Arrêt Sur L'Autoroute
Il y a deux semaines dici, javais rendez-vous à la banque dans le cadre de mes activités professionnelles. Je navais vraiment aucune envie dy aller ayant bien dautres tracasseries en tête mais cétait une étape obligée pour espérer pouvoir faire naître le nouveau projet qui métait passé par la tête.
Ce jour-là, les minutes passaient à une vitesse folle et lheure de mon rendez-vous approchait. Je me suis vite rendu compte que je ne pourrais pas être à lheure au rendez-vous car javais encore une fameuse route à parcourir pour revenir dans ma région où se situait mon agence. Sur la route, grâce à mon smartphone relié au bluetooh du véhicule, jai téléphoné à la banque pour demander à reporter mon rendez-vous. La personne qui ma répondu ma proposé de parler directement à mon conseiller, ce que jai accepté même si je ne le connaissais absolument pas.
Jai expliqué la situation et il ma assuré quil comprenait bien. Il ma demandé si je désirais reporter le rendez-vous. Je lui ai répondu que je devais le faire mais que mon emploi du temps était tellement rempli que je ne pouvais plus me libérer aucun jour avant 18 heures. Il ma demandé si je voulais venir le jour même vers cette heure-là mexpliquant quil avait également beaucoup dadministratif en retard et quil allait rester tard de toutes façons. Appréciant sa disponibilité, jai immédiatement accepté. Le rendez-vous était ainsi fixé.
Sur lautoroute, ayant du coup un peu de temps devant moi, je me suis arrêté à une pompe à essence pour faire le plein. Je suis ensuite rentré dans la boutique pour macheter à boire. Un petit passage obligé par les toilettes ma permis de fantasmer quelques secondes à la rencontre dun homme cherchant un moment de plaisir mais les urinoirs étaient déserts. Je me suis lavé les mains et me suis dirigé vers le shop. Jatt à la volée un de ces sandwichs préparés, une cannette dorangeade et je me dirige vers la caisse.
A la caisse se trouvait debout un véritable éphèbe. Ce mec, de début de vingtaine, avait tout ce quil fallait pour faire du mannequinat ou presque. Une gueule dange, une peau visiblement douce sans le moindre défaut, une coiffure dense maîtrisée au moindre centimètre par du gel en quantité. Son corps était sans doute un peu trop frêle mais rien que son sourire me faisait fantasmer. Jétais dans la file à le fixer ne me rendant même plus compte que les clients devant moi avaient disparu. Tout à coup, une voix dynamique minterpella. Cétait lui pour me faire signe que cétait mon tour. Aucun mot ne sortait de ma bouche, qui était sans nul doute grande ouverte avec un air béat. Le caissier me demanda si tout allait bien. Je balbutiai « Oui
euh
oui
jai limpression davoir vu un ange ». Reprenant mes esprits, jai vu quil souriait, un peu gêné, mais pointait mes articles sans plus dire un mot.
Je me suis senti obligé de lui demander de mexcuser. Il ma dit que ce nétait pas grave. Il mannonce le montant que je lui dois et je me rends compte que jai oublié mon portefeuille dans ma veste restée dans la voiture. Je le lui explique et voilà à nouveau son sourire dange qui refait surface. Je linforme donc que je reviens immédiatement et mencours vers ma voiture. Quelques minutes plus tard me voilà revenu et à ma grande déception, ce nétait plus lui à la caisse mais une jeune fille, certes mignonne, mais beaucoup moins à mon goût ment. Je veux lui expliquer la situation et elle minterrompt en me disant que Xavier lui a expliqué, quil est parti nettoyer les douches. Un peu déçu, je paie mon dû et retourne vers mon véhicule.
Nayant rien à perdre, je me décide à retourner vers les sanitaires de cette aire dautoroute espérant retrouver mon bel apollon dont je connaissais maintenant le prénom.
Il fallait introduire de largent pour passer le portail automatique, ce que je fis immédiatement. Cétait une salle finalement fort propre avec huit cabines de douche mais aucune trace de mon Xavier. Jouvrais chaque porte lune après lautre quand arrivé à la sixième je retrouvais mon fantasme adossé au mur affichant toujours un grand sourire.
Immédiatement, il me dit quil était bien content davoir demandé à échanger avec sa collègue pour venir nettoyer les douches. Jai considéré ça comme une invitation à le rejoindre. Nous nous sommes directement embrassés fougueusement et il na pas fallu longtemps avant que nos mains ne prennent la direction de nos entre-jambes pour caresser nos membres déjà bien en érection.
En reprenant mon souffle, il me fait remarquer que je ne suis pas dans la tenue adéquate pour lendroit. Ce mec était un fameux coquin finalement. Je lui réponds alors quen effet je dois me déshabiller mais quil vaut mieux quil fasse de même pour ne pas inonder son uniforme lorsque je ferai couler leau. Un nouveau sourire malicieux apparût sur son visage et ni une ni deux le voilà en train de se déshabiller avec entrain.
Jy croyais à peine mimaginant en train de rêver. Il était totalement imberbe ou rasé difficile à dire et son membre se dressait fièrement devant moi, affichant une taille plus que respectable, tout aussi longue que fine comme lui. A mon tour déshabillé il me complimenta sur mon sexe. Je ne tenais plus et me suis mis à genoux pour enfourner sa queue goulûment dans ma bouche. Jai entendu un petit gémissement suivi dun énorme frisson lorsquil a ouvert le robinet faisant tomber de leau encore froide sur nous.
Je ne me laissais pas déconcentrer en continuant à faire des va-et-vient sur son sexe plus dur que jamais.
Arrivé à sa hauteur, il la avalé dune traite en allant directement le placer en fond de sa gorge. Cétait trop bon. Je tenais sa tête le temps de faire quelques va-et-vient. Ce mec savait y faire en gorge profonde. Lorsquil me repoussa jai compris quil avait besoin de respirer. Il ne lui a fallu que quelques secondes pour revenir passer sa langue sur chaque centimètre de mon gland. Jamais personne navait réussi à me procurer cette sensation. Il y allait avec une lenteur experte qui me faisait vibrer et frissonner à nouveau. Il a ensuite repris un mouvement plus classique de fellation en serrant bien ses lèvres à chaque passage sur la zone sensible.
Il ma sucé comme ça quelques minutes, jétais aux anges. Il sest ensuite relevé, sest retourné et ma dit de me faire plaisir. Je me suis immédiatement mis à genoux pour lécher son petit trou déjà bien dilaté. Il gémissait à chaque coup de langue tout en mouvrant le passage pour y glisser quelques centimètres. Je continuais à le faire gémir tout en le doigtant. Jétais complètement rassuré sur sa dilatation. Dailleurs, entre deux gémissements, jai entendu un « Baise-moi jen peux plus ». Je ne me suis pas fait prier. Jai rentré mon gland rose vif et me suis senti comme avalé par cet antre de désir. Sans traîner, je me suis mis à faire des allers-retours de plus en plus saccadés pendant que Xavier me faisait entendre combien il prenait du plaisir.
Jétait tellement excité que je nai pas pu tenir des heures. Il a senti mon souffle saccélérer et mon corps se contracter. Il sest retiré de mon sexe et sest mis à genoux devant moi la langue pendante. Quelques gémissements et souffles saccadés plus tard jinondais son visage et sa langue de coulées de sperme vite effacées par la douche qui continuait à couler sur nous. Reprenant mon esprit je constatais quil en profitait pour se faire jouir toujours à genoux et il naura pas fallu longtemps avant quil néjacule à son tour dans le bac de douche en faisant des petits bruits auxquels je nétais pas habitué.
Il sest ensuite relevé et ma à nouveau embrassé et caressé en finissant par un « Merci cétait super ». Jétais partagé entre lenvie de lui demander de le revoir et celle de considérer ça comme une opportunité filante et il ma finalement sorti de mes pensées en me disant quil espérait que je passais souvent par là.
On a arrêté leau, on sest séchés comme on pouvait et nous nous sommes rhabillés. Jai sorti une carte de visite et lui ai remise en lui disant « A bientôt ». Il a souri une dernière fois. Une fois la porte de douche ouverte, nous avons vu un homme bien foutu qui attendait de nous voir sortir tout en se caressant le membre. Jai regardé Xavier qui empoignait le manche de sa raclette tout en regardant lindividu.
Quelque chose me dit quune fois que je suis parti, Xavier a encore pris bien du plaisir
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!