Noémie 5
Nos lèvres s'entremêlaient avec passion, nos souffles devenaient courts, nos corps commençaient à s'échauffer. Notre baiser était délicieux. Assis sur son lit, je tenais Noémie par la tête et maintenais une pression étroite entre nos deux visages. Sa langue courir le long de mes lèvres, et ça me fit réagir au quart de tour : je saisis Noémie par les épaules, et la plaquai contre le matelas. Elle eut un petit rire.
« Faut toujours que ça parte en vrille avec toi... »
« Fais pas ton hypocrite, tu m'as demandé de venir pour que ça parte en vrille. »
Je lui embrassai le cou, puis son buste, et descendis sur son ventre plat. D'un coup, je retirai son jean et son shorty, et me rapprochai de son intimité.
« Je me trompe ? »
Noémie haletait, impatiente que je la soulage, mais j'attendais qu'elle admette.
« Oui... oui c'est vrai, souffla-t-elle. Maintenant je t'en supplie, lèche moi... »
Avec joie, je m'exécutai. Je donnai un grand coup de langue sur son intimité, et elle poussa un petit cri. Je recommençai, une fois, deux fois, trois fois, à chaque fois elle gémissait, et tremblait de plaisir. Je m'attelai ensuite à la lécher en continu, faisant tourbillonner ma langue sur elle, passant et repassant dans les moindres recoins, l'envoyant au septième ciel. Je fis durer le cuni le temps qu'il fallait, pour la mettre au bord de l'orgasme. Lorsqu'elle fut tremblante, et presque sonnée par le plaisir, je m'interrompis.
« Tu fous quoi ? J'allais jouir ? »
« Hmm je sais, je vais faire traîner un peu ok ? »
« Non ! »
Je fis circuler ma langue doucement autour de son intimité, elle frissonna, mais je la sentis frustrée.
« S'il te plaît, vas-y franco. »
Je décidai d'accéder à sa supplique et de la sucer à fond. Je me penchai vers elle, lorsque soudain le bruit d'une porte qui claque se fit entendre à l'étage.
« C'est qui ? demandai je à Noémie. »
« Je pense que c'est ma mère... Attends je reviens. »
Elle remit son jean, et descendit. Je notai son visage crispé et frustré : j'essayai d'imaginer à quel point c'était rude de se faire interrompre si proche de l'orgasme, déjà que moi j'étais enragé de cette pause, j'imaginai pour la pauvre Noémie !
Elle revint au bout de cinq minutes, et me lança :
« C'est bon, je lui ai dit de pas venir dans la chambre. »
« Quoi ? Mais... »
Elle claqua la porte de sa chambre, se débarrassa de son jean et se rua sur moi. Elle me plaqua contre le lit, et s'installa par dessus moi.
« Mais ? elle va rien dire ta mère ? »
« Chuuut. »
Elle arracha mon jean, puis mon caleçon, et s'empala sur moi sans plus de discours. Affamée et échaudée par l'interruption de tout à l'heure, elle se mit aussitôt à me baiser à fond comme une folle, allant d'avant en arrière avec force, cognant mon sexe contre le fond de son intimité, et gémissant à chaque fois. Elle accéléra encore le rythme, me griffant le torse en savourant son plaisir. Ses coups de reins étaient délicieux, à chaque fois, une brusque vague de plaisir me submergeait, et je poussais de grands cris encore et encore. Noémie me regardait dans les yeux et souriait en me voyant prendre de plus en plus mon pied. Elle se mit à se déhancher de gauche à droite, malmenant mon sexe comme jamais gémissant à fond en se tenant les cheveux. Puis, elle retira son haut, se dénudant totalement, et se mit à bondir sur mon sexe faisant rebondir ses seins en même temps. Cela m'excita au plus haut point, et je ne pus rester inactif plus longtemps.
Je la saisis par les hanches, et la renversai sans ménagement, passant au-dessus. Je la pris en missionnaire sauvagement, allant et venant à grande allure en elle. Noémie passa la main dans mes cheveux pour me coller plus étroitement à elle, haletant de plaisir.
« Ta mère a rien entendu ? »
« Elle est dans son jardin. »
« Mais... »
« Mais elle sait que je suis pas une none, c'est bon elle est cool. »
Je souris, rassuré et lançai à Noémie.
« C'était excellent. »
Elle me fit un petit bisou.
« Oui, j'ai adoré ! »
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