Le Daron Du Poto
Aujourdhui cest une histoire moins récente que je vous propose. Elle sest passée lhiver de mes 19 ans, alors que je revenais dans ma petite ville du Sud-Ouest pour les vacances dhiver. Je faisais mes études de kiné à quelques centaines de kilomètres seulement mais je narrivais à voir certains de mes amis que pendant les vacances. Cétait notamment le cas avec Emilien, un super pote depuis le collège avec qui on a fait pas mal de conneries mémorables. On ne sétait donc pas vu depuis lété précédent et quelques semaines auparavant il mavait proposé de passer un week-end au ski dans le chalet de sa famille. Me concernant, je suis un grand gars de 1m91, blond aux cheveux bouclés et à lépoque jétais moins musclé quaujourdhui, sans être une crevette puisque je pesais déjà autour des 80kg avec pas mal de poils sur la partie inférieure du corps.
Plusieurs jours avant le départ je suis déjà fébrile à lidée de méclater à la montagne avec mon pote. Jadore les sports de glisse et lesprit « Montagne enneigée » mexcite déjà. Je sais quEmilien est hétéro et que rien ne se passera entre nous et ça me convient très bien, même sil est vraiment beau gosse avec sa carrure de nageur et sa barbe sombre. Par contre je suis persuadé que les applis de rencontre doivent bien tourner dans ce genre de contexte à la fois sportif et détente. Du sport, de la nature et peut-être du sexe, ce week-end sannonce parfait. La veille du départ je reçois un message dEmilien qui mannonce tout penaud quil y a eu un quiproquo et que ses parents sont visiblement déjà au chalet. Le sourire qui ne ma pas quitté depuis une semaine se réduit nettement. Je lappelle tout de suite et pendant que ça sonne je croise les doigts pour quil ne me dise pas que cest annulé. Il ne décroche pas et jagresse presque son répondeur :
« Milou, tes pas sérieux, je suis revenu juste pour ça, mes affaires sont prêtes et jai tout planifié en fonction de ça ! Trouve une solution fréro sinon je suis dans la merde
»
Rien nest vrai mais jai appris quun peu dexagération le poussait à être plus réactif.
« Mais frère tu veux quon fasse quoi ? Y a mes dars au chalet, cest mort en fait, je peux pas les dégager, tes un ouf toi. »
« Milou, tu peux pas me faire ça, tu mas tellement fait bander avec cette histoire de chalet, si jy vais pas je crois je meurs sur place. »
«
Mais gro texagères tellement, drama queen sérieux. »
« Alleeeer, trouve un truc ! Jsais pas moi, il est grand le chalet non ? On peut pas y rentrer à 4 ? »
Je lentends grommeler à lautre bout du fil.
« Pfff
Ouais ils ont proposé ça mais sérieux lambiance cest pas le même délire, tu connais mes darons
»
« Mais je les kiffe moi tes darons, cest des vieux bourgeois, ok, mais tes pas bien différent hein, sale bobo de merde! »
Il râle pas mal, argumentant quil ne pourra pas ramener de meuf, mais finit par accepter. Tout est réglé. On part avec sa voiture le lendemain très tôt pour profiter de la journée. Le trajet se fait sans encombre, on est tellement content de se retrouver quon oublie les petits compromis quon va devoir faire à cause de la présence de ses parents. Quand on arrive jen prends pleins les yeux, jai déjà vu le chalet une fois en été mais là cest totalement différent. La neige recouvre tout et cest merveilleux.
Les parents dEmilien nous attendent et nous accueillent très chaleureusement. Ils ont lair content de me voir et quon partage ce week-end tous ensemble. Emilien et moi devons partager une chambre mais on est ok avec ça. Il connait ma bisexualité depuis longtemps et cela ne change rien à nos relations. On profite bien de la journée, on skie sur des pistes rouges et décidons de faire un peu de hors-piste. Emilien et Jérôme, son père, me devancent souvent et je finis par rentrer avec Catherine, sa maman. Sur le chemin je lui avoue être étonné des performances de son mari malgré ses 51 ans. Elle sourit dune manière qui me laisse penser quelle confirme ma phrase à un niveau plus intime.
Il fait presque nuit quand le père et le fils reviennent. Une branche de sapin a blessé Emilien au visage pendant sa dernière descente. Après sa douche, le grand gaillard ne sen remet toujours pas. Il faut dire quil saigne pas mal et sa mère décide de laccompagner au petit dispensaire de la station pour voir si des points de suture sont nécessaires.
Le père se change puis va couper du bois dans labri, derrière le chalet. De mon côté je prépare les pommes de terre pour la raclette du soir. Pendant quelles cuisent je me connecte sur les applis de rencontre et je scroll les profils sans trouver grand-chose dintéressant. De toute manière mes options sont limitées vu le contexte alors je décide de me contenter de quelques nudes. Je prends une photo de ma bite dans la salle de bain et lenvoie à quelques mecs dont le profil mentionne quils sont ok pour recevoir ce genre de contenu. Jai rapidement quelques réponses vantant lépaisseur de ma bite et je reçois même des photos de petits culs sportifs. Un profil sans photo me répond « Joli sexe Félix ». Mon nom nest pas sur mon profil et je nai jamais parlé à cette personne sur lappli
je fronce les sourcils. Je mapprête à le bloquer quand je reçois une photo. Cest le torse velu dun daddy à la chemise ouverte. On ne voit pas son visage mais derrière lui il y a plusieurs rangées de buches. La localisation indique moins de 10 mètres de distance entre lui et moi. Je suis bouche bée en comprenant ce qui est en train de se passer. Je commence à paniquer, range aussitôt mon téléphone et vais me réfugier dans la chambre. Ce mec ne peut être quune personne. Je repense au torse sur la photo et je commence à bander. Je me donne une claque en me traitant de tous les noms. Je suis dans la merde ! Je reçois un nouveau message « Tu dis dans ton profil que tu aimes les odeurs masculines. Mon caleçon de la journée est à la salle de bain si tu veux renifler ». Ma mâchoire se disloque de surprise et de honte alors que ma queue est à son maximum.
« Tiens, lâche un peu ce caleçon, cest celui dEmilien, le mien est dans la machine. »
Je jette le caleçon, horrifié et encore plus honteux.
« Si tu traines on va devoir sarrêter là, ils ne vont sûrement pas tarder. »
Hors de question. Je veux ce magnifique daron pour moi. Je me mets à quatre pattes et renifle la chemise en la laissant par terre. Lexcitation ma envahi, je ne ferai plus marche arrière. Je lève les yeux vers lui tout en profitant du parfum musqué de sa sueur. Je vois une bosse se dessiner sous son jean. Il suit mon regard et sapproche. Il att mes cheveux bouclés et colle mon visage au tissu tendu par son sexe.
« Renifle-moi ça mon, bonhomme. »
Je mexécute et commence même à lécher le tissu. Il appuie plus fort sur ma tête et je sens la bosse continuer à grossir contre mes lèvres. Il me fait me mettre nu et prend mon caleçon, un boxer gris, quil renifle avec passion. Je ne demande pas lautorisation et me précipite sur sa braguette. Il ne porte rien en dessous et en louvrant je découvre un pubis aux poils totalement noirs et épais. Son sexe jaillit et je suis envahi par son odeur puissante. Jouvre grand la bouche mais il mintime dattendre. Il ramasse le caleçon dEmilien et me le fait mettre. Hypnotisé par sa queue de taille moyenne mais à lénorme gland rouge jobéis sans réfléchir. Il mordonne douvrir la bouche et approche son sexe. Son gland caresse mes lèvres avant de les écarter en les pénétrer. Cette queue de daron est délicieuse. Il me laisse la sucer pendant quelques minutes et je me régale. Je donne tout, même si je me rends compte que je suis assez désordonné tant les odeurs de mon pote et de son père me sont montées à la tête. Sans me prévenir il magrippe et se met à me limer la gorge. Je tousse et la salive coule le long de sa queue mais il continue. Au bout de 2 minutes de ce traitement je suis à bout de souffle et complétement rouge. Mes yeux pleurs et il a lair dapprécier la vision du jeune mec bien foutu allonger sur le dos, essayant de reprendre son souffle. Il met un pied sur mon sexe, qui rebande immédiatement. Il se met à le frotter avec son pied à travers le caleçon noir de son fils et je gémis en me tortillant au sol. Il continue et se branle en même temps. A mon tour je me rends compte que jadore la vision du daron qui se masturbe au-dessus de moi. Ses grosses couilles ne cessent de balancer et je me redresse pour pouvoir les renifler et les lécher. Mes coups de langue lui arrachent un grognement dapprobation. Il déplace néanmoins son pied, le remonte vers mon torse et moblige à me recoucher sur le dos. Le carrelage froid me fait frissonner. Il frotte son pied contre mon visage et force lentrée de ma bouche. Je lèche tout ce que je peux et il finit par le ressortir et mécraser la tête contre le sol en direction du grand miroir. Je vois alors notre reflet, moi soumis, par terre et lui, debout, mécrasant le visage. Je veux sortir ma queue mais :
« Non, branle-toi à travers le caleçon. »
Je frotte donc frénétiquement ma queue à travers le caleçon noir de mon pote et jimagine nos odeurs se mélanger. Je ne tarde pas à jouir et du sperme dégouline à travers le tissu. Jérôme fixe le caleçon et son gland semble encore grossir jusquà juter dépais jet de sperme qui finisse sur mon torse, mon visage et mes cheveux. Je vois quil attend quelque chose mais lexcitation est retombée. Jôte le caleçon noir et trouve une parcelle de tissu sec pour essuyer le sperme que jai sur le corps. Il bande toujours quand il me dit :
« Demain, pourquoi tu ne porterais pas ce caleçon ? Lidée que tu mettes ça avec nos odeurs mexcite énormément. »
Je sens de nouveau un frétillement de ma queue pourtant bien vidée. Je souris et acquiesce. Je profite du regain dexcitation pour me diriger vers lui et nettoyer sa queue débandée du sperme qui perle de son gland.
Emilien et sa mère sont rentrés tard dans la soirée, il y avait eu besoin de quelques points de suture et il en garde toujours aujourdhui la cicatrice. A chaque fois que je la vois je pense à cette histoire et je ne saurais dire si cest la honte ou lexcitation qui prend alors le plus de place. Le lendemain sest passé normalement bien que jaie porté le caleçon souillé et nai pas arrêté de bander. Je nai refait du sexe avec son père que très occasionnellement et dans des contextes très différents. Quelques mois après il ma accueilli en stage dans sa clinique et nous avons pris lhabitude de lancer des défis incluant souvent des vêtements sales ou souillés. Jai longtemps gardé le caleçon dEmilien mais il sen est aperçu en riant lors de mon dernier déménagement, je le lui ai rendu sans plus de questions de sa part.
Jai pleins dexpériences en réserve à vous raconter, si ça vous a plu nhésitez pas à me le dire pour que je continue. Dailleurs je suis loin dêtre uniquement soumis, bien au contraire, donc nhésitez pas à me dire ce que vous aimeriez savoir de ma vie sexuelle !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!