Une Maison D'Ôte Bien Garnie - 2Ème Partie

Après avoir laissé ma voiture à proximité du port, je prends une des vedettes qui font la navette avec l’île de la Désirade où j’arrive après un bref trajet d’une quarantaine de minutes…
Sur le port notre guide-chauffeur (un vrai celui-là) nous attend pour conduire notre petit groupe de touristes dans la réserve naturelle où nous pouvons observer des animaux en voie de disparition comme les iguanes, le scinque et l’agouti qui sont des animaux endémiques de l’île… Puis il nous montre diverses plantes et arbres de la forêt luxuriante de cette petite île… avec une multitude d’orchidées qui fleurissent presque toute l’année à l’ombre des grands arbres…
Bien évidemment ce petit groupe d’une douzaine de touriste prend plein de photos, moi le premier…
Le retour vers la grande ile se déroule tout aussi rapidement que l’aller…

Comme convenu, Isabelle m’attend au débarcadère.
Surprise, elle est habillée à la créole… ce qui met en valeur encore plus sa beauté que l’uniforme d’hôtesse de la compagnie pour laquelle elle travaille…
- Oh… Tu es bien jolie !
- Tu trouves ? Chaque fois que j’ai une coupure de plusieurs jours, j’en profite par revêtir les costumes traditionnels… Je le ferais à Paris, on me regarderait avec de grands yeux !
- Mais cela ta va très bien… Tu aurais tort de t’en priver !
- Merci… Tu es gentil ! Je savais que tu étais un galant homme !
- Ce n’est pas difficile avec les jolies femmes comme toi…

Je suis sincère… J’ai toujours aimé les jolies femmes… d’ailleurs, mes deux épouses successives (sans prétendre être des canons) étaient plutôt jolies… La première, avec des formes un peu rondes, la seconde avec juste un peu de reliefs au niveau des seins mais des hanches très accueillantes… à 50 ans, elle avait toujours envie de baiser, dans toutes les positions et partout : en voiture, dans sa piscine, en forêt… Ce qui me convenait parfaitement à mon esprit coquin…
- Je te suis… Tu es mon guide !
- Oh le coquin… pas comme les guides de Dame Ernestine !
- Qui sait ? Après le trop court intermède de l’avion !
(silence un peu gêné).


- Viens… on va d’abord passer sur le marché… Je te ferai découvrir les agrumes locaux et tu verras de beaux coquillages !
- Aussi frais que le tien ?
- Sacré coquin… Tu ne penses qu’à çà !
- Toujours quand je suis au côté d’une jolie femme !
- Vil flatteur !

Isabelle glisse son bras sous le mien et nous cheminons en bavardant entre les étals du marché d’où montent des senteurs très agréables… Je ne vois pas le temps passer… La compagnie d’Isabelle est agréable, pleine de vivacité et d’esprit.
Je ne lui cache pas mon penchant pour le libertinage, même si l’âge venant, je ne suis plus aussi chaud.
Elle s’écrie :
• Mais tu es jeune… c’est dans ta tête que çà se passe… Je l’ai tout de suite deviné dans l’avion ! Voir et sentir comment tu me matais quand je passais dans l’allée…
• Tu crois ?
• Je faisais exprès de rouler des hanches… J’avais deviné que si je te laissais une ouverture tu saurais la saisir !
• C’est chose faite… On ne va pas en rester là !
• Baladons-nous encore un peu et nous dinerons ensuite sur la plage… on prendra ta voiture pour aller chez moi.
• Quel programme…
• Ne crois pas que ce sera tous les jours… Je n’ai que quatre jours de coupure avant de remplacer une collègue sur un vol triangulaire pour Fort de France et Cayenne.
• On se verra à ton retour ?
• Si tu n’es pas épuisé par les « guides » de Dame Ernestine !
• Je n’en n’ai vu que deux… elles semblent charmantes mais tu sais les fruits verts… Je préfère nettement les femmes comme toi…
• Vil flatteur ! Tu veux me dévergonder !
• Serais-tu une oie blanche malgré ta couleur de peau ?
• -------------
• J’en serais étonné… Tu m’as laissé toucher furtivement tes seins, bien fermes soit-dit en passant, et tu m’as mis la main au paquet !

Pour diner, nous trouvons un restaurant typique dont la terrasse donne sur la plage où les vagues de la mer des Antilles viennent se briser doucement.
C’est la semaine, et nous sommes quasiment seuls sur la terrasse ce qui fait que nous pouvons continuer de bavarder librement.
• Parle-moi un peu de toi… Tu sais beaucoup de choses de ma vie… et si ce n’est pas indiscret, j’aimerais en savoir plus…
• Oh, il n’y a rien que de très banal… Comme tu le sais, je ne suis pas une Guadeloupéenne pour jus… je suis ce qu’on appelle une « quarteronne ». Mon grand-père était métis issu d’un mariage entre un blanc et une guadeloupéenne, laquelle a épousé un blanc… J’ai donc très peu de sang noir dans les veines.
• Je dois avouer que cela donne un beau résultat… Tu es canon ! Les mecs doivent te tourner autour !
• Oh oui… à tel point que ma mère m’a fait prendre la pilule dès que j’ai eu mes règles… Tu sais les antillais ont le sang chaud et dès qu’une jolie fille passe devant eux, ils ne pensent qu’à une chose : LA BAISER !
• Tu m’étonnes… Beaucoup d’antillaises sont de vrais canons ! Continue…
• Nous étions une bande de copains du lycée de Pointe Noire et chaque fois que nous avions un après midi de libre, nous le passions sur la plage pour flirter ou nager, et pour certains s’isoler pour baiser sous les palmiers.
• C’était de votre âge…
• J’avais un bon copain qui a fini par me convaincre de le suivre sous les palmiers et c’est lui que a eu mon pucelage… J’avais tout juste 16 ans… Mais comme il était quelque peu volage et moi jalouse, nos relations n’ont pas duré longtemps. C’est à cette époque que j’ai rencontré Anaïs, une fille un peu plus âgée qui était arrivée en cours d’année scolaire… Je l’ai trouvée sympa tout de suite et comme on dit, je l’ai prise sous mon aile… Mais en fait… c’est elle qui m’a dévergondée. Elle a fait de moi « SA CHOSE »… Elle m’a tout appris des relations entre femmes et ce n’est qu’après la classe de terminale que nous nous sommes séparées… elle retournait en Métropole avec ses parents. Mais baiser avec un mec, çà me manquait !
• Et je pense que tu ne t’en es pas privée ?
• J’étais jeune et insouciante… Baiser une ou deux fois par semaine avec le même copain, c’était bon… puis mes études supérieures terminées, j’ai cherché un travail qui me permettrait de voir du pays… c’est comme çà que je suis devenue hôtesse dans une grande compagnie allemande puis à Air Caraïbes pour me rapprocher de mes parents qui vieillissaient.

• Tu as du en voir du pays !
• Ne crois pas çà… la compagnie allemande était spécialisée dans les vols charter Europe – Antilles puis j’ai eu l’opportunité d’entrer dans la compagnie qui m’emploie… Elle venait de se créer…

Après un café bien serré comme l’aiment les antillais, nous quittons le restaurant et, bras dessus / bras dessous, nous cheminons vers l’appartement d’Isabelle dont je sens la hanche droite heurter doucement la mienne à chaque pas.
Je vous passe la description de l’appartement mais il est meublé avec goût, un exotisme raffiné… mais c’est vers la chambre que nous nous dirigeons aussitôt !
Isabelle me fait un striptease en régle, dénouant avec grâce les pans de ses vêtements pour finir en dessous noirs qui tranchent sur sa peau basanée… Un mignon petit string et un soutien gorge bien rempli…
C’est sur… elle est belle… elle le sait…
Je retrouve les images qui se sont gravées dans ma tête après l’intermède de l’avion…
Je m’approche et je la prends dans mes bras. Encore habillé, je colle mon pubis contre le sien pour lui faire sentir mon sexe dressé depuis que nous sommes entrés dans sa chambre…
Elle répond aussitôt en cherchant mes lèvres et sa langue pénètre ma bouche…
Waouh… quel baiser torride !
Puis Isabelle entreprend de me déshabiller… C’est vite fait… je me porte qu’une chemisette, un pantalon large et un boxer… Sous les Tropiques, même en soirée, la température reste très agréable.
• Je ne m’étais pas trompée dans l’avion…
• Tu crois ?
• Non… tu es bien monté ! En plus tu as les bourses rasées…
• C’est une habitude qui date d’une de mes premières maîtresses.
• T’en as eu beaucoup ?
• Tu sais, les filles qu’ont rencontre dans les clubs libertins ne sont pas des maîtresses… Juste un coup d’un soir !
• Et des liaisons plus durables ?
• Oui… quelques unes, une semaine ou un mois… après on passait à autre chose !
• Je savais que tu étais un coquin… En plus choisir la maison de Dame Ernestine… çà veut dire beaucoup de choses.

Pendant ce bavardage, j’avais laissé mes mains découvrir le corps charmant d’Isabelle… fait de pleins et de creux agréables à suivre…
Je bandais de plus en plus et les caresses que me prodiguait cette fille achevait de mettre le feu à ma libido…d’autan qu’était mise à parler en créole pour décrire ce qu’elle faisait…et c’était charmant :
- Bo coucoune en men!! Ou ka fai coucoune en mwen bavé !!
J’étais entre ses cuisses et je lui mangeais littéralement la chatte qui était de plus en plus humide, je dirais même mouillée tant sa cyprine était abondante.
Je ne me fis pas prier non plus lorsqu’Isabelle me dit et me fit comprendre en pressant ma bouche contre sa chatte :
- Fouré langue aw an coucoune an mwen !! (fourre ta langue dans ma chatte… tu me fais mouiller)
Je buvais à la source de son plaisir un jus abondant un légèrement acidulé… c’était bon…
Je dardais ma langue à l’orée de sa chatte, le nez dans la petite touffe de polis drus qu’elle avait gardé sur son pubis.
Je sentais sa jouissance monter…
Isabelle ne prononçait plus que des mots sans suite, passant du créole au français…
Sa tête allait de gauche à droite et elle pressait ses mains sur sa poitrine en faisant rouler les tétons entre ses doigts…
Soudain Isabelle poussa une sorte de rugissement en serrant ses cuisses autour de ma tête. En jouissant, elle inonda mon visage de plusieurs jets…
C’était une femme fontaine…

J’étais resté un peu sur ma faim mais j’avais envoyé en l’air Isabelle d’une manière inespérée qu’elle semblait apprécier car à peine deux minutes de repos après, elle était prête à une seconde partie.
Elle m’invitait à lui lécher les seins, lui lécher tout le corps…
- Vin susé tété an mwen !! (viens me sucer les seins)
- Léché mwen tou patou!! (lèche moi partout)
Et elle avait envie que je la baise bien fort, que je lui mette ma grosse bite dans sa petite chatte !
- Ou ni on gro cock !! Fouré gro cock aw en ti coucoune an mwen !! Cocké mwen rèd !!
Je ne laissai pas le temps à Isabelle que chercher une position… Elle était étendue sur le dos, les bras et les jambes ouverts comme dans une invitation…
J’ai enfilé rapidement un préservatif et me plaçant entre les cuisses de la belle, je l’ai éperonnée vivement sans difficultés tant son sexe était humide… Puisque voulait un peu de rudesse, j’allais lui en donner malgré mon âge…
Une belle pouliche comme elle, je n’allais pas me priver.
Si elle avait déjà joui une première fois, j’étais resté sur ma faim aussi ai-je entrepris de la baiser bien à fond, allant et venant dans sa chatte que je sentais chaude et humide au travers du préservatif…
Isabelle était très réceptive, je la sentais bouger sous mes assauts comme pour m’inciter à trouver le meilleur angle de pénétration… je ne me privais pas… tantôt je le pistonnais rapidement puis je ralentissais pour laisser retomber la jouissance que je sentais proche…
Elle m’encourageait tantôt en français, tantôt en créole m’invitant à « pété coucoune an mwen » ce que j’ai compris comme voulant dire de lui péter la chatte !
Et là, une jouissance démentielle nous a emportés simultanément… Nouant ses longues jambes sur mes reins, Isabelle se tétanisait au moment où je balançais quelques belles giclées de foutre au fond de la capote…

Le deuxième round ne tarda pas… et c’est sans hésiter que je répondis à l’invitation d’Isabelle !
- Mangé coucoune an mwen bien pendan an ka mangé cock aw! (bouffes moi bien la chatte pendant que je te bouffe la bite).
Et elle sentait bon malgré notre premier coup ! Sa chatte bavait sa cyprine que je léchais avec ardeur, introduisant ma langue au plus profond en ouvrant ses lèvres intimes de mes doigts.
Je sentais la bouche d’Isabelle aller et venir sur ma bite qui avait repris sa forme presque tout de suite… Cette coquine savait y faire pour faire renaître une belle bandaison… mais je ne tardai pas à savoir ce qu’elle voulait quand elle me dit dans un souffle :
- Fouré cock aw en bonda an mwen ! (mets moi ta bite dans le cul !)
Aussitôt elle prit la meilleure position qui soit pour une levrette ou une sodomie… Le cul levé bien haut, le buste allongé sur le lit, la tête tournée vers le miroir de l’armoire, elle m’offrait une vue terriblement excitante… Je voyais son œillet plissé palpiter doucement entre ses fesses, s’ouvrant et se refermant comme une bouche vorace.
Rapidement couvert une nouvelle fois, je m’approchai de ce cul offert si généreusement et saisissant Isabelle par les hanches, j’introduisis ma bite dans son sphincter qui s’ouvrit aussitôt sous la poussée de mon gland !
En moi-même, je pensai qu’elle avait du se faire sodomiser plus d’une fois car je n’avais pas eu besoin de gel ou de lubrifiant pour lui graisser l’antre interdit…
Et elle savait se servir de ses muscles intimes… je sentais ma queue massée par des mouvements quasi imperceptibles et c’étai bon…
J’allais et venais de plus en plus vite dans le cul d’Isabelle, cherchant mon plaisir et le sien… et elle m’encourageait à la prendre plus fort… plus profond… me répétant : « ou ni on gro cock ! » que j’avais une grosse bite !
Isabelle a joui la première et je n’ai pas tardé à la suivre, me répandant une nouvelle fois dans la capote puis nous avons basculé sur le côté et nous nous sommes endormis, ma bite logée entre ses fesses…


Le lendemain matin, j’ai regagné la maison de Dame Ernestine et je me suis écroulé sur mon lit pour presque vingt quatre heures de sommeil sans rêve… quand une des pensionnaires de la maison est venue m’apporter un petit déjeuner très reconstituant !
J’en avais besoin !

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