Albert Va Acheter Un Ventilateur Et Trouve Mieux

Je vous retrouve pour ce qu’Albert qualifie de sa dernière histoire à partager avec nous. J’espère que vos commentaires et vos mails le feront changer d’avis. J’espère que ce n’est pas pour la dernière fois mais je vais rentrer en lui et parler avec le je à sa place. Bonne lecture

Comme chaque année nous étions en vacances avec ma femme dans le sud de la France. Même si c’est le mois de juin il fait déjà très chaud surtout pour des nordistes comme nous et pour nous rafraichir un minimum nous avions à disposition qu’un petit ventilateur. Un soir alors que nous étions devant la télé avec le ventilateur bien placé pour que nous profitions tous les deux de l’air propulsée, notre seule source de fraicheur s’arrête de marcher.

Je l’éteins et je le rallume mais rien à faire, c’est vrai que depuis 10 jours que nous sommes là il n’a pas arrêté de tourner, je ne trouve même pas des outils pour l’ouvrir et essayer de le réparer. Comme je sens que ma femme commence à s’énerver je la rassure en lui disant qu’à la première heure le lendemain j’irai en acheter un nouveau au supermarché. Heureusement les nuits sont plus fraiches que les journées mais le lendemain dès 7h je me lève et je me préparer pour acheter ce fameux ventilateur.

Alors que ma femme est déjà dans ses taches ménagères je monte dans la voiture un peu avant 8h mais j’ai quand même 30 bon kilomètres pour arriver à destination. Quand je me gare il n’y a que quelques voitures dans l’immense parking et les grilles sont toujours fermées, j’ai plus d’une demi heure à alors je laisse ma voiture sur le parking et je vais boire un café au troquet du coin d’où je peux voir l’entrée du supermarché.

A la table à côté de moi il y a un bel homme, bon cinquantenaire j’ai une décennie de moins, avec un bermuda blanc, assorti à ses cheveux, qui dévoile de belles jambes légèrement poilues et une chemisette rose qui va très bien avec son teint. Je sens son regard sur moi et je ne peux m’empêcher de tourner la tête, nous échangeons un petit sourire et un peu gêné je retourne à mon café.

Il se lève et se dirige vers le magasin, il est que 8h53 les portes sont toujours fermées mais je finis rapidement mon café, je laisse des pièces sur la table et je suis l’homme qui était assis à côté de moi, il est un peu plus grand que moi, fin, un ventre totalement plat malgré son âge. J’attends devant la porte pas très loin de lui, j’ai envie de l’aborder mais je ne sais pas trop quoi lui dire, finalement c’est lui qui vient vers moi et me dit:
« Je me doutais bien que vous attendiez comme moi! », et il me regarde de bas en haut.
« Oui vivement qu’il ouvre, je n’ai pas pensé à profiter des toilettes du café », je lui répond en moi aussi l’observant de bas en haut en espérant qu’il comprenne qu’il m’intéresse. Je n’ai jamais été bon à ce jeu là, je ne sais pas quoi dire d’autre mais je suis sauvé par les grilles qui commencent à s’ouvrir.

Je rentre et je pars tout de suite à la recherche des toilettes. Je les trouve enfin, il y a 3 cabines à porte et 5 urinoirs en métal avec une toute petite barre métallique comme séparation. Evidement je m’installe devant celui du milieu, je porte un short en tissu qui est maintenu que par un cordon que je desserre et je sors ma bite et mes couilles pour pisser tranquillement. Mon urine continue de s’écraser sur le métal quand la porte s’ouvre, l’homme du café s’installe à deux urinoirs à ma gauche, quand je tourne la tête vers lui il me fait un sourire et un signe de tête que je retourne. Je prends mon temps pour finir, je recule même un peu pour m’exhiber, je fais sortir les dernières gouttes de mon méat en me masturbant. Le mec ne tourne même pas la tête vers moi alors je remballe le tout en me disant qu’encore une fois je me suis fait de fausses idées et je vais au lavabo me laver les mains.

Je ne peux m’empêcher de l’observer dans le miroir même s’il n’est que de dos, il a un beau cul en plus, je le vois faire des mouvements, même si mon esprit pervers imagine plein de chose il doit seulement s’égoutter mais je continue de me laver les mains pour l’observer encore un peu.
Quand je le vois se retourner, sa queue est toute droite et légèrement courbée vers la gauche, soit il est circoncis soit il est déjà décalotté en tout cas ça commence à gonfler dans mon slip. Je me dépêche de me sécher les mains, je me retourne vers lui et tout en fixant son sexe qui est légèrement plus petit et plus fin que le miens mais quand même très appétissant, je passe ma langue sur mes lèvres. Je me dirige vers la cabine du milieu sans fermer la porte, je baisse mon short et mon slip, je m’assoies et je commence à me masturber.

L’homme me rejoint presque aussi tôt, il ferme le loquet de la cabine et baisse son bermuda, il ne porte rien en dessous. Tout en se mettant à genoux il me dit s’appeler Pierre, j’ai tout juste le temps de lui répondre que je suis Albert qu’il a déjà sa langue sur mes couilles. Il me les lèche lentement, les gobe l’une après l’autre alors que je continue de me branler. Sa langue remonte sur ma bite, je retire ma main pour lui laisser le champs libre, il l’a remonte lentement le long de ma chair gonflée au maximum, il s’attarde sur mon frein, il le lape, l’aspire et même le mordille, j’adore ça.
Quand sa langue arrive sur mon gland il commence par lécher le liquide qui coule de mon méat puis avale entièrement ma queue alors que ses mains explore mes testicules. Il fait coulisser mon sexe entre ses lèvres en variant les pressions et le rythme, ses doigts descendent jusqu’à ma rosette et me la massent. J’adore ce qu’il me fait mais si ses doigts m’excitent trop je vais rapidement jouir alors je le fais se lever, ma bouche est exactement en face de sa bite.
C’est parfait c’est exactement ce dont j’avais envie, je fais passer ma langue sur son gland, puis je joue avec son prépuce, je pose une main sur ses couilles et avec l’autre je me branle en même temps. Quand je commence à avaler son gland il m’att par la tête et s’enfonce tout doucement en moi pendant que ma langue court sur ses veines.
Je sens ma bouche bien se remplir puis il s’immobilise, j’augmente la pression sur ses couilles et je continue à le caresser avec ma langue. Puis il commence à vraiment me baiser la bouche, ça doit bien faire un mois que je ne suis pas occupé d’une queue alors je mets du coeur à l’ouvrage.

Je m’occupe goulument de son sexe alors que mes doigts explorent ses fesses, il écarte les jambes pour me rendre l’accès plus facile. Je n’ai même pas besoin de masser son oeillet qu’un premier doigt rentre sans problème, je le fais rentrer et sortir de son trou au même rythme que ma bouche monte et descend le long de sa tige qui est de plus en plus recouverte de salive. Je le masse maintenant à deux doigts quand il se retire de ma bouche et se penche pour attr son bermuda.
Je pensais qu’il voulait partir mais en fait il sort un préservatif de sa poche, il l’ouvre et le déroule le long de mon sexe tendu. Sans me laisser le temps de réagir il se retourne et vient s’empaler sur moi très lentement. Je sens son cul bien ouvert m’avaler centimètre après centimètre jusqu’à ce que son cul se pose sur mon pubis. Il ne bouge pas pendant un moment puis commence a se balancer d’avant en arrière tout en contractant régulièrement son cul autour de mon sexe.

Une fois qu’il est totalement détendu il prend appuies avec ses mains sur les toilettes et commence à se soulever lentement jusqu’à ce que le replis de mon prépuce soit contre son anneau et il redescend tout aussi lentement. Il recommence mais à chaque fois en accélérant le rythme, c’est la première fois que je baise un mec dans cette position, j’adore ça, j’accompagne même ses mouvements par des coups de reins en me soulevant.
On baise comme ça depuis un moment quand je commence à avoir des crampes alors je le fais se lever, se retourner, se pencher vers les toilettes et je me place derrière lui, je rentre d’un coup sec dans ses entrailles que j’ai déjà bien travaillé. Je le ramone en variant les rythmes, de temps en temps je sors entièrement de son cul et je tape ses couilles avec ma bite avant de le pénétrer à nouveau jusqu’à ce que je remplisse la capote de mon jus.

Je me retire lentement de son cul, Pierre se lève et se retourne vers moi pour m’embrasser à pleine bouche avant de s’assoir sur la cuvette, puis il me retire le préservatif, il fait un noeud avant de la jeter et me nettoie la bite. Il se relève m’embrasse encore une fois, ses lèvres ont le goût de mon sperme et me dit:
« Merci beaucoup, ça fait longtemps que je n’avais pas été baisé comme ça! », alors j’en profite pour lui répondre:
« Tout le plaisir était pour moi et si on échange les rôles maintenant? »
Je n’attends même pas sa réponse, je prends sa place devant les toilettes, je me penche vers la cuvette les jambes écartées, pendant ce temps je l’entends s’envelopper le sexe de caoutchouc et je sens ses mains écartées mes fesses et alors que j’attendais son gland ses sa bouche et sa langue que je sens. Je ne couche plus avec ma femme depuis un moment mais je me masturbe souvent et régulièrement je m’introduis des doigts ou des objets dans le cul alors je suis rapidement ouvert.
Après m’avoir bien lécher pendant quelques minutes, il introduit un doigt dans mes entrailles qu’il fait tourner en moi et rapidement il en met un deuxième. Ses doigts me massent mon anneau, mes entrailles et il me titille même la prostate ce qui me refait bander. Pierre retire un doigt après l’autre et je sens enfin son gland se poser entre mes fesses, il pousse un peu et je fais pareil avec mes sphincters.

Son gland rentre doucement en moi, une fois que le champignon est entièrement passé il m’introduit le reste de sa bite d’un seul coup, je ne peux pas me retenir de gémir. Au même moment j’entends du bruit dans la cabine d’à côté, par réflexe je tourne la tête vers l’autre cabine et alors que Pierre me ramone doucement le cul je découvre un trou dans la paroi qui me permet de voir que dans la cabine d’à côté un mec blanc est assis sur la cuvette des toilettes avec sa queue dressée et un black le suce goulument.
Pierre se plante au fond de mon cul et se penche sur moi pour lui aussi observer à travers le trou, je pense que la vision l’a encore plus excité car maintenant il me lime à un rythme fou. Les voisins changent de position, je ne vois plus rien à travers le trou quand une queue foncée très longue et aussi large que la mienne mais avec un gland énorme et très rosé en sort. Je suis aux anges par la bite qui me remplie cul mais j’ai aussi très envie de sucer cette queue qui sort du mur, j’hésite à peine un instant et j’ouvre la bouche pour gober ce deuxième sexe qui s’offre à moi.
Je le suce au même rythme que Pierre me défonce le cul, j’essaye de le branler en même temps mais je n’arrive pas à tenir en équilibre alors j’utilise à fond mes lèvres et ma langue. En à peine quelques minutes ma bouche est remplie par 6 grosses giclées de sperme, j’en avale un peu et je sens aussi du liquide couler de ma bouche mais j’en garde la major partie en bouche.
Pierre continue de me baiser sauvagement quand on entend la porte de l’autre cabine s’ouvrir et les mecs partir, alors il se retire doucement de mon cul et me fait me retourner. Pendant qu’il retire sa capote je l’embrasse la bouche pleine et partage avec lui le sperme de l’inconnu puis je m’assois et le suce tout en le doigtant jusqu’à ce qu’il lâche que 2 giclées de jus mais très abondantes. J’en avale un peu, son goût est beaucoup plus sucré que celui d’avant, je continue un peu de le sucer la bouche pleine puis je me lève pour l’embrasser à nouveau et que nous partagions cette fois son sperme.

Nous nous sommes rhabillés en silence, puis après être passé au lavabo Pierre me remercie encore une fois et m’embrasse sur la bouche avant de quitter les toilettes. Je reste encore un moment dedans quand je réalise qu’il est déjà 9h45, il faut que je me dépêche et que je trouve une explication pour tout ce temps perdu. Je fais quand même tous les rayons du magasin mais je n’ai retrouvé aucun des 3 autres mecs.
Sur la suite des vacances, j’ai proposé d’aller faire les courses au supermarché mais ma femme m’a à chaque fois répondu « Tu es trop long, je viens avec toi! »…