Une Maison D'Ôte Bien Garnie - 2Ème Partie
Après avoir laissé ma voiture à proximité du port, je prends une des vedettes qui font la navette avec lîle de la Désirade où jarrive après un bref trajet dune quarantaine de minutes
Sur le port notre guide-chauffeur (un vrai celui-là) nous attend pour conduire notre petit groupe de touristes dans la réserve naturelle où nous pouvons observer des animaux en voie de disparition comme les iguanes, le scinque et lagouti qui sont des animaux endémiques de lîle
Puis il nous montre diverses plantes et arbres de la forêt luxuriante de cette petite île
avec une multitude dorchidées qui fleurissent presque toute lannée à lombre des grands arbres
Bien évidemment ce petit groupe dune douzaine de touriste prend plein de photos, moi le premier
Le retour vers la grande ile se déroule tout aussi rapidement que laller
Comme convenu, Isabelle mattend au débarcadère.
Surprise, elle est habillée à la créole
ce qui met en valeur encore plus sa beauté que luniforme dhôtesse de la compagnie pour laquelle elle travaille
- Oh
Tu es bien jolie !
- Tu trouves ? Chaque fois que jai une coupure de plusieurs jours, jen profite par revêtir les costumes traditionnels
Je le ferais à Paris, on me regarderait avec de grands yeux !
- Mais cela ta va très bien
Tu aurais tort de ten priver !
- Merci
Tu es gentil ! Je savais que tu étais un galant homme !
- Ce nest pas difficile avec les jolies femmes comme toi
Je suis sincère
Jai toujours aimé les jolies femmes
dailleurs, mes deux épouses successives (sans prétendre être des canons) étaient plutôt jolies
La première, avec des formes un peu rondes, la seconde avec juste un peu de reliefs au niveau des seins mais des hanches très accueillantes
à 50 ans, elle avait toujours envie de baiser, dans toutes les positions et partout : en voiture, dans sa piscine, en forêt
Ce qui me convenait parfaitement à mon esprit coquin
- Je te suis
Tu es mon guide !
- Oh le coquin
pas comme les guides de Dame Ernestine !
- Qui sait ? Après le trop court intermède de lavion !
(silence un peu gêné).
- Viens
on va dabord passer sur le marché
Je te ferai découvrir les agrumes locaux et tu verras de beaux coquillages !
- Aussi frais que le tien ?
- Sacré coquin
Tu ne penses quà çà !
- Toujours quand je suis au côté dune jolie femme !
- Vil flatteur !
Isabelle glisse son bras sous le mien et nous cheminons en bavardant entre les étals du marché doù montent des senteurs très agréables
Je ne vois pas le temps passer
La compagnie dIsabelle est agréable, pleine de vivacité et desprit.
Je ne lui cache pas mon penchant pour le libertinage, même si lâge venant, je ne suis plus aussi chaud.
Elle sécrie :
Mais tu es jeune
cest dans ta tête que çà se passe
Je lai tout de suite deviné dans lavion ! Voir et sentir comment tu me matais quand je passais dans lallée
Tu crois ?
Je faisais exprès de rouler des hanches
Javais deviné que si je te laissais une ouverture tu saurais la saisir !
Cest chose faite
On ne va pas en rester là !
Baladons-nous encore un peu et nous dinerons ensuite sur la plage
on prendra ta voiture pour aller chez moi.
Quel programme
Ne crois pas que ce sera tous les jours
Je nai que quatre jours de coupure avant de remplacer une collègue sur un vol triangulaire pour Fort de France et Cayenne.
On se verra à ton retour ?
Si tu nes pas épuisé par les « guides » de Dame Ernestine !
Je nen nai vu que deux
elles semblent charmantes mais tu sais les fruits verts
Je préfère nettement les femmes comme toi
Vil flatteur ! Tu veux me dévergonder !
Serais-tu une oie blanche malgré ta couleur de peau ?
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Jen serais étonné
Tu mas laissé toucher furtivement tes seins, bien fermes soit-dit en passant, et tu mas mis la main au paquet !
Pour diner, nous trouvons un restaurant typique dont la terrasse donne sur la plage où les vagues de la mer des Antilles viennent se briser doucement.
Parle-moi un peu de toi
Tu sais beaucoup de choses de ma vie
et si ce nest pas indiscret, jaimerais en savoir plus
Oh, il ny a rien que de très banal
Comme tu le sais, je ne suis pas une Guadeloupéenne pour jus
je suis ce quon appelle une « quarteronne ». Mon grand-père était métis issu dun mariage entre un blanc et une guadeloupéenne, laquelle a épousé un blanc
Jai donc très peu de sang noir dans les veines.
Je dois avouer que cela donne un beau résultat
Tu es canon ! Les mecs doivent te tourner autour !
Oh oui
à tel point que ma mère ma fait prendre la pilule dès que jai eu mes règles
Tu sais les antillais ont le sang chaud et dès quune jolie fille passe devant eux, ils ne pensent quà une chose : LA BAISER !
Tu métonnes
Beaucoup dantillaises sont de vrais canons ! Continue
Nous étions une bande de copains du lycée de Pointe Noire et chaque fois que nous avions un après midi de libre, nous le passions sur la plage pour flirter ou nager, et pour certains sisoler pour baiser sous les palmiers.
Cétait de votre âge
Javais un bon copain qui a fini par me convaincre de le suivre sous les palmiers et cest lui que a eu mon pucelage
Javais tout juste 16 ans
Mais comme il était quelque peu volage et moi jalouse, nos relations nont pas duré longtemps. Cest à cette époque que jai rencontré Anaïs, une fille un peu plus âgée qui était arrivée en cours dannée scolaire
Je lai trouvée sympa tout de suite et comme on dit, je lai prise sous mon aile
Mais en fait
cest elle qui ma dévergondée. Elle a fait de moi « SA CHOSE »
Elle ma tout appris des relations entre femmes et ce nest quaprès la classe de terminale que nous nous sommes séparées
elle retournait en Métropole avec ses parents. Mais baiser avec un mec, çà me manquait !
Et je pense que tu ne ten es pas privée ?
Jétais jeune et insouciante
Baiser une ou deux fois par semaine avec le même copain, cétait bon
puis mes études supérieures terminées, jai cherché un travail qui me permettrait de voir du pays
cest comme çà que je suis devenue hôtesse dans une grande compagnie allemande puis à Air Caraïbes pour me rapprocher de mes parents qui vieillissaient.
Tu as du en voir du pays !
Ne crois pas çà
la compagnie allemande était spécialisée dans les vols charter Europe Antilles puis jai eu lopportunité dentrer dans la compagnie qui memploie
Elle venait de se créer
Après un café bien serré comme laiment les antillais, nous quittons le restaurant et, bras dessus / bras dessous, nous cheminons vers lappartement dIsabelle dont je sens la hanche droite heurter doucement la mienne à chaque pas.
Je vous passe la description de lappartement mais il est meublé avec goût, un exotisme raffiné
mais cest vers la chambre que nous nous dirigeons aussitôt !
Isabelle me fait un striptease en régle, dénouant avec grâce les pans de ses vêtements pour finir en dessous noirs qui tranchent sur sa peau basanée
Un mignon petit string et un soutien gorge bien rempli
Cest sur
elle est belle
elle le sait
Je retrouve les images qui se sont gravées dans ma tête après lintermède de lavion
Je mapproche et je la prends dans mes bras. Encore habillé, je colle mon pubis contre le sien pour lui faire sentir mon sexe dressé depuis que nous sommes entrés dans sa chambre
Elle répond aussitôt en cherchant mes lèvres et sa langue pénètre ma bouche
Waouh
quel baiser torride !
Puis Isabelle entreprend de me déshabiller
Cest vite fait
je me porte quune chemisette, un pantalon large et un boxer
Sous les Tropiques, même en soirée, la température reste très agréable.
Je ne métais pas trompée dans lavion
Tu crois ?
Non
tu es bien monté ! En plus tu as les bourses rasées
Cest une habitude qui date dune de mes premières maîtresses.
Ten as eu beaucoup ?
Tu sais, les filles quont rencontre dans les clubs libertins ne sont pas des maîtresses
Juste un coup dun soir !
Et des liaisons plus durables ?
Oui
quelques unes, une semaine ou un mois
après on passait à autre chose !
Je savais que tu étais un coquin
En plus choisir la maison de Dame Ernestine
çà veut dire beaucoup de choses.
Pendant ce bavardage, javais laissé mes mains découvrir le corps charmant dIsabelle
fait de pleins et de creux agréables à suivre
Je bandais de plus en plus et les caresses que me prodiguait cette fille achevait de mettre le feu à ma libido
dautan quétait mise à parler en créole pour décrire ce quelle faisait
et cétait charmant :
- Bo coucoune en men!! Ou ka fai coucoune en mwen bavé !!
Jétais entre ses cuisses et je lui mangeais littéralement la chatte qui était de plus en plus humide, je dirais même mouillée tant sa cyprine était abondante.
Je ne me fis pas prier non plus lorsquIsabelle me dit et me fit comprendre en pressant ma bouche contre sa chatte :
- Fouré langue aw an coucoune an mwen !! (fourre ta langue dans ma chatte
tu me fais mouiller)
Je buvais à la source de son plaisir un jus abondant un légèrement acidulé
cétait bon
Je dardais ma langue à lorée de sa chatte, le nez dans la petite touffe de polis drus quelle avait gardé sur son pubis.
Je sentais sa jouissance monter
Isabelle ne prononçait plus que des mots sans suite, passant du créole au français
Sa tête allait de gauche à droite et elle pressait ses mains sur sa poitrine en faisant rouler les tétons entre ses doigts
Soudain Isabelle poussa une sorte de rugissement en serrant ses cuisses autour de ma tête. En jouissant, elle inonda mon visage de plusieurs jets
Cétait une femme fontaine
Jétais resté un peu sur ma faim mais javais envoyé en lair Isabelle dune manière inespérée quelle semblait apprécier car à peine deux minutes de repos après, elle était prête à une seconde partie.
Elle minvitait à lui lécher les seins, lui lécher tout le corps
- Vin susé tété an mwen !! (viens me sucer les seins)
- Léché mwen tou patou!! (lèche moi partout)
Et elle avait envie que je la baise bien fort, que je lui mette ma grosse bite dans sa petite chatte !
- Ou ni on gro cock !! Fouré gro cock aw en ti coucoune an mwen !! Cocké mwen rèd !!
Je ne laissai pas le temps à Isabelle que chercher une position
Elle était étendue sur le dos, les bras et les jambes ouverts comme dans une invitation
Jai enfilé rapidement un préservatif et me plaçant entre les cuisses de la belle, je lai éperonnée vivement sans difficultés tant son sexe était humide
Puisque voulait un peu de rudesse, jallais lui en donner malgré mon âge
Une belle pouliche comme elle, je nallais pas me priver.
Si elle avait déjà joui une première fois, jétais resté sur ma faim aussi ai-je entrepris de la baiser bien à fond, allant et venant dans sa chatte que je sentais chaude et humide au travers du préservatif
Isabelle était très réceptive, je la sentais bouger sous mes assauts comme pour minciter à trouver le meilleur angle de pénétration
je ne me privais pas
tantôt je le pistonnais rapidement puis je ralentissais pour laisser retomber la jouissance que je sentais proche
Elle mencourageait tantôt en français, tantôt en créole minvitant à « pété coucoune an mwen » ce que jai compris comme voulant dire de lui péter la chatte !
Et là, une jouissance démentielle nous a emportés simultanément
Nouant ses longues jambes sur mes reins, Isabelle se tétanisait au moment où je balançais quelques belles giclées de foutre au fond de la capote
Le deuxième round ne tarda pas
et cest sans hésiter que je répondis à linvitation dIsabelle !
- Mangé coucoune an mwen bien pendan an ka mangé cock aw! (bouffes moi bien la chatte pendant que je te bouffe la bite).
Et elle sentait bon malgré notre premier coup ! Sa chatte bavait sa cyprine que je léchais avec ardeur, introduisant ma langue au plus profond en ouvrant ses lèvres intimes de mes doigts.
Je sentais la bouche dIsabelle aller et venir sur ma bite qui avait repris sa forme presque tout de suite
Cette coquine savait y faire pour faire renaître une belle bandaison
mais je ne tardai pas à savoir ce quelle voulait quand elle me dit dans un souffle :
- Fouré cock aw en bonda an mwen ! (mets moi ta bite dans le cul !)
Aussitôt elle prit la meilleure position qui soit pour une levrette ou une sodomie
Le cul levé bien haut, le buste allongé sur le lit, la tête tournée vers le miroir de larmoire, elle moffrait une vue terriblement excitante
Je voyais son illet plissé palpiter doucement entre ses fesses, souvrant et se refermant comme une bouche vorace.
Rapidement couvert une nouvelle fois, je mapprochai de ce cul offert si généreusement et saisissant Isabelle par les hanches, jintroduisis ma bite dans son sphincter qui souvrit aussitôt sous la poussée de mon gland !
En moi-même, je pensai quelle avait du se faire sodomiser plus dune fois car je navais pas eu besoin de gel ou de lubrifiant pour lui graisser lantre interdit
Et elle savait se servir de ses muscles intimes
je sentais ma queue massée par des mouvements quasi imperceptibles et cétai bon
Jallais et venais de plus en plus vite dans le cul dIsabelle, cherchant mon plaisir et le sien
et elle mencourageait à la prendre plus fort
plus profond
me répétant : « ou ni on gro cock ! » que javais une grosse bite !
Isabelle a joui la première et je nai pas tardé à la suivre, me répandant une nouvelle fois dans la capote puis nous avons basculé sur le côté et nous nous sommes endormis, ma bite logée entre ses fesses
Le lendemain matin, jai regagné la maison de Dame Ernestine et je me suis écroulé sur mon lit pour presque vingt quatre heures de sommeil sans rêve
quand une des pensionnaires de la maison est venue mapporter un petit déjeuner très reconstituant !
Jen avais besoin !
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