Humiliation Choisie (Épisode 1)

Humiliation choisie (épisode 1)

Depuis un peu plus d’un an je me rends régulièrement dans un salon esthétique pour une épilation. L’esthéticienne travaille seule dans son salon, elle est assez jolie, petite, mince, très bien conservée, dans les 45 ans je pense. Toujours en jean serré, ventre plat, très joli cul.
Je suis un homme de 48 ans, on me dit bel homme, je prends soin de moi, sportif, etc…
Je suis naturiste depuis 2 ans à peu près et dans la continuité j’ai donc dépassé ce tabou de m’exhiber nu sur une table d’épilation devant une esthéticienne…
Je trouve cette situation excitante même si je n’ai pas de réaction physique lors de la séance. Le fait que cette femme soit habillée, moi nu. Qu’elle soit debout, moi allongé, oui, exhibé, presque offert. Je précise que je me fais épiler le maillot, intégral, devant, derrière. Je n’ai pas une pilosité très fournie fort heureusement donc ce n’est pas trop douloureux.
Quand je suis sur le dos, une fois qu’elle a fini avec les aisselles, les pectoraux, le ventre, elle me demande d’écarter un peu les jambes, d’en plier légèrement une, et mon pubis, mon sexe, mes bourses font l’objet de toute son attention et sa maîtrise pour les rendre lisses. Puis c’est au tour de la jambe gauche d’être un peu pliée, l’esthéticienne se positionne de l’autre côté de la table et les mêmes gestes se répètent pour une épilation parfaite. Elle m’applique en suite une sorte d’huile apaisante sur ces endroits délicats ayant subi l’agression de la cire.
Ensuite je dois me retourner, m’allonger sur le ventre et c’est alors mon sillon fessier qui sent la chaleur de la cire et les brûlures des bandelettes tirées d’un coup sec ! Pour m’appliquer la cire et les bandelettes, cette femme m’écarte un peu les fesses et j’avoue aimer aussi cette sensation…

A raison d’à peu près une fois par mois, ce rituel a duré un an de la manière détaillée plus haut, mais ces derniers temps ces séances d’épilation ont pris une toute autre tournure… Des séances très particulières que je vous conte dans le récit qui suit.



Tout a commencé par la fréquentation d’un site de rencontres, un tchat facile d’accès, inscription facile et rapide sans abonnement. Beaucoup de temps perdu, souvent… Mais ! Parfois… sourire.
Je dialogue avec une femme de ma région, apparemment bon feeling, échange de photos, on se plaît ! Bingo ? Échange débridé, de nombreuses confidences sur nos envies, nos fantasmes. Sa ville annoncée sur son profil n’est pas réelle, par souci d’anonymat elle a nommé la mégalopole la plus proche. Classique, j’ai fait idem. Confidences réciproques : nos domiciles ne sont distants que de quelques km en fait ! Super ! On échange nos tél, je suis en couple, pas elle mais ça ne la dérange pas.
Ce même soir alors que j’étais couché nous avons échangé des sms. Dialogue chaud à nouveau, nous sommes sur la même longueur d’onde côté sexualité, Magalie est très coquine, je comprends que c’est une femme habituée à ces jeux, au vocabulaire osé qu’elle emploie. Je bande, j’adore qu’une femme utilise des mots crus ! Elle me demande de lui décrire mon sexe, ça lui plaît qu’il soit lisse…
Elle : « Tu te rases ? »
Moi : « Non, épilé. »
Elle : « Ah bon ? C’est ta femme qui te le fais ? »
Moi : « Non non une esthéticienne. »
Elle : « Cool, le résultat doit être parfait alors ! »
Moi : « Oui, c’est clair que c’est beaucoup mieux que le rasage. »
Elle : « Tu vas chez qui ? »
Moi : « L’institut XXXXX à XXXXX. »
Elle : « Chez Sarah !? C’est une super copine à moi ! C’est dingue ça… »
Cette coïncidence me gêne un peu, je ne ‘’connais’’ Magalie que depuis quelques heures, je me reproche intérieurement de ne pas avoir été plus discret…
Elle : « Tu te fais épiler les fesses aussi ? »
Moi : « Oui… »
Elle : « Hummmm… J’aime… Tu es bi ? »
Moi : « Non… »
Elle : « Moi j’adore doigter un mec pendant qu’il me baise ! »
Moi : « Hummm… Ça m’excite ce que tu dis… »
Elle : « Oui… Tu aimes ça toi aussi… Tu bandes là ? »
Moi : « Oui… »
Elle : « Branle toi ! »
J’étais déjà entrain de me toucher, de me caresser, j’ai commencé à me branler.

Moi : « Hummmm… Oui… »
Elle : « Tu es sur le dos ? »
Moi : « Oui. »
Elle : « Replie tes jambes, écarte les ! »
Moi : « Hummmm… Oh oui… »
Elle : « C’est bien ! Vas-y ! Branle toi fort ! Comme ça ! Dans cette position ! Cuisses écartées !
Ses directives me mettent dans un état d’excitation extrême, ma queue est bien raide et je me branle fort ! Bien fort !
Elle : « Caresse tes couilles aussi ! Allez ! Obéis ! Tu te branles d’une main et tu te caresses les couilles de l’autre ! »
Évidemment je lui obéis, j’adore ça ! C’est trop bon… Je me masturbe énergiquement, cuisses largement écartées en ma caressant les couilles !
Elle : « Arrête de te caresser les couilles maintenant, glisse un doigt entre tes fesses, caresse ta raie de haut en bas… »
Moi : « Hummm… Oui… Je le fais… C’est bon… »
Elle : « Touche ton petit trou, appuie un peu dessus avec ton doigt, vas-y… Fait tourner ton doigt aussi, masse un peu, masse ton petit trou… »
Moi : « Oh oui… Oh la la c’est bon… »
J’avais stoppé ma masturbation pour profiter pleinement de la caresse de mon doigt entre mes fesses, comme pour me concentrer sur ce nouveau plaisir…
Elle : « Oh oui tu aimes ça… Tu n’es plus le Mâle Dominant… T’es une femelle là ! Cuisses écartées ! Rentre ton doigt maintenant ! Allez ! Mets-toi le doigt dans le cul ! Vas-y ! Enfonce-le !
Moi : « Oui Magalie… Je le fais… Oui… »
Elle : « C’est bien… Sors-le de ton cul et suce-le ! Lubrifie bien ton doigt… Je veux que tu puisses te l’enfoncer au max ! »
Moi, obéissant et excité comme un jeune puceau, j’obéis à chacune de ses consignes et très vite mon majeur se retrouve happé par mon fondement.
Elle : « Allez ! Branle-toi le cul maintenant ! Fais des va et vient avec ton doigt ! A fond ! Je veux que tu te branles le cul et la queue en même temps ! Fais-le ! Branle-toi fort !
Ma main droite a donc empoigné à nouveau ma verge dure et chaude, j’ai fait ce que Magalie m’ordonnait, je me suis branlé la queue de la main droite et le cul avec le majeur de la main gauche ! Mes pieds étaient maintenant décollés du drap, mes jambes toujours pliées et écartées mais à présent relevées ! Une position vraiment obscène pour l’homme que je suis mais je m’abandonnais totalement à l’intense plaisir que m’offrait Magalie ! Submergé d’excitation je ne tardais pas à jouir, de longs jets de sperme inondaient alors mon ventre pendant que je retirais lentement mon majeur d’entre mes fesses…
Moi : « Oh… J’ai joui… Oh… C’était trop bon… »
Elle : « Cool… Super… Je savais que t’aimerais ça… »
Moi : « Hummmm oui… Merci… J’ai adoré… »
Elle : « Bon dodo maintenant, on s’appelle demain si tu veux, kiss »
Moi : « Ok, bonne nuit, bisous.
»

Le lendemain nous nous sommes téléphoné pour faire connaissance de vive voix, bon feeling confirmé, nous avons convenu de nous voir vendredi soir.

Il est 20h, je suis garé sur le parking. Une petite voiture gris clair ne tarde pas à se garer, une femme la quarantaine en descend, je reconnais Magalie, seule la coiffure ne correspond pas à la photo qu’elle m’avait montré sur le net (brune carré court à présent alors que ses cheveux étaient plus longs et auburn). On s’embrasse sur les joues, je l’invite à monter dans ma voiture. On parcourt une trentaine de km, ambiance délurée à bord, nous parlons de nos vies, de cul aussi, beaucoup. Et puis fait marquant, Magalie me reparle de Sarah, mon esthéticienne mais surtout son amie… J’apprends qu’elle est libertine, bi et qu’elle aime autant jouer les soumises que les Dominatrices…

Nous arrivons au XXXXX, nous restons au comptoir, buvant et grignotant quelques tapas, soirée sympa, bonne musique, nous dansons un peu aussi. Je laisse seule Magalie un instant pour aller aux toilettes, quand je reviens un mec est entrain de la draguer, je m’avance vers lui, 2 – 3 mots, il comprend qu’il est de trop.
Nous décidons de partir, le trajet du retour se fait dans la même ambiance qu’à l’aller. Nous sommes arrivés, nous descendons de ma voiture, Magalie qui est divorcée me dit qu’on ne peut pas aller chez elle, son fils y est. Nous nous embrassons avec fougue, je la plaque contre la portière refermée, me colle contre elle, je sens sa poitrine contre mon torse, son bas ventre contre mon sexe. Je commence à bander ! J’appuie d’avantage ma bite durcie contre sa chatte ! Je fais des petits mouvements de reins comme si je voulais la baiser à travers les tissus de sa jupe et de mon pantalon ! Magalie ondule du bassin, gémit, pose ses mains sur mes fesses pour me plaquer contre elle d’avantage ! J’ai envie de la baiser là, sur ce parking, contre ma voiture ! Elle aussi en a envie mais le lieu n’est pas propice, un dernier baiser, on se dit au revoir.


PS : Dans le 2ème épisode le titre de ce récit prendra tout son sens… Merci pour vos coms.


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