Fessé Épisode 1 (La Rencontre)

Fessé épisode 1 ( la rencontre)


Je pense être un homme équilibré, je suis marié, des s, une bonne situation, des amis, des centres d’intérêt multiples, bref une vie riche et saine. Physiquement on me dit « bel homme», 48 ans, style sport chic. Je pense que cette description est utile car elle révèle le contraste avec mon fantasme et j’avoue que les contrastes m’attirent…

Jusqu’à une période récente ma sexualité était classique, que ce soit avec mon épouse ou mes quelques amantes. Parfois quelques jeux D /s mais plutôt soft et dans lesquels mon rôle était toujours celui du dominant…
Peu à peu, au fil de mes visites sur certains sites avertis et de mes lectures sur HDS, un désir irrépressible de recevoir la fessée m’a envahit. Oui, je dis bien recevoir , ce qui est nouveau pour moi car il me faut alors investir un rôle d’homme soumis, contraire à toutes mes expériences passées. Rien d’exceptionnel me direz vous car il est courant que femmes ou hommes soient switch…

Lors de mes promenades dans la forêt proche de mon domicile, j’aperçois régulièrement une jeune joggeuse. Lorsque nous nous croisons nous nous saluons, un sourire, un bonjour, rien de plus.
Il y 3 mois nous nous croisons à nouveau mais cette fois ci sur le trottoir, à 20 m de mon portail. Elle marche, en tenue de sport, un peu essoufflée, les joues rougies par le froid et l’effort récent. Cette jeune femme est jolie, pas parfaite, avec quelques kilos en trop à mon goût mais jolie. Pas très grande, un âge que je situe entre 22 et 25 ans, une chevelure blonde, des yeux clairs.
Un sourire échangé, un bonjour discret mais ce jour là, saisissant l’opportunité qu’elle ne soit pas en pleine course, je m’arrête et j’entame une discussion.
Moi : Excusez-moi, je peux vous demander combien de temps vous courrez habituellement ?
Elle (un peu surprise et intimidée) : Euh… 1 heure en général.
Bref l’échange dure quelques minutes, j’apprends qu’elle se nomme Julia et elle n’est pas contre l’idée que nous courrions ensemble une prochaine fois, je prétexte ne pas aimer courir seul (ce qui est vrai).


Plusieurs semaines s’écoulent au rythme d’un jogging commun par semaine, parfois deux, j’apprends qu’elle a 27 ans, est employée dans une pharmacie, vit seule.
Bien sûr nous avons échangé nos N° de téléphone mais nous ne communiquons que pour convenir d’un rendez-vous pour courir. Au fil des semaines une amitié se tisse, une complicité, nous échangeons sur des sujets plus intimes mais sans jamais franchir les limites de l’amitié.
Je me sens flatté de cette relation avec une femme si jeune mais je ne veux rien envisager, rien provoquer surtout, de peur que le lien soit rompu. Certes j’imagine une intimité plus charnelle parfois mais je n’ose croire que cela puisse être possible, Julia ne me laisse rien envisager de plus qu’une simple amitié en tout cas.
Il y a 15 jours je lui ai proposé d’aller boire un verre et grignoter quelque chose dans un bar à vin que je fréquente régulièrement ( cadre et ambiance sympa, bonne musique, boissons et mets de qualité). C’est la première fois que nous nous voyons en dehors de nos rendez-vous sportifs, nous ne prenons qu’une voiture, sur la route les même discussions que lorsque nous courrons ensemble, aucune ambiguÏté.
Arrivés, le lieu lui plait. Bien-sûr nous buvons sans trop de retenue, grisés par l’ambiance et nos discussions gaies et de plus en plus débridées. L’alcool désinhibe, c’est une réalité et à ma grande surprise c’est Julia qui oriente la première la discussion sur le sexe ou plus précisément sur le désir, elle veut savoir si je ressens de l’attirance pour elle, du désir !
Sans aucun calcul, laissant tomber les barrières, je lui dis oui ! Cash !
Moi : « Oui, et ça ne date pas de ce soir. »
Elle : « Ah bon ? Vraiment ? Et depuis quand ? »
Moi : « Je vais être franc, honnête, je veux l’être avec toi… Avant même que nous nous connaissions, quand je t’apercevais, depuis les premières fois où nous nous sommes dit bonjour »
Elle : « Alors là tu me cloues… Tu n’as jamais laissé rien paraître… Même depuis que nous courrons ensemble… »
Moi : « On peut désirer et rester lucide Julia, je sais pertinemment que cela aurait été vain… Je me contente de ce que la vie m’offre, et partager des moments comme ceux-là, ce soir avec toi, c’est déjà beaucoup… »
Julia n’en rajoute pas, elle veut savoir si je suis partant pour commander une autre bouteille de Bordeaux, je lui propose de changer d’endroit histoire de faire un petit break et je lui avoue être plus tenté par un digestif.

Nous reprenons la voiture, 15 minutes de trajet et nous voilà dans un bar irlandais, beaucoup de monde, les discussions bruyantes se mélangent à la musique, ce brouhaha offre finalement une certaine intimité puisque nos voix sont couvertes. Nous sommes restés debout, je remarque que Julia me regarde de manière plus intense, maintient son regard dans le mien en me parlant. C’est elle qui prend ma main, se rapproche de moi, de face. Elle ne dit plus rien, le sommet de sa tête est à mi hauteur de mon visage, elle semble fixer le pendentif accroché à mon cou.
Elle tient toujours ma main gauche dans sa main droite, sans la serrer. C’est alors qu’elle prend une initiative encore plus inattendue, je dirais même remarquable ! Elle dégrafe 1 bouton supplémentaire de ma chemise et aussitôt pose délicatement ses lèvres au centre de mon torse… Elle m’embrasse, doucement, une multitude de petits baisers, je ne les ai pas comptés… Je demeurais là, planté, mon verre à la main. Je me suis senti alors transporté, tellement ému. Ce n’était plus l’alcool qui m’enivrait mais ses baisers ! Doux, subtils, tout cela me semblait tellement irréel…
Nous nous sommes embrassés dans ce bar bondé, ignorants les regards choqués ou réprobateurs, l’étreinte d’une jeune femme de 27 ans avec un homme de plus de 20 ans son aîné…
Sur le chemin du retour nous avons peu parlé, nos mains se sont souvent touchées.
Mon véhicule garé devant chez elle, nous en descendons, je la suis comme si cela était convenu, sa porte s’ouvre, aussitôt refermée c’est moi qui prends l’initiative, je saisis Julia doucement par la taille pour la plaquer sans effort contre le mur de l’entrée. Mes mains sur son visage puis sur ses épaules, sa poitrine par-dessus son chemisier, ses hanches… Je dégrafe son jean’s, le bouton, la fermeture éclair descend, j’écarte un peu les pans. Ma main droite glisse à l’intérieur, un léger tissu, sa peau, douce, chaude… Mes doigts effleurent sa petite chatte, je devine un petit triangle, j’appuie mes caresses, index et majeur dessinent des petits cercles sur sa toison avant que le plus long descende vers la fente, son sexe humide, ses grandes lèvres, encore des mouvements circulaires pour se frayer un passage avant d’être englouti par ce petit paradis douillet, lubrifié qui promettait de devenir béant…
Julia décide de s’offrir, d’être prise.
Ses bras relevés au dessus de son joli visage, appuyés contre le mur, sa poitrine gonflée, son ventre tendu ! Elle murmure « vas-y, vas-y, sors la… » Mes mains tiennent fermement ses hanches, mon sexe prisonnier appuie sur le sien, se frotte, j’imprime un mouvement de va et vient, je bande comme un fou, son excitation décuple la mienne ! Julia insiste « sors la, sors ta bite, prends moi… » Ses mots crus m’excitent, mes mains délaissent ses hanches, l’une pour malaxer sans précaution, sans aucune douceur ses seins, l’autre pour s’engouffrer à nouveau dans son tanga mais cette fois ci sans délicatesse, sans précaution ! Je la fouille ! Je la branle ! Je branle sa chatte ! 3 doigts dans sa chatte qui se fait fontaine ! Ma main est trempée de sa mouille, je continue de la branler, elle crie, elle hurle, elle jouit !
« Oh Alex c’est trop bon ! Continue ! Baise moi avec tes doigts ! Vas y ! Oh la la ! Oh ouiiiiiiiiiii ! »
Je la masturbe de plus en plus fort ! Mes va et vient sont gênés par son tanga, par son jean’s pas suffisamment baissé.
Je cesse de la branler, je me recule un peu. Pendant que je déboutonne mon jean’s je lui dis d’enlever le sien. Je retire mon pantalon, mon boxer, ma queue est dressée ! Dure comme du bois !
Elle n’a gardé que son chemisier, elle se positionne à nouveau mais cette fois ci face contre le mur, toujours les bras relevés mais c’est son cul qu’elle me présente ! Ses belles fesses rondes ! Cambrées ! Son cul est merveilleux ! Elle ondule… Vision ultra excitante !
Je ramasse son tanga bleu marine qui git au sot, j’en fais une boule dans ma main et avec j’essuie son sexe trempé, je le plaque contre sa chatte ! Je remonte un peu vers son petit triangle chatain clair et je redescends jusqu’à l’intérieur de ses fesses… Elle gémit « Oh oui… oh… »
C’est alors que je lui présente sa culotte souillée devant la bouche.
« Ouvre » Je ne lui ai pas dit d’un ton ferme mais elle obéit, elle ouvre la bouche.
Cette vision de son tanga souillé dans sa bouche m’excite encore plus !
« cambre toi salope ! »
Julia cambre un peu plus son joli cul, les doigts de ma main droite encerclent la base de ma bite et je présente mon gland gonflé de sang à l’entrée de son sexe chaud et humide.
Je m’enfonce en elle, ma main libère ma queue, d’une seule poussée je la pénètre jusqu’à la garde !
Ses gémissements sont étouffés par son bâillon improvisé. Je la baise ! Je la pilonne !
« Que c’est bon de te baiser comme ça ! »
Ses gémissements se font plus forts, d’un son plus grave.
Je continue de la baiser !
« Je te défonce ! Je te baise à fond là ! »
A ce moment là je suis sur une autre planète, ça fait une éternité que j’ai pas baisé comme ça, que j’ai pas bandé comme ça, avec une telle intensité.
Je lui donne un nouvel ordre mais toujours d’une voix calme, ferme mais calme.
« Pose tes 2 mains sur tes fesses, écarte tes fesses avec tes mains. »
Elle obéit, elle écarte ses fesses avec ses 2 mains. J’adore cette vision ! Ma bite dans sa chatte ! Conquérante ! Qui fait des va et vient ! Ses fesses écartées qui dévoilent son petit trou…
Mes mains ont lâché ses hanches et saisissent ses bras. Je continue de la tringler comme ça ! Tout son corps fait un mouvement de balancier, je regarde ma bite rentrer et sortir de sa chatte ! Son cul ! Ses fesses écartées ! Ses mains crispées dessus ! Son petit trou offert !
Je ne peux plus me contenir, me retenir. Je vais jouir. Je me retire. Je sors ma queue de sa chatte !
« Bouge pas ! »
Je prends ma queue à pleine main et je me vide sur son cul ! Je gicle sur ses fesses, ses mains toujours en place, son petit trou, sa raie ! J’inonde son cul de sperme !

PS : Ne soyez pas trop déçus (es), l’épisode de la fessée viendra un peu plus tard. Merci d’avance pour vos coms ici ou par mail.

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