Groupe De Vacances 40
GROUPE DE VACANCES 40
Ep 40 : QUE DU BEAU MONDE A CE REPAS
On revenait à l'entrée du nouvel ensemble, il y avait un monde fou, le secrétariat était en panique, les étudiants arrivaient, il fallait les inscrire, les orienter
Nous étions arrivé dans des bâtiments vides et c'est une ruche que nous laissions derrière nous ! Les bâtiments ne retrouveraient leur calme que dans trois mois, pour les premières vacances.
Un homme que je ne connaissais pas venait vers nous MLC m'appelait.
MLC : Venez donc là Djé que je vous présente votre nouveau directeur !
Je rejoignais l'avant du groupe, Bob suivait et rejoignait Luc, Antoine était toujours là.
MLC : Monsieur Lauteur, je vous présente nos deux champions Djé et son camarade Antoine, les deux derniers étudiants qui ne seront pas internes
Luc le jeune frère de Djé qui terminera son second sicle dans l'école secondaire locale et
( se retournant vers Bob )
Luc : Bob Monsieur Le Conte, Bob un ami à moi !
MLC : Et Bob donc, un ami
On finissait par laisser les invités de marque et on se retrouvait à la maison. Bob était passé chez lui il m'avait promis d'être là avant midi
Luc n'était plus fâché
Charles arrivait
Charles : Changement de programme ! Monsieur Le Conte dînera chez Greg et vous êtes tous conviés
Ça veut dire qu'il est hors de question de refuser ! J'ai préparé un costume pour chacun d'entre vous !
Luc : Et Bob alors il était prévu qu'il vienne dîner
Charles : Je me charge de ton ami Bob dès son arrivé !
Charles disparaissait le reste de la matinée. Vers midi moins le quart il réapparaissait et venait nous chercher
On se retrouvait tout les trois au garde à vous devant notre majordome qui s'assurait que nos tenues étaient parfaites, on descendait chez Greg.
La suite, on me l'a racontée
Bob arrivait peu après
Stéphane lui ouvrait la porte et le toisant de haut ne disait que
'' Ah ! Oui ! Je vois !
Charles je crois que c'est pour toi
Entrez jeune homme
On va s'occuper de vous
De toutes évidences vous en avez grand besoin ! ''.
Bob avait envie de repartir en courant mais la porte était déjà refermée, il n'osait plus bouger. Charles Arrivait ( celui-là on le connaît )
Charles : Tu es Bob je suppose, viens avec moi et surtout ne t'inquiètes pas tout ira bien !
Bob avait les jambes qui commençaient à flancher, deux majordomes pour l'accueillir, c'était beaucoup ça pour lui
Charles l'entraînait dans l'appartement du rez de chaussée .
Bob : Luc n'habite plus au deuxième ?
Charles : Bien sûr que si mais aujourd'hui c'est ici que ça se passe et on n'a pas beaucoup de temps
D'un il expert Charles devinait la taille de Bob, lui demandait de retirer ses vêtements, Bob n'osait ni poser de questions ni refuser il se retrouvait en slip devant Charles qui lui donnait un costume complet
Charles : Il y a un changement de programme suite à la présence de Mr Le Conte. Vous dînerez chez Greg, et on m'a chargé de te prendre en main
Tu étais invité et ici on n'a pas l'habitude d'annuler un invité !
Quelques instant plus tard Bob s'admirait dans un miroir
De notre coté Luc s'angoissait, c'est qu'il commençait à y tenir à son copain Bob
Aussi quand il arrivait en compagnie de Charles il courait pour l'accueillir. Bob paraissait visiblement déconcerté et la présence de Luc le rassurait. Évidemment Charles avait pris soin de les placer côte à côte à la table. Luc expliquait à son copain les changements depuis son retour, le majordome, Antoine qui logeait avec nous désormais
Bob m'avouera plus tard qu'à cet instant il se demandait s'il n'était pas tombé dans la quatrième dimension !
On avait du beau monde et une grande table le maire de la ville ainsi que le gouverneur du district étaient déjà là. Peu après c'est Justine qui arrivait à son tour, elle faisait le tour de la salle pour saluer tout le monde, elle faisait la bise à Mr Lauteur (
), à Greg , et à quelques autres personnes, parlait un moment avec Mr Le Conte puis venait vers moi, elle me faisait la bise et posant sa main sur lépaule de Bob me disait
Justine : Alors tu vas enfin me présenter ton petit frère ( elle ne l'avait jamais rencontré )
Moi : Alors lui, c'est Bob, c'est le petit copain de mon petit frère
Vlan ! A ces mots Bob virait rouge comme une tomate.
Justine : Le petit copain de ton frère
Mais c'est toute la famille qui est coquine alors !
Je présentais mon frère et
Moi : Je vous présente Justine, mon avocate .
Bob : ( Tout bas à l'intention de mon frère ) Il a une avocate, j'y crois pas !
Justine : Au fait Djé, il faudra que je te vois, au sujet du procès en cours avec la presse
Sans rien dire Bob paniquait. Il se disait, '' Un procès avec la presse
Mais je suis tombé ou moi ?
''. On passait à table ! Mon ancien directeur était là, il devait être contant il avait enfin rencontré Mr Le Conte et on l'avait placé juste à côté de lui à table ! Mathias aussi était là. Charles avaient regroupé le jeunes (nous) pour qu'on se sente plus à aise !
Ceux qui ne connaissaient pas Mr Le Conte étaient impressionnés par le personnage, il savait n'oublier personne dans la discussion. Mon ancien directeur était sous le charme, il avait souhaité cette rencontre, il était vraiment ravis
Il ne cachait pas sa stupéfaction quand il apprenait que Greg et Sophie étaient ses petits neveux il me jetais un regard
discrètement
Je confirmais d'un mouvement de la tête
Il apprenait aussitôt que Mathias était le cousin germain de Greg
Je lui glissais : '' Ça je ne l'ai appris qu'il y a deux jours
''.
Bob qui était complètement perdu avait aussi son moment d'attention, avec beaucoup de tact MLC le faisait parler
Il était en fait très timide Bob mais MLC savait mettre les gens à leur aise s'il le désirait. On linterrogeait sur ses projets, ses goûts, ses études. MLC l'encourageait avec quelques compliments sur son travail
Bob se penchait ensuite vers moi.
Bob : Il me fait un compliment, mais comment peut-il savoir ce que je fais, il m'a vu pour la première fois il n'y a que quelques heures
Moi : C'est un personnage étonnant, la première fois que nous l'avons vu Antoine et moi, la rencontre n'était pas prévue mais il aurait pu nous raconter notre vie
Je ne serais pas étonné qu'il puisse déjà en faire autant pour toi ! Tu n'as rien à te reprocher j'espère ?
Bob : Non, mais tu crois qu'il sait que je suis gay ?
Moi : Je ne le crois pas .
Et hop
bob redevenait à nouveau tout rouge
Décidément ce garçon est très haut en couleur !
Le repas durait
Vers le milieu de l'après midi on se retirait ( On, je veux dire nous les jeunes ) et on laissait les officiels discuter entre eux. Bob retrouvait ses vêtements soigneusement pliés dans notre appartement
Justine venait me rejoindre un peu plus tard
Justine : Il faut que je te parles Djé. C'est important
Tu te souviens de la compétition inter universitaire ? La presse, la télé t'avaient largement calomnié
Moi : Comment oublier ça ?
Justine : On n'en est pas resté là et je viens de négocier un dédommagement D'un montant non négligeable !
Moi : Alors là tu mintéresses !
Justine : Tu veux que je te le dise ?
Moi : Mais tu attends quoi ?
Justine : Deux cent mille DI ( Dollars Internationaux )
Moi : La vache ! C'est une somme !
Justine : La somme te sera versée dans ces prochains jours
Attention, c'est net dimpôts !
Elle me faisait signer quelques documents. J'étais sonné, j'étais riche (enfin j'avais du fric), si j'avais eu des problèmes de budget, ils auraient été réglés pour un long moment. J'invitais toute mon équipe au resto ! Charles ne venait pas, il en profitait pour prendre sa soirée . On ne rentrait pas trop tard le lendemain il y avait école pour tout le monde ! Une véritable inauguration avait été programmée pour le milieu de la deuxième semaine en présence de tous les étudiants et enseignants. Le soir la Rolls était repartie et Mr Le Conte avait promis de revenir !
Les premiers jours, les étudiants ne portaient pas tous le dispositif
Un d'entre eux, Germain, nouveau dans la région
Il entrait en troisième année et la promesse dexcellence que la nouvelle école garantissait l'avait décidé à postuler. Ma réputation y était pour quelque chose ! Il était à un haut niveau en sport, et dans les matières plus intello, un des meilleurs de sa fac
Germain : Tu sais Djé, c'est un peu à cause de toi si j'ai postulé ici !
Moi : Tu m'as vu à la télé ?
Germain : Tu était vraiment bon le jour de la compétition
Moi : On leur à mis la pâtée !
Germain : Il y a un truc qui m'inquiète, je sais pas si je peux t'en parler ?
Moi : Vas y, je t'écoute, j'ai l'habitude tu sais !
Germain : Ça fait pas mal ce truc, tu es sûr ?
Moi ! J'en porte un depuis quelque temps et je te confirme que ça peut aller ! Au début il faut s'adapter ensuite on s'y fait.
Suivait une discussion ou je lui faisait profiter de mon expérience ! Les autres étudiants de son groupe étaient tous équipés
Moi : Pourquoi tu n'as toujours pas ton truc ?
Germain : C'est un problème de taille !
Moi : De taille ?
Germain : Je suis bien doté !
Germain : Tu veux voir ?
Moi : Oui pourquoi pas !
On se retrouvait dans une des chambre du second bloc dortoir, au dernier étage les chambres sont toutes vides et les serrures toujours pas réparées
Ma cage était déjà sous pression. Pour me montrer sa bite il se mettait torse nue
Ça me faisait rire, ensuite il baissait son pantalon, là je ne riais plus
C'était du lourd
Sans même m'en rendre compte, je me mettais à genoux et direct commençait à le sucer, il ne bandait pas, je prenait sa queue dans ma bouche et jaspirais pour qu'elle rentre, un peut comme avec une nouille mais là c'était une grosse nouille et quand il commençait à bander j'avais du mal à la garder dans la bouche
Il ne tardait pas à bander ferme et dur !
Il me prenait par les bras pour me relever et pendant que son pantalon tombait sur le sol m'embrassait sur la bouche
Germain : Je voudrais bien en profiter un peu avant de
Moi : Si je peux t'aider !
Il me retirait mes vêtements, mon pantalon se retrouvait sur mes chevilles j'étais nu. Eh oui, j'aime bien voyager léger
Il me caressait le torse en descendant rapidement sa main vers ma cage
Il voulait voir comment c'était. Il me caressait les couilles, il avait l'air impressionné
Il était impressionné et très excité il bandait a mort ! La pression restait douce, mon nouveau modèle restait confortable, c'était terrible, presque désespérant, c'était sans espoir mais terriblement stimulant !
Sa peau était douce, il était chaud, on se tenait serré l'un contre l'autre. Je l'embrassait partout, il en faisait de même, il se mettait à genoux devant moi, il ne pouvait pas me sucer la bite, il en profitait pour me gober les couilles, il regardait comment ça se passait, comment je réagissais
Il se relevait et me disait
Germain : Je vais te prendre, c'est du lourd tu as vu, ça ne te fais pas peur ?
Moi : Vas y doucement !
Je me retournais, me penchais en avant. Je sentais sa queue qui se positionnait juste sur mon anus, je sentais une pression, je me détendais, il entrais. Mon anus se dilatait, c'était fort, il fallait avoir une certaine habitude pour encaisser un truc pareil
Heureusement
Rapidement il arrivait au fond, je sentais son bas ventre frapper contre mes fesses
C'était bon, sans m'en rendre compte je gémissait de plaisir, je sentais son souffle dans mon oreille, je sentais son menton sur mon épaule. Il me tenait serré contre lui. Je glissait une main sur sa fesse et le tirais vers moi à chaque coup qu'il me portait
Je finissais par avoir l'impression d'éjaculer à chacun de ses mouvements.
Je gueulais, il râlait . Je gémissais, il grognait
Les coups devenaient plus violents, plus rapides, un dernier mouvement de son bassin, il restait planté sans bouger. Il exerçait juste une pression de toutes ses forces puis une autre et enfin une troisième je voulais hurler, j'étais muet ! Tout mon ventre vibrait, se contractait, j'avais le souffle coupé. J'avais joui, pas une goutte de sperme mais j'avais joui !
Je me disais
'' Dommage qu'on le mette en cage celui là
! ''. Il se laissait tomber sur moi et reprenait son souffle
La douche était branchée et on en profitait
Germain : C'était pas la première fois toi ?
Moi : Non ! Et toi tu avais déjà fait ça avec un mec ?
Germain : La dernière fois j'étais à ta place !
Moi : Tu aimes aussi ?
Germain : Ouai ! J'aime aussi mais les mecs que je rencontre, quand ils voient le matos, soit ils ont peur, soit ils en veulent !
Moi : Et les filles ?
Germain : Ce sont de petites nature, j'en ai rencontré qui avaient peur quand elles voyaient la chose
Pourtant
Moi : Eh oui
Pourtant ... Tu l'aura quand ta cage ?
Germain : On m'a dit demain. On m'a parler d'un nouveau modèle qui serait imprimé, j'ai rien compris, il n'y avait plus de modèle à ma taille !
Moi : CTC ?
Germain : Ça me dit quelque chose, c'est bien comme modèle ?
Moi : Si c'est ça, je porte le prototype, c'est super confortable !
On redescendait tout en discutant
Moi : Alors tu es prêt à renoncer à ça ?
Germain : Tu peux me croire moi, je ne jouerai pas les prolongations pendant les vacances !
Moi : Fait gaffe, parfois on y prend goût ! C'est addictif ce truc !
Le premier week-end arrivait vite et le dimanche matin, Luc venait me rejoindre dans la cuisine
Luc : Ça te dérange si le dimanche on est quatre au petit déjeuner ?
Moi : Bob ?
Luc : Oui, Bob
Moi : Il est là ?
Luc : Oui, il est là ! Ça ne te dérange pas dis ?
Moi : Tu as l'air d'y tenir à Bob ?
Luc : Oui je crois que je suis accro !
Moi : Et bien, s'il fait partie de la famille alors
Luc me répondait avec un grand sourire
Dans les jours qui suivaient on retrouvait vite nos habitudes, Charles nous réveillait assez tôt, on partait faire un peu d'entraînement puis, quand on rentrait, un petit déjeuner copieux nous attendait. Au début Luc avait du mal à nous suivre et à plusieurs reprises on essayait de le perdre, mais il retrouvait toujours son chemin et revenait en râlant contre nous
Le lundi, le mercredi et le vendredi on, enfin quand je dis on
, je voulais dire Charles préparait un repas pour douze à quinze invités. Bob s'y retrouvait souvent et il perdait rapidement cette habitude de changer de couleur quand je le taquinais
Charles se réservait les autres soirées pour lui
Il avait une occupation importante il disait
Je l'ai vue son occupation importante, et elle était sexy son occupation importante
Le prof de littérature qui était arrivé à la fin de l'année précédente
Tous les matins après le petit déjeuner on passait prendre Mathias qui habitait toujours en face et on partais tous les quatre pour la fac, le collège de Luc était pas loin et les horaires correspondaient.
Il ne me décevait pas mon petit frère, si au début il profitait de ma popularité, très rapidement il devenait populaire grâce à ses propres qualités. Ses profs, son directeur, tout le monde me disait qu'il était adorable ! Rapidement il était le plus populaire de son collège et quand ses camarades apprenaient que j'étais son grand frère ils étaient tous intimidés
Pas autant que Bob la première fois évidemment !
N'hésitez surtout pas à laisser un commentaire !
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