Une Balade Dans L'Eau Qui Devient Hummmm

Bonjour, pour mon premier récit, je vais vous raconter l'histoire avec ma belle-sœur cet été.

Comme tous les ans, nous descendons, en famille, mon beau-frère et sa femme, mes beaux-parents, ma femme et nos trois s. Cet été la, il faisait très chaud et nous avions une journée encore plus chaude. Afin de se rafraîchir, ma femme, les s et mon beau-frère ont décidé d'aller à la rivière.
Pour ma part, j'étais bien calé dans un transat à lire un petit livre d'espionnage qui ne me donné pas envie d'aller à la rivière. Ma belle sœur était endormi sur un tapis de plage à l'ombre. Et les voilà parti à la rivière. Une fois parti, je regardé autour de moi afin de me tranquilliser pour reprendre ma lecture et mes yeux se sont arrêtés sur ma belle sœur qui dormait sur le ventre dans un petit maillot de bain deux pièces bleu clair. Cela lui allait bien, elle est blonde avec des yeux verts. Ce n'est pas la première fois que je me dis que le bleu lui va bien mais ce jour la, cela lui allait encore mieux. Est-ce parce qu'elle dormait avec les jambes entres ouvertes et que je pouvais deviner son sexe sous le tissu, je ne sais pas mais mon esprit est parti a 200 à l'heure et rapidement j'ai senti une tension dans mon short. Heureusement, elle dormait profondément. Elle a donc les yeux verts et les cheveux blond, 32 ans, avec un corps juste comme je l'ai aime, 1m65 avec des hanches qui permette de poser ses mains, des seins ronds et un sourire d'ange. Inutile de vous dire que ma main est allée se loger sous mon short afin de prendre possession de mon sexe qui était très dur. Quelle vue, hummmm.

Je suis retourné à ma lecture et une bonne heure était passée quand ma belle sœur, Estelle, se réveilla. J'avais placé mon transat de façon à la voir sans tourner la tête. Elle s'étira et mis ses bras derrière sa tête ce qui a eu pour effet de tendre sa poitrine d'une façon rare.

En regardant autour d'elle, elle me dit :
- ou sont-ils
- ils sont partie à la rivière se rafraîchir.

- sans nous ?
- tu dormais et moi je lisais et je ne voulais pas te laisser seule. Lui dis-je en rigolant.
- c'est gentil. Tu as soif ?
- je veux bien
Elle se lève et comme elle est encore un peu engourdie, elle se lève en tendant les jambes, elle est de dos et je vois ce magnifique derrière tendu devant mes yeux, c'est ma journée.
Elle revient avec deux verres d'eau fraiche. On boit et comme je raconte une connerie, elle rigole et renverse un peu d'eau sur son haut de maillot. J'aurais aimé que cela soit un tee shirt sans soutien gorge pour voir ses formes sous l'eau. Mais non, elle éponge son maillot et me dit :
- On les rejoint ?
- OK laisse moi mettre un maillot et on y va.

Nous partons à la rivière. C'est une rivière super calme, peu de fond dans un premier temps puis, il y a des cascades avec un peu plus de fond et quelques rapides. Nous entrons dans l'eau et commençons notre progression pour retrouver la famille. Nous croisons beaucoup de monde mais pas ceux que nous cherchons.
Je suis devant et la rivière devient de plus en plus rapide sans être les rapides de canoë mais suffisamment rapide avec des rochers glissants. Un des premiers rapide arrive et je me mets en travers afin de retenir ma belle-sœur. Elle vient, par la force de l'eau, se blotir contre moi, nous glissons et une fois au calme, nous rigolons de la situation. Puis une autre et un autre rapide, comme pour le premier, je mets en travers et la elle se blotti contre moi. Le courant est un peu fort mais pas tend et elle pose ses mains sur mon torse pour se tenir a distance. Ces jambes, sous l'effet du courant, viennent autour de ma taille. Je ressent comme un frison car je repense à la vue que j'avais d'elle sur son tapis de plage. Très rapidement, je bande et avec les remous de l'eau, nous nous frottons. Je crois sentir ses doigts bouger sur mon torse et puis ses jambes se seraient un peu plus et, sans doute troublé, je glisse et nous voilà baloté jusque qu'au point plus calme.

En me regardant dans les yeux, elle me dit :
- Ca va, tu as l'air bisard ?
- Ca va, j'ai bu un peu la tasse
- Ok, heureusement que je te tenais bien sinon j'aurais aussi bu la tasse.

Et nous sommes reparti, toujours pas de famille en vue et j'espérais ne pas les trouver.

Dans cette rivière avec beaucoup de rochers, il y a des rapides avec des sortes de creux formés dans les rochers dans lesquels on peut se loger et nous sommes arrivés dans l'un deux. Toujours en premier, je me cale et Estelle viens glisser pour se coller à moi. On discute, on rigole et tout en me regardant, je sens ses mains sur mon ventre mais pas des mains qui cherchent un appui mais plutôt des mains qui caressent. Je la regarde et elle me dit :
- je crois savoir pourquoi tu était bisard tout à l'heure
- pourquoi ?
- parce que, comme moi, la situation et nos positions dans l'eau comme maintenant, te plaisent.
- heu, oui, on est bien, je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu'elle met une main sur mon sexe
- j'avais raison, me dit elle
Maintenant je suis mal à l'aise et elle le voit et en profite.
- heureusement que nous sommes dans l'eau sinon tu serais pas bien et je ne pourrait pas te refroidir. Elle glisse une main dans mon short, je sursaute et glisse. Nous nous séparons mais pas bien longtemps.
- Attends, j'arrive, me dit elle.
Je m'arrête la ou j'ai pied jusqu'au dessous des pectoraux et le temps qu'elle arrive, je réfléchi a ce que je vais faire.
Elle arrive sur moi et reglisse sa main dans mon short.
- j'ai pas bien senti, hummm, bel engin
- tu trouves, je me laisse faire, elle tiens ma bite entre ses mains et personne autour de nous peut soupçonner qu'elle est entrain de me branler.
- elle a l'air grosse, c'est marrant, plein de monde passe et personne ne voit que je te branle.
- tu aimes ? me demande t-elle
- oui, vas y branle moi, mets tes deux mains.
- J'adore la situation, je vais te branler jusqu’à jouir, mon seul regret c'est de ne pas pouvoir te boire quand tu vas jouir car tu vas jouir mon cochon.
- c'est déjà entrain de monter, tu branles bien et avec ta bouche, tu suces aussi bien ?
- ma bouche est encore meilleure. Elle me mime se que ferait sa bouche sur ma bite avec son pouce.
- je ne savais pas que tu étais comme cela, une vrai salope
- je ne suis pas comme ça mais ce que j'ai senti en haut de la rivière et le regarde que tu avais sur ma poitrine quand je me suis renversé de l'eau m'a amusé.
- depuis tout à l'heure tu me cherches
- oui depuis tout à l'heure je cherche comment te prendre dans ma maintenant
- approche un peu plus. Je glisse une main sur son maillot puis sous son maillot. Elle recule.
- pourquoi recules tu ? J'aimerais te faire la même chose.
- non, je ne peux pas, rapport à ton beau-frère
- et rapport à ma femme, cela ne te fait rien ?
- non ça, ça va
Tout en l'écoutant j'ai placé mon bras derrière elle et je l'ai rapproché, mon autre main repart vers son sexe.
- tu crois que je serais le seul a culpabiliser ? Et je glisse un doigt sous son maillot en cherchant directement son trou. Elle me caresse toujours, cela me fait dire qu'elle n'est pas si gêné que cela.
- non, arrête, me dit elle doucement pour ne pas alerter notre entourage.
- ok, mais pas avant de, et je glisse deux doigts dans sa chatte.
Elle sursaute et je commence à la fouiller.
- tu veux que j'arrête ou bien ?
- non continu, c'est bon.
Nous nous caressons pendant quelques minutes quand nous entendons nos prénoms. Nous regardons sur les berges et voyons, a une trentaine de mettre, notre famille qui marche péniblement.
- dommage, lui dis-je
- oh non, il me reste quelques minutes pour te faire jouir alors concentre toi, je veux sucer mes doigts avec ton foutre.
Elle accélère, me regarde en passant sa langue sur ses lèvres.
- joui, joui, je te branle quasi devant tout le monde, ta femme arrive, mon mari arrive. Joui.
Et je laisse aller, je sens plusieurs jets sortir de ma queue. Je fini de lui caresser la chatte en passant sur son clitoris.
- oh c'est bon, tu ne lâches rien, salope.
- oh non
- la prochaine fois, c'est dans ta bouche
- ok ou dans mon cul car ma chatte est pour mon mari mais mon cul c'est pour les autres
- pour les autres, ce n'est pas la première fois ?
- si dans l'eau, avec toi, mais ailleurs, dans mon cul, non.
Elle sort sa main et je vois mon sperme sur ces doigts.
- je me dépêche d'y gouter car je ne voudrais que ton beau-frère se demande d'ou ca vient.
Elle met ses doigts à sa bouche en tournant le dos à notre famille, sort sa langue et lèche mon sperme, hummmmm. Je fais de même avec mes doigts et moi aussi , hummmm.

Depuis nous n'avons plus l'occasion de de se retrouver seul mais régulièrement, aux diners de famille, je sens une main sur mes cuisses et de temps en temps sur ma braguette.