Recontre Dans Le Rer
Rencontre dans le métro parisien
Je mappelle Jade. Jai 40 ans 1m70, 65 kg 90 C donc poitrine généreuse qui attire souvent les regards lorsque je porte un décolleté, pull en V ou moulant. Jaime être élégante, classique avec une belle lingerie très féminine pour ne pas dire sexy.
Ma première aventure lesbienne a commencé un jour où je me rendais, comme fréquemment, au Forum des halles pour à la fois me distraire et faire quelques achats.
Ce jour-là, dans le RER A en provenance de Vincennes, jétais assise près de la fenêtre en face dune jeune femme qui me semblait fort jolie, le nez plongé dans un bouquin. En la regardant mieux, sa tenue légère, vu la température de ce mois daoût, laissait deviner une belle poitrine et sa jupe très courte permettait dadmirer des jambes dun galbe parfait. De temps en temps, elle croisait et décroisait ses jambes dévoilant le début de dentelle de ses bas. Bizarrement, javais envie de la déshabiller des yeux. Et je me surprise dans des pensées dont je navais vraiment pas lhabitude.
Ma voisine avait dû sentir mon regard appuyé sur sa personne, elle leva les yeux, me regardant fixement puis se replongea dans sa lecture.
Plus je la regardais, plus je la trouvais belle et pour dire, excitante.
A chaque jeu de jambe, sa jupe remontait un peu jusquà ce que japerçoive le minuscule morceau de tissus qui devait lui servir de string, à chaque mouvement, ses yeux sextirpaient de sa lecture pour me fixer.
Arrivées à la station Gare de Lyon, le flot des voyageurs entrants me fit laisser ma place à une personne âgée. Ma voisine en fit de même et nous voilà debout, côte à côte.
Subrepticement, je sens un chuchotement à mon oreille :
« Votre regard insistant me met mal à laise »
Sans me démonter, je lui réponds :
« Je regarde ce que je trouve joli, que vous montrez et je pense que vos jeux de jambes ne sont pas fortuits »
Notre train, arrive à Chatelet les Halles ce qui interrompt notre début de conversation.
A la descente, je constate que nous prenons le même chemin.
« Vous allez au Forum vous aussi ? » me demande-t-elle.
« Oui, je vais faire quelques achats de lingerie, jai repéré un petite boutique sympa »
« Si vous voulez, nous pouvons y aller ensemble, jaime aussi la belle lingerie. Tout à lheure je vous ai dis que votre regard me mettait mal à laise mais cela mexcitait car je pensais que ma silhouette ne vous était pas indifférente. Je mappelle Elodie et vous ?»
« Moi cest Jade. Ok pour faire nos emplètes ensemble »
Ce bref échange avec une conclusion inattendue et la proximité de cette femme que javais presque déshabillée du regard fit monter en moi un étrange désir. A ma grande surprise, je sentais mon entrejambe shumecter dun suintement de cyprine.
Arrivées devant la petite boutique que javais repérée, nous détaillons la vitrine en nous arrêtant sur un ensemble soutient gorge, porte jarretelles et string noir agrémenté de dentelle violette.
« Je le trouve très mignon, je le verrais bien sur toi Jade »
Ce tutoiement et cette attention pour ma personne, sans me surprendre, augmentent mon excitation et je sens que je mouille de plus en plus ma culotte.
« Cest sympa de ta part, on va essayer ? »
Ma réponse positive engendre un fou rire commun et nous franchissons la porte dentrée du magasin.
Nous voilà accueillies par une grande femme à lallure élégante portant une grande robe noire à peine boutonnée laissant apparaitre les détails de ses sous-vêtements comme un mannequin le ferait en vitrine.
« Bonjour mesdames. Que puis-je pour vous ? »
Cest Elodie qui prend la parole pour indiquer que je souhaiterais essayer la parure noire et violette en devanture.
« Vous avez bon goût, elle plait beaucoup. Ce sont en général les messieurs qui la conseillent à leur dame. Je vais vous la chercher »
« Elodie tu viens avec moi à lessayage »
« Bien sûr Jade jen meurs denvie »
En me répondant, Elodie me dépose un rapide baiser sur les lèvres, trop furtif à mon goût mais la vendeuse revient avec la parure.
« Voilà si vous souhaitez essayer, pas de problème mais je vous demanderai de ne pas quitter votre slip au cas où cela ne vous conviendrait pas. La cabine est au fond du magasin. »
Dès lentrée dans la cabine, Elodie se jette sur moi en collant sa bouche contre la mienne et nous partons dans un échange de baisers fougueux. Nos langues senlacent, les mains dElodie me caressent les seins pendant que les miennes font crisser ses bas jusquà ce jatteigne cet entrejambe tant convoité dans le RER.
Je métais trompée, Elodie na pas de culotte et mes doigts rencontrent une épaisse fourrure avant datteindre lintérieur de sa chatte. Elle aussi est trempée jallais dire « la salope » mais oui, je crois que cest une vraie salope. Cest la première fois que je me laisse caresser par une femme et que moi aussi je caresse. Quand je me masturbe, jéprouve évidemment beaucoup de plaisir mais là je sens que ça va être sublime.
« Soyons sages, la vendeuse va se demander ce que nous trafiquons mais je crois quelle est occupée avec une cliente. Déshabille-toi Jade et commence lessayage. »
A demi nue puisque jai gardé ma culotte bien mouillée, je vois les yeux dElodie me dévorer.
« Jade jai envie de te sucer »
« Moi aussi Elodie mais nous irons chez moi après nos achats »
Après avoir revêtu lensemble de la lingerie, (javais gardé mes bas pour essayer le porte jarretelles), je me prends à madmirer devant la glace te cela mexcite au plus haut point, je me caresse les seins comme quand je me masturbe dans mon lit ou dans ma salle de bain
Subitement ; le rideau du salon dessayage souvre et la vendeuse apparaît sa robe grande ouverte sur un corps splendide gainé de noir.
« Jai une caméra de surveillance dans la cabine et dans le magasin et jai vu votre manège. Ça ma excité. Jai pensé que plutôt que de me branler en vous observant, nous pourrions jouer ensemble. Jai fermé le magasin
La dame habillée a un petit cul qui me fait envie et vous vous êtes ravissante dans cet ensemble »
Stupéfaites, nous nous regardons avec Elodie qui semble aussi intéressée que moi de tenter lexpérience pendant que la vendeuse commence à nous caresser les seins.
« Si vous avez envie de nous, commencez par nous sucer » lui ordonne Elodie.
Surprise de ce ton péremptoire je sens la chaleur monter et avide de cette future situation, jécarte les jambes.,
Elodie att la vendeuse par les cheveux et amène sa tête entre mes cuisses.
Je me libère de mes strings et notre nouvelle partenaire commence à sucer mes poils en me caressant les fesses. Je sens mon clito grossir et je mouille de plus en plus.
« Bouffe lui bien la chatte et fais-la jouir. Après tu toccuperas de moi » ordonne à nouveau Elodie.
Laspiration de mon clito et les allers et venues de cette langue fouineuse ne tardent pas à me provoquer un premier orgasme qui me fait gémir violemment.
« Viens avec moi maintenant salope. Tu voulais nous mater sur lécran de ta vidéo hé bien, déshabille-moi, montre-moi ton corps sous ta robe, bouffe-moi les seins et descends vers ma chatte tu me boufferas ensuite le cul. Comment tappelles-tu ? »
« Marie » répond la vendeuse »
« Marie salope vas-y, je tattends »
Marie sapproche dElodie dans une allure féline en faisant glisser lentement sa robe à terre.
Ce spectacle mexcite au plus au point et je commence à me branler
Marie se colle à Elodie avec un baiser daffamée, lui arrache littéralement son corsage laissant jaillir une paire de seins telle que je les avais imaginés dans le RER
La bouche de Marie descend lentement vers un mamelon dressé comme un dard et le titille goulument avec sa langue.
« Tu me fais mouiller Marie descend sur ma chatte te bouffe moi le con. »
Après avoir fait glisser la jupe de sa partenaire à terre, Marie saffaire sur le clitoris. Ce doit être tellement bon quà chaque gémissement dElodie un jet de cyprine arrose la bouche de la salope.
« Cest bon Marie continue je sens que je monte »
Nen pouvant plus, je me rapproche de Marie pour lui caresser le cul et finis par lui entrer un doigt puis deux dans lanus.
« Vas-y Jade, ramone-la, défonce moi cette salope fais la jouir ».
Ça ne tarde pas, Marie part dans une extase si violente en sagrippant de toutes ses forces à Elodie, la tête toujours enfouie dans lépaisse toison brune quelle part à la renverse nous entrainant toutes les trois sur la moquette de la cabine.
Nous restons quelques instants étalés par terre les cuisses satisfaites et cest Marie qui rompt ce bref instant de repos.
« Bon, les filles, il faut se ressaisir je ne peux pas laisser le magasin plus longtemps fermé, la patronne viens souvent vers cette heure ci faire son petit tour. »
Satisfaites de notre visite, nous nous rhabillons, en définitive Jachète la parure et nous nous quittons comme si de rien nétait.
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