30-Ma Femme Et Moi À La Plage
30-Ma femme et moi à la plage
Je vous ai conté quen vacances, ma femme a eu un amant qui la baisait chaque jour, en matinée, dans une cabine de la plage. Et moi, tous les deux ou trois jours, je la prenais aussi le soir, par sa chatte ou par son cul le soir. Malgré cela les besoins sexuels de ma femme ne semblent pas être satisfaits et je le constatais dans ses changements dhumeur et ses nuits agitées. Pour avoir la paix, il nous fallait trouver une solution et cest elle, comme toujours qui a eu lidée finale. Elle ma proposé de briser notre solitude à deux chaque soir et dessayer dinviter nos voisins. Ainsi, on pourrait un peu samuser tout en offrant un petit repas familiale. Comme toujours, jai été daccord.
Elle avait déjà, les jours précédents, lié amitié avec une six jeunes, trois filles et trois garçons qui habitaient ensemble dans la maison voisine à la notre. Très libres dattitude et de murs, ils circulaient toujours en boxers très courts serrés pour les garçons, à tel point quon voyait nettement les profils de leur sexe et leurs couilles. Les filles étaient souvent en soutiens ficelle et slips de bain si courts quils ne cachaient presque rien de leur anatomie sexuelle. Elle leur a menti en disant que cétait son anniversaire et ils ont gentiment accepté de passer une partie de la soirée avec nous.
Les autres invités, cétait un veuf dun certain âge, qui nétait autre que son amant, et son grand fils, daprès lui, de quarante ans environ. Ils logeaient seuls dans une maison, un peu plus loin, dans la rue adjacente. Elle les a invités pour leur faire partager notre fête et un bon repas type familial. Donc, les jeunes voisins invités nétaient la que pour la galerie, pour camoufler la vrai raison qui était une liaison nocturne, chez nous, avec son amant et son fils, en plus de leur plaisir chaque matin dans la cabine de la plage. Mais je me demandais comment elle allait sy prendre pour se faire baiser pendant la soirée.
Nous avons fait honneur à son repas et aux boissons non alcoolisées et vers 22h, les jeunes nous ont quittés en nous remerciant. Mais le veuf nous adit quil avait acheté un gâteau pour ma femme mais quil lavait oublié chez lui. Alors, il nous a invité à continuer la fête chez lui et faire honneur à son gâteau. Moi, javais refusé mais ma femme a accepté avec joie, et après délibérations, jai été obligé daller avec eux. Jétais sur que cela faisait partie de son plan sexuel. Avant darriver chez eux, il a demandé à son fils daller acheter quelques boissons. Chez eux, une petite maison comme la notre, , nous avons dressé dans la cuisine, la table, partagé et mangé le gâteau suivi de boissons.
Seulement, si moi et ma femme nous avons bu des jus, le veuf et son fils ont ingurgité quelques bouteilles de bière. Au début jai été un peu surpris, mais comme ma femme ne disait rien et riait toujours avec eux, je nai rien dit. A un moment, ma femme leur a expliqué que nous navons jamais bus de boissons alcoolisées. Mais le veuf lui a affirmé que la bière venait du mais et que son degré dalcool était très faible. Il a ajouté, en rigolant à gorge déployée, que cétait surtout gênant car il fallait aller plusieurs fois aux toilettes pour évacuer le surplus, et il a ajouté en chuchotant à loreille de ma femme, « pour pisser », que jai bien entendu. Cétait sa première intimité avec ma femme, que jaurais du stopper mais je nai pas réagi.
Ma femme a pouffé et il lui a donné une bouteille pour essayer, dabord elle a refusé en me jetant un cou dil, me testant. Encore une fois, je na rien dit, alors, lhomme a insisté juste pour lexpérience et ma femme a accepté. A la première bière, elle a grimacé sur le gout mais le veuf a insisté, alors, elle a fini normalement la bouteille. Puis, elle ma offert une bouteille, en insistant mais jai refusé. Elle sest alors presque fâchée en disant que je faisais cela juste pour lempêcher, elle , de boire et de faire une nouvelle expérience.
Ma femme buvait, sans hésiter, chaque bouteille que le veuf lui tendait. Elle rigolait et tintait les bouteilles en compagnie des deux homme et moi je restais la à les regarder, et je buvais lentement sans réagir. Ma première bouteille, je lai gardée longtemps pour essayer de me freiner et rester lucide. Et, cest ainsi que, jai pu voir que ma femme ne tenait plus son équilibre dès la fin de sa troisième bouteille. Ma femme est déjà allé deux fois aux toilettes pour « pisser ». Elle se retenait et se penchait parfois à son voisin, le fis du veuf qui en profitait pour la serrer contre lui. Son père lui a jeté un méchant coup dil et le fils sest retenu et a remis ma femme à sa place. Moi aussi, jai pris gout dès la seconde bouteille et dès le début de la troisième, jétais un assez étourdi et javais un peu mal au coeur. Alors jai arrêté et sommeillais à demi sur ma chaise, la tête sur la table.
Jai toutefois remarqué que ma femme sétait levée pour dire quelle allait, encore une fois, aux toilettes pour pisser. Elle avait bien prononcé, cette fois ci normalement et à haute voix, le mot « pisser » et le veuf la aidé, en la soutenant, vers les toilettes. Javais compris que cétait enfin le signal quelle lui a donné pour la suivre aux toilettes. Elle a dit « pisser » à haute voix pour bien faire comprendre que le mari dormait et quelle était maintenant libre de son corps pour celui qui veut bien le prendre et faire plaisir à sa chatte et sa terma. Le veuf la suivi avec excitation et désirs.
Ils y sont restés longtemps, très longtemps, peut être plus dune demi heure, dans les toilettes. Cétait nettement plus quil ne faut pour « pisser ». Jétais certain quils ont passé tout ce temps a baiser et satisfaire leurs désirs gonflés depuis les débuts de la soirée, chez nous.
Plus tard, quant le veuf est revenu, il était seulement en tricot de peau et short. Il ma observé avec soins, et jai fais semblant de dormir. Il a discuté avec son fils et a appelé ma femme. Alors, seulement, elle est revenue des toilettes, en peignoir de bain. Je savais quelle était nue par dessous. Elle titubait un peu et parlait avec difficulté mais elle a pu indiquer au fils, à la main, de la rejoindre. Alors, le fils sest levé prestement et a rejoint ma femme vers la chambre et non vers les toilettes. Le veuf est revenu encore une fois mausculter et jai même fais semblant de ronfler.
Alors, il a rejoint le couple dans la chambre à coucher et il a refermé la porte derrière lui. En tendant loreille, car jétais assez conscient, je les ai nettement entendu. Immédiatement, la chambre sest rempli de gémissements de plaisir et de cris de jouissances sexuelles. Les deux homme étaient en train de se délecter da la chatte et de la terma de ma femme pendant que je faisais semblant de dormir à la cuisine. Ma femme a bien réussi son plan, depuis le début de la soirée. Elle voulait son amant pour le soir et elle la eu et avec lui un supplément, son fils.
Difficilement, je me suis levé vers lévier où jai bu longuement et je me suis débarbouillé le visage. Maintenant, jétais assez conscient et même mes jambes reprenaient leurs forces, alors je me suis rapproché de la chambre et jeté un cou dil par le trou de la serrure. Une scène érotique mattendait, une scène que quiu ne métonnait plus de ma femme qui faisait de ses amants ce quelle désirait, ainsi que de son mari, dailleurs.
Le fils était couché sur le lit, dos au matelas, et ma femme assise sur lui, se branlait la chatte avec son zob. Par contre, le veuf était debout derrière mafemme et plongeait son zob dans sa terma. Je voyais nettement le vas et viens de son gros zob dans le cul de ma femme et ça mexcitait. Et en même temps, je distinguais aussi nettement le gros zob du fils, par-dessous celui de son père, et qui entrait et sortait de la chatte de ma femme. Entre les deux homme, ma femme se donnait à fond et gémissait sans retenue. Elle grommelait et parfois criait des mots que je ne comprenais pas. Cétait le plaisir et les jouissances de ses deux trous qui la faisaient chanter de joie. Les deux hommes, eux aussi, criaient leur plaisir. Au milieu de leurs souffles hachés par le désir, il criaient le plaisir qui montait dans leurs szxzs et jai pu distinguer quelques mots tels que « ya zébi ! ya zébi ! » ( $o mon zob ! ô mon zob !) plusieurs fois et parfois « qarék ya kahba ! » (ton cul ô putain ! ) et « nikak ya qahba » (je te nike ô putain !) et une fois « hali ! hali soutek ! » (ouvres ! ouvres ton cul !).
Depuis le début sur lidée sur linvitation, chez nous, puis chez eux, je savais ce qui allait arriver, mais le comment seulement méchappait, je le laissais à limagination de ma femme. Et maintenant, je voyais et entendais les résultats que javais accepté davance. Et ça mexcitait de voir ma femme prise entre deux hommes en pleine action devant mes yeux. Dailleurs, mon propre zob savait tout cela. Et, cest pourquoi il bandait déjà depuis un moment, automatiquement. Alors, pour le calmer, me calmer, je suis allé aux toilettes pour me masturber avec vigueur.
Comme le plaisir tardait, jai plogé un de mes doigt dans mon anus, comme dhabitude derrière la cabine de la plage, et immédiatement, le plaisir a jailli et jai abondamment éjaculé sur le mur des toilettes. Puis, je suis revenu à la cuisine, assis sur ma chaise, la tête sur la table, faisant semblant de dormir, pendant que jentendais les autres continuaient à prendre leurs plaisirs et jouissances. Ma femme va être, ce soir, superbement satisfaite.
Il a fallu, aux deux hommes, plus dune heure, dans la chambre, pour user leurs zobs sur la chatte et la terma de ma femme. Et enfin, jai entendu puis observé sous mes paupières, le veuf sortir, tout nu de la chambre et se diriger vers les toilettes. Puis ce fut ma femme, elle aussi, à poil, qui la suivi. Ils sont restés plus dun quart dheure, ensemble, dans les toilettes. Elle a du lui faire une pipe ou simplement lui nettoyer le zob avec ses lèvres et le sucer pour finir, car jai entendu, faiblement certes, mais jai entendu un cri de plaisir des toilettes. Ce fut celui de lhomme qui criait son plaisir et son éjaculation après le plaisir de ma femme à son zob. Puis, tout habillés, ils ont rejoint la cuisine. Le fils est ensuite sorti de la chambre, aussi nu que les autres et a rejoint les toilettes.
Plus tard, quant ils furent tous bien habillés et assis à la cuisine, ma femme ma secoué et jai fais semblant de me réveiller. Je suis allé aux toilettes pour me laver le visage, puis nous les avons quitté. Mais, avant, ma femme leur a dit quelle a été contente de leur soirée, et, sans me consulter, comme dhabitude, elle leur a promis de revenir les voir demain soir, et cest elle qui apportera le gâteau et eux, les boissons si délicieuses. Oui, ils nous fourniront, à moi, les bières pour mendormir, et à ma femme, deux gros zobs gonflés pour satisfaire sa terma et sa chatte affamées.
Sur le chemin du retour, ma femme ma reproché, hypocritement, de mêtre endormi, mais ce fut la faute à la bière lui ai-je répondu simplement. Lui demandant ce quils ont fait pendant mon sommeil, elle a haussé ses épaules en affirmant que je fils sétait aussi endormi et quelle avait passé la soirée à jouer aux cartes avec le « vieux » veuf jusquà mon réveil. Et tout cela dit, sans sourciller, avec un semblant de sourire, sous les lèvres, que jai décodé facilement.
Le lendemain, sur la plage, et à son heure habituelle, ma femme sest levée pour, soi disant, aller nous ravitailler en victuailles au magasin du coin. En réalité, je savais quelle allait rejoindre, comme chaque matinée, le veuf dans leur cabine, ou peut-être maintenant chez lui, pour satisfaire sa chatte et sa terma, cétait donc inutile de la suivre. Par contre, jai remarqué le fils du veuf, la bas près du marchant de glaces. Une idée bizarre dans la tête, je me suis levé pour aller le rejoindre. On sest salué et il moffert une glace et nous avons bavardé un moment sur notre soirée. Il ma dit que lorsque je me suis endormi, ils ont joué à la belote tous les trois jusquà mon réveil. Cétait assez différent de ce ma dit ma femme. Tous mentaient et cétait normal, puisquils ont passé leur temps à savourer les délices de la terma et de la chatte de ma femme.
Puis il est parti en me rappelant notre rendez vous de ce soir chez eux. Après son départ, le marchant ma jeté un drôle de coup dil et ma demandé comment je connaissais ce gars. Jai dis que javais été invité chez lui et son père hier soir. Alors le jeune marchant sest rapproché de moi et dans la confidence, il ma renseigné. Dabord, il avait compris que jétais étranger à la région et quil mavait déjà vu avec ma femme, habillée en traditionnelle. Donc, il veux mavertir.
Il ma dit que ce gars la et son copain, plus âgé, qui nest pas du tout son père mais son complice dans leurs coups fourrés de murs sexuels. Sils mavaient invités, cetait quils avaient des mauvaises intentions sur ma femme et sur moi. En effet, il ma avoué que tout le monde savait quils couraient derrière les chattes et les terma de toutes les femmes et des terma des hommes et des jeunes garçons. Sachant que nous sommes des gens sages et traditionnels, il faut éviter ces deux lascars qui ont déjà eu plusieurs bagarres avec des maris et des jeunes et même eu affaire avec la police. Pour bien nous avertir, et avec une moue de la bouche, il nous informe que ces gens ne refusent rien, ni les chattes et les culs des femmes, ni les terma des hommes et des jeunes garçons. Je lai remercié et lui ai promis de les éviter au maximum. Le pauvre, sil savait ce quils ont fait à ma femme hier soir.
Mais, le soir même, suivi de ma femme prête à tout pour satisfaire ses désirs sexuels, nous sommes allés à leur invitation et nous avons tous joué la même comédie que la veille, et jai joué mon rôle à merveille, mais sans me branler cette fois-ci. Ces soirées se sont répétées pendant plus dune semaine, et chaque fois, je mendormais à la troisième bière pour leur permettre de prendre leurs plaisirs. Mais, un soir, ils ont aussi invité un troisième compère, un quinquagénaire du voisinage, soi disant veuf lui aussi. La suite est facile à deviner.
Mais à la fin de la soirée, ce nouvel invité, qui a, certainement gouté aux délices de ma femme, ma tenu à lécart pour me faire des propositions. Comme il croyait que jétais au courant et complice des plaisirs de ma femme, offerte aux hommes, il ma avoué quil nétait amateur que de cul et que celui de mon épouse était certes très valable, mais il désirait expérimenter le mien, c'est-à-dire ma terma. Totalement choqué, je lai bien observé, pensant quil plaisantait, mais il était sérieux, tellement sérieux, quil ma touché à pleine main ma terma pour la tripoter et ausculter sa consistance.
Jétais paralysé de surprise. Il ma enfoncé plusieurs doigts joints dans le creux de mes fesses vers les environs de mon anus et il ma avoué, quà première vue, ma terma est bandante et que son zob venait de se gonfler pour elle. Il ma conseillé denvoyer ma femme à la maison et proposé daller prendre un verre chez lui, tout de suite, car il a une envie terrible de ma terma.
Certes, jétais estomaqué, mais sa main et ses gestes brusques et surtout directs et sans nuances, sur mon cul mont ébranlés. Jétais excité et, pendant un moment, jai eu la tentation de le suivre, mais, rapidement, jai repris mes esprits et je lui ai promis une autre fois. Il savait, dès quil avait remarqué mon hésitation et mon manque de reflexe pour repousser immédiatement sa main, que jétais amateur de zobs pour ma terma. Ila remis sa main sur mes fesses mais je lai repoussé cette fois car cétait trop flagrant vis-à-vis de ma femme et de ses amants. Heureusement quelle discutaient toujours avec ses amants devant leur porte sans soccuper de moi. Pour demain soir, je dois faire aussi mon plan pour laprès soirée.
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