La Chapelle Des Degustations

Je me réveillais le lendemain de notre soirée à l’opéra, dans les bras de mon amour. Je m'étais blottie contre lui, alors qu’il me regardait m’éveillait doucement. Il m’embrassa tendrement, alors que je m’étirais telle une chatte paresseuse. Il était 8h30 et nous avions commandé notre petit-déjeuner en chambre à 9h, visant à profiter de cette petite période de tendresse, je me laissais câliner entre ses bras forts. Il continuait de m’embrasser, sur la bouche, dans le cou, sur le front, alors que sa main se promener délicatement sur ma chemise de nuit.
- Bonjour Monseigneur,
- Plutôt « Monsieur le Comte », Chère Madame, je préfère.
- Bien Monsieur le Comte, hummmmmmmm, c’est une façon très agréable de se réveiller
- Oui, c’est une pratique bourguignonne.
Il me retira entièrement ma chemise de nuit, me laissant nue sous les draps de cet immense lit, et continua à me caresser tendrement alors que sa langue fleuretait avec ma bouche. Je comprenais que les préliminaires de ce petit-déjeuner seraient plus lubriques que prévu. Sa main s’attardait sur mes gros seins, les palpant avec passion, stimulant aussi mon excitation matinale. Je cambrais mon corps comme une offrande tacite de mes formes plantureuses, qu’il consommait avec délectation. Sa main plongea entre mes cuisses pour s’emparer de mon vagin, qui souffrait encore des stigmates du châtiment subit la veille au soir à l’opéra. Je me cambrais encore plus, réagissant à ses caresses. Il me releva et se glissa derrière moi, m’installant couchée sur le dos entre ses jambes. Il écarta mes cuisses avec ses jambes, me passant mes bras en dessous des siens, me laissant coincée ouverte et offerte à ses caresses. Alors que sa langue s’occupait des zones érogènes de mon visage, une de ses mains jouait avec mes gros seins, alors que l’autre s’était introduite entre mes cuisses me doigtant d’abord avec tendresse, mais accélérant au fil du temps. Il voulait me faire jouir au réveil, coincé contre lui, disponible et ouverte, utilisant les parties charnelles de mon corps comme des instruments, avec comme seul objectif de me pousser sur le panthéon du plaisir.

Pas encore remise du traitement de notre soirée, je jouissais à nouveau, et je savais qu’il allait continuer à utiliser mon corps jusqu’à mon départ prévu pour le lendemain. Alors que le personnel de l’hôtel toquait à la porte afin de nous apporter nos plateaux, il finissait de me faire jouir tout en me bâillonnant afin de ne pas attirer l’attention.
- Ohhhhh Thierry arrête, ils sont derrière la porte.
- Non pas tant que tu n’auras pas jouie, ma belle
- Ohhhhhh, Ouiiiiiii ....... Hummmmmmmm
- Oui comme ça ma belle, tu aimes que je te pétrisse tes belles mamelles
- Ohhhhhhhhh, Ouiiiiiii, encore.......
- C’est bien, cambre toi beauté, tu es si belle quand tu jouis .....
Après un ultime gémissement, je me cambrais de plaisir avant de retomber sur le lit. Il me recouvra du drap, et alla ouvrir la porte.
- Voilà ma chérie le petit-déjeuner est servi
- Tu es un démon laisse moi quelques minutes pour reprendre mon souffle.
- Ma belle au bois dormant, serait-elle en manque de sommeil, ou un baiser pour la réveiller devrait suffire ?
- Donc ta pratique de réveil bourguignon s’inspire des chefs d’œuvre de Disney ?
Nous profitions du petit-déjeuner, Thierry m‘expliquant le programme de la journée. Tout d’abord, visite du domaine, ainsi qu'une dégustation privée en cave avant de déjeuner dans un restaurant gastro du village. Pour le soir, il avait prévu de m’emmener à une soirée organisée par la confrérie des vignerons. Au programme dégustation de vins intronisation des nouveaux sommeliers, et repas traditionnel.
Une fois le petit-déjeuner terminé, je passais à la salle de bain pour me préparer. Bien que pas trop adapté au programme de la journée, j’avais toutefois privilégié mon coté chic, et glamour avec une robe bicolore fendue, très élégante, avec deux blocs de couleur verticaux, blanc en son milieu et Bordeaux sur les hanches. La robe mi-longue m’arrivait au tibia avec une coupe type crayon année 60 et une petite ceinture pour resserrer ma taille ultime atout charme.

Enfin prêts, nous quittions l’hôtel avec sa voiture à destination du domaine familial. Cette ballade était un vrai moment d’évasion. Cette découverte dans les caves de Thierry était une étape incontournable pour une initiation aux secrets des vins de Bourgogne. Sur la route des grands crus, le petit village du sud de la Côte d’Or, dévoilait un bel et vaste manoir particulier, remarquable par plus d’un aspect. Cet édifice abritait la maison des vins de la famille de Thierry fondée en 1860 et internationalement reconnue. Le château datant du XV e siècle fut reconstruit au milieu du XVII e siècle. s’inspirant du style des constructions d’origine avec dans la partie droite de la cour d’honneur, des imposantes douves, et un parc.

Avec des superbes caves voûtées, construites sur deux niveaux, dont la plus ancienne datait du XVe siècle, c'était un cadre exceptionnel dans lequel était produit des fleurons régulièrement récompensés, issus notamment de la Côte de Beaune et de la Côte de Nuits. Durant cette visite de dégustation, il voulait me faire découvrir la diversité des appellations bourguignonnes, afin de percevoir les secrets de l’épanouissement des vins. Lui étant un fin œnologue et moi simplement curieuse, nous allions de découverte en découverte, au travers ces grand-crus célèbres. Par soucis de discrétion, il ne s’attarda pas à me présenter au personnel, m’emmenant directement dans les caves voûtées afin de démarrer cette dégustation. La première cave était immense remplie de tonneaux en son centre, mais également entourée par des geôles grillagées dans lequel les bouteilles étaient stockées. Un éclairage spécial tamisé et discret pour protéger les vins donnait un aspect romanesque à cette cave.
- Tout votre vin est stocké ici ?
- Non, juste les plus prestigieux, c’est surtout pour mettre en valeur le domaine, car il n’y a pas assez d’espace pour gérer et stocker notre production. En réalité, notre véritable usine est à quelques kilomètres dans un complexe flambant neuf.
- Et alors que vas-tu me faire goûter.
- Descendons dans la seconde cave, tu verras, c’est encore plus magique.
En effet, le dernier niveau, nettement plus petit était organisé de la même façon, mais sa petite taille le rendait encore plus typique. Un grand tonneau en son milieu faisait office de bar. Un homme nous attendait, que Thierry présenta comme l’œnologue du domaine, et qui allait nous faire la dégustation. Avec un curriculum incroyable, il avait travaillé dans les plus grands domaines en France et aussi à l’étranger. Pour notre dégustation, il avait prévu plusieurs vins blanc et rouge pour un voyage sensoriel à travers les plus beaux vignobles. Les bouteilles étaient mythiques proposant une dégustation d’anthologie, Chassagne, Meursault, Gevrey, Vosne-Romanée, j’enchaînais les verres dans cette petite cave voûtée qui commençaient à me faire tourner la tête, profitant et riant, dans ce moment hors du temps en compagnie de mon amant. Après 1 heure de dégustation et plusieurs verres de vin, Thierry m’entraîna dans les caves pour continuer la visite.

Les caves avaient été construites dans ce qui devait être les restes d’un donjon octogonal que l’on pouvait imaginer et découvrir à chaque volée de marches. Un peu pompette, il me soutenait par le bras, tout en m’entrainant dans les niveaux inférieurs. On descendait par un petit escalier circulaire en pierre, me donnant la sensation d’être dans un film de cape et d’épée. Il était Joffrey de Peyrac et j’étais sa Marquise des Anges marchant vers sa destinée remplie d’aventures les plus sulfureuses les unes que les autres. Une fois en bas des marches, il me poussa contre les pierres froides pour m’embrasser fougueusement dans cet espace mystérieux et frais plein de romantisme. Sa langue me fourrait le palais, avec gourmandise, et ses mains se promenaient sur ma robe moulante affamées de mes formes plantureuses.
- J’ai envie de te violer ma belle, tu m’excites trop !!!!
- Ohhh Thierry tu es fou, pas ici.
- Je te laisse quelques secondes pour t’enfuir, et si je t’att, tu seras à moi.
J’acceptais le défi et prenais la direction des caves dans les profondeurs des mystères du château. Je marchais au travers d'une galerie desservant différents caveaux ou étaient entreposés des tonneaux et bouteilles, mais aussi des objets traditionnelles et insolites de vinification et de vendanges. J’y découvrais un pressoir d’origine et des tonneaux anciens qui témoignaient de la tradition vinicole de la famille de Thierry depuis des générations. Je m'étais arrêtée pour mieux observer, quand je sentis la présence de Thierry derrière moi, qui me saisissait de ses bras forts. Il m’avait attrapé, et attiré contre lui, m’embrassant fougueusement dans le cou alors que ses mains jouaient de ma poitrine volumineuse mise en valeur par cette robe moulante. Je me blottissais contre lui, le laissant profiter de mes avantages mammaires, mais aussi excitée par l’endroit insolite et la virilité de mon amant. Je sentais son sexe bien dur se frotter à moi. Ses grosses mains fermes me palpait mes gros seins avec frénésie alors que je sentais son souffle rauque dans ma nuque et son sexe de plus en plus dur contre moi.
- Hummmmm, tu te laisses attr comme une petite pucelle la Jouvencelle, tu as envie de te faire punir par Monsieur le Comte.
- Ohhhhhh oui Monsieur le Comte faites de moi ce que bon vous semble
- Tu m’as l’air bien excite...
- Hummmmmmmmm….
Il m’avait plaqué la main sur la bouche et augmentait la pression et la frénésie de ses caresses sur mes seins, m’arrachant des gémissements et miaulements de chatte qui voulait et allait se faire saillir. Je me laissais faire, comme une poupée entre les bras d’un , répondant à ses préliminaires par les mouvements tacites de mon corps attendant avec impatience le moment où il allait me posséder. L’endroit et l’effet de l’alcool, m’avaient totalement désinhibé, et je me moquais des éventuels employés qui auraient pu circuler dans ce lieu exigu, n’aspirant qu'à me faire prendre violemment par amant dans cet endroit insolite.
- Monsieur le Comte veut peut-être que je le suce ?
- Quelle petite dévergondée vous faites. Toutes les caractéristiques d’une roturière débauchée… Je vous laisse encore une chance d’échapper à votre punition…
Je repris ma fuite pour dans ce grand couloir sombre pour aboutir à une petite chapelle dédiée à Saint-Vincent patron des vignerons qui fermait la galerie. Cette chapelle castrale faisait partie des éléments constitutifs du château d’origine. Elle possédait à l’époque autant un rôle religieux qu'un rôle de représentation, et contenait tout un lot d’objet hétéroclite aussi bien utilisé par le culte, mais également le seigneur des lieux. Sur la gauche de la chapelle, se trouvait un petit confessionnal alors que sur sa droite un pilori d’époque, disposé comme un paradoxe entre le pardon et la rédemption. Je comprenais maintenant pourquoi Thierry m’avait entraîné ici, et imaginais bien ce qu’il avait en tête pour la suite de la visite. Le confessionnal était en chêne, encastré dans l'épaisseur du mur. Il s'agissait d'un confessionnal à deux loges, l’une réservée au prêtre, l’autre pour les pénitents. Ce meuble d’église destiné à l’audition des confessions permettait au pénitent de se tenir à genoux pendant toute la durée de sa confession, séparé par une petite cloison verticale s’ouvrant de manière latérale, alors que le confesseur dans sa cellule était muni d’un siège. Alors que je regardais avec curiosité la chapelle, une fois de plus je fus rattrapé par Thierry qui se ressaisit de mon corps par-derrière.
- Bien, je crois que maintenant la pucelle roturière va devoir se confesser et faire pénitence…
- Ohhhhh Monsieur Le Comte, punissait moi parce que j’ai pêché !!!!
- Installez-vous belle pécheresse, et venez me confesser vos péchés…
Je prenais place à genoux dans le confessionnal à la place du pénitent, alors que Thierry s’installait à l’intérieur. Il ouvrit la grille transverse et passa sa main au travers m’attrapa par les cheveux pour approcher mon visage de son sexe qu’il avait libéré et qui se dressait bien tendu devant moi.
- Viens chercher ta pénitence, prends ta punition si tu veux l'absolution.
- Oui Monsieur le Comte, Hummmmmmmmmm
Il m’avait fourré sa grosse bite dans la bouche, pour que le suce dans cette position totalement fétichiste à genoux dans ce confessionnal. J’avais ce gros sexe bien dure entre mes lèvres et prenais un plaisir fou à le lécher, toujours emprunte d’un sentiment de liberté, accentué par le vin dégusté, mais aussi les vapeurs d’alcool qui se rependaient dans les caves.
- Vas-y ma belle, suce-moi bien comme ça moi, tu es une bonne lécheuse, une bonne butineuse.
- Hummmmmmmmmmmm
- Oui, continue comme ça, c’est bien, bouffe-moi ma grosse bite.
Il me baisait la bouche, tirant mes cheveux avec rage, comme pour me soumettre encore plus, et démontrer sa puissance. Je profitais intensément de ce moment de domination consommant son membre avec gourmandise et appétit. Je sentais qu’il s’abandonnait, détectant ce moment fugace où les hommes basculent perdant le contrôle avec une éjaculation inéluctable. J’accélérais à dessein souhaitant qu’il se vide dans ma bouche, et aussi pour lui montrer tout mon amour, ma dévotion et ma soumission. Il se redressa rapidement, sortant son sexe du piège de mes lèvres pulpeuses…
- Grosse pute, tu as essayé de me faire jouir… Ce n’est pas comme ça que tu vas avoir mon absolution, pécheresse !!!!
Il sortit du confessionnal, m’attrapa par le bras et m’entraîna de l’autre côté de la chapelle vers le pilori d’époque. Cet appareil, destiné aux punitions corporelles, était destiné à immobiliser et humilier une personne qui venait d’être condamné par les juridictions ou l’église. Il se présentait sous la forme d'un dispositif en bois, constitué de deux-pièces avec dans chacune trois cercles, deux pour les mains, et un pour la tête, immobilisant les poignets et le cou du prisonnier. Il me positionna dans l’appareil et le referma, m’empêchant de bouger et de sortir. Il se plaça derrière moi et je pouvais sentir ses mains se poser sur ma croupe offerte encore protégée par ma robe, mais je savais que ça n’allait pas durer bien longtemps. Il releva le bas de ma robe lentement, découvrant ma culotte noire recouverte par un collant beige, qu’il regardait avec contemplation.
- Tu sais ce qu’on faisait aux roturières soupçonnées de sorcellerie à l’époque pour les faire parler ?
- Ohhh, non Monsieur le Comte, peut-être qu’on les violait ?
- Oui et ce que je vais faire avec toi, je vais te saillir, te violer, te prendre, c’est bien pour ça que tu es venue, sorcière ?
- Oui, prenez-moi, violez-moi, ma croupe est à vous !!!
De ses deux mains, il décrira mon collant, le séparant en deux pour laisser mes fesses presque totalement offertes, avec pour dernier rempart, la dentelle de mon tanga noir, avec laquelle il jouait. Je sentais un plaisir intense survenir à mesure que mon excitation érotique grandissait et que la tension sexuelle augmentait. Nous étions tous deux dans un état et besoin de transgression totale . Se donner sans règle et sans limite l’un à l’autre, sans se préoccuper de nos conditions sociales et familiales. Sa main écarta ma culotte et plongea entre mes cuisses fouillant mon vagin avec délectation. Mon rythme cardiaque s’accélérait à mesure que ses mains fouillaient ma croupe et que mon vagin était secoué par une série de contractions involontaires. Il me fouillait, me doigtait, me palpait, avec pour conséquence une multitude de manifestations périphériques comme la dilatation de mes pupilles et la contraction de mes pieds. Il m’amenait à nouveau vers des sensations orgasmique dont je savais qu’elles seraient multiples et courtes. Sa main s’abattit à nouveau sur mes fesses, encore plus fort que la veille. Il me fessa avec violence et perversité. Notre relation prenait un tournant rempli d’amour, mais de perversité sexuelle qui ne devait se soucier d’aucune morale. J’avais dépassé le stade d’une sexualité génitale, et toutes mes expériences de soumission préalable n’avait eu qu’un seul but : me conduire dans cet endroit où il n’y avait plus de différence entre transgression et perversion avec l’homme que je n’avais jamais cessé d’aimer pendant ces longues années. Un premier orgasme me transperça. De durée en générale variable, ces orgasmes clitoridiens duraient quelques secondes, mais se répétaient en boucle, jusqu’à l’ultime jouissance qui pouvait durer plus d’une minute. La séquence avait donc démarré pour un parcours ponctué de plaisirs sexuels dont j’étais le jouet et l’actrice principale.

Je sentis enfin son sexe en moi, il s’était accroché à mes collants déchirés, afin de mieux me posséder, et alors que j’étais toujours restreinte dans ce pilori, je sentais les va-et-vient de son sexe en moi me dévaster. Il me pilonnait, me défonçait, me baisait comme une machine, une bête, un animal. Il m’avait fait jouir déjà plusieurs fois et maintenant ne désirait qu’une chose que de répandre son foutre en moi ou sur mon corps et m’exhiber comme un trophée. Je sentais en moi son sexe beau et puissant, utilisant mon corps comme un objet, comme une poupée sexuelle, qui allait me faire atteindre un nirvana de plaisir. Je jouissais de ma situation, mon excitation était indescriptible, mes yeux se révulsaient sous les coups de son membre.
- Voilà, c’est bien comme ça, tu aimes ça grosse salope te faire prendre par Monsieur le Comte.
- Ohhhhhh, oui prends moi, possède-moi, tu me fais jouir, Haaaaaaaaaaa
- Bouge ton gros cul de bourgeoise parvenue ma belle, remue ta croupe pour faire plaisir à ma bite d’aristo.
- Houuuuuuuuu, Mon Dieu, Hoooooo Thierry ..... Ouiiiiii !!!!!
- Je vais te marquer de mon sperme, ma belle, et tu vas le garder toute la journée, tu es à moi, Ouiiiiiii, tu m’excites trop, ohhhhhh ce cul !!!!!!!!
Il continuait de me pilonner comme un prédateur, un chasseur qui venait d’attr sa proie et qui la consommait comme il voulait. J’étais perdue, à lui, je lui appartenais, je voulais qu’il continue à me baiser encore et encore... Je sentais toutefois arriver sa délivrance et remuais mes fesses afin de l’exciter encore plus, quand son sperme se rependit sur mes fesses, ma robe relevée et ma culotte noire. De grands jets m’inondèrent la croupe, me recouvrant. Il se vida, frottant son sexe sur mes fesses et s’essuya sur ma robe, laissant des marques sans équivoques sur mes vêtements alors que nous avions réservé un restaurant gastronomique pour le déjeuner. Il était que 12H30, et il m ‘avait déjà emmené deux fois au paradis des sens et du plaisir, alors que la journée n’en était qu’a la moitié. Il rabaissa ma robe, essuyant son sperme sur mes fesses avec, afin d’accen encore plus les traces.
- Voilà ma belle, tu es marquée pour la journée, on peut aller déjeuner maintenant, j’ai réservé à 13H dans un restaurant du village.
Il me libéra, et malgré mes protestations refusa que je nettoie ma robe. J’étais tachée sur tout l’arrière, et la provenance et la teneur des traces ne faisait aucun doute. Un peu pris par le temps, nous nous hâtions afin de rejoindre le restaurant

"La maison Loise" était un restaurant typique de bourgogne et véritable institution de la Gastronomie Française, avec une histoire de Chefs & d’étoiles qui s’étendaient sur plusieurs générations. La carte mettait en avant les produits, de saison réactualisée au fil du temps. Alors que le maître d’hôtel nous conduisait à notre table, je prenais garde à masquer, autant que je le pouvais, les traces de mon amant bien en vue sur ma robe. Une fois à table, j’étais bien décidée à ne plus bouger, mais c’était sans compter sur Thierry et son opiniâtreté. Nous avions opté pour un plat unique, nous préservant pour le dîner et la soirée de la confrérie. Je commandais un Turbot arrosé d'un beurre fumé aux sarments de vigne, accompagné de verre Meursault. Nous profitions de notre repas et notre intimité, Thierry me racontant l’histoire de sa vie et leur rapport avec la vigne, alors que moi plus taquine, je le questionnais sur le reste de la journée.
- Et qu’as-tu prévu pour le reste de l’après-midi, maintenant que tu as fini ta dégustation personnelle
- Et quelle dégustation, je dois avouer que c’est de loin la plus agréable que j’eus l’occasion de faire
- Oui, je crois que ma robe va s’en souvenir longtemps.
- Et tu as aimé.
- En vérité... Tu m’as fait beaucoup jouir.
- Hummmmm, je vais payer, et je pense qu’on va terminer cette conversation à l’hôtel. J’ai une folle envie de m’occuper de ton gros cul.
- Tu penses en avoir encore la force ?
Il me laissa finir mon dessert, et plutôt que de demander l’addition à table m’entraîna vers la réception, me bloquant debout, attendant qu’il paye. J’étais gênée, tournant le dos à la salle, qui ne pouvait pas manquer d’observer les tâches blanches sur ma robe moulante. Il me tenait par la taille, afin de me garder immobile dans cette position délicate.
- À ton avis combien d’homme sont en train de mater ton gros cul plein de sperme
- Ohhhh Thierry, dépêchons-nous de payer et rentrons, on verra si tu as encore de la réserve.
- Madame me provoque très bien, tu ne vas pas le regretter.
Enfin la note réglée, nous rentrions à l’hôtel, comme deux jeunes amoureux pressés de trouver de l’intimité. Une fois dans la chambre, il referma la porte et se colla à moi, dans mon dos, ses deux mains contre mes seins.
- Cet après-midi, est réservé ma belle pour toi seule, je vais te faire mourir de plaisir.
- Hummmmm, j’ai envie de toi, prends-moi sur le lit...
- Non pas comme ça, j’ai prévu autre chose.
Il me retira ma robe qu’il jeta par terre, me laissant en collant et dessous noir. Utilisant l’ouverture de mes collants déchirés, il glissa sa main entre mes jambes, attrapa mon tanga noir, et tira dessus violemment le déchirant d’un côté. Il déchira l’autre côté, retirant le morceau de tissu en dentelle de mon corps, et me l’appliquant autour de la bouche, qu’il attacha avec les bouts déchirés.
- Mieux vaut prévenir que guérir, afin d’éviter que tes hurlements nous posent des problèmes....
- Hummmmmmmm, Hummmmm, Hummmmmmm
Toujours tous les deux debout, dans le milieu de la chambre, lui derrière moi, me tenant fermement, il m’enleva mon soutien-gorge, ne gardant que mes collants déchirés en guise de protection. Il me caressait mes gros seins lourds, tirant sur mes tétons pointus, m’arrachant des petits gémissements d’excitation. Sa main gauche me fouillait entre les jambes alors que sa droite jouait avec mes belles mamelles libérées de femme mûre. Il me poussa enfin sur le lit, me couchant sur le ventre, alors qu’il se positionnait au-dessus de moi avec sa tête à l’inverse de la mienne, juste positionnée entre mes fesses. Il écarta mes cuisses avec ses mains, resserra mes bras le long de mon corps afin de m’immobiliser avec ses cuisses et plongea sa langue et ses mains entre mes jambes. Je sentis deux doigts jouer entre mes jambes excitant les grandes lèvres de mon vagin alors que sa langue explorait mon petit trou. Allongée sur le ventre, je savais que j’allais subir ces caresses, jusqu’à ce que j’explose de plaisir. Il n’était pas question pour lui de prendre du plaisir en me pénétrant, mais juste jouer avec mon corps de ses mains et me donner du plaisir pour moi seule. Bâillonner avec mon tanga, la tête coincée contre l’oreiller, mes cris et gémissements étaient fort heureusement atténuer. Il en profita, pour me doigter, plongeant ses doigts dans chaque millimètre de mon vagin offert, cherchant quel endroit et quelle paroi vaginale serait la plus sensible. Je tentais de gigoter mon corps immobile et restreint répondant aux caresses ininterrompues qu’il m’appliquait.
- Hooooooo, Hummmmmmm, Ouiiiiiiiiiiii !!!!!!!
C’était un bourreau, qui me torturait de plaisir, je jouissais, criais, gémissais, pleurais. Un voile avait recouvert mes yeux révulsaient de bonheur. Ses doigts allaient et venaient entre mes cuisses. Sa langue me fouillait l’anus, ses dents mordant parfois ma croupe, alors que de grandes claques venaient de temps à autre ponc l’assaut de plaisir que je subissais. Il continua encore et encore, sans conscience du temps et l’après-midi qui défilait dans cette chambre d’hôtel, loin de tout. À plusieurs reprises, j’avais resserré mes cuisses afin de reposer ma chatte en feu, essayant d’atténuer ou de ralentir ses caresses. Il me laissait souffler alors quelques instants et écartait mes cuisses de plus belle replongea ses doigts dans mes entrailles. Je sentis son pouce remplacer sa langue qui entrait dans mon anus, il me sodomisait d’un coté et me conduisait vers un coït vaginal de l’autre. Quelle extase, quel délice, et quel amant. Que d’année perdue, à attendre cet amour qui raffolait de mon corps, de mes formes, et dont le seul but était de me donner du plaisir. Je sentais ses mains se cramponner à ce qui restait du nylon de mes collants alors que son sexe durcissait dans mon dos. La situation l’excitait à nouveau, et il bandait maintenant comme un taureau, frottant sa verge contre mon corps.
- Tu sens mon doigt dans ton petit trou ma belle, je te prépare pour ce soir, je vais te sodomiser pendant la soirée de la confrérie, te mettre ma grosse bite bien profondément dans ton cul et quand on reviendra à table, tu seras couverte de sperme et tu ne pourras plus marcher.... Dis-moi que tu veux que je t’encule ce soir....
- Hummmmmmm, Hummmm, Hummmmmm
Il me rendait esclave d’un désir excessif, que je ne parvenais pas à refréner. J’avais besoin pour l’assouvir d’ignorer toutes règles morales ou sociales et me donner de manière obscène à mon amant. Plus aucune limite, je ne voulais que ressentir le plaisir sexuel qu’il me donnait afin de rassasier mon hypersexualité. J’avais joui plusieurs fois, quand un orgasme violent me transperça le corps, me laissant dans un état d’extase pendant de longues minutes. Je m’écroulais, vaincue, possédée, et heureuse, m’assoupissant nue dans ce lit, essayant de trouver du repos pour la soirée des vignerons qui était dans quelques heures.