La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1167)

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1166) –

Vanessa sort en catastrophe, avant de s’agenouiller devant Le Noble qui s’amuse de la voir ainsi…

- Maître, je suis désolée, je ne savais pas que c’était Vous, je Vous prie de bien vouloir sanctionner mon attitude, s’empresse-t-elle de dire.
- Comme tu le dis, tu ne savais pas que c’était moi, le sujet est clos, répond-t-il souriant. Mais tu sais, j’ai un atelier au Château, la prochaine fois que tu viens, il te suffit d’y poser ta voiture, elle sera entretenue… J’ai 3 esclaves qui sont d’excellents mécaniciens
- Merci pour votre proposition Maître, mais j’aime m’en occuper moi-même.
- A toi de voir ! sourit-Il. Allons, suis-nous, termine-t-Il en se dirigeant vers le salon.

Vanessa les suit à quatre pattes, puis arrivée au salon, sans en avoir reçu l’ordre, c’est tout naturellement qu’elle retire ses vêtements avant de s’agenouiller nue aux pieds du Maître. Le Noble prend son menton dans sa main et relève son visage pour inspecter son œil.

- Hum, il ne t’a pas manqué, tout de même, constate-t-Il fâché.
- Maître, ce n’est pas entièrement sa faute, il avait bu et ne savait pas ce qu’il faisait et de plus, je n’ai pas pris mes distances, pourtant habituellement je le fais toujours.
- Pourquoi avoir changé d’attitude alors ?
- J’ai eu confiance en voyant Votre marque, j’ai pensé que son éducation le rappellerait à la raison.
- Et lui rappeler sa condition ne l’a pas calmé, c’est donc de sa faute, tout de même.
- Non, parce que je l’ai énervé, il n’a pas apprécié que je lui rappelle qu’il risquait des sanctions.
- Ah, donc il était en droit de te frapper ? En droit de s’alcooliser ? Et de faire n’importe quoi étant excusé d’avoir bu ? … Tu as bien des talents, mais celui de la plaidoirie te fait défaut, heureusement que je ne te confie pas mes dossiers juridiques, sourit Le Noble.

Vas nous chercher du café, j’ai à te parler.

Sans dire un mot la jeune femme se lève et se dirige vers la cuisine, elle prépare deux grandes tasses de café, les dépose sur un plateau avec des gâteaux et les ramène au salon. Vanessa pose le plateau sur la table basse, puis se replace en position d’attente aux pieds du Noble.

- Bien, je n’avais pas envisagé le fait que tu pouvais dans le cadre de ton travail rencontrer des personnes de notre cercle. Aussi je ne t’ai pas donné la conduite à tenir dans de tels cas. A partir de maintenant, si une de tes interventions concerne un de Mes esclaves, quel qu’il soit, je veux que tu m’en informes immédiatement avant d’intervenir. Quelle que soit l’heure du jour ou de la nuit, tu m’appelles sur ma ligne privée, c’est compris ?
- Oui Maître.
- Parfait, je te laisse ta journée pour récupérer, ce soir je te veux au Château après le dîner, à 21h précise, Monsieur Le Commandant t’y mènera.
- Entendu Maître.
- Je vais prendre congé et vous laisser entre amoureux, sourit-Il.
- Maître, avant que Vous ne partiez, si Vous le permettez…ose-t-elle pour demander la parole.
- Hum…je t’écoute soumise.
- A vrai dire, nous avions une faveur à Vous demander avec Monsieur Le Commandant.
- Oui ?
- Nous allons commencer à organiser notre mariage pour le faire cet été, et ce serait un immense honneur si vous acceptiez d’être notre témoin, annonce-t-elle d’une voix implorante espérant qu’Il acceptera.

Le Noble regarde son ami, un large sourire sur son visage.

- C’est entendu, vous avez la date ?
- Non pas encore Maître, cela va dépendre des auberges disponibles que nous allons trouver.
- Laurent ? Une auberge ? Pour le mariage de mon plus grand ami, de mon frère, tu n’y penses pas sérieusement ?
- Il y a de très belles auberges dans le coin, sourit Le Commandant.
- Ce mariage se fera au Château et en grande pompes ! J’y tiens, vous n’avez qu’à choisir la date et fournir la liste des invités, Mon personnel sera disponible pour toute l’organisation. Et je vais vous envoyer une organisatrice que je connais bien, elle fait les plus beaux mariages.
- Edouard, c’est trop généreux de ta part, tu n’es pas obligé.
- Je veux que ce jour reste gravé en ta mémoire, comme celui où tu l’as embrassé pour la première fois, sourit Le Noble.
- Merci Edouard.
- Bien, je vous laisse, à ce soir.
- Je te raccompagne.

Laurent raccompagne Le Noble à l’entrée alors que Vanessa reste nue à genoux au pied du fauteuil. Elle patiente en position d’attente plusieurs longues minutes avant que Le Commandant ne revienne. Il revient dans la pièce, s’agenouille face à elle, la prend dans ses bras et l’embrasse amoureusement. Puis il la relève et lui tend ses vêtements avant de retourner à ses occupations. La journée se passe tranquillement, ils dînent tôt pour laisser le temps à Vanessa de se préparer. Laurent s’occupe de la vaisselle pendant qu’elle va prendre sa douche, se maquiller, se coiffer. Alors qu’elle termine, elle voit son compagnon faire son apparition, son collier à la main… Aucuns mots ne sont nécessaires pour qu’elle s’agenouille respectueusement en face de lui. Il lui passe son collier, ne peut s’empêcher de caresser son visage d’une main doucereuse, puis accroche une laisse à son collier pour la mener à la voiture. Avant de la faire monter, il la redresse contre le coffre, se plaçant derrière elle.

- Je t’aime tu sais, mais ainsi tu me fais terriblement envie, j’ai envie d’user et d’r de toi, comme je le fais de toutes les autres. Tu m’en voudrais si je le faisais ?

Vanessa ne dit rien, se contente de lui sourire, pose ses mains à plat sur la voiture, puis tend son fessier d’avantage pour lui faciliter le passage. Il ne se fait pas prier d’avantage, il ouvre son pantalon, en sort un sexe déjà bien dressé et, s’enfonce en elle d’une seule traite, la besognant rapidement, cherchant son unique plaisir jusqu’à se vider dans un long râle. Il l’essuie d’une lingette, la retourne, plonge son regard dans le sien et, l’embrasse amoureusement.

- Je t’aime vraiment.
- Je le sais Monsieur.
- Tu ne m’en veux pas ? s’inquiète-t-il.
- De m’aimer ? sourit-elle.
- Ne te moque pas, se vexe-t-il.
- C’est un honneur que tu me fais, ne crains jamais ma réaction lorsque je suis soumise, quoi que tu me fasses, aussi loin que tu ailles en tant que Maître. Je t’aime.

Il l’embrasse de nouveau, puis la remet à genoux avant de la faire monter dans le coffre. Il prend le volant et conduit prudemment jusqu’au Château. Une fois garé, il la fait sortir et la mène jusqu’au bureau de Monsieur le Marquis. Il frappe et entre sans attendre de réponse, ce qui surprend Vanessa.

- Commandant, je vous en prie prenez place, l’accueille le Châtelain, assis à son bureau,

Un esclave mâle en dessous est en train de le sucer…

- Merci Monsieur Le Marquis, répond-t-il s’asseyant dans un fauteuil tout en laissant Vanessa s’agenouiller à ses pieds.
- soumise Keira MDE, ta journée s’est bien passée ?
- Oui Maître, merci de Vous en soucier.
- Parfait, parfait.

Le Noble se lève en refermant son pantalon, puis rejoint un fauteuil leur faisant face, l’esclave qui était à Ses pieds le suit.

- Vous vous rappelez de ce chien ? Lui aussi est passé entre vos mains.
- Ah oui, il suce mieux maintenant ?
- Comme tous ceux que vous avez éduqué à cet art très cher. Voulez-vous le tester ?
- C’est fort aimable à vous, mais je viens d’r de Votre chienne ici présente, je n’ai pas encore rechargé, sourit Laurent.
- Hum…je vois, sourit Le Noble. Bien je vous propose de passer à la soirée qui nous attend.
- Avec joie, répond Laurent.

Les deux amis se lèvent et sortent du bureau, accompagnés de Keira MDE et du soumis, qui suivent à quatre pattes. Ils arpentent différents couloirs du Château, soudain ils s’arrêtent dans un couloir principal, devant un homme cagoulé, emprisonné dans un carcan. Le Noble claque des doigts, soumise Keira MDE lève les yeux vers lui pour comprendre ce qu’Il attend, mais le soumis à ses côtés se lève, se saisie de la cravache fixée au mur, zèbre d’un coup sonore le fessier de l’homme exhibé, puis replace la cravache avant de reprendre sa place.

- C’est bien, file aux cuisines maintenant, ordonne Le Noble.

Il observe la jeune femme qui regarde avec étonnement la scène, mais lorsqu’elle croise le regard du Maître, elle baisse immédiatement les yeux.

- Bien, tu ne connais pas encore toutes les règles du Domaine, en voici une nouvelle. Tout chien exhibé de la sorte est ainsi pour être sanctionné par l’ensemble des habitants du Château, ses frères et sœurs de soumission y compris. Chaque personne qui passe devant lui, doit lui donner un coup de cravache, et chaque esclave qui ne le ferait pas, ou pas convenablement, en recevrait 10 en retour...

(A suivre …)