La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1169)
La Marquise esclave (suite de l'épisode N°1156) -
Et après la longue soirée que je venais de vivre, je ne tardais pas à mendormir, en chien de fusil, sous les mains du Maître de ma vie et de mon cur, qui me caressait comme Il laurait fait avec une vraie chienne animale
Plusieurs jours plus tard, alors que jallais minstaller sur ma chaise godante, je vis sur le clavier de mon ordinateur un petit carton crème frappé des Armoiries de la Famille des Evans. Je me mis à genoux pour le lire. Une seule phrase :
« Va dans la salle dhabillement ».
Je supposais que jallais avoir un rdv à lextérieur. Tout en me rendant rapidement dans la pièce indiquée, je me demandais sans my attarder, ce que jaurai à faire, sil sagissait juste dune mission pour la secrétaire particulière de Monsieur le Marquis, ou si cétait lesclave MDE qui devrait obéir. A moins que ce ne soit un mélange des deux ?, pensais-je en souriant
Il ny avait personne, seulement une robe noire et blanche, courte, se fermant au niveau du cou par deux longs pans de tissu partant dun gros anneau entre les deux seins au-dessus dun haut bustier, sans sous-vêtements évidemment, avec une paire descarpins noirs. Alors que je me tournai vers une psyché, japerçus un nouveau carton :
« Laisse tes cheveux libres. Rejoins le perron debout. ».
Comme toujours sauf contrordre, je portais mes cheveux noués en une queue de cheval, ainsi toujours prête à me faire saillir de la manière que préférait le Maître qui adorait empoigner de cette façon mes cheveux. Jéprouvais toujours autant de gêne à me déplacer en bipédie et habillée dans les couloirs du Château, surtout lorsque je croisais un frère ou une sur de soumission. Je croisais aussi Marie, la cuisinière perverse, et je baissais autant que possible la tête. Je nentendis quun ricanement carnassier, accompagné dun ironique :
- Tiens, cette salope de chienne est de sortie, on dirait !
Je supposais quelle avait dû me dévisager, avec son air hautain, de la tête au pied, me voyant me déplacer en bipédie.
- Ma chérie, cest ma future femme que je veux voir près de Moi, pour le moment ! Oh ne tinquiète pas, le Maître nest pas loin, et tu retrouveras vite ta place que tu affectionnes tant ! Mais maintenant, viens donc tasseoir près de Moi. Et tu es autorisée à me regarder autant que tu le souhaites, alors profites-en, tant que tu le peux.
Sa voix était douce, et quand je relevais la tête, Son sourire méblouit autant que son regard ! Quand je minstallais sur la banquette, Il ouvrit Son bras et mattira contre Lui, avant de membrasser doucement. Je me blottis donc contre Lui avec un bonheur infini, et regardais les arbres défilaient rapidement par la fenêtre. La voiture roula pendant environ une demi-heure avant de sarrêter devant une boutique de reprographie. Walter commença par ouvrir la portière du Maître, puis la mienne, mais ce fut le Châtelain qui me tendit de nouveau Sa main pour maider. Lorsque je fus debout, Il me baisa la main, avant de la poser sur Son bras et nous entrâmes ainsi dans la boutique.
- Ah Cher Edouard ! Il y avait longtemps que nous ne Vous avions pas vu ! Que nous vaut le plaisir de Votre visite ?
- Bonjour cher ami, nous voudrions, Ma fiancée et Moi-même, choisir des faire-part pour notre futur mariage !
- Oh ! Toutes mes félicitations à vous deux !
Il nous serra à chacun une chaleureuse main, déposant un baiser sur la mienne au passage, puis alla chercher une tablette numérique pour nous montrer ses différents et nombreux modèles.
- Pourriez-vous nous montrer le classeur que vous qualifiez de spécial et que vous réservez uniquement pour ceux de notre monde, sil vous plait ?
Lhomme, qui était le propriétaire de la boutique, le regarda alors avec un regain dintérêt, ce à quoi le Noble répondit par un sourire entendu.
- Et à quoi pensez-Vous, Edouard ? Avez-Vous une idée de ce que Vous voulez ?
- Mais bien sûr ! Quavez-Vous qui pourrait ressembler à un mariage dun Dominant et dune chienne ?
Et le Maître se tourna vers moi. Son regard changea soudain. De chaleureux, il devint distant, neutre, presque froid et Il claqua des doigts. Nous étions assis sur un petit canapé, doù je descendis immédiatement, me mettant à genoux, mains dans le dos et tête baissée. Lorsque nous sortions habillés, nous, chiens et chiennes appartenant à Monsieur le Marquis dEvans, ne devions pas nous prosterner pour ne pas abîmer nos vêtements, sauf si cela nous était expressément ordonné. Le regard du propriétaire, qui se prénommait Fabien, changea également, une lueur lubrique sallumant dans ses yeux, et sur un sourire dassentiment du Maître, il me détailla sans me toucher, pourtant je me sentais totalement déshabillée, mise à nue. Pendant une demi-heure, sans jamais me lâcher du regard plus que quelques secondes, il Lui présenta plusieurs modèles. Le Châtelain mautorisa à lever les yeux.
-Tu es Ma chienne, mais tu restes ma fiancée, et tu as tout de même ton mot à dire sur notre mariage !
Et là-dessus, Il me sourit en me caressant le sommet du crâne, me faisant fondre sur place ! Comme toujours, nos esprits et nos curs étaient liés, et notre choix fut le même. La photo dun couple D/s venant de se marier et redescendant lallée entre les invités, le Dominant en costume noir, tenant par la laisse lépouse, la soumise dénudée, anneaux aux tétons, collier et juste ornée dun voile, évoluant à quatre pattes, un sourire radieux sur leurs lèvres.
- Je peux Vous proposer de prendre une photo de lallée de Votre Château, et Vous mettre cette photo en filigrane dessus. Quelle couleur de fond voulez-Vous ?
Nous nous regardâmes, et comprenant Son regard, je mexprimais en même temps que Lui, pour affirmer que nous voulions du bleu ! (la couleur préférée du Maître) Le Château prenait le tiers du milieu de la carte. Les deux autres tiers étaient bleu-roy, le texte écrit en lettre dor « Monsieur le Marquis dEvans et esclave Aphrodite MDE vous invitent à partager leur bonheur en venant célébrer leur mariage » et en dessous le Château « Celui-ci aura lieu en la Mairie de XXXX pour la partie civile et en la Chapelle du Château des Evans pour la cérémonie religieuse, le 3 juillet 2018 à 15h. Vous êtes également cordialement convié au vin dhonneur qui aura lieu dans les jardins du Château ». Aux quatre coins de limage du Château, il y aurait une colombe senvolant. Symbole de liberté, la liberté dêtre ce que lon est, la liberté dêtre heureux Lorsque lon refermerait le carton, on verrait une photo de nous, en vêtements dépoque de Marquis et de Marquise annonçant une grande nouvelle, et au dos les coordonnées auxquelles répondre.
- Bien, je vous remercie Fabien ! Nous aurons bien avancé grâce à vous ! Pour le paiement, nous faisons comme dhabitude ?
- Comme dhabitude ? Ah, mais avec grand plaisir, mon Cher Edouard, dit-il en me regardant avec des yeux gourmands Vous me ferez le virement à la réception des faire-part. Et donc pour faire comme dhabitude, ce sera la facture diminuée de moitié ? rajouta-t-il alors que japercevais une bosse se former au niveau du haut de son pantalon
- Très bien, et la première moitié immédiatement, comme dhabitude !, surenchérit le Noble
Le Maître se leva alors et claqua des doigts, tout en se dirigeant vers la porte. Je le suivais, dun pas derrière Lui, comme à chaque fois que je ne portais pas mon collier, faisant attention de calquer mon rythme sur le sien.
- Ma chienne, cest toi qui va servir de paiement pour moitié ! Rends-moi honneur, ainsi quà ton éducation ! Ne me déçois pas ! Petite salope de chienne en chaleur !
Il ouvrit la porte qui se referma rapidement derrière Lui. Immédiatement, je me tournais pour me mettre en position prosternée, attendant que Fabien ne mordonne quelque chose. Mais il resta un moment silencieux, jusquà ce quune volée de fessées ne sabatte sur mon fessier.
- Est-ce une tenue pour une chienne MDE ? Il me semblait que celles-ci étaient mieux éduquées !
Immédiatement, je me redressais et me dévêtis aussi vite que possible. Puis je me prosternais de nouveau, cul face à lui, le priant de bien vouloir mexcuser et de bien vouloir me sanctionner. Il me jeta alors un élastique, en ordonnant que je mattache les cheveux en queue de cheval, queue quil saisit pour me faire avancer à genoux jusquà une arrière salle de la boutique où le sol était constitué dune simple dalle bétonnée et froide. Aussi surprenant que cela pouvait paraitre, il sy trouvait une grande croix de St-André en bois, sur laquelle il mattacha, mon dos lui étant présenté. Il décida de me sanctionner par 50 coups de fouet, maffirma-til Ces cinquante coups furent cinglants, il ne ménageait pas son bras, et malgré mon entraînement, la sueur finit par couler le long de mon échine sous les efforts que je faisais pour ne pas crier et compter les coups à haute et intelligible voix. Il devait être un expert au fouet car les coups étaient placés de manière à ne pas trop mabimer, juste quelques perles de sang sans plus Lorsquil eut fini, il me laissa de longues minutes attachée ainsi, tandis quil était reparti dans le magasin accueillir des clients Quand il revint, il me détacha et me passa un onguent sur le dos, soulageant les brûlures des lanières du fouet. Il mamena dans son bureau, à quatre pattes, tenue par la laisse. Il attrapa mes cheveux afin que je me redresse, et il me plaqua sur le meuble en bois sombre. Il était large. Des attaches se trouvaient à chaque pied. Il métira les bras dun côté de manière à ce que mes poignets se retrouvent le plus bas possible. Et il mécarta les jambes pour liés également mes chevilles
(A suivre )
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