La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1170)
La Marquise esclave (suite de l'épisode précédent N°1169) -
Et il mécarta les jambes pour liés également mes chevilles
Il me caressa du bout de ses doigts de la base de mes cheveux, en passant le long de léchine, le bas de mes reins passant par la raie de mes fesses jusquà mon anus, toujours orné du profond plug frappé des Armoiries du Maître avec à son extrémité extérieure un saphir dun bleu brillant. Il joua quelques instants avec, le tournant, le faisant aller de bas en haut, de gauche à droite. Quand soudain, il lenleva dun coup sec, mobservant pour surprendre un son, une tentative de mouvement. Mais je restais totalement impassible ! Il rentra alors son index à lintérieur, testant lélasticité de mes parois anales. Mais avant pour ne pas sencombrer du bijou quil tenait, il me le mit dans la bouche avec linterdiction de le faire tomber. Ce plug envahissant toute ma cavité buccale
Alors, je sentis quelque chose de dur et chaud se présenter à lentrée de ma rosette déjà fortement dilatée par le long plug. Je compris de suite quil sagissait du gland épais de sa grosse verge dressée. Il le frotta de haut en bas tout le long de ma raie, sattardant à lentrée de mon anus quand soudain il sy enfonça dun coup jusquà la garde, et il fit de suite des mouvements amples et rapides. Ma dilatation anale (dont le seul but du profond plug était que mon cul soit toujours disponible à être possédé par nimporte quelle personne que le Maître déciderai de me ferai prendre à nimporte quel moment) lui facilita la tâche et mévita de ressentir une douleur. Au contraire, javoue avoir ressenti un plaisir savoureux à cette saillie bestiale, animale, profonde et subite ayant justement un anus bien préparé, dilaté
Je nétais là que pour lui servir de vide-couilles ! Il sactivait en moi, me maintenant les hanches fermement tout en accentuant ses coups de reins puissants, menculant avec frénésie. Je sentais ses couilles frapper mes fesses alors quil me pilonnait sauvagement.
Effectivement des râles de plaisirs jouissifs sortirent de sa bouche au moment déjaculer, alors il se retira très rapidement et gicla sa semence en des jets saccadés de sperme chaud sur mes fesses. Puis sans un seul mot, il me contourna et me prit les cheveux par ma queue de cheval pour me redresser et pour me présenter devant ma cavité buccale, sa verge à moitié ramollie afin que je la lui nettoie. Il sortit le plug de ma bouche afin que je puisse sortir ma langue et consciencieusement, je lui léchais ce qui restait de son sperme ainsi que mes sécrétions anales. Puis sans quaucun mot ne sorte entre ses dents, il réajusta son pantalon et il repartit travailler, me laissant ainsi, me remettant le plug enfoncé dans ma bouche et me faisant comprendre, par un geste, de sa large main appuyant sur mon épaule de reprendre ma position en levrette prosternée
. Ce plug en bouche me faisait saliver à outrance dailleurs depuis le début de la sodomie ! Et maintenant, je sentis le besoin de mhydrater. Mais je navais aucun moyen de me faire comprendre dans la situation dans laquelle je me trouvais. De plus, ma tête se trouvait tournée sur le côté vers le sol et le sang montait, et je me demandais si je pourrais rester longtemps ainsi sans me trouver mal
.
Cependant, force était de constater que cela soulagea un peu les brûlures asséchées de la soif que je ressentais dans ma gorge, après avoir tant salivé. Lorsquil eut fini, il ne me laissa pas le temps de le nettoyer, il préféra sessuyer directement sur mes cheveux. Je sentais également son sperme qui avait séché sur mon fessier et qui me tirait un peu la peau. Avant de repartir, toujours sans un mot, il installa dans mon vagin un appareil que je ne pus apercevoir, mais il mordonna de bien contracter les muscles pour ne pas que je le perde, sous peine dêtre sévèrement punie. Au passage, il renfonça sans ménagement le plug anale à sa place dans mon cul et il partit de nouveau. Au bout de quelques minutes, je sentis de puissantes vibrations ne tardant pas à inonder ma chatte. Il fallut effectivement que je me concentre sur la contraction de mes muscles périnéaux pour empêcher de tomber sur le sol avec ce que je prenais pour un uf vibrant qui devait avoir une télécommande à faible distance,. Nétant pas habituée à me servir de ces muscles aussi longtemps, aussi intensément, la douleur ne tarda pas à se faire sentir. Immédiatement, comme à chaque fois quune telle situation se présentait, je focalisai mes pensées sur le Maître, et rapidement, mes sensations de douleurs se muèrent en pure excitation, ne laissant pas indifférente la masochiste que jétais. Souffrir pour faire honneur à Celui à qui javais confié totalement ma vie, me procurait mentalement un bonheur inouï ! Les vibrations allaient et venaient, parfois douces, parfois fortes, faisant monter des vagues de plaisir de plus en plus fortes, que pour le moment, jarrivais à contrôler
.
Ces sensations planantes, enivrantes, plus le sang qui me montait à la tête, lengourdissement de mes membres à rester ainsi attachée depuis un long moment, le plug dans le cul, me mirent dans un état second. Je perdais la notion du temps, du lieu. Je partais dans un autre monde où plus rien de solide nexistait. Cest à peine si jentendis Fabien revenir et me retirer luf vibrant. Sujet à une évidente nouvelle érection, il remplaça le jouet vibrant par sa verge de nouveau bien dure sans autre préambule dans ma chatte trempée à souhait. Et il se mit à me pilonner vigoureusement comme il lavait fait tantôt dans mon cul, ses couilles ballantes, qui sétaient de nouveau remplies, frappant en cadence mon cul. Je retenais avec peine mon plaisir qui cherchait à menvahir, alors quil prenait visiblement beaucoup de plaisir à me branler mon clitoris de son pouce tandis quil me besognait toujours aussi virilement. Etant profondément clitoridienne, il me fallut tenir avec beaucoup de volonté à ne pas jouir, il appuyait dessus mon clito par petites pressions successives et excitantes, tournoyait de son pouce en faisant des cercles, puis toujours en me baisant profondément à grands coups de queue, il approcha un deuxième doigt afin de me décapuchonner mon clitoris pour le pincer entre ses deux doigts et maintenait la pression exercée. Là, je crus que jallais éclater mon orgasme, ny tenant plus, cétait trop jouissif comme traitement, quand il lâcha enfin lordre libérateur :
- Jouis, salope !
Je fus alors entrainée dans un tourbillon de jouissances ininterrompues, dans des hurlements sauvages ponctués de gémissements bestiaux tels ceux dune véritable chienne en chaleur. Ce fut des orgasmes apocalyptiques, explosifs qui se succédaient dune manière fulgurante, me procurant des décharges électriques partant de mon échine et traversant toutes les parties de mon corps. Je jouis encore et encore jusquà ce que, à bout de force, épuisée, je perdis connaissance
.
-Ah, tu te réveilles enfin ! Les chiennes MDE mapportent toujours un grand plaisir, tu pourras le dire à mon très Cher Ami ! Je vous fais à tous les deux un petit cadeau de mariage avec un peu davance. Ce que je tai inséré dans la chatte tout à lheure est un Lush, un uf vibrant connecté. Si tu te trouves dans une zone wifi, ainsi que la personne qui veut le mettre en marche grâce à son téléphone, il ny a aucune limite de distance ! Vous pouvez vous retrouver chacun à un bout de la planète que cela fonctionnera. Edouard qui aime avoir un parfait contrôle sur les corps de Ses chiennes appréciera certainement ! Maintenant dépêche-toi de te rhabiller, Walter tattend dans la rue pour te ramener au Château ! Mais avant boit à volonté, tu dois avoir soif, me dit-il en me tendant un grand verre deau fraîche
Je bus abondamment et une fois le verre déposé sur une petite table, je me prosternais alors devant lui pour le saluer et le remercier, puis jobéis rapidement, du moins autant que je le pouvais encore faible de la journée que je venais de passer entre ses mains. Nous étions en ville, dans une rue passante, donc le Majordome ne me fit pas monter dans le coffre. Mais lorsquil y entra dans la voiture à son tour, il me passa mon collier, dont il attacha la laisse dans le sol. Quand japportais le cadeau de Fabien au Maître qui avait exigé me voir dès mon retour, Il en fut ravi, et me certifia que ce cadeau ne resterait pas inutilisé. Jétais revenue peu de temps avant que la cloche du dîner ne sonne. Javalais mon repas avec avidité, et retrouvais plus tard avec bonheur mon Cachot pour une bonne nuit de sommeil
(A suivre ...)
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