, je ne veux pas que lon nous voit entrer ensemble »
Vincent « le code de la porte est XXXX et ensuite vous sonner 5eme étage droite»
Moi « oui allez y, je vous rejoins »
Ils partirent tout content, je me disais que ce nétait pas très raisonnable, quune femme de mon age aille boire le café chez loncle dun jeune très jeune homme. Mais juste pour boire un café.
Je suis arrivée devant ladresse indiquée, jai fait le code et la porte sest déverrouillée. Il faisait frais à lintérieur, cétait un immeuble cossu Haussmannien. Il y avait une porte sur la droite avec un interphone et une étiquette 5 droit, jai sonné, la porte sest ouverte ; Jai ensuite pris lascenseur et suis arrivé sur un palier en plancher. La porte était entre ouverte, Vincent mattendait.
Il avait le sourire jusquaux oreilles. Il me fit entrer. Lappartement était beau et avait lair grand ; Nous nous sommes retrouvés dans le salon avec deux canapés et deux fauteuils.
Il me fit prendre place sur lun des canapés où Jonathan était déjà installé.
Ensuite il me dit « Helen nous sommes ravis que vous ayez accepté notre invitation »
Moi « cest gentil, mais vous savez que mon temps est compté »
Vincent « oui, vous voulez quel type de café »
Moi « quavez-vous à me proposez »
Il me cita tous les aromes disponibles
Moi « je ne sais pas »
Jonathan qui avait parlé très peu « va les chercher, de cette façon Helen va choisir »
Vincent « oui ce sera plus facile »
Ill revint très rapidement avec un plateau sur lequel il y avait un nombre de capsule important
Vincent « voila tous les aromes que lon a »
Moi « vous me conseillez lequel »
Vincent montra plusieurs qui étaient bons
Moi « Pouvez vous me faire celui du Brésil et la Colombie »
Vincent « oui cest comme si cela était fait » il partit immédiatement
Moi madressant à Jonathan « vous êtes bien installés ici »
Jonathan un peu timide « son oncle à un bel appartement »
Moi « vous venez tous les ans ici pendant les vacances »
Jonathan « je suis déjà venu au printemps »
Vincent était revenu « voila votre café Helen » Il me le donna ensuite à Jonathan et il prit le sien
En gouttant mon café « vous mavez très bien conseillé Vincent, il est excellent »
Vincent tout content « cest aussi un de mes préférés » et de rajouter « maintenant que vous lappréciez, il va devenir mon café fétiche »
Moi « Vincent en bon gentleman, vous devriez me proposer des gâteaux avec le café »
Il se mit à rougir « oui excusez moi » il se leva pour aller en chercher.
Moi « vous êtes maintenant un véritable gentleman »
Vincent tout content « merci, oui excusez moi »
Moi « ce nest rien »
Vincent se rapprochait de moi « vous êtes plus que belle, plus je vous regarde plus je vous trouve de plus en plus belle »
Moi « Vincent, il y a beaucoup de filles et de jeunes filles de votre âge qui sont largement plus belles que moi »
Vincent « elles ne vous valent pas au centième, hein Jonathan »
Jonathan toujours timide et rougissant « oui vous être très belle »
Moi pour faire bisquer Vincent je passais ma main sur la joue de Jonathan qui se mit à rougir encore plus en lui disant « vous êtes trop gentil avec moi »
Vincent se rapprochant encore de moi « et moi je peux avoir une caresse sur la joue »
Moi « Vincent ne soyez pas jaloux, Jonathan est tout timide et vous vous êtes collé contre moi, reculez vous un peu »
Vincent se décala un peu
Moi « comme je le disais à Jonathan lorsque vous prépariez le café, lappartement de votre oncle est très beau »
Vincent « oui ; il est confortable, on y est bien »
Moi « vous venez souvent ici »
Vincent qui se rapprochait encore de moi « nous sommes venus avec Jonathan au printemps pour les vacances de Pâques, sinon ce nest pas tout le temps moi qui le garde lorsque mon oncle est en vacances. Mais, cet été, je ne regrette pas dêtre à Paris, car je vous ai rencontré »
Moi « Vincent, décalez vous un peu vous êtes encore sur moi »
Vincent « vous me magnétisez par votre beauté »
Moi « arrêtez, vous ne vous êtes pas trouve une jolie jeune fille de votre âge à Paris »
Vincent « non jai pensé à vous tout le we »
Moi « avec une fille dans vos bras »
Vincent « non seul ici avec Jonathan, hein Jonathan »
Jonathan se mit à rougir en disant un petit « oui »
Moi « arrêtez Vincent de prendre à témoin Jonathan, il rougit »
Vincent « mais vous ne me croyez pas » en me surprenant en me prenant la main pour lembrasser
Moi « quest ce qui vous prend Vincent en retirant ma main »
Il me la repris en disant « vous avez des mains superbes, cest normal vous êtes une très jolie femme » tout en se rapprochant de moi
Moi « reculez vous Vincent, vous êtes encore sur moi »
Vincent « je suis magnétisé par votre beauté »
Moi « regardez Jonathan, il est sage »
Il me reprit la main pour encore lembrasser »
Moi « Vincent vous ne pouvez pas rester tranquille deux minutes »
Il avait passé son bras sur le dossier du canapé et était tourné vers moi tout en se rapprochant.
Moi « merci, mais vous êtes encore collé sur moi, je vais vous punir »
Vincent « oui punissez moi , faites moi une petite caresse comme à Jonathan ou un bisous »
Moi « si vous continuez, je vais men aller »
Vincent « non le moment est trop agréable »
Il continuait à me caresser le bras ;
Le pire est je commençais à avoir les fesses qui transpiraient. Son petit jeu mexcitait
Moi « vous pourriez me dire où son les toilettes sil vous plait »
Vincent se leva « je vais vous les montrer »
Il se décala pour me laisser passer
Moi « vous êtes un vrai gentleman, mais passez devant je vous suis »
Vincent « suivez moi cest par la »
Je le suivais à une certaine distance, comme je ne connaissais pas les lieux, je ne voulais pas quil sarrête dun coup et que je me retrouve sur lui.
Il sarrêta en ouvrant une porte « cest ici »
Marquant un temps darrêt pour lui faire comprendre quil se décale. Il recula.
Moi « merci Vincent, vous pouvez me refaire le même café que le premier »
Vincent « oui, il vous attends déjà »
Une fois enfermée, le constat est sans appel, mon string est trempé et pire que je limaginais. Je me suis donnée du plaisir, pour faire descendre la température et pour me calmer afin déviter de faire des bêtises. Je me mordais les lèvres pour mes cris. Javais chaud, surtout aux fesses.
Lorsque je suis revenue, je pouvais constater quil avait lair un peu stressé.
Jaurais du massoir sur lautre canapé, mais comme il sétait levé, dinstinct je me suis réinstallée entre eux deux. Je ne men suis aperçu, quune fois installée.
Il na pas tardé à se rapprocher de moi pour mapprocher mon café.
Vincent : « votre café Helen »
Moi « Je vous remercie, vous pourriez me donner un gâteau »
Il est vrai que je devais le regarder avec un regard de chienne, donc jai rapidement mit le nez dans mon café.
Il en profita pour se rapprocher de moi. Une fois lassiette de gâteau posée sur la table basse, toujours tourné vers moi.
Il me prit aussi ma tasse et en se retournant il me surprit en me prenant la main « vous avez vraiment des mains superbes, vous êtes une très jolie femme »
Moi en essayant de retirer ma main « Vincent soyez sage, mes mains sont normales »
Il se rapprochait encore de moi, il était collé contre moi. Il me remonta le bras de nouveau à travers ma veste. Il la redescendit et essaya dentre croiser ses doigts avec les miens. Je le repoussais « Vincent arrêtez un peu »
Vincent « je ne fais rien de mal, jessaie de vous prendre par la main ».
Moi « arrêtez »
Il nétait pas découragé pour autant. Il me remonta encore le bras sur ma veste.
Je menfonçais dans le canapé, mais je sentais que je perdais du terrain. Mes fesses transpiraient beaucoup.
Il me surprit lorsquil me décala les cheveux, je penchais ma tête dans le sens opposé.
Vincent « ne vous reculez pas, vous avez des oreilles magnifiques, magnifiques, comme vos mains, comme vous »
Moi « je vous ai demandé darrêter Vincent et puis reculez vous un petit peu, vous êtes sur moi »
Vincent « je glisse sur vous, vous me magnétisez »
Moi pour le provoquer « je vais massoir sur les genoux de Jonathan, car il est plus sage que vous »
Je me suis extraite avec un peu de mal du canapé pour massoir sur les genoux de Jonathan, qui était tout rouge.
Pour accen le phénomène, je lui ai passé le bras autour du cou.
Moi « vous voyez Vincent, regardez Jonathan est vraiment très sage »Jétais à deux doigts de lembrasser, mais je ne voulais ne pas aggraver les choses
Vincent « si je suis sage vous viendrez sur les miens »
Moi « mais vous nêtes pas sage, je vous lai dit plusieurs fois »
AU bout de 5 bonnes minutes je me ré assaillais entre eux deux « vous allez être sage maintenant »
Vincent « oui, vous ne voulez pas venir sur mes genoux »
Moi « non »
Nous avons parlé et il se remit sa main sur la mienne, en me remontant une nouvelle fois le bras, mais il le descendit aussitôt pour revenir sur ma main. Il la posa ensuite sur mon genou
Vincent « vous avez la peau douce, comme un bébé »
Moi « Vincent , je ne suis pas un bébé, ni une fille de votre âge, je suis une femme »
Vincent « si vous avez la peau douce comme cela, en étant comme vous le dites une femme, lorsque vous étiez bébé, je ne sais pas comment cela devait être » tout en remontant ma cuisse sur ma jupe avec un de ses doigts.
Je perdais du terrain et je dégoulinais. Il la redescendit rapidement pour essayer de nouveau dintercaler ses doigts entre les miens.
Il remonta mon bras, en me décalant les cheveux « vous avez des oreilles à croquer »
Moi qui avais très chaud « Vincent nexagérez pas »
Sa main descendit de nouveau jusquà la mienne en les effleurant
Vincent me remonta la bras jusquaux oreilles en me décalant encore les cheveux, mais sa main descendit sur ma joue par le dessus sur mon menton. Javais le feu en moi. Il la passa sur mon autre joue, jusquà mon autre oreille, il la redescendit. Ma joue était dans la paume de sa main, il me tourna légèrement la tête et approcha sa bouche de la mienne. Jétais un peu dans un état second. Je résistais un peu, mais le contact de sa bouche chaude et ensuite sentir sa langue me fit ouvrir la mienne. Nous nous embrassions à pleine bouche devant la petit Jonathan qui nen perdait pas une miette. Je me retenais, car je sentais que je dégoulinais à grands flots, pour éviter de pousser des petits cris de salope en chaleur. Mon souffle saccélérait sérieusement.
Cest au bout de quelques minutes quil commença à me ploter. Il commença par ma poitrine au travers mon chemisier ; il était plus quexcité.
Je gardais bien entendu les jambes croisées. Sa main descendit sur mes cuisses, jusquà mes genoux, mes mollets. Cela me provoqua des frissons et des vagues de cyprines dans mon string. Sa main remonta sur mes hanches, sur mes seins pour revenir vers mon visage.
Moi en bonne salope « Vincent, il faut partager avec Jonathan » Il fut décontenancé, et Jonathan plus que surpris.
Je mapprochais de lui et je commençais à lembrasser ; Je voyais bien quil navait pas beaucoup dexpérience ; je menais les opérations. Vincent surpris resta sage 2 minutes, il commença à me ploter la poitrine, en me déboutonnant mon chemisier. Il introduit sa main sur mon ventre et il pu sentir mon souffle. Jonathan que je dévorais était timide et ne faisait rien. Je lui pris la main en bonne salope pour quil me caresse les seins. Il était un peu gauche.
Vincent avait introduit ses doigts dans mon soutien gorge, et pouvais sentir lextrémité de mes seins qui était dure comme de la pierre ; Il les faisait rouler entre ses doigts et marrachait des petits
« hum, hum »
Je me remettais à embrasser Vincent tout en prenant la main du petit Jonathan pour quil continue à me caresser la poitrine.
Vincent était surexcité, en bonne salope je lui passais les mains dans les cheveux, je poussais de grands soupires.
Il décida de me remonter les jambes, sa main descendit sur mes genoux, javais toujours les jambes croisées ; Il essaya de me les décroiser, je résistais. Je savais que si jécartais les cuisses, je franchirais le point de non retour, il était peut être même déjà dépassé. Il passa sa main sous ma jupe. Je dégoulinais. Il essaya datteindre mon intimité, mais fut stoppé assez rapidement, car je portais une jupe droite. Il redescendit a main pour me décroiser les jambes, mais je résistais encore. Jembrassais de nouveau le petit en lui prenant sa main pour la mettre dans mon soutien gorge. Vraiment jexagère, faire cela à un garçon de 18 ans. Vincent ne perdait pas de temps, il essayait de nouveau de me décroiser mes jambes. Il se plaça devant moi, me posa ses mains sur mes mollets, me les caressa, en me les remontant. Je résistais encore, mais à ce moment je perdais du terrain. Je poussais des petits « hum « de salope en embrassant Jonathan. Je dégoulinais. Je ne sais pas ce qui ma prit, je me suis mis à lui ploter la bite à travers son pantalon. Il bandait bien dur le petit. Vincent commençait à membrasser les genoux toujours en essayant de me décroiser les jambes. Sous leffet de ses caresses sur mes mollets et de ses baiser ; il me passait ses mains derrière, ce qui me provoquait des frissons et mélectrisait les fesses. Je les décroisais, le point de non retour était franchi. Il me remontait les jambes avec des baisers, je nen pouvais plus. Jétais à la limite de lhystérie. Jarrêtais dembrasser Jonathan en disant à Vincent « vient tassoir à coté de moi » car je nen pouvais plus.
Il est venu à coté de moi, je me suis presque jeté sur lui. Nous nous sommes embrassés fougueusement à pleine bouche. Je prenais la main du petit pour quil continue à me caresser les seins. Vincent avait sa main entre mes cuisses et essayait toujours de progresser vers mon intimité. Je lui caressais aussi le sexe à travers son pantalon. Il bandait lui aussi très dur.
Pour lui faciliter la tache, je levais légèrement mes jambes. Sa main atteint le haut de mes cuisses en arrivant sur le haut de mon string. Je poussais toujours des « hum hum » de salope en chaleur. Son autre main touchait la mienne qui était au niveau de sa braguette. Il ouvrait son pantalon pour sortir son sexe et me le mettre dans la main.
Le fait de sentir cette colonne de chair bien tendue et chaude me rendait à moitié folle. Je le masturbais avec frénésie tout en levant mes jambes pour quil atteigne mon intimité. Ses doigts sont arrivés sur le haut de mon string, il en passe un sous le tissu. Mais comme ne pouvais écarter plus les cuisses à cause de ma jupe. Il était de nouveau bloqué.
Je me tournais de nouveau vers Jonathan pour lembrasser, en me décalant suffisamment du dossier du canapé pour comprendre à Vincent quil me dégrafe ma jupe. Il comprit , il la déboutonna et descendit la fermeture éclair, ensuite il introduit sa ma et me caressa les fesses. Je me relevais encore pour quil accède à mon intimité. Il la atteint et je dégoulinais tellement qu un doigt puis deux sont entrés facilement. Je soupirais comme une chienne tout en embrassant le petit. De son autre main, il me dégrafa mon soutien gorge et me caressait les seins. Je nen pouvais plus. Je me dégageais de Jonathan en disant avec une voix de chaudasse « Vincent retire moi ma jupe » Il retira sa main, se positionna devant moi, je levais mes fesses, Vincent qui était devant moi tira dessus, elle descendit, ensuite je décollais les pieds du sol pour quil me la retire complètement. Moi en retirant mon chemisier « Vincent met les sur le fauteuil pour ne pas les froisser » Il le mit sur lautre canapé. Jen profitais pour débraguetter Jonathan et le masturber directement. Vincent vint se rassoir à coté de moi, me retira mon soutien gorge en membrassant à plein bouche. Jétais la véritable salope, en string et talon entre deux jeunes qui me plotaient et que je masturbais. Javais les cuisses écartées et Vincent me fouillait complètement, en me mettant deux ou trois doigts dans la vagin, et en me masturbant le clitoris. Je me retenais pour ne pas éclater. Je me décalais un peu pour engloutir le petit. Avant de lavoir en bouche je dis « Vincent occupe toi de moi » tout en faisant un mouvement du bassin vers lavant. Jétais sur le coté en train dengloutir le petit qui respirait fort. Vincent se mis devant moi, me remonta les cuisses avec ses mains et sa bouche. Il avait de lexpérience. Il arriva au niveau de mon string et le fit descendre en me le retirant. Il me tira un peu plus les fesses sur le bord du canapé, mécarta les cuisses en me lécha en me fouillant avec ses doigts. Il maspirait le clitoris qui était dur comme de la pierre. Je nai pu contenir lorgasme qui est arrivé rapidement. Je dévorais le petit qui nallait pas tenir longtemps à ce rythme. . Le deuxième est arrivé et avec une voix de chaudasse « Vincent va chercher des préservatifs et prenez moi » Il se leva et revint rapidement
Moi « met en un et prend moi »
Le temps quil mette le préservatif, je me mettais à 4 pattes en tendant mon cul comme une chienne. Je sentis son sexe sur le bord des mes lèvres, je le pris à pleine main pour bien vérifier la capote et me lintroduire dans le vagin. Lorsquil entra, je poussais un cri de bête. En sortant la bite du petit de ma bouche « oui Vincent prend moi fort ouuuiiii ouuuiiii » Une femme de mon âge sucer un jeune de 18 ans et dire à un de 20 ans « oui encore plus fort ». Vraiment du nimporte quoi. Jai eu deux ou trois orgasmes de suite.
Moi « Vincent donne moi, un préservatif, Jonathan va me prendre »
Moi « Jonathan déshabille toi »
Il se déshabilla, je sortis le préservatif et lui mis. Je me positionnais sur le dos avec les fesses sur le bord du canapé en lui disant « vient en moi » Il se mis entre mes jambes, je lui pris le sexe à pleine main pour me le diriger dans la vagin. A ce moment jai cru quil allait avoir les yeux qui sortaient de la tête.
Moi en salope « vas y prend moi » en lui mettant ses mains sur mes hanches.
Il débuta mais éjacula rapidement, javais eu un début dorgasme. Il était penaud.
Moi « ne tinquiète mas ce nest pas grave, on va recommencer, va le retirer et revient »
Il sen alla, Vinent se positionna entre mes jambes, je le regardais avec un regard de chienne en lui disant « prend moi fort, donne moi du plaisir » Il entra en moi
Moi « oui vas y encore » jai eu une série dorgasmes qui mont fait le plus grand bien. Il se tendit et je sentis des palpitations sur son sexe ; Il allait jouir. Je repliais encore plus mes jambes en tendant mon cul pour quil jouisse le mieux possible. Je le tirais vers moi pour que nous nous embrassions à pleine bouche. Il eu et moi aussi un dernier orgasme puissant.
Une fois nos esprits retrouvés,
Moi « retire toi, cétait bon, tu mas bien donné du plaisir »
Il esquissa un large sourire.
Moi « où est la salle de bain »
Vincent « vient je vais te montrer »
Je traversais lappartement en étant tenu par la main en talon, complètement nue, la vraie pute.
Je me regardais dans un miroir en passant, javais bonne mine
Une fois arrivés, il voulait entrer avec moi « laisse moi que je me fasse une fraicheur »
Je fermais la porte, il était déçu.
En me lavant je dégoulinais encore. Je me faisais couler de leau fraiche sur mon intimité pour me calmer.
Je regardais ma montre, ce fut la panique, il était pas loin de 16h00 ; En sortant je me suis habillée rapidement. Vincent « tu ne veux pas boire un autre café »
Moi « au vue de lheure quil est, je suis plus quen retard »
Vincent « je voudrais que lon se revoit , donne moi ton téléphone »
Moi « écoute je nai pas le temps, donne moi le tien »
Il le marqua sur un post it » Je leur fit un petit bisous sur la bouche » et je suis partie
Je me suis faite discrète pour revenir au bureau, et me suis réinstallée comme si de rien était.
Jétais perdue dans mes pensées, me comporter comme cela avec deux jeunes, vraiment cétait la décadence.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!