Caroline Et Les Visites Médicales Coquines : Auscultations Approfondies

Bonjour à tous, c’est Caroline, quel plaisir de vous retrouver, vous me manquiez sincèrement. J’ai maintenant ce besoin d’écrire, de vous écrire…
Ce récit, c’est une idée de Sandrine, mon « amoureuse », notre « amoureuse » à Éric et moi.
Nous vivons tous les trois ensemble, le bonheur parfait, et en échangeant sur nos aventures libertines passées, Sandrine m’a demandé d’écrire ce récit relatant mes deux aventures avec des « docs » coquins.
Sandrine sait que j’ai beaucoup donné avec le corps médical avant de rencontrer Éric.
J’ai presque fait un don de mon corps à la science !!!
J’ai des circonstances atténuantes, ayant baigné dans un milieu propice aux rencontres : l’hôpital avec tous ses médecins et spécialistes en tous genres… (Voir Chapitre 22).
J’ai commencé ma collection par un premier amant Tunisien Gynécologue-obstétricien, puis ensuite Jacques un Cancérologue, puis un italien Gynécologue, un autre Gynécologue mais Tunisien, puis Jean-Jacques, Cancérologue-radiothéute, futur amant régulier pendant de très longues années.
Cela ne m’empêche pas de prendre d’autres amants comme Silvio, un chirurgien Italien, puis Hassan, un médecin Anesthésiste-réanimateur Iranien, puis un médecin spécialiste en gynécologie obstétrique Libanais nommé Bilal…
Puis des Gynécologues et radiologues et encore différentes nationalités, des médecins Syriens et Marocains, Algériens. Sexuellement, je suis très active, c’est vrai, que je suis très attirante à cette période.
Sandrine en découvrant mes photos entre vingt-cinq et trente-cinq ans, m’a déclaré qu’elle pouvait comprendre que c’était facile pour moi de séduire tous ses collègues.
Je complète ma collection d’amants du milieu hospitalier, pourtant déjà bien fournie, d’environ seize hommes, mais je pense en avoir oublié, parmi lesquels nous trouvons encore des médecins généralistes, gynécologues, des radiologues, des chirurgiens.
C’est tout aussi varié au niveau des nationalités avec encore un Syrien, des Marocains, des Algériens, un Vietnamien, un Belge, un Allemand, un Roumain et bien évidemment des Français.


A chaque fois, l’ennui du moment me pousse à la tentation de l’infidélité en prenant bien évidemment beaucoup de risque.
J’aime le sexe et j’ai besoin de rapports très fréquents, je me pose la question à cette période : suis-je nymphomane ? Ou hypersexuelle ?
J’ai besoin de plaire et de séduire, mais aussi, j’ai bel et bien une obsession pour le sexe.
Je mets tous les moyens en œuvre pour multiplier les rapports sexuels.
Donc pour en revenir au sujet du jour, j’ai une certaine expérience avec « les docteurs », et pendant l’année 2008, Éric et moi avons vécu une expérience « Charming Lady » particulièrement transgressive et subversive, puisque j’ai réussi à pervertir un docteur dans son cabinet médical.
Je précise que ce médecin n’est absolument pas libertin. Depuis dix jours, je souffre de troubles intestinaux qui s'accompagnent de douleurs importantes qui irradient dans mon dos et la racine de mes cuisses, ces troubles digestifs se nomment : dyspepsie.
Ces troubles sont fréquents, chroniques et ponctuels, pouvant être liés à des causes variées, organiques et fonctionnelles. Des problèmes infectieux, ou de malformation peuvent être en cause, ainsi que des déséquilibres hormonaux.
Je vous assure que j’ai sacrément mal au ventre comme bien souvent. J’ai cela depuis 2007 et une trentaine d’aliments sont susceptibles d’amplifier les symptômes, j’en souffre plusieurs fois par semaine.
Mon petit mari Éric est au travail en réunion pour toute la matinée. Il sait que je dois consulter Pierre, c’est le prénom de notre médecin dans notre commune de Seine-Maritime dans la semaine.
Éric m’a mise au défi de séduire le toubib : peu importe si je filme ou pas, si je m’exhibe juste ou s’il y a davantage !!!
Nous sommes toujours francs et honnêtes l’un envers l’autre et il sait pertinemment que s’il ne s’est rien passé, je lui dirai sans mentir.
Ce n’est pas drôle si on ne joue pas le jeu !!!
Ce n’est pas une mince affaire cette “visite médicale coquine”, mais j’aime relever les défis et pervertir les non-libertins à nos jeux coquins.

Ce petit côté : héroïne des liaisons dangereuses et notamment son personnage principal la marquise de Merteuil, me régale et m’excite terriblement.
Afin d’être la plus explicite possible, je me rends au cabinet en talons aiguilles de 14 cm et bas nylons, juste vêtue d’une robe et sans aucun dessous. Je suis nue sous ma robe.
Le médecin connaît nos pratiques libertines, c’est très important lorsqu’on est libertins pratiquants de pouvoir se confier librement au personnel de santé.
Nous le savons fétichiste des pieds, mais il ne s’est jamais rien passé de sexuel avec lui.
Il reste toujours professionnel même si on discute ouvertement de libertinage, de ses fantasmes, de nos parutions photos et vidéos sur un site qu’il a soit disant découvert par hasard…
Je suis habituée à le consulter sans soutien-gorge, mais normalement je porte à minima un petit string… par pudeur sans doute ou respect de sa profession, je ne sais pas trop !!!
Cette pudeur est un peu stupide parfois d’ailleurs.
Cette fois, il faut que je parvienne à envoyer un message fort et sans ambiguïté.
Mission : mettre le grappin sur notre médecin Pierre et… ce que Femme veut, souvent l’obtient !!!
Pour des raisons évidentes de confidentialité, je n’ai réalisé que de petites vidéos et seulement des photos prises avec son accord simplement pour témoigner de la véracité de cette aventure « Charming Lady » à Éric.
Ce n’est pas un fantasme, ce n’est pas un film porno… c’est juste la réalité. Arrivée dans le cabinet, j’ai sagement patienté en attendant mon tour comme une patiente normale.
Sauf que j’ai une idée en tête… il ne me faut pas trop tergiverser, sinon je vais me dégonfler et me débiner.
Je n’ai pas prévu d’être subtile. Dans ce contexte, je suis de nature « réservée » et “allumer” ouvertement un homme de surcroît non-libertin peut être un défi pour moi, si mon état d’excitation n’est pas maximal !!!
Cela peut vous paraitre étrange, mais en fonction des périodes et de l’excitation du moment, je peux me montrer réservée…Et pourtant c’est la vérité, surtout sans Éric.

Heureusement, il n’est pas un parfait inconnu, mais il a une sorte de “statut” intouchable.
La porte s’ouvre. Je suis la suivante. Je me lève de la chaise. Mes mains sont moites, mon cœur s’emballe.
Je sais que je vais foncer droit dans un tabou pour relever un challenge et… Diable que cela m’excite !!!
J’adore faire ma «Vilaine Fille » !!!
J’entre dans le cabinet, dépose mes affaires sur le porte-manteau.
Le médecin me demande si je me porte mieux et si j’ai pensé à amener les analyses médicales.
Son regard se pose sur ma tenue, mes jambes, mes escarpins. Je saute sur l’occasion (et non sur le médecin) pour soulever ma robe et lui montrer que je me porte mieux et surtout que je ne porte rien en-dessous.
Il devient rouge pivoine !!! Mince !!!
Aurai-je été trop franche dans ma technique d’approche ?
Il ne faut pas que je le perde, c’est maintenant ou jamais, sinon c’est sans échappatoire.
Je le sais fétichiste et je lui ordonne dans la foulée de s’agenouiller à mes pieds pour les lécher.
Il est confus, son regard se brouille, mais il s’exécute.
J’ai réfléchi à comment amener “La Chose”, mais hormis y aller frontalement, je ne vois pas comment faire autrement.
Je suis contente, car mon approche “extrêmement bourrine” fonctionne !!!
Par le passé, j’ai déjà essayé la subtilité et les allusions plus ou moins explicites en étant seule ou avec mon chéri, mais ça n’aboutit jamais à rien.
Ça reste de l’ordre du fantasme verbalisé sans passage à l’acte.
A genoux au sol et le stéthoscope autour de son cou, mon « bon docteur » est en train de lécher la semelle de mes escarpins.
Je suis incroyablement excitée par la situation.
Je prends appui sur le lit médicalisé, mes cuisses offertes sans tabou à son regard et mon pied posé à ses lèvres.
Il me demande l’autorisation d’ôter mon bas afin de lécher mes orteils.
Il retire mes nylons avec vigueur, précipitamment.

Il est comme un adolescent, fou d’excitation, et très spontané même si par moment la réalité le ratt et le stress avec !!!
Il caresse ma jambe, complimente sa douceur, et met mon pied à sa bouche.
Il lèche séparément chacun de mes orteils, du pouce au petit doigt de pied, puis entreprend de lécher la plante. Il le fait vraiment très bien.
Je suis chatouilleuse et là, rien ne me chatouille.
Son regard se porte sur mon sexe dénudé offert à son regard. Il me demande s’il peut me lécher. J’accepte.
Sa bouche alterne entre mon pied droit et mon minou humide d’excitation.
Il ne sait plus où donner de la tête. Il prend mes jambes et me soulève pour que je sois mieux allongée sur le lit médicalisé.
Il plonge son visage entre mes cuisses et me lèche la chatte avec gourmandise.
Il s’enquiert de savoir si cela me plaît : je suis aux anges !!!
Il s’arrête pour prendre de nouveau mes orteils en bouche. Un instant, un éclair de lucidité traverse mon esprit agité de plaisirs en me disant que ce n’est pas très hygiénique de me lécher le sexe et le pied, puis l’exaltation du moment et de la transgression prend le dessus !!!
On s’en fiche, on avisera si problème il y a.
Il regarde sa montre. Son prochain patient arrive dans quelques instants.
Je me lève. J’enfile mon bas et remets ma chaussure négligemment posée sur le sol. Il me dit alors :
- Je n’ai même pas eu le temps de te bouffer le cul ma petite salope.
Et là, son visage part entre mes fesses après avoir soulevé ma robe. Il me prodigue un anulingus debout en appui contre son bureau.
Puis, il est heure d’y aller. L’instant volé est fini !!!
Il a été mémorable et terriblement excitant. A peine sortie, j’ai vite envoyé une dizaine de SMS à mon petit amour Éric pour lui montrer les petites vidéos que je venais de prendre et tout lui expliquer dans le détail.
Il est en réunion, mais il ira déjeuner avant d’enchaîner sur d’autres réunions.
Je me doute qu’il pourra lire le texte à défaut de visionner mes vidéos coquines.
J’ai hâte de lui dire de vive-voix !!!
Nous arriverons à parler vers seize heures. Il est au moins autant excité que moi si ce n’est plus, en bon Mari candauliste qu’il est, cette expérience «Charming Lady» le transcende de plaisirs.
Il est au taquet et peine à se concentrer depuis qu’il a lu mes SMS !!!
Je suis méga heureuse : j’ai rendu fou d’excitation notre bon docteur Pierre, mon Mari et j’ai réussi mon défi : “visite médicale coquine et sexe avec le docteur ».
J’ai reçu un petit message de Pierre :
« Il faudrait qu’on refasse ça, je n’arrête pas de bander, cela a duré six à sept minutes en tout, mais quel pied entre deux patients ».
Je vous laisse imaginer la suite de nos futures consultations avec Pierre.
Puis après notre déménagement en cours d’année 2008, fin février 2009, Éric et moi avons rendez-vous chez un médecin spécialiste.
Cela fait la troisième fois qu’on le voit depuis début de l’année. Le corps médical est particulièrement chaud bouillant en Seine-Maritime, après ma visite médicale coquine avec Pierre…
Nous avons informé très tôt le généraliste que nous pratiquons le libertinage et il a eu connaissance du site où Éric publiait à cette période encore nos vidéos et nos photos pour pouvoir nous conseiller médicalement sur nos pratiques.
Par contre, nous n’avions pas prévu d’en parler au spécialiste. Le destin en a décidé autrement !!!

Lorsque nous avons fait la connaissance de ce médecin en janvier 2009, l’entretien a été des plus conventionnel et professionnel.
Notre déménagement nous oblige à changer de spécialiste et nous partons avec un nouveau docteur.
Quand nous nous sommes revus en juillet 2009, j’ai eu des soupçons sur le nouveau « doc ».
Son comportement m’a paru étrangement séducteur, entre gestes à la limite d’être des caresses lors de l’auscultation, comme déplacés, et des regards mutins appuyés.
Sans omettre une allusion étrange qu’il nous a glissés dans la conversation en nous disant qu’il fréquentait une plage naturiste que nous connaissons bien, réputée pour ses rencontres libertines et le «Yacht Club» à Auzebosc. Il s’agit d’un club libertin incontournable dans la région.
Nous en avons discuté avec mon chéri et un doute nous habite.
Le doute se lève mi-mars 2010 !!!
Avant d’aller au cabinet, nous nous s’interrogeons avec Éric en se disant que le spécialiste nous a semblé coquin l’autre fois.
Nous nous en amusons en se disant que si c’est le cas, ce serait marrant.
Nous attendons quelques minutes dans la salle d’attente avant qu’il nous guide à son cabinet.
Nous faisons le point sur nos bobos respectifs. Il ausculte d’abord Éric, puis vient mon tour.
Allongée sur le dos, ses mains m’auscultent puis glissent dans une forme de caresse sur ma poitrine.
Habituellement, ce genre de geste ne se produit pas. Il fait ensuite une remarque sur le petit nœud de mon string, qu’il trouve mignon.
Curieux !!! Lorsque je me retrouve à devoir baisser mon string pour l’auscultation, ses doigts s’égarent sur mes petites lèvres puis caressent délicatement mon clitoris.
Le doute n’est plus permis, il n’est pas maladroit et il n’a rien à faire à cet endroit de mon anatomie.
Je suis toute à la fois surprise, gênée, dubitative… soit c’est un gros pervers, soit c’est un coquin qui ne sait pas comment amener « la chose ».
Mon cœur bat la chamade, il faut que je lève toute ambiguïté, car il se permet des gestes déplacés.
J’y vais franchement :
- Vous pratiquez le libertinage ?
Tout sourire, le regard mutin, il me confirme être libertin :
- Oui !!! Puis, il reprend :
- Je regarde vos parutions sur ...
Il me parle de notre contribution : « les routiers » sur le site de parution de photos et de vidéos de sexe qu’Éric affectionne particulièrement.
Ok !!! Il n’a pas pu l’inventer !!! Je n’y crois pas !!! Le monde est petit.
Le « doc » me donne des détails de cette exhibe où j’enchaîne les poses coquines devant les camions et les voitures prenant la bretelle d’autoroute pour venir sur l’aire de repos.
Nous n’avions pas choisi la moins passante !!! C’était un défilé. La proximité immédiate de l’autoroute m’émoustillant et savoir que les routiers voyeurs me mataient m’ont excité particulièrement au point que j’en ai perlé de plaisir. Etre quasi nue devant les routiers avait émoustillé notre journée !!!
Donc, nous changeons de spécialiste en janvier 2009 et le nouveau docteur regarde nos parutions !!!
Différents éléments l’amènent à nous reconnaître : les voyages (Cuba, Bahamas, Afrique du sud), notre couple, la morphologie, des petites anecdotes…
Il fait des recoupements et déduit que ses nouveaux patients sont “Caro et Rick”.
Il ne sait pas comment aborder le sujet. Il faut bien avouer que c’est délicat.
Il y a toujours la crainte de faire une mauvaise interprétation et d’aller à l’encontre de problèmes.
Un point m’a tout de même gênée : il a fait fi de mon consentement et l’a pris pour acquis.
Plutôt que d’ouvrir le dialogue à un éventuel échange charnel en me demandant si nous étions inscrits sur un site de parutions pornographiques où si je tenais un blog par exemple ou en me questionnant ouvertement, il s’est permis directement de caresser mon intimité sans demander une quelconque autorisation.
Cela m’a mise mal à l’aise. Je suis toujours celle qui choisit nos partenaires et je ne me serai jamais permis de mettre la main au panier d’un homme que je souhaite convier à nos jeux libertins ou à nos expériences «Charming Lady», j’ouvre toujours le dialogue avant.
Etre libertine et exposer une sexualité libérée ne signifie être en libre-service et ne donne pas tous les droits, encore moins celui de toucher sans autorisation !!!
On doit toujours avoir le choix. Ce point me dérange encore aujourd’hui, j’ai mis cela sur le compte de la maladresse pour l’excuser.
Il ne m’ausculte plus. Il y a comme une tension dans le cabinet.
Maintenant, il me demande la permission de me caresser. C’est pour cela que je pense sincèrement qu’il s’agit d’une maladresse.
Mon stress redescend immédiatement. Je la lui donne. Ses mains s’égarent sur mon corps.
Le Doc n’est pas un gros pervers, je m’apaise et me libère en confiance.
Je lui demande si mon mari peut nous rejoindre. Il acquiesce. J’appelle Éric, qui en ouvrant la porte voit le médecin me caresser les seins.
Sa réaction : un sourire jusqu’aux oreilles, un regard étonné et un :
- Ah Ok !!! Allez-y !!! Continuez !!!
J’ai totalement basculé en mode libertine ou patiente coquine. Tout s’enchaîne à merveille et je vois que mon chéri se régale autant que nous, le Doc et moi.
Je suis très excitée par la situation impromptue. Désormais toute nue sur la table d’auscultation, il me demande la permission de me lécher.
J’accepte en me disant que je n’ai peut-être pas une très bonne hygiène intime. Nous, nous sommes levés à 6h30 et même si j’ai mis un coup de lingette un peu partout avant d’aller chez le médecin comme à chaque fois, il est bientôt 19h00 et je ne suis plus de première fraîcheur !!!
Cela ne semble gêner que moi… enfin, j’espère !!!
A un moment, je ne résiste plus et caresse son sexe à travers son jean, jusqu’à l’en extraire pour le masturber et le sucer.
Cela faisait deux mois que je ne goûtais qu’au sexe de mon Mari, notre dernière rencontre libertine remontant à début février 2010.
J’apprécie sa virilité, il n’hésite pas à me brusquer et prendre les choses en main en guidant les fellations, en maintenant ma gorge entre ses mains.
Lorsqu’il m’a dit être libertin, cela ne fait désormais plus aucun doute.
Il n’a pas la frénésie de la découverte comme lors d’une rencontre imprévue avec un non-libertin.
Il a l’assurance de celui qui connaît le milieu. De notre côté, nous osons filmer avec le téléphone portable malgré que rien n’étant programmé, nous n’avions pas pu en discuter et avoir une quelconque autorisation.
Nous n’y tenons plus. La tension sexuelle est de plus en plus palpable et je lui demande s’il souhaite me prendre.
Je pense alors demander à mon chéri de récupérer le nécessaire « Charming Lady » dans le sac à mains (préservatif et lubrifiant), mais ce coquin de Docteur a tout prévu et a clairement un coup d’avance sur nous !!!
Il sort de sa poche de jean un préservatif avec un regard malicieux. Le filou !!!
Il me demande quelle position à ma préférence, j’opte pour la levrette bien cambrée sur la table d’auscultation.
Il humecte ses doigts, qu’il glisse dans ma petite chatte et s’introduit en douceur en moi. C’est extraordinaire !!!
Mon corps frémit sous ses coups de reins. Je le sens très à l’aise dans la partie coquine, prévue pour lui et improvisée pour nous !!!
Éric savoure ce libertinage retrouvé !!! Il se masturbe en étant particulièrement excité par la situation !!!
A un moment, le Docteur et moi lui demandons de quitter la salle d’auscultation. Il se retire et nous laisse juste tous les deux, tout en continuant de filmer.
Nous changeons de position, il souhaite me voir de face et agripper mes petits seins pendant qu’il me baise. Nos regards plongent l’un dans l’autre et l’excitation est à son paroxysme.
Je suis sûre que derrière la porte, Éric écoute chaque respiration, chaque mot susurré.
Le Doc se montre d’un naturel dominant et n’hésite pas à empoigner ma gorge ou le bas de mon visage, ce qui a le don de m’exciter plus encore.
Etant voyeur de nos parutions et notamment de nos vidéos, il sait qu’il peut se permettre d’être viril.
Il glisse sa tête entre mes cuisses pour dévorer mon minou et dilater ma chatte davantage, car je suis visiblement serrée et ses va-et-vient ne semblent pas ouvrir suffisamment le passage !!!
Seul point délicat, mais néanmoins très excitant : nous ne pouvons pas faire le moindre bruit, car il peut encore y avoir des patients dans la salle d’attente et cette auscultation n’a rien de… classique !!!

Après m’avoir prise de face sur la table, il me propose de me prendre sur son bureau devant mon Mari candauliste.
C’est la partie que j’ai préféré !!! La poitrine plaquée contre la vitre, il m’a prise debout en appui contre le mobilier en demandant à Éric de mater.
Pendant qu’il me prenait sans ménagement en me mettant quelques fessées sans faire trop de bruit, il me demandait de répéter que j’étais là pour le vider…
- Oui, je suis là pour te vider !!!
Qu’il me prendrait à chaque fois qu’on viendrait en consultation…
- Oui, tu pourras me prendre à chaque consultation !!!
Que j’étais sa salope…
- Je suis une salope, je suis ta salope !!!
J’ai été à deux doigts de gicler tellement cela m’a excitée qu’il me parle ainsi. Je lui ai répété avec plaisir :
- Je suis un garage à bites bonne à vider des couilles.
Instant particulièrement hard et cérébral qu’il a ponctué d’un instant trioliste en me demandant de sucer mon petit mari pendant qu’il me baisait virilement.
Éric a alors une érection fantastique et le sentir dans ma bouche tout en lui offrant une fellation pendant que je me fais démonter, c’est torride et diablement excitant !!!
Je sens que je ne vais pas tarder à entrer en zone de surchauffe !!!
Entre le manque de pratique libertine pendant deux mois et le fait que nous n’ayons pas utilisé de lubrifiant avec le préservatif, j’ai tenu une quarantaine de minutes je pense.
Voyant un certain inconfort, je commence à chercher des positions me permettant d’aérer ma petite chatte en feu, le Doc a souhaité me jouir dessus. Il m’a demandé où je souhaitais qu’il gicle. Je lui ai proposé mes petits seins.
Le libertinage imprévu passé, nous avons repris la consultation médicale comme si de rien n’était ou presque.
Tous les trois un peu perdus, un peu paumés, encore perchés sur un nuage au Septième Ciel.
Nous avons un mal fou à rebasculer en mode “consultation classique”. Cela nous amuse avec Éric mon chéri, car nous avons continué à tutoyer le médecin après cet échange intime…
Mais le Doc a repris son sérieux et a alterné entre vouvoiement professionnel et tutoiement non-conventionnel !!!
Quand nous avons quitté le cabinet médical, nous avons trouvé amusant qu’en faisant tout pour restés sages sans libertinage depuis deux mois, le libertinage vient naturellement à nous !!!
Le monde est petit. Quoiqu’il en soit, maintenant, je suis sereine pour parler de mes petits bobos de coquineries entre le généraliste fétichiste des pieds et le spécialiste libertin accompli !!!

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