Soumission 4

L’inconnu
Vu nos horaires de travail, nous essayons de nous voir tous les week end. Mais il est aussi possible de se voir dans la semaine, il vient chez moi ou il m appelle pour aller chez lui. Nous avons des codes pour dire si je suis libre ou encore au travail le soir.
L’apprentissage de la soumission continue par la répétition de mots, de gestes, de poses. Il y a aussi les relations sexuelles avec pénétration de la bouche ( trou du haut comme il dit) ou pénétration du trou de chienne. Pour ma part c’est masturbation sur son ordre.
Donc une fois par semaine, il fait une traite de ma limace comme lui a expliqué la véto à savoir à 4 pattes, il prend mes noisettes par l arrière et effectue des petits mouvements secs. Il va jusqu’à l’éjaculation pour vérifier le volume de sperme. J’ai l’impression qu’il y en a de moins en moins.
Il nous arrive également d’avoir de grandes discussions sur la vie, la culture, notre relation. Dans ces moments là, je suis assis à ses pieds, nu, cela nous a permis de mieux nous connaître et de régler nos limites. Pour être sûr que nous sommes sains tous les 2, nous avons effectué un test HIV et recherche MST. Tout est ok donc il n’y a plus de préservatif. De ce fait, lorsqu’il utilise mon trou du haut, je dois garder son sperme en bouche et l’avaler quand il m’en donne l’autorisation en le dégustant. J’avoue adorer cela.
Nous avons cherché un endroit sympa pour des vacances ensemble. Par ses relations, nous avons trouvé un groupe de gites dans le sud de la France. C’est un endroit plus ou moins réservé aux gays et lesbiennes. Vu ma condition de soumis, nous attendons l’accord des autres locataires pour que je puisse être nu pendant ces vacances.
Il m’a fait enregistrer dans le portable plusieurs numéros de téléphone du style : M1 : 06…
M2 : 06… etc.
Si je reçois un appel d’un de ces numéros je dois simplement répondre :
Salope du maitre, bonjour, et attendre les ordres.

Un soir, vers 20h00, je reçois un appel d’un de ces numéros
- Salope du maitre bonsoir
Une voix grave et dure me répond :
- Dans 1 heure chez moi, la porte du garage sera entr’ouverte, tu rentres, tu te mets à poil et tu mets la cagoule qui sera prête. Tu ne verras plus rien, il y a un simple trou pour ta bouche.
Il me donne son adresse, ce n’était pas très loin de chez moi et raccroche.
Je sais que je dois obéir sinon c’est la punition du maitre et je risque de ne plus le voir mais j’ai une certaine appréhension d’aller vers l’inconnu même si le maitre a donné les limites à ses amis.
Je me rends chez lui et j’exécute les ordres dictés au téléphone. Je me retrouve ainsi debout, nu avec une cagoule sur la tête, effectivement je ne vois plus rien.
Un temps passe et j’entends des pas derrière moi, pas un mot. Je sens que l’inconnu me pose un collier puis il passe une cordelette autour de mes noisettes, je pense que c’est un bondage, il me donne deux claques à l’intérieur des cuisses pour me faire écarter les jambes, il se met derrière moi et tire entre mes jambes la corde, la fait remonter dans ma raie et l’attache au collier.
La corde est tendue, mes noisettes et ma limace sont tirées vers l’arrière.
- On va faire un peu de sport me dit-il, quand je te dis penche, tu te penches en avant pour que tes mains touchent tes pieds, quand je te dis debout, tu te redresses et tu vas à mon rythme.
Je me suis dit que l’exercice ne sera pas trop difficile.
Il a commencé : Penche, Debout, Penche, Debout à un rythme assez soutenu.
J’ai tout de suite compris la perversion du système, la corde est très tendue entre mes noisettes et le collier donc à chaque fois que je me penche, cela tire durement et me fait pousser un cri.
Il continue, 30 fois je me suis penché et relevé et pour aller plus vite, il donne des coups de baguette sur les fesses.
- Très bien me dit-il mais comme tu as crié on va continuer sur autre chose ; allonge toi par terre sur le ventre !
J’obéis, et la corde tire toujours, il me donne des coups de baguette à l’intérieur des cuisses pour me faire écarter les jambes, je sens qu’il me pose des bracelets aux chevilles et j’entends le bruit d’une barre métallique. Je comprends qu’il m’attache les chevilles à cette barre d’écartement.
La cordelette est aussi attachée à la barre ce qui tire mes noisettes et ma limace vers l’arrière. La limace est en contact avec le sol.
- Maintenant tu vas ramper en t’aidant simplement des coudes, je ne veux pas voir bouger tes jambes et ton ventre doit rester coller au sol.
Il me donne un grand coup de baguette sur les fesses. Je pousse un cri de surprise et de douleurs et je commence à avancer. Le sol est en ciment, comme je ne peux m’aider que de mes coudes, mon ventre, ma limace et mes jambes frottent sur le ciment. Ce n’est pas plaisant du tout.
Il me donne des ordres brefs : avance, à droite, à gauche. J’ai l’impression de faire 6 fois le tour du garage. Même si cela fait mal, le frottement m’excite, de ce fait ma limace frotte de plus en plus sur le ciment.
- Arrête toi, mets toi à genoux, mains sur la tête ; je m’exécute
- Alors comme cela tu bandes, enfin si on peut appeler cela bander, je vais te faire passer cette envie !
Il me donne des petits coups de baguette sur la limace, cela fait mal et je me tortille mais plus je bouge, plus la cordelette tire sur les noisettes, je finis par ne plus bander.
- Voila, je préfère te voir comme cela, ouvre la bouche, en grand.
Il me pénètre la bouche, d’un coup, il est gros, il va si loin que j’ai un haut le cœur mais il ne s’arrête pas. Le terme juste est : il me baise la bouche.
Les hauts le cœur me font baver, il me tient par les cheveux et les mains. Enfin il sort et éjacule sur mon torse. Il détache la corde du collier.
- Je vais sortir me dit-il, tu comptes jusque 10 puis tu enlèves ta cagoule. Ensuite tu pourras enlever la corde, le collier, la barre et le reste, tu poses tout par terre et surtout tu ne t’essuies pas. Tu te rhabilles et tu pars. N’oublies rien, je te surveille. Je ferais un compte rendu à ton maître.
J’entends qu’il sort, je compte jusque 10 et j’enlève la cagoule. Je peux voir les dégâts.
Mes genoux sont s, mes noisettes sont bleues et ma limace me picote. Je la regarde de plus prêt en la décalottant, elle est comme griffée. J’enlève doucement la cordelette, j’ai mal aux noisettes. Je me dépêche d’enlever le reste, je me rhabille, son sperme colle à mes vêtements. Je sors ainsi, je n’ai pas vu son visage. Je rentre chez moi humilié et endolorie.