Une Pause Bien Méritée
Nous sommes vendredi soir, au bureau, tous les collègues sont partis ou presque, ce soir je fais la fermeture. Je suis crevé mais jai encore beaucoup de boulot sous le coude. De toute façon personne ne mattend à la maison et jai tendance à me plonger dans le boulot pour ne pas rentrer chez moi. Je suis célibataire depuis de longs mois maintenant et je le vis de moins en moins bien. Dautant que depuis quelques semaines, lobjet de mes fantasmes est au boulot. Ma collègue, Emilie, la petite trentaine comme moi. Un petit bout de femme d1m60, belle, pétillante et dont les formes plantureuses inspirent largement mes séances en solitaire. Surtout quavec ses trente centimètres de moins que moi jai tous les jours une bonne visibilité sur son décolleté en bonnet E, ce qui ne calme pas mes ardeurs, loin de là. Elle est branchée sexe, ne sen cache pas, mais son mari semble la combler parfaitement malgré ses déplacements professionnels fréquents. Nos discussions tournent fréquemment autour du sexe, souvent sur le ton de la blague, et je ne peux mempêcher davoir envie de plus avec elle.
Evidemment elle est mariée et je nai aucune chance mais, ce soir, il ne reste que nous. Si je devais tenter ma chance, ce serait le moment parfait. Sa proximité dans ce bureau vide me donne des idées. Je commence à divaguer, à penser à ses seins opulents que je voudrais sucer, à ses fesses rebondies que jimagine recouverte de dentelle noire. Occupé par ma réflexion, je ne remarque pas quelle a quitté son poste et vient me rejoindre. Elle sassied sur la chaise à côté de la mienne et pose son coude sur le bureau
« Quelle est longue cette journée, ça te dis quon prenne une pause ? »
Enchanté par sa proposition je me ravise immédiatement : à force de penser à ce que je voulais lui faire, je me sens à létroit dans mon jean.
« Non merci jai encore beaucoup de boulot »
Sans plus attendre, elle se lève et sort du bureau. Je suis dégouté davoir loupé une occasion pareille.
« Ça va je te connais », me dit-elle « cest pas parce que tes accro à ton boulot quon ne peut pas prendre un peu de bon temps »
Si elle savait le bon temps que je veux prendre avec elle...
Je lâche mon ordinateur, la remercie pour le café et me tourne vers elle. Elle est assise à côté de moi, ses jambes légèrement croisées font remonter sa jupe jusquà mi-cuisse. Elle me regarde en souriant, ce sourire me fait fondre instantanément et je me détends. Comme dhabitude, nous blaguons, rions et elle devient plus tactile. Quand elle pose sa main sur mon genou, je pose ma main sur la sienne. Ce contact la stoppe net, mais elle nenlève pas sa main. Nous nous sommes rapprochés en discutant et ne sommes plus quà quelques centimètres lun de lautre. Galvanisé par lambiance, je lui att le menton, plante mon regard dans le sien et lui annonce sans plus de retenue
« Si tu nétais pas mariée je taurai embrassé »
La phrase est sortie toute seule. Evidemment, cest ce que je pense, mais jai peur dêtre allé trop loin. Elle me sourit et, sans chercher à reculer, enlève son alliance et la pose sur le bureau
« Si cest tout ce qui te retient, tu fais quoi maintenant ? »
Je nen reviens pas, elle me provoque encore. Elle doit bien se douter, vu la situation, que je vais la prendre au sérieux. Pas démonté, je mapproche delle et pose mes lèvres sur les siennes. Elle ne réagit pas tout de suite, semble hésiter. Au moment où je vais reculer, elle se rapproche, insinue sa langue dans ma bouche et pose ses mains sur mes genoux. Je nen reviens pas de la facilité avec laquelle nous sommes en train de passer à lacte. Elle agit maintenant comme si absolument rien ne la retenait. Elle remonte ses mains le long de mes cuisses jusquà la bosse qui sest formée dans mon jean. Je frémis sous ses doigts et je sens que je déconnecte complètement.
« Tu es sur que nous sommes seuls ? »
« Je fais la fermeture, les collègues sont partis, la femme de ménage aussi, il ny a plus que nous, tu veux quon arrête ? »
« Non
Jai vraiment très envie de toi, je voudrais juste éviter quon nous surprenne »
Elle semble rassurée et cest vrai que dans cette position totalement offerte, lentrée dun collègue dans le bureau ferait mauvais genre. Elle se relève pour faire tomber sa jupe à terre. Elle est encore plus sexy que je ne lavais imaginé, elle nest pas mince mais son corps est ferme, galbé, je bande maintenant sévèrement et elle le voit. Elle sagenouille devant moi, ouvre ma braguette et fait sortir mon sexe tendu vers elle. Lorsquelle commence à le lécher je laisse échapper un râle. Je ne doutais pas de ses talents mais cest une suceuse redoutable. Elle laisse trainer sa langue sur toute ma hampe et sur mes bourses quelle aspire délicatement. Sa langue est une caresse délicieuse qui vient titiller mon frein. Elle presse ses lèvres autour de mon gland et sa main monte et descends le long de ma verge. La main dans ses cheveux je suis le rythme quelle imprime à cette fellation. A plusieurs reprises elle avale complètement mon sexe et je résiste difficilement au traitement quelle minflige. Me sentant au bord de lexplosion je la fais se relever avant quil ne soit trop tard.
A présent debout devant moi, je fais descendre son string et lassois sur le bureau. Je prends ses jambes sur mes épaules pour lécher son sexe. Son odeur est sucrée et délicate. Jembrasse délicatement ses lèvres, les lèches, la faisant languir encore un peu.
Elle se redresse alors et me plaque contre le dossier de mon siège. Elle marrache mon jean et mon boxer et ouvre ma chemise.
«Tu me rends dingue tu sais ? Enfile une capote, je nen ai pas fini avec toi »
Jatt mon portefeuille, en sors le sésame et lenfile. Pendant ce temps elle quitte son pull sous lequel elle ne porte plus rien. Avait-elle prévu son coup ? Ses seins en poire sont magnifiques, ses tétons pointent dexcitation vers moi. Elle sapproche, menjambe et sempale sur moi dune traite dans un soupir de soulagement. Je réalise quelle en avait autant envie que moi. Son con est chaud et je sens les parois se contracter autour de ma verge. Pendant quelle monte et descends sur mon mât je déguste ses tétons. Cette caresse semble lui provoquer autant de plaisir que la pénétration car elle gémit de plus belle. Nos respirations saccélèrent, on nentend plus que le bruit de nos corps qui claquent et dans nos tempes. Mais de part sa petite taille la position nest pas aisée et le plaisir quelle prend lempêche de tenir correctement sur ses jambes. Je la serre dans mes bras et me relève pour nous mettre debout. Je caresse ses seins et son ventre et la retourne face au bureau. Elle pose ses avant-bras dessus, la vue quelle moffre est magnifique. Son cul est tendu, sa chatte luit de plaisir. Je ne peux résister à lenvie de lui donner une légère claque sur la fesse, qui lui arrache un petit cri aigu.
Nous retombons lun sur lautre sur le bureau sous le coup de cet orgasme synchronisé.
« Merci pour ce moment, tu as été trop
bonne » lui dis-je en souriant
Elle rit franchement
« Jen avais envie depuis longtemps. Je sais que je ne devrais pas et que je vais devoir gérer ça avec ma conscience, mais vu le moment quon a passé je ne vois pas comment je pourrais regretter »
Je me sens un peu fautif, même si cest elle qui a un engagement envers quelquun et pas moi, jaurai préféré quelle nait pas de cas de conscience à gérer. Déjà nostalgique je lui réponds sans la regarder
« En tout cas, même si ça ne se reproduira pas, jai adoré »
Elle se plante face à moi, son regard dans le mien, un regard provocant et terriblement sexy
« Je peux tassurer une chose, toi et moi dans cette situation-là, ce nétait pas la dernière fois »
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