Terma 32-Sodomies Par Le Troisième Homme :
Terma 32-Sodomies par le troisième homme :
Le lendemain, et sur lautorité de ma femme, nous avons encore passé la soirée chez son amant avec nos trois amis. Nous avons bu de la bière et joué la comédie. A la troisième bouteille, je me suis assoupi sur la table (faisant semblant) et les trois hommes et ma femme ont rejoint la chambre où, pendant plus dune heure, ils ont satisfait leurs zobs sur la chatte et la terma de mon épouse. Jai presque tout entendu, de leurs gémissements et de leurs cris, de leurs remarques salaces, même celles de ma femme et de leurs déplacements de temps en temps, lun après lautre aux toilettes. Puis, au bout dune heure, fatigué par ma position, je me suis réellement endormi, la tête sur la table.
Jai été réveillé par ma femme qui me secouait avec énergie. Alors, je suis allé aux toilettes pour pisser et me rafraichir. Et, à ma montre, jai constaté quils se sont amusés pendant plus de trois heures, donc, deux heures de plus, après mêtre réellement endormi. Trois heures complètes de baises et de sodomies ont certainement satisfait la chatte et la terma de ma femme ainsi que les gros zobs des messieurs, pendant que le mari cocu était étourdi par la bière. Ils ont du venir me contrôler plusieurs fois durant ces deux longues heures suivantes.
Ensuite, nous les avons quittés, avec promesse, bien entendu, de revenir le lendemain pour le même projet, selon les désirs de ma femme. Mais, comme promis hier soir au troisième homme qui mavait fait des propositions pour me sodomiser chez lui, je me suis rapproché de lui et il ma soufflé quil mattendrait dans la rue. Ensuite, ma femme et moi, nous avons rejoins notre maison. Jai proposé à ma femme de finir la soirée avec les musiciens, à la plage, mais elle a refusé car trop fatiguée, mais moi jai décidé dy aller. En réalité cétais pour rejoindre mon gars qui en voulait à ma terma et moi à son gros zob. Jétais déjà excité et mon cul mouillait de désir.
Ma chance, cest que lhomme mattendait à quelques mètres de notre maison, dans un coin assez sombre et discret. Immédiatement, nobéissant quà son désir sexuel, lhomme ma pris par la taille et a commencé à membrasser le cou et les lèvres, tout en me pelotant avec énergie le derrière. Il était excité et pressé et jai immédiatement senti son zob gonflé contre mon ventre. Il menlaçait et me serrait contre son ventre, contre son zob, puis me retournant, il sest collé à mon dos, plutôt à mon derrière. Il a du sortir son zob du pantalon car je lai tout de suite ressenti, dur et pointu, contre mon cul. Il voulait me descendre mon pantalon et me niquer tout de suite, dans ce coin obscur de la rue, mais jai refusé, craignant le scandale. Alors, il a remis son zob dans sa cage puis il ma pris par la main et ma entrainé, presque en courant vers chez lui deux ou trois ruelles plus loin.
Dès quon a pénétré sa maison, il sest débarrassé de son pantalon et slip et ma aidé à en faire autant, puis, sans hésiter, il ma collé, dos au mur, et a cherché mon anus avec la main. Layant trouvé, il la ouvert et branlé avec son doigt, puis avec laide de son autre main, il ma enfoncé son zob avec violence dans le cul. La pénétration a été un peu douloureuse malgré lélasticité de mon anus habitué aux enfoncements vigoureux de gros zobs. Jai crié de douleur mais il ma dit quil aimait cela et ma incité à crier encore plus fort pour lexciter.
Et, dès que son zob sest enfoncé jusquaux couilles, je nai plus eu de douleur, au contraire, je me sentais enfin bien rempli. Toute la soirée, entendant les autres, jouir, cela mavait excité par devant et par derrière. Et jai attendu cet instant promis par lhomme pour, enfin, gouter son gros zob dans mes entrailles. Je commençais à jouir du cul et du bas ventre. Penché au maximum, les jambes et cuisses écartées, je me donnais à cet homme qui semblait affolé par le plaisir sexuel. En effet, il me secouait de tout mon corps et ses vas et viens étaient de vrais pilonnages dans mon cul.
Il gueulait autant que moi. Jentendais les claquements de mes fesses sur ses cuisses et son ventre ainsi que les clapotis du zob qui se mouvait dans mon cul. Ces bruits érotiques augmentaient mon excitation et mes jouissances. Même mon zob bandait lui aussi automatiquement et jai commencé à me branler par dessous. Je criait à lhomme de senfoncer encore plus dans mes entrailles car ses poussées étaient de véritables jouissances. Même dans ma tête, jimaginais ce gros zob qui mouvrait et senfonçait dans mon corps avec force et virilité. Ma chair senflammait de plaisirs et je coulais de jouissances qui me faisaient trembler le bas ventre de frissons agréables.
Hélas, lhomme devait être chaud depuis quil ma pénétré et son agitation a accéléré son plaisir. Alors, ny tenant plus, il a éjaculé puissamment et en hurlant de plaisir. Il devait attendre cet instant depuis hier soir, comme moi, car la quantité de sperme qui ma rempli les entrailles était phénoménale. A chacune de ses salves de sperme, jai été, moi aussi, secoué de plaisir. Après sêtre vidé les couilles, il est resté un long moment dans mon cul pour apaiser nos souffles affolés. Puis, il ma embrassé le cou et a retiré son zob de mon cul. Le vide quil a laissé était presque intenable.
Le sperme de mon amant suintait entre mes fesses et coulait sur mes cuisses. Jen ai recueilli un peu avec mes doigts pour les sucer. Puis, jai introduit ce même doigt dans mon anus pour me branler encore le cul. Je savais, par expérience, que ces frottements dans mon cul aidaient mon zob que je continuais à branler par devant. Pendant que je mastiquais le zob face à lui, comme un défi, mon homme rigolait et, mimitant comme pour aider à la situation érotique, il commença, lui aussi à se branler en me fixant des yeux et avec un sourire complice.
Tout en se branlant, il sortait et entrait sa langue dans un mouvement érotique. Je savais, depuis mon enfance, que ce geste avait de lourdes significations sexuelles.
En effet, le gars sest agenouillé entre mes cuisses et ma soulevé les jambes, assez haut pour avoir mon cul bien découvert et à la portée de son zob. Et Immédiatement, et en force, il a plongé son pieu de chair, doux et dur à la fois, dans mon anus et la enfoncé jusquaux couilles. Cétait si fort, si rapide et si jouissif que jai crié de plaisir. Les restes de sperme aidant, il glissait avec facilité dans mes entrailles. Mettant un genoux et un pied par terre, lhomme me dominait et pouvait ainsi plonger son gros zob presque verticalement dans ma terma et senfoncer pour me fouiller les entrailles.
Il ma pilonné le cul des dizaines de fois et à chaque fois quil enfonçait son zob, il gueulait, je crois, « kahba ! kahba ! kouli zébi ! » (putain ! putain ! bouffes mon zob !). Jentendais les clapotis des mouvements de son zob à cause des restes de sperme dans mon cul et ça mexcitait encore plus. Je soulevais le derrière et le cul pour bien enfoncer son zob et jouir à chaque poussée encore plus que la précédente. Enfin, alors que jétais presque étourdi de plaisir, jai senti les jets de son jus. En effet, il a éjaculé pour la seconde fois dans mes entrailles malgré la quantité énorme déversée la première fois. Puis, satisfait davoir sailli sa femelle et lavoir ensemencée, il sest relevé avec un cri de victoire, presque un rugissement.
Moi, je suis resté, presque ko, allongé sur la moquette et le sperme me coulait sur les fesses et sur le sol. Lui est allé à la salle de bain et il ma hurlé de le rejoindre immédiatement « ya kahba ! aroua7i moussili zébi ! » ( ô putain ! viens me sucer le zob !). Alors, comme une femelle assoiffée de zob, je lai rejoins en vitesse, malgré le sperme qui coulait maintenant le long de mes cuisses. Il mattendait avec impatience et il ma enguelé et ma claqué plusieurs fois les fesses et le derrière avec ses mains puis il ma battu les hanches et les fesses avec son zob, certes un peu ramolli mais assez lourd et maculé de sperme blanchâtre.
Je lai sucé avec plaisir et en rigolant. Il croyait me punir alors que cest avec jouissance que jai accepté ses coups et son zob. Puis, il ma entrainé sous la douche. Je croyais que jallais le laver, mais en réalité, cest mon corps qui lintéressait. Il ma savonné tout le corps, par devant et par derrière, en ne se privant pas de caresses et de pelotages. Il ma introduit, à plusieurs reprises, ses doigts dans lanus et frotté lintérieur de mon cul. Il ma lavé et peloté les seins en me faisant mal express, mais cela mexcitait et jen redemandais.
Ensuite, il ma rincé à grandes eaux. Puis il ma dit que javais un corps de déesse et une terma de tonnerre, large et lourde, blanche et douce. Cest peut-être parce que nous navions pas eu auparavant le temps pour admirer nos corps. On était occupé à nos plaisirs sexuels pendant les deux sodomies. Et maintenant, il regardait avec envie et pelotait mon corps avec excitation. Pour moi, cétais juste son zob et sa puissance et son sperme qui mintéressaient. Alors, jattendais vivement la prochaine pénétration de son gros zob.
Il ma léché le derrière, les fesses et introduit sa langue dans mon cul. Tout cela mexcitait mais pour lui, il ma fallu le sucer et le branler. Cétait certes agréable car son zob était lourd et épais, toutes choses que jaimais beaucoup voir, toucher, palper et branler. De plus, pendant quil me lavait et que son corps bougeait, les mouvements de son zob, qui balançait verticalement et de droite à gauche de façon érotique, mont affolé le cul et même le zob. Donc, jai branlé son zob et je lai serré plusieurs fois pour lexciter et du regard, jai supplié lhomme de moffrir encore une fois son mandrin si doux et si dur dans mon cul. Maintenant cest moi qui était impatient malgré les deux sodomies.
Il a rigolé et, maidant à me retourner et me courber, il a satisfait à ma demande. Mais cette fois ci, comme pour me faire un cadeau, il a pénétré son zob dans mon anus, très lentement, très doucement, en faisant même parfois le geste de le ressortir mais sans le faire. Ces mouvements mexcitaient au maximum et du derrière, jessayais de menfoncer sur son zob. Il rigolait encore plus bruyamment. Enfin, il enfonça son zob jusquaux couilles.
Et cest ainsi, que sous la douche, et à ma demande et selon mes désirs et procédures, il ma niqué pour la troisième fois, avec parfois une sorte de violence retenue, calculée, juste pour augmenter ma jouissance. En tout cas, son zob na rien perdu de sa vigueur et de sa puissance comme les deux fois précédentes. Cependant, jai remarqué que la sodomie durait plus quauparavant. Jai pensé quil faisait durer le plaisir pour nous deux ou que ses couilles se sont vidées de sperme. Jétais donc persuadé quil ne pourra pas éjaculer, alors je lui ai dis que javais encore envie de le sucer.
Ainsi, il a sorti son zob de mon cul pour loffrir à ma bouche. Jai fait le maximum en le suçant mais surtout en aspirant son gland avec vigueur tout en manipulant, avec plaisir ses couilles. Puis jai eu laudace de rapprocher ma main de ses fesses et je lui ai touché son anus avec un doigt. Dabord timidement, car javais constaté quil aimait la violence et quil ne me tabasse, mais comme il ne réagissait pas, jai poussé et enfoncé mon doigt dans son cul et je lai vrillé doucement. A moi, cet attouchement aidait mon zob à se gonfler, à tressailler de plaisir et surtout à éjaculer en puissance.
Et effectivement, jai tout suite senti, dans ma bouche son zob qui tressautait. Après quelques minutes de ce traitement, tout son corps commençait à se crisper. Alors, ja laissé tomber son zob pour me retourner et lui offrir encore une fois mon cul. Il sy est enfoncé en vitesse en poussant un hurlement hystérique, puis il démarra une série accélérée de vas et viens en me secouant sans ménagement, cétait formidable.
Par deux fois, à cause de ses gestes brusques, son zob sortait de mon cul mais il le renfonçait immédiatement en hurlant et, à moi aussi, ces gestes amplifiaient mes désirs et je reculais du cul affamé, vers son zob. Quant il se remettait dans mon cul, cétait comme un choc et jy allais moi aussi dun hurlement de plaisir. Et au bout dune dizaine de pilonnage, ses couilles ont enfin lâché leur jus que jai ressenti avec bonheur, accompagné des tressautements et trépidations de son zob qui éjaculait dans mes entrailles. Quant il a fini, il sest retenu au mur de la douche, totalement épuisé. Je me suis redressé et me retournant vers lui, jai sucé les derniers restes de sperme de son zob et ses couilles. Avec un faible sourire, il ma avoué que jétais une véritable putain insatiable, une diablesse de la terma.
Ensuite, nous nous sommes bien nettoyés et lavés et repris nos habits. Enfin, je lai quitté, en lui promettant de revenir le visiter demain soir. Et, pour satisfaire ma terma, je lui ai conseillé de se retenir avec ma femme demain soir. Quil la baise ou sodomise une fois cest daccord mais pas plus car il doit réserver son zob pour moi, pour la suite de la soirée. Il sest vanté en disant quil pouvait nous niquer dix fois, moi et ma femme la même nuit, et chiche, venez chez moi tous les deux et vous verrez. Je nai pas relevé le défi, car, ce nest pas que lidée ne me plaisait pas, mais parce quà lheure actuelle, je ne suis pas sensé savoir que ma femme me trompait. Peut-être quun jour
A la maison, ma femme dormait à point et ronflait à cause de sa fatigue. Elle était à moitié nue, allongée sur le ventre, ce qui fait quelle me présentait son gros derrière et son cul. Malgré que javais éjaculé chez mon amant, et que je savais que mon épouse sest fait baiser et sodomiser par trois hommes et pendant trois bonnes heures, mon zob sest réveillé pour elle. Car ma femme est très belle, en tout cas pour moi, et quelle avait un derrière, des fesses et un long et profond sillon de cul à affoler un énuque. Alors, jai léché et fouillé son cul avec ma langue puis jy ai enfoncé un doigt.
Ma femme sest un peu réveillée, à demi, mais sans se retourner, donc sans me voir. Puis, en gémissant de plaisir, elle a légèrement soulevé et arrondit son derrière pour moffrir encore mieux son cul. Elle ne savait même pas qui voulait la sodomiser, faire plaisir à sa terma insatiable. Peut-être quelle était, dans son demi sommeil, dans ses rêves même, encore avec les trois hommes qui lont baisés et sodomisés cette soirée.
Moi, en tout cas, et sans hésiter, je lai sodomisée et jai pris ma vengeance et mon plaisir au maximum jusquà léjaculation. Elle a gémis un peu au moment de mon éjaculation, mais elle na pas beaucoup bougé. Elle était vraiment exténuée de fatigue et de plaisir sexuel, jusquà lindifférence. Ayant satisfait mon égo et mon zob, je suis allé me nettoyer dans la salle de bain et bu un verre de lait à la cuisine. Ensuite, jai rejoins notre lit, tout content de ma soirée, et de ma lâche vengeance.
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