Agatha La Policière

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je m’appelle Agatha, je suis policière, un jour après mon service je trouvais une boite avec un DVD, un GSM prépayé ainsi qu’un mot dans mon casier disant de visionner le DVD l’accompagnant et d’attendre la suite sans en parler à qui que ce soit.
Rentré chez moi je mis le DVD dans mon PC, une vidéo érotique que j’avais faite lorsque j’avais 18ans avec mon petit ami de l’époque que normalement lui et moi avions effacé s’ouvrit.
Le téléphone sonnât annonçant un SMS me faisant sursauter.
Je pris le GSM et lut ceci : « si tu veux que cette vidéo ne soit pas diffusée, ouvre l’application Snap Chat et visionne le message que nous t’avons laissé ».
J’ouvris l’application précitée ou il y’avait une vidéo d’une femme enchainée qui lut le message suivant : puisque tu regardes cette vidéo c’est que tu souhaites que cette vidéo reste confidentielle, alors ouvre la porte à l’homme va sonner et t’amener chez le maitre.
Au même moment on sonnât à la porte, je me levais comme un robot, l’homme habillé en chauffeur me prit par le bras sans dire un mot.
Une fois dans la limousine un nouvel message arriva sur le Smartphone, disant ceci : déshabille-toi, déchire tes vêtements, et mets ceux qui sont dans le sac sur le siège à côté de toi.
Comme demandé je me mis nue et découpais mes vêtements avec les ciseaux que me donnais le chauffeur, celui-ci contrôlais que j’effectuais ce qui m’avais été demandé.
Une fois fait j’ouvris le sac et trouvais une chemise blanche transparente laissant voir mes nibards, et une jupe raz de la chatte.
La voiture démarra, roula pendant 15 minutes dans la ville, s’arrêtant devant un club privé.
Le chauffeur ouvrit la porte et me sortit de la voiture me tirant par les cheveux, dés que je fus hors de la voiture, le chauffeur m’amenât à la porte du club et sonnât, le videur ouvrit et me fit entrer.
Une fois à l’intérieur du club, le videur appelât une femme qui m’amenât vers une pièce ou l’on me fit boire quelque chose.


Dès que j’eu bu, on m’emmenât des papiers que l’on me fit signer, dans l’état ou j’étais je ne me rendis compte de rien, mais je venais d’accepter que l’on fit de moi ce que l’on voulait.
On me donnât un numéro et m’emmenât sur scène ou un commissaire-priseur mettait des femmes toutes vêtues comme moi aux enchères pour la nuit.
Vint mon tour, le commissaire-priseur décidât de ma mise à prix, je fus finalement vendue, mon acheteur pour la nuit m’emmenât.
Une fois dans la chambre, il exigeât que j’effectue un strip-tease ce que je fis.
Il me donnât un gode et me fit me masturber exigeant que je demande sa permission pour jouir.
Je commençais à me masturber, le plaisir commençât à monter, je ne pus me retenir de jouir.
Il me tendit une cravache exigeant que je me frappât, je commençais à me frapper mais pas assez fort à son gout, il arrachât la crache de mes mains et me donnât quelques coups disant voilà c’est comme ça que je veux que tu te frappes et n’oublie pas de compter les coups bien sur, je te dirais quand t’arrêter.
Je recommençais plus fort et me mit à compter : 1.2.3.4.etc, arrivé à 50 je pleurais de douleur, il me donnât l’ordre d’arrêter et de me masturber de nouveau et que la punition précédente.
Comme exigé je recommençais à me masturber, ne pas jouir avant d’avoir obtenu la permission fut compliqué mai l’orgasme en fut décuplé.
La femme qui m’avait emmené sur scène revint me chercher et m’emmena à la porte du club ou le chauffeur était de retour pour me ramener chez moi.
À suivre peut être…..

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