La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1174)
La Marquise esclave (suite de l'épisode précédent N°1173) -
A un moment où la vibration se fit plus puissante je relevais dun coup la tête, surprenant le regard amusé et lubrique du chauffeur de bus qui me regardait aussi souvent que possible... Je ne comprenais pas comment il pouvait être au courant de ce qui marrivait. Javais, durement, appris à ne pas laisser paraître lorsque jétais excitée ou lorsque le Maître décidait de me faire jouir en public. Tout au plus, je fermais les yeux pour contrôler au mieux ma respiration. Et peut-être pouvait-on apercevoir une crispation de ma mâchoire au moment de la jouissance. Mais japerçus une oreillette dans son oreille et je me dis quil devait être en communication avec le Château et le Maître en personne. Au même moment, je reçus un autre texto :
« Jouis en fixant ton regard sur celui du chauffeur dans son rétroviseur intérieur ! ».
Je nattendis pas pour obéir et alors que nous étions à un croisement de routes, à un stop qui semblait séterniser, je partis dans un orgasme puissant, me figeant, tout en regardant le regard denvie, et peut-être dadmiration de lhomme qui ne me quittait presque pas des yeux. Alors que bus reprit sa route, je reçus un message mordonnant darrêter de jouir. LExigence de jouir ainsi, toujours avec luf vibrant quIl pilotait à distance fut réalisée plusieurs fois durant le trajet, jusquà larrêt où je devais descendre. Et au moment où jallais quitter le bus, jentendis la voix du chauffeur :
- Mademoiselle, attendez !
Je ne descendais donc pas et je me retournais, baissant la tête, pensant me trouver devant un Dominant.
- Je suis impressionné ! Vous direz à Votre Maître quIl a de quoi être fier de vous ! Je découvre votre monde sans en faire partie car je serai peut-être tenté un jour par la soumission, et Monsieur le Marquis a bien voulu satisfaire un peu ma curiosité. Vous len remercierez pour ce beau spectacle ! Oh je vous rassure, vous navez rien laissé paraître, mais votre regard sest chargé dune telle intensité que, sachant ce qui devait arriver, jai compris !
- Je vous remercie Monsieur.
Je souris au chauffeur qui semblait rester admiratif devant ma réponse et ce quil avait vu, ou plutôt deviné, et je descendis du bus. Les vibrations dans ma chatte sétaient stoppées, au moment où celle mannonçant un nouveau message se mit en route :
« Bonne réponse Ma chienne, je suis fier de toi ! »
Je me sentais telle une vraie chienne, en train de remuer la queue de joie, avec un regard doux pour le Maître qui la dressait
Pour diverses raisons, je navais pas pu avoir le mariage dont je rêvais avec le père de mes filles. Javais gardé en tête, depuis toute jeune lidée dune robe de mariée, et ayant le droit de la choisir, alors je me mis en quête de trouver celle qui sen rapprocherait le plus, ou celle qui serait lexacte réplique de celle de mes rêves mais dans tous les cas une très belle robe, ne serait-ce que pour faire honneur aux Armoiries de la Famille des Evans, famille à laquelle jallais entrer. Je dus faire toute la liste de magasins que le Maître mavait donnés, et je commençais à désespérer de trouver la robe que je voulais, quand jentrais dans le dernier de la liste. Un magasin de Villefranche-sur-Saône très luxueux visiblement, où une hôtesse me vit asseoir dans un fauteuil recouvert de velours blanc. Javais presque honte de ma tenue si simple à côté de lélégance et du faste des lieux. Mais je nétais pas habillée nimporte comment, je létais par Celui à qui jappartenais, et donc au lieu davoir honte, je me sentais fière de porter ce qui Le satisfaisait Lui. On mapporta un classeur des différents modèles, et arrivée presque à la fin de celui-ci, je la vis enfin ! Ma robe
Un vrai coup de cur, à lévidence, elle ressemblait en tout point à ce que je rêvais de porter
Un col bateau bordé de fines dentelles et de guipure, un bustier à bretelles de cinq centimètres de large, cintré dun laçage dans le dos qui devait magnifiquement mettre en valeur la poitrine, une jupe en tulle de soie brodée fleurs et de feuilles blanches, et en mikado de soie, avec une courte mais bien présente, traine dune vingtaine de centimètres.
- Venez, je vais moccuper personnellement de Vous ! Les clients de marque nous en prenons soin.
Et il me demanda de le suivre jusque dans larrière-boutique, puis sur un ton autoritaire, ferme, il me demanda aussi de me dévêtir totalement pour quil puisse pendre mes mesures au plus près pour que la robe soit parfaitement ajustée. Il commença par les mesures classiques, largeur des épaules, tour de taille. Quand il prit celle de la poitrine, il me semblait quil la caressait plus que nécessaire, soupesant mes seins. Jusquà ce quil vienne me pincer les tétons me faisant sursauter.
- Eh bien, la chienne, ne ta-t-on pas appris à rester impassible quoi que lon te fasse ? Cela méritera une punition, petite salope !
Le ton avait changé par rapport à celui dans le magasin. Il séloigna pour attr dans un tiroir deux pinces à linge quil me plaça sur les tétons, avant de donner de petites claques dans celles-ci, les rendant encore plus mordantes.
Pour ma sanction, il prit un petit rouleau de soie, qui à sa taille devait servir pour faire des ceintures, et il mattacha les poignets à une poutre. Puis il me banda les yeux, avant de rester un certain temps immobile et silencieux, me faisant un instant douter quil soit encore là. Jétais pourtant certaine quil navait pas quitté la pièce quand je sentis une, puis plusieurs piqures. Il avait pris une aiguille à coudre fine et il samusait à me piquer à divers endroits toujours sur des parties sensibles, comme mes seins ou mes lèvres intimes, dans la chair de mes fesses, parfois lentement, parfois de manière plus rapide, par moment jamais au même endroit, à dautres il pouvait piquer une dizaine de fois au même endroit. Mon côté masochiste appréciait au début et je men trouvais fortement excitée. Mais le fait de ne pas pouvoir prévoir la prochaine piqure, le fait de ne pas pouvoir jouir de la situation, provoquait au final de la douleur, mais pas sous la pointe de laiguille, non, dans le sexe, qui gonflait de plaisirs réprimés et réclamait quon soccupe de lui. Et mes sécrétions intimes en étaient la preuve. Javais les cuisses qui en étaient maculées ! Je ne saurais dire combien de temps cette séance dura, ni combien de fois laiguille senfonça dans ma peau, mais je naurai pas été si bien éduquée, jaurai supplié pour quil me prenne, quil me baise sauvagement.
- Je navais pas prévu quil serait si tard, il faut quon se dépêche, jai un autre rendez-vous ! Je vais te détacher, tu te mettras à genoux, mains dans le dos et tu ouvrirais ta bouche de putain.
Je fis ce quil exigeait. Il ouvrit simplement sa braguette, en sortit un sexe volumineux et déjà bien bandé, quil fourra dans ma bouche sans aucun préambule. Je sentais que, ce quil voulait cétait vite en finir, alors il me baisait violement la bouche, rapidement, me maintenant la tête de ses mains puissantes derrière ma nuque. Je nétais quun trou de plaisir dans lequel il avait hâte de se vider, ce quil ne tarda pas à faire, mais pas dans ma cavité buccale. Il me fit mettre en position prosternée et éjacula abondamment sur mes fesses de longs flots saccadés de sperme.
- Attends ici, salope, que cela sèche, et tu pourras te rhabiller et partir. Je profiterai mieux de tes orifices de salope quand tu reviendras pour les essayages de ta robe.
Et il sortit. Jattendis de longues minutes, sentant ma peau qui sétirait sous sa semence. Quand je pus remettre mes affaires, je regardais rapidement lheure. Javais intérêt à me dépêcher si je ne voulais pas rater le bus qui me ramènerait au Château. Et comme une alarme sonnant lheure du départ, mon uf connecté se remit en route, rendant ma progression extérieure difficile, nayant pas eu le droit de jouir avec Monsieur Franck, et étant toujours excitée par la douleur de laiguille. Je sentais mon short qui shumidifiait fortement entre mes cuisses de chienne en chaleurs. Je ne reçus aucun message, je restais donc debout dans le bus que javais réussi à prendre in extremis, restant très difficilement impassible sous les vibrations qui ne sarrêtaient pas, qui changeaient de rythme. Ce nétait pas le même chauffeur quà laller, cétait une conductrice, une femme denviron la cinquantaine, au regard sévère. Elle me dévisagea plusieurs fois dans son rétroviseur sans madresser la parole, sauf à la fin du trajet par un au revoir laconique quand je descendis à larrêt du bus.
Quand jarrivais au Château, fatiguée par la marche et lexcitation dun désir charnel inassouvi, Walter me prévient que le Maître mattendait dans Son bureau. Dès que javais été hors de portée visuelle de passants éventuels, je métais déshabillée. Cest donc naturellement nue que je me présentais devant Lui, prosternée, Lui présentant mon cul. Sans un mot, Il sapprocha de moi, prit position derrière moi après avoir baissé son pantalon. Il enleva un uf tout baveux de ma chatte trempée, et le remplaça par Sa Noble verge qui pointait fièrement vers le ciel, gonflée à souhait. Il me baisa méthodiquement, désespérément lentement pour la petite chienne en chaleur en manque que jétais. Dès la première pénétration, jeus envie de jouir, et il me fallut toute ma volonté pour attendre lordre libérateur, qui vint après plusieurs minutes de longs va-et-vient délicieusement frustrants. Je lentendis, alors que javais senti que le rythme et Sa respiration avaient changé, annonçant une libération imminente. Il mordonna de jouir, au moment où Il se vida en moi, et quIl massenait une claque sonnante sur la fesse droite. Je partis alors dans un long et puissant orgasme dévastateur, couinant comme la chienne salope que jétais, hurlant ma jouissance, si puissante à avoir attendu si longtemps avant dêtre libérée. Sans même men apercevoir, je métais affalée au sol, et je mis quelques minutes à mapercevoir que le Maître sétait retiré et attendait debout près de moi. Quand ce fut le cas, je me remettais immédiatement en position prosternée. Il avança Son pieds vers moi, mautorisant à le Lui baiser en guise de remerciement. Puis Il saccroupit près de moi et me caressa doucement la tête comme Il laurait fait dune vraie chienne animale.
- Je suis fier de toi Ma chienne, Ma salope, à Moi ! Maintenant va te nettoyer, avant daller remplir tes corvées du soir !
Il passa une main sous mon menton et me fit me redresser à genoux, le temps dun chaud baiser, puis Il quitta la pièce. Tout en me dirigeant vers la salle deau des soumis et esclaves du Château, je songeais à quel point javais été chanceuse dêtre née à une époque où les nouvelles technologies permettaient à des gens éloignés les uns des autres de se rencontrer, et pouvaient changer toute une vie
Jétais heureuse
(A suivre
)
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