Une Belle Soirée ?

Nous sommes trois couples, le notre plus âgé de 5 ans environ. Souvent, car vraiment intimes, nous nous recevons pour tous nos anniversaires, fêtes de fin d’années et d’autres quand l’envie nous prend.
J’oubliais de préciser que maintenant j’ai 65 ans.
Cette nuit un souvenir m’a réveillé j’étais toute en émoi. Je me souvenais de tout et avec détails.
Laissez moi vous le raconter.
 cette époque j’avais 35 ans mon mari 36, nous venions d’emménager dans un immeuble neuf.
Nous étions les premiers et les seuls.
Comme de bien entendu nous avions invité nos amis.
Comme il ce doit en pareille circonstance de « pendaison de crémaillère » le champagne ne se livrait pas en une seule bouteille.
Les voix se faisaient plus fortes et nous éclations tranquilles car sans voisin !
J’avais prévu une fondue bourguignonne (facile car c’est mon mari qui la prépare) et puis je trouve que ça simplifie le travail en permettant de bien profiter de la conversation et des blagues de chacun.
Bien sûr le bourgogne !!! Et puis le café et surtout les digestifs…
Là je ne suivais plus bien les histoires. « pompette » ? Plus je pense.
Comme d’habitude après nos repas nous faisions un jeu de société.
Ce soir là c’est d’un « poker » !!! Je n’ai jamais bien compris comment ça se joue, aussi très vite je me suis éclipsée un mal de crâne naissant.
Toilette basée sur « l’essentiel » et dodo.
Couchée je les entendais vaguement. J’avais laissé la veilleuse allumée car je ne me sentais pas bien mais je finis par sombrer.
Je dormais profondément cuvant l’excès de « mirabelle » Quand je fus secouée par mon mari.
Il avait un drôle d’air, un que je ne lui connaissais pas. Il était crispé et les yeux battus.
« Qu’y a-t’il que tu me réveille ? »
« Ben ! Heu… »
« Accouche QU’Y A-T- IL ? »
« J’ai perdu aux cartes »
« Et c’est pour ça que tu me réveilles ? D’abord, ce n’est pas la première fois que ça t’arrive…comme à moi du reste mais bon.

Tu me caches quelque chose. »

« J’ai beaucoup perdu ! »
« … ? C'est-à- dire ? »
« Quinze mille francs »
« Comment ça, vous avez joué pour du fric ? C’est nouveau ! »
« Oui c’est venu comme ça, on étaient allumés et je ne sais pas qui a eu cette idée. »
« 15 000 balles mais tu te rends compte ? Quatre fois nos traites pour l’appartement ! Mais à quoi tu pensais »
« J’étais trop ivre pour ça. Mais ils m’ont dit tous les quatre que si tu es la dette, ils effacent tout… » »
« Moi, la dette ? Dette de quoi ? »
« Si tu veux, tu seras leur objet contre les Quinze mille… »
« Tu es sérieux là ? »
« Oui ! ‘faut que tu viennes comme tu es… »
Je me suis levée vêtue d’un pyjama style chinois.
Il y avait une fumée acre, une odeur que je ne connaissais pas. Plus tard j’apprendrais que c’étaient « des joints ».
Je m’avançais les mains tenues dans le dos par Pierre. Je n’y prenais pas garde car souvent par jeu il le faisait.
Par contre ce soir là je me sentais gênée d’offrir ainsi ma poitrine qui saillait fort mise à l’avant. Ce n’est pas qu’elle soit imposante avec un 85, bonnets C ou D suivant les modèles mais ce soir je n’éprouvais aucune fierté pour ma personne d’autant plus que j’étais pieds nus donc plus petite…
« Voilà notre argent sur patte ! » s’exclama l’un d’eux !
« Approche Julie ! »
« Qu’est-ce que vous me voulez ? »
« Mais toi ma chérie ! TOI » annonça Mathilde.
« Pourquoi faire ? »
« Pour jouer et jouir de toi Belle Dame »
« Bon c’est bon, c’est une blague ! »
C’est alors que Dominique la plus jeune s’est approchée et me prit la tête dans ses mains et me cracha « C’est toi ma chérie ! Tu es notre dû donc tu dois obéir ! »
« Allez vous autres attachez la j’ai envie de la voir moins fière.»

Pierre retira le fusil de dessus la porte fenêtre séparant le hall du séjour et me lièrent les mains en hauteur.
Je n’en menais pas large.
Mes idées tournaient sans trouver la raison de ma situation. Des Amis de toujours qui étaient déchaînés…ça me faisait peur mais je me disais que ce n’était qu’une blague sauf que Mathilde et Dominique avaient un regard dur et grinçant.
« Allé Pierre, c’est ta bourgeoise, fait nous voir ses trésors ! »
« Attend ! Je prends mon appareil. »
Ma poitrine fut dévoilée, photographiée ! Moi je fermais les yeux pour me plus les voir et aussi pour cacher ma honte d’être aussi exposée comme de la marchandise… En fait je l’étais devenue.
« Descend lui le pantalon. »
Je devais rougir car j’ai eu brusquement le visage en feu.
« Woua ! La touffe qu’elle a! Faudrait qu’elle se la rase » rigola Mathilde. « Moi je suis lisse et Pascal aime ça n’est-ce pas chéééri ? » dit-elle d’une voix pâteuse.
« Oui c’est vrai et j’aime la lécher et en plus c’est tout doux. Tu devrais le lui faire mais le mieux serait qu’elle aille dans un institut »
J’étais rouge de confusion, la honte !!! Incommensurable, je voulais que ça cesse mais je savais que ce n’était que le début de…du pire…Mon humiliation pour 15 000 francs !
Pierre m’a détaché une main. Je repris espoir, c’était tout !
Mais non c’était pour libérer la veste, vite il m’attacha le bras. Il descendit le pantalon je du relever un pied puis l’autre pour me retrouver nue, complètement nue devant quatre personnes que je connaissais certes mais toujours vêtue même si parfois pour aguicher les copains je laisser apparaître mes seins.
C’est vrai que j’avais pris goût à un peu d’exhibition, c’est ainsi que ne nécessitant pas de soutien j’adoptais pour un chemisier ajusté quelque peu transparent sous une veste à un seul bouton placé bas !
Eux connaissant mes penchants voulaient en voir plus et beaucoup plus !
Je n’imaginais quand même pas, dans mon tourment, la suite.
Nue donc les bras en l’air exposée sans pouvoir me défendre ni cacher une partie de mon intimité, je les ai entendu se lever.
Je gardais les yeux fermés crispée par ce que je craignais.
Ils me soufflèrent la fumée de leurs cigarettes, moi qui ne fume pas, je me mis à tousser ce qui je m’en doutais faisait trembler mes seins.
Une main, puis une autre puis toutes pour me caresser, me palper.

J’essaye d’éviter ces gestes mais que je me tortille, entravée ne fait que les exciter. Une chaleur malgré moi m’envahit je la sens dans mon bas ventre ! Pourtant je ne veux pas ! NON, JE ne VEUX pas !!!
Je sens mon vagin qui doit couler, mes poils pubiens vont être trempés ! Et je vais sentir…

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