Collection Histoire Courte. Baby-Sitter Fouineuse (1/1)

• Sylvie, vous couchez les garçons dans une demi-heure, Lionel va vous faire son cinéma, mais vous ne cédez pas, Sylvain son frère dort déjà sur le canapé, nous rentrerons demain matin vers six ou sept heures, le temps de faire le chemin entre ici et chez nos amis Martins.
• Sans problème madame, j’ai l’habitude de m’occuper de vos s, vous pouvez partir en toute tranquillité.

C’est comme cela que pour la troisième fois, je me retrouve seule pour la nuit avec les deux s.
Lionel est dans mes bras quand nous faisons un geste de la main à travers la vitre de la salle à Véronique sa maman, Pierre son papa étant au volant.

• Allez Lionel au lit, je vais te lire une histoire, mais avant couchons ce gros nounours, toi va dans ton lit seul, tu es déjà un homme du haut de tes sept ans.
• Je veux regarder la télé, j’aime Winnie.
• Winnie à cette heure, il dort et j’ai mes cours à travailler, si je veux te défendre quand tu seras grand, il faut que je réussisse mon examen cette année, sinon je perds tout.
Veux-tu que j’échoue par ta faute ?
• C’est quoi échoue !
• Que je rate, que je me plante, que je perde une année d’études et que je galère une année de plus.
• Je n’ai rien compris, mais emmène-moi dans mon lit.

Une demi-heure après, un petit conte lu à Lionel, les deux s dorment, je viens m’installer sur le canapé avec ma sacoche que j’ai récupérée.
Pendant une demi-heure, je me penche sur un texte assez ardu, à quoi bon continuer, ce soir, est une soirée de travail fichu, rien ne rentrera, pourquoi ne pas regarder Winnie l’ourson.
J’ignore où se trouve Winnie sur les chaînes, Véronique et Pierre avec les moyens qu’ils ont, sont abonnés à tous, même aux chaînes de sport, passe encore, il faut bien que des couillons regardent les mecs courir après un ballon.
Les chaînes culturelles, au bout de cinq minutes, disserter sur les carreaux plus ou moins grands d’un peintre à la mode, pour moi, c’est du n’importe quoi.


Un magnétoscope, il doit y avoir des cassettes, pourtant dans le meuble sous la télé, rien, juste une cassette de nettoyage, dommage, j’aurais aimé voir de vieux films tournés sur la famille.

Que faire en attendant, je passe voir les s, de ce côté tout va, la chambre des parents de l’autre côté du couloir est ouverte, depuis que je viens dans cette maison, je n’ai jamais pénétré dans le saint des seins ?
C’est là que les parents ont pris du bon temps pour concevoir Lionel et Sylvain, comment je le sais, je le suppute, leur maman m'a dit qu’il y avait dix ans qu’ils ont acheté cette maison qui surplombe la vallée de la Marne, même si nous sommes en région parisienne.
Moderne, très moderne, un lit qui doit faire au moins deux mètres sur deux, je n’en ai jamais vu d’aussi grand, les s sont là pour me prouver que le couple arrive à se retrouver dans ce grand désert.
L’armoire, je devrais dire les grandes armoires couvrant tout un pan de mur, toutes avec des glaces donnant l’impression que la pièce est dix fois plus grande, celui qui l’a conçue à réussir qu’aucune lampe ne se reflète dedans.

Je suis d’un naturel curieux, je fais glisser une porte, c’est celle des costumes du maître de maison, un, deux, dix-neuf, vingt tous de la même couleur, j’espère que si ce couple d’avocats me prend dans leur cabinet, j’aurais autant de tailleurs que lui.
Tailleur, les tailleurs de madame, je ne les compte pas, mais il y en a presque autant que les costumes, la différence, c’est que même s’ils sont de couleur peu flashant, ils sont presque tous différents.
Les chaussures dans le placard voisin, dix pour monsieur, même marque, même couleur, inutile de commencer à compter, il y en a plusieurs dizaines de toutes formes et de toute couleur et puis dans le dernier, diverses choses, dont un carton, hors de portée des s, monsieur aurait-il une collection de films porno.

« Vidéo »

C’est ce qui est marqué sur ce carton, je le descends, évitant de le renverser, des cassettes vidéo à l’ancienne et des CD nouvelles générations, c’est bizarre, je n’ai pas vu de lecteur pour ce type de support.

Je l’emporte dans la salle, une nouvelle fois, je surveille les s, je comprends, la télé a un lecteur intégré.
Je vois sur la tranche d’une cassette.

« Nuit de noces »

J’ai dit que j’étais curieuse, je la place et je la démarre, m’installant sur le canapé, au début, l’opérateur tourne la cérémonie, puis le repas.
Le son est nasillant et les de mauvaise qualité.
Je reconnais Véronique et Pierre bien plus jeune et surtout, je vois que Véronique doit se faire décolorer, car elle est brune, ce doit être sa couleur naturelle.
J’en ai confirmation quand le marié porte la mariée, la faisant entrer dans la chambre nuptiale, la caméra suit, c’est incroyable, Pierre embrasse Véronique et commence à la dénuder.
Incroyable, c’est le mot, ils font cela avec une tierce personne dans la pièce, la caméra bouge autour d’eux, j’avais raison, Véronique à sa toison qui est d’un brun profond.
J’ai l’impression de violer leur intimité, mais s’ils ont permis à quelqu’un de proche de filmer, c’était pour être vue, alors je regarde.
Pierre a enlevé ses vêtements, j’ignore à ce moment si pour Véronique, c’est la première fois, car elle me semble manquer d’expérience, cela se voit à certains gestes qui sont loin d’être naturels pour une femme ayant déjà baisé.
Si c’est sa première, elle va se faire plaisir, Pierre est bien pourvu, j’ai une petite expérience, j’ai eu trois amants dont l’un de mes professeurs de droit, la première fois quand Adrien mon copain d’enfance m’a dépucelé, j’ai eu un peu mal, mais je m’en suis très vite remise.
Arrêtons de parler de moi, les choses se précisent, la caméra avance, Véronique est sur le dos, les bras collés au corps relevant ses jolis seins en forme de poire, elle regarde la verge qui va entrer en elle.
Elle n’a pas eu besoin de le préparer, il bande largement, il s’est placé entre ses cuisses et il avance inexorablement.
Je commence à avoir chaud, je glisse la main dans mon jean et dans ma petite culotte, je suis très scrupuleuse sur mes sous-vêtements, ceux que je porte, sont roses avec une petite rose sur le devant de la culotte et entre mes deux seins sur le soutien-gorge.

Sur l’écran, je passe les mots prononcés, simplement.

• Tu es prête.

Elle le regard, il sait que c’est le moment, il avance, ça résiste, il force, elle pousse un petit cri, plus fort que celui que j’avais poussé et s’allonge la tête tournant de gauche et de droite.
À partir de ce moment, Pierre la laboure et rapidement elle se met à soupirer, juste qu’à une image formidable, Véronique semble chercher de l’air et c’est naturellement que la caméra film le premier orgasme de la jeune femme.
Avoir un orgasme à sa première pénétration, c’est un exploit que je n’ai pas eu la chance de connaître, le premier à m’avoir transporté au sommet du plaisir, c’est Nicolas, mon professeur de droit, un jour dans l’amphi, j’avais été obligé de me mettre au premier rang, il a fait son exposé uniquement pour moi.

Nos regards n’arrêtaient pas de se croiser, à la fin de son travail, il s’est arrangé pour être près de moi et moins d’une heure après, j’étais dans son lit placé en levrette. Sa queue me labourant me montrant que ce que je prenais pour une jouissance était de la pisse de chat comparé à la manière dont mon corps à partir de ce jour, a eu orgasme sur orgasme.
Au moment où la queue de Pierre sort du corps de la jeune mariée, j’ai la confirmation avant que l’image ne se coupe que Véronique était vierge, son sang maculant le sexe du mari qui venait de la déflorer.

Je regarde les diverses cassettes et l’heure avançant, je prends un CD que je mets dans le lecteur de la télé, sur la pochette, il y a une date, il a été tourné la semaine dernière, six couples sont à la table qui est non loin de moi, la caméra tourne autour des convives.
Ils sont tous en tenue de soirée, les hommes en smoking, les dames en robe du soir, Véronique a la robe que j’ai failli essayer dans son armoire, la caméra s’approche, son voisin qui n’est pas Pierre, il est de l’autre côté de la table, a sa main dans la fourche de l’avocate qui écarte les cuisses.

Autant le jour de sa nuit de noces, elle était brune, autant le gros plan me montre qu’elle doit être épilée au laser, car aucune racine de poil ne montre si sa blondeur du moment est naturelle.

Coupure, je la retrouve carrément sur la moquette, entièrement nue, elle est prise en double pénétration par le voisin avec sa main dans sa chatte et un homme que je connais bien, c’est le pharmacien de notre commune.
Il l’encule alors que la femme du pharmacien lui présente sa chatte, qu’elle lèche avidement.
La caméra tourne et mon professeur de droit est là, je reconnais sa queue que j’ai souvent sucée, il pilonne une autre femme inconnue, mince, la semaine dernière, j’avais espéré aller chez lui, il avait prétexté un rendez-vous avec son père pour une histoire de succession.
Le salaud, il venait ici pour partouzer, je pourrais être jalouse, mais mes études étant plus importantes que son vit, même s’il me transporte à chaque fois.

J’ai laissé tomber mon jean, je me masturbe aux images de ces dépravés, je regrette de ne pas en faire partie, je me frotte le clito avec tellement d’envie que je jouis, j’ai dû tomber dans un profond sommeil après toutes ces émotions.

• Pierre regarde cette salope, elle a encore la main dans sa chatte, elle s’est masturbée en regardant nos films.

Ce sont les mots que j’entends quand je me réveille, dans la seconde qui suit, j’ai une langue dans ma chatte, Véronique est entre mes jambes, je lui décolle la tête de mon clito.

• Pierre, si tu as encore un peu de force, met lui ta verge dans la bouche, j’aimerais voir comment elle suce, j’aimerais en faire une gentille partenaire, Nicolas nous a dit tout à l’heure qu’elle est une jolie salope.

Elle retourne me brouter, au début Pierre est mou, mais il redresse la tête quand ma langue attaque son prépuce et qu’une de mes mains vient le masturber, l’autre appuie sur la tête de Véronique pour qu’elle me pénètre le plus loin possible, m’apportant un magnifique plaisir de fin de nuit.

Une fois payé, Pierre me raccompagne comme il était prévu, pendant que j’étais aux toilettes pour me nettoyer la bouche suite au sperme qu’il y avait mis, je l’ai entendu parler avec sa femme.

Devant la porte de mes parents, j’ai eu le plaisir de l’entendre me poser une question.

• Sylvie, ton professeur a confirmé que tu étais sa meilleure élève, dès que tu auras ton diplôme, si tu le désir, tu signeras un contrat à durée indéterminée dans notre étude.
Si tu le veux, samedi prochain, nous viendrons te chercher pour te conduire à un repas chez les pharmaciens que tu as dû reconnaître sur les images, ils organisent une soirée.
Ton professeur de droit sera là et je pense qu’à la manière dont tu m’as pompé tout à l’heure, Véronique qui m’a donné son accord et moi n’aurons qu’à nous louer de t’avoir fait entrer dans notre cabinet et cercle d’amis.

C’est ainsi que je vais entrer dans le plus grand cabinet d’avocats de notre ville et le monde des partouzes de notre ville pour mon plus grand plaisir, je vais pouvoir répondre à une question qui me taraude, qui tenait la caméra aux files des années.

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