Une Maison D'Ôtes Bien Garnie. 3Ème Partie.
(Nota
certains pourront trouver que cet épisode tourne court
Hélas, lantillaise qui devait maider pour les dialogue en créole ma laissé en plan après le premier volet
)
Lorsque je me suis réveillé après presque 24 heures de sommeil, je me sentais tout ragaillardi.
Je me sentais en pleine forme et comme pratiquement tous les matins, cela se manifestait par une bandaison naissante qui soulevait le drap
Javais faim et le plateau du petit déjeuner que mapportait une des pensionnaires de Dame Ernestine avait de quoi me rassasier
mais ce qui ma le plus intéressé (je suis incorrigible
) cest cette jeune femme qui portait le plateau et quelle a posé sur une petite table près de la fenêtre.
Elle ma semblée très jeune, une véritable reine de Saba
avec déjà des formes pleines
une poitrine juvénile déjà bien formée prise dans le haut du paréo, une taille souple et fine et des fesses faites au moule sous la cambrure quelle semblait accen volontairement lorsquelle me tourna le dos brièvement
Elle avait la tête rasée
de grands yeux marron en amande, le nez un peu épaté et des lèvres ourlées qui lui faisaient une bouche très sensuelle.
Décidément les petites pensionnaires de Dame Ernestine étaient toutes très jolies et je comprenais maintenant ce quIsabelle voulait dire
En fait, ces jeunes femmes étaient là pour satisfaire la libido des clients de la maison dhôtes.
Cétait une sorte de lupanar qui ne voulait pas dire son nom !
Lorsque la fille se retourna vers moi, elle remarqua aussitôt la bosse sous le drap.
Monsieur, je suis là pour vous servir en tout ce que vous voulez
et je vois ce que vous voulez !
Et je veux quoi ?
Mais que je soulage ce qui pointe sous le drap !
Nes-tu pas trop jeune pour un homme comme moi ?
Mais
jai plus de 18 ans
Cette fille avait presque le tiers de mon âge et elle soffrait, dune manière totalement impudique, de me soulager
Bien
montre moi ce que tu sais faire !
Elle sest approchée et a rejeté le drap au pied du lit
Comme dhabitude, je métais couché nu et mon sexe pointait allégrement au dessus de mon pubis.
La demoiselle ma enjambé, un peu comme si elle enfourchait un cheval et, dans un mouvement souple elle a ôté son paréo pour mapparaître dans la splendeur de sa nudité
totale puisque son pubis était aussi rasé que sa tête !
Elle sinstalla à califourchon, écrasant mon sexe contre le sien. Face à moi, elle a fait glisser mon sexe sur le devant du sien et a entrepris une danse lubrique, faisant aller et venir ma bite entre ses lèvres intimes que je sentais de plus en plus humides
Elle allait davant en arrière pour me masturber dune manière savante que je ne connaissais pas !
Ses seins bien fermes dansaient devant moi et je nai pas manqué daller titiller les tétons à peine marqués du bout de mes doigts
Cette danse lubrique me mettait en joie
Peut-être navait-elle pas envie dune pénétration
une masturbation mutuelle suffisait peut-être et moi, je sentais la sève monter
et comme je nétais pas couvert, je nallais pas tarder à me répandre sur mon ventre
Ce que je ne tardai pas à faire alors que ma compagne poussait un feulement rauque au moment où elle aussi jouissait !
Javais le bas du ventre maculé de traces de sperme quelle sest empressée déponger avec une serviette prise dans le cabinet de toilette.
Puis elle a pris congé sur un sonore :
Bonne journée Monsieur
Je nen revenais pas
Javais été accueilli dans la maison de Dame Augustine par une jeune antillaise qui semblait ne pas avoir froid aux yeux
Le lendemain matin, Maeva mavait procuré un massage savant qui sétait achevé par une fellation non moins savante
Le soir même, javais fait lamour et sodomisé ma belle hôtesse de lair et là, dès mon réveil, je déchargeais à nouveau sous la caresse savante de la jeune fille qui venait mapporter mon plateau de petit déjeuner !
Si cela continuait, jallais rentrer en Métropole plus fatigué quà mon arrivée
Mais on ne vit quune fois !
Chaque soir passé à la maison de Dame Augustine, une de ses pensionnaires venait me tenir compagnie pour la nuit
Elles étaient toutes jeunes, belles, dorigines diverses et très douées pour toutes les choses du sexe
Quant à Isabelle, son planning de vol na plus permis de rencontres
Elle nétait même pas sur mon vol de retour vers la Métropole
et devait voguer vers dautres cieux et dautres lits.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!