Rencontre Dans Les Bois
Promenade dans la forêt des Alinettes
Je me promène seul dans les bois et rencontre un groupe de jeunes femmes par ailleurs très jolies, elles me demandent si je ne pourrais pas uriner devant elles, car chaque fois qu'elles ont vu cela l'homme avait le dos tourné et elles rêvent de voir la chose plus en détail.
Je dis : d'accord, et si vous voulez tous les détails je veux bien me mettre tout nu pour le faire, leurs visages s'illuminent alors devant cette offre inattendue et dépassant leurs espérances.
Elles m'emmènent dans une petite clairière en dehors du chemin, au centre de celle-ci le soleil brille encore de tous ses feux et lherbe est même un peu roussie par la sécheresse des derniers jours, je pose mon sac de voyage entre deux arbres à la lisière semi-ombragée où le sol semble encore un peu humide bien que déjà recouvert dun léger tapis de feuilles mortes.
Ma respiration saccélère un peu et mon coeur bat plus vite à lidée de ce que je mapprête à faire pour elles, mais je nai pas le temps de choisir lendroit ni la méthode: elles sont tellement pressées du spectacle qu'elles commencent à me déshabiller elles-mêmes et elles semblent s'en amuser comme des folles. Tout dabord ma casquette, ma montre, mes chaussures et mes chaussettes sont jetées près de mon bagage sans ménagement, et quand seuls me restent mon pantalon et ma chemise, elles prennent une petite pause.
Le contact de mes pieds nus sur le sol humide me calme un peu et je respire à nouveau normalement, la sensation sur la plante des pieds est très agréable, non seulement à cause de la fraîcheur de lhumidité, mais surtout je ressens la douce caresse des feuilles aux mille formes.
Que lui enlève-t-on à présent? Marianne à toi de choisir.
La nommée Marianne arbore un grand sourire, sapproche de moi doucement et commence à déboutonner ma chemise, le bouton du bas, le suivant... à chaque bouton elle entrouvre la chemise un peu plus.
Les fines mains de Marianne écartent bientôt toute ma chemise vers larrière, laissant voir mon torse frémissant à toutes ces filles dont les yeux brillent de plus en plus, puis Marianne, me contournant, fait glisser le vêtement de mon corps et ma chemise rejoint le petit tas de mes affaires personnelles.
Voilà, dit Marianne, A ton tour Valérie, bien quil ny ait plus rien à choisir! - rires de toute lassemblée! - Valérie doit être la plus jeune des filles, peut-être à peine 18 ans et semble être la plus timide aussi. Elle sapproche doucement puis se décide dun coup et défait la boucle de ceinture comme par magie. Le bouton du pantalon ne lui résiste pas longtemps non plus, mais elle prend tout son temps pour descendre la tirette.
Elle aussi passe derrière moi pour prendre les bords du pantalon à la taille et elle le fait glisser lentement vers le bas, comme pour me donner en spectacle à ses amies. Effectivement son jeu ne les laisse pas indifférentes: elles ne peuvent retenir de petits cris démoi, surtout quelles saperçoivent alors que je ne porte plus quun petit string noir qui cache à peine mon sexe. lèves la jambe droite dit Valérie, et elle fait passer la jambe de mon jeans par en-dessous, puis elle me fait lever la jambe gauche et je me retrouve vêtu de mon seul string, le pantalon rejoint aussi le petit tas.
Quelques commentaires fusent: Moi jaime quand les hommes portent le string, Si on lui demandait duriner dedans?, Ah! non alors!, il a dit quil voulait bien le faire tout nu, et moi je veux voir le spectacle en entier, On dirait quil a un tout petit zizi comme cela,On va bien voir quand on lui aura enlevé, Quest-ce quon attend? à qui le tour? tu veux le lui enlever ma petite Thérèse?, Oui, cela me plaît et jaime ses petites fesses bien rebondies, je vais les regarder de plus près
Thérèse sapproche alors et ne peut sempêcher de me caresser les fesses, en même temps elle passe ses doigts dans la ficelle du string et fait descendre celui-ci lentement mais sûrement.
Rien que de savoir que je suis à présent tout nu et à leur merci, j'entame une demi-érection qui fait bien rire les plus jeunes d'entre elles. Surtout que la légère brise qui entoure mon corps me donne des sensations extraordinaires, jamais je ne me suis senti aussi nu. Partout le vent me procure des petites chatouilles bien agréables.
Nouveaux commentaires: vous voyez quil na pas un si petit zizi que cela!, moi, jaime bien ses petits tétons dhomme, je voudrais les lui toucher un peu avant pour voir s ils se pointent plus, vas-y, on le fera pisser ensuite! Thérèse savance alors et vient faire de petits mouvements circulaires sur mes tétons avec ses index, regardez!, sécrie-t-elle, cela marche!, je jette un coup doeil: jamais je ne les avais vus comme cela. Elle se met alors à les pincer à plusieurs reprises tout en tirant légèrement, à mon étonnement je navais pas mal, au contraire une jouissance qui métait inconnue me faisait frissonner de sensations nouvelles.
Je me sentais tout-à-fait prêt à leur donner le spectacle demandé, mon besoin duriner devenant même pressant, je leur demande si je peux commencer.
Une petite minute!, il faut que tu sois en bonne position, tournes-toi par ici, que tout le monde puisse bien te voir, maintenant, écartes les jambes le plus fort possible jaime que tous tes muscles soient bien tendus, sexclame Marianne, et rentres bien le ventre, mets les mains sur la tête. Jobéis à tous les ordres et tend bien mon corps, mapprêtant à leur donner le meilleur spectacle possible.
Une des filles était professionnelle en photographie, et munie de son réflex numérique prenait déjà cliché sur cliché, tournant autour de moi pour faire un album de mon show sous tous les angles possibles, puis le jet vint, dabord ténu puis de plus en plus puissant pour finir en samenuisant de nouveau, quelques dernières gouttes tombèrent alors sous les rires aigus des filles qui ne se tenaient plus, certaines étaient pliées en deux et la photographe avait du mal à continuer son travail.
Cest alors que la plus âgée sapproche en me demandant de bien garder ma position étirée et les mains sur la tête, ensuite elle entreprend de me caresser le ventre, les fesses, le dos, la poitrine, puis à nouveau le ventre, l'intérieur des cuisses..., je ne peux contenir une érection de plus plus forte et la dame invite les jeunes à regarder la manière se s'y prendre pour faire jouir un homme. Les petits gloussements de joie des filles fusent de partout à la vue de ce pénis qui a atteint une taille quelles navaient pas imaginée.
Elle commence alors de douces caresses sur le pénis tout en me massant les bourses de l'autre main, pendant ce temps deux des jeunes femmes ont passé chacune une corde par dessus la branche de l'arbre sous lequel je me trouve; une autre n'arrête pas de prendre des photos de toute la scène, ce qui augmente encore mon excitation.
La dame plus âgée ne me caresse plus et attache les cordes à mes poignets, puis, voyant mon inquiétude, elle me dit de ne pas avoir peur, elles ne veulent pas me faire de mal mais seulement s'amuser d'un nouveau jeu. Les filles tenant les cordes les ont fait passer derrière un autre arbre et tirent de toutes leur forces, je me retrouve suspendu, les bras écartés,le corps étendu mais les pieds toujours au sol. Je suis maintenant complètement à leur merci, ensuite deux nouvelles cordes font leur apparition et bientôt entourent mes chevilles. Cette fois ce sont mes jambes qui sont écartées et je ne touche plus le sol que par la pointe des pieds.
Elles contemplent alors leur travail et j'entends dire: regardez comme il est beau ainsi, bien tendu et le ventre bien plat, une autre dit: quel beau pénis! jamais je n'en ai vu comme celui-ci en naturel, et regardez comme il frétille! je crois que nous allons avoir beaucoup de plaisir et bien jouir de ce beau corps de mâle.
Deux des jeunes femmes ont trouvé des baguettes de bois souples qu'elles font siffler dans l'air de leurs mains, elles s'approchent de moi et se mettent à caresser l'objet de leur convoitise avec leur cravache improvisée: l'une fait des mouvements de va-et-vient sur toutes les zones du pénis, en haut, dessous, sur les côtés et sur le gland, l'autre titille les bourses et fait glisser sa vergette par de longs mouvements qui atteignent parfois l'anus, regardez comme il vibre de tout son corps, dit la femme plus âgée.
Je n'en puis plus: l'excitation est tellement forte que je ne ressens plus rien d'autre que ce plaisir extrême, même les muscles des bras pourtant étirés depuis longtemps sont devenus insensibles et au bout d'un quart d'heure de ce traitement, ce qui devait arriver est arrivé: je suis haletant et un jet puissant de sperme est projeté jusqu'à cinq mètres de distance, heureusement il est passé juste entre les deux filles qui ont eu un cri d'émoi que je n'oublierai jamais.
Deux minutes après, je ressens toutes les douleurs d'avoir été suspendu ainsi pendant si longtemps, je supplie alors les filles de me libérer, tellement j'ai mal.
A mon grand désarroi, celles-ci répondent: tu viens d'éjaculer alors que nous commencions seulement le travail? tu seras d'abord puni. Avec leurs fines baguettes souples elles entreprennent de me fouetter, l'une sur les fesses, l'autre sur le ventre, au début avec des mouvements lents, puis de plus en plus forts et j'entend à nouveau le sifflement de leurs fouets si cruellement improvisés.
Dans un court et dernier moment de lucidité le nom de la forêt où nous sommes me revient à lesprit: les Alinettes! les alinettes ce sont les vergettes souples dont je subis les morsures cruelles que les filles madministrent allègrement et avec un peu trop dardeur à mon goût! jy pense trop tard car je suis leur prisonnier, leur chose qui ne sert plus quà les amuser.
Bientôt elles s'occupent ainsi de tout mon corps, même mon sexe n'y échappe pas, que ce soit vers le haut ou vers le bas, elles n'ont aucune pitié.
La jeune photographe exulte: quelles belles photos je fais, on voit bien les marques, il va être complètement transformé en peau-rouge!
J'ai beau essayer de comprimer mes cris, ceux-ci sont de plus en plus forts, "on va arrêter ce jeu" disent-elles, avant que cet animal n'attire du monde!
Elles défont alors mes liens et je m'écroule par terre, complètement épuisé et terriblement endolori.
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