Voyage En Guyane
En tant que médecin épimiologiste, jai fait de nombreuses visites dans divers pays ou contrées dépourvus du moindre intérêt touristique, avec parfois même une civilisation très peu évoluée ; lun deux a été loccasion de découvrir que les « on dit » ne se sont pas toujours vrais, parfois très contraires. Et mon voyage au fin fond de la Guyane en a été un exemple.
Cela faisait plusieurs jours que nous étions en pleine forêt, un petit groupe de 5 personnes, en plus de moi, à savoir, mon assistant (qui assurait en meme temps la traduction) et quatre indigènes, chargés à la fois du matériel et surtout de la sécurité. Quatre gaillards, ne portant pour tout vêtement quun pagne, ne cachant que très peu leurs attributs, dont le sexe était maintenu par une sorte de cordelette fixée à la taille, mais il était facile de deviner que leurs mandrins étaient de belle taille, avec de lourdes couilles qui ballotaient lors des marches.
A la tombée de la nuit, le camps se formait autour du feu , qui brulait tard dans la nuit ; les indigènes, leurs taches accomplies, se réunissaient en buvant une décoction faite à base de plantes qui cueillaient dans la forêt ; et javais assez vite constaté quaprès , leurs sexes , non seulement nétaient plus attachés, mais que leurs tailles étaient fortement augmentées ; en gros je pense que cette boisson les faisait bander. Et si je suis hétéro, il nen reste pas moins que la vue de ces queues bandées, arrivait à me donner des envies , et que dans ma tente, je me livrai à une bonne séance de masturbation.
Alors quun soir, réfugiés sous une grande toile, en raison de la pluie, cest finalement avec eux que je passais la soirée, avec le même rituel devant moi ; une folle envie a traversé mes pensées : boire leur breuvage pour vérifier si leffet serait le même sur moi. Manifestement ils hésitèrent avant de se plier à ma demande, mais déterminé, je pus enfin en avoir ; il ne fallut pas longtemps pour que leffet se fasse sentir et comme pour eux, je me mis à bander, fait visible sur la tension de mon short, dautant plus que je ne portais pas de sous vêtement.
Que faire, me retirer et être ridicule ou assumer ma décision et rester avec eux et continuer la soirée avec eux, ce que je navais encore jamais fait. Lorsquils ont vu que je restais, leur attitude a changé, et sans tenir compte de ma présence, ils ont quitté leurs pagnes, dévoilant ainsi la totalité de leurs sexes, fièrement tendus, puis sans aucune gêne, ils se sont mis à se branler, psalmodiant en cur. Cest alors que lun deux me fit signe den faire autant. Dans mon ventre une douce chaleur prémice dun plaisir, mais aussi lhésitation de me livrer devant eux ; et pourtant, ce nétait pas lenvie qui me manquait.
Voyant mon hésitation, mapportant un nouveau du breuvage, il a tiré sur le short, découvrant le vit bien bandé et prenant ma main, il la posé dessus ; linvite était claire et lenvie étant aussi claire, je me suis mis à doucement me masturber, sous le regard profond des 4 boys ; me retenant pour ne pas jouir, je fus à nouveau surpris car lun deux se redressa et prenant le sexe de son voisin à pleine main, il sest mis à le branler, avant que les deux séloignent vers la forêt ; jallais à mon tour méclisser, quand les deux restant se sont approchés de moi, faisant eux aussi la démarche de me branler. Ce nétait pas la première fois quun homme me touchait, mais cela me fit rapidement jouir, mes jets se répandant sur eux. Un rictus sur leur visage me fit craindre le pire, mais au contraire, me redressant, ils me conduisirent jusquà leur campement.
Cest alors que je pus découvrir que les deux premiers partant étaient dans la tente, lun possédant lautre en levrette. Un éclair dans ma tête : jallais très certainement me faire sodomiser ce qui eut pour effet de me faire rebander immédiatement ; je venais de comprendre que cétait une de leur occupation nocturne et il faut reconnaitre quen labsence de femme, cela se concevait.
A peine retirer, sa place fut prise par le deuxième, mais cette fois, dilaté par la première pénétration, et graissé pas sa jouissance, je neus aucun mal à encaisser le chibre, malgré sa grosseur, bien au contraire je reculais mes fesses le plus possible pour le sentier au plus profond en moi ; je ne comprenais pas ses paroles , mais sa vigueur à me défoncer traduisait bien ses pensées , sans aucun doute jétais à sa merci et il en profitait ; sous les coups de butoir mon plaisir déferlait; javais envie que cela dure et cela a duré une bonne partie de la nuit ; car à leur tour, les deux autres mont sodomisé,après que jai été à leur rencontre ; même si javais déjà été pris par un homme et ce à plusieurs reprises, mon plaisir cette nuit était bien supérieur. Je découvrais que cela faisait partie de moi et que finalement jétais bi.
Le lendemain matin, rien nen a paru ; les hommes ont fait leur travail sans problème, seul mon adjoint a eu une petite remarque « tu as le visage fatigué, le breuvage a du faire son effet « et il sest remis au travail.
« Tu étais au courant de leur pratique ?
« Bien sûr, jen ai souvent profité ; et toi finalement tu as aimé ?
« Oui avec un seul regret, jaurai aimé gober leurs sexes, mais ils ne mont pas laisser faire
« cela ne fait pas partie de leur habitude, et moi aussi je trouve cela dommage, mais si cela te manque, tu peux me sucer sans problème » ; et il se mit à rire avant de séloigner. La nuit venue, jai hésité à rejoindre le reste de léquipe, un peu gêné. Cest mon adjoint, lui aussi indigène, qui est venu me chercher et me proposer de me joindre à eux avec les même coutumes, cest-à-dire porter le pagne, massocier à leur repas, puis ensuite à leur coutume du breuvage, avec très certainement, si cela ne me gênait pas, de participer à leur acte sexuel. Pour moi, lenvie est très grande, non seulement de me joindre à eux , mais surtout dêtre à leur disposition ; ils mont permis de découvrir ma nouvelle personnalité, celle dun bisexuel, ; jai envie de les sentir en moi, de moffrir à leurs queues , de jouir sans contrainte, libre de mon corps, sachant aussi que très certainement, mon adjoint va y participer et sans doute me soumettre aussi, car il a compris ce matin mes envies.
Avant le repas, il ma procuré un de leur pagne, lui aussi revêtu de même ; il était visible que leffet était le même sur lui, à savoir il bandait et cest ainsi que nous avons pris notre repas en commun, suivi très vite ensuite du breuvage manifestement aphrodisiaque ; leffet a été immédiat sur tous et cest six sexes bandés qui ont surgit sous le mince tissu, très vite retiré. Alors que les indigènes commençaient à se masturber, mon adjoint sest rapproché de moi, et pointant sa queue devant mon visage, dun ton autoritaire il ma dit de le sucer.
Courte, mais très épaisse, elle se dressait fière devant ma bouche et après un regard vers les autres, je lai embouché, lenfonçant profondément dans ma gorge.
A tour de rôle, ils vont me posséder, me remplir de leurs semences et ayant sans doute pris gout au fait de se faire sucer, ils vont se succéder dans ma bouche, vidant le contenu de leurs couilles pleines de jute ; sans doute très fier du fait que je suis sous leur domination, ils vont me prendre plusieurs fois, souvent avec violence, me prouvant ainsi la force de leur libido. Cest un homme comblé, vidé après avois juté plusieurs fois sans meme mêtre touché, qui rejoint sa tente, ; mais si je pensais me reposer, cétait sans compter sur mon adjoint qui lui finalement na toujours pas joui et à peine rentrer, à son tour, il va me sodomiser, longuement, me pilonnant méthodiquement, se retirant pour mieux se retenir de juter et se renfonçant dans mon fondement, sans aucune précaution ; cette fois je comprends ce quil dit et tout en me possédant physiquement, il concrétise sa domination
« pendant le reste de notre séjour, tu vas nous appartenir, autant quils le voudront, autant que jen aurais envie ; tu vas être leur femme , leur trou à bite et ils pourront te féconder comme une petite femelle que tu es ; si tu es notre patron le jour, tu seras notre jouet , toutes les nuits , jusquà ton départ »
Et ce fut le cas
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