La Faute Au Facteur

- Mathias chéri, je suis bien embêtée
- Pourquoi ?
- Figure-toi que ce matin le facteur a laissé un colis dans la boite aux lettres et comme tu commande beaucoup sur internet je n’ai pas vérifié le nom et je l’ai déballé…
- Ce n’est pas pour nous ? qu’est-ce que c’est ?
- Un vibromasseur et c’est pour Maryse notre voisine, ça doit vachement ouvrir le minou un truc pareil
- Maryse ? un gode ? moi qui voulais t’en offrir un ! c’est vrai qu’elle est seule depuis un bail, avec ses deux mômes pas facile de draguer, montre le moi ? ouah vachement sophistiqué, effectivement ça vaut bien deux queues comme la mienne, tu veux l’essayer ?
- Ne soit pas bête, je suis assez embêtée pour lui rendre, comment faire ?
- Tu lui explique la vérité c’est tout ! n’attend pas pour lui apporter
- J’y vais de suite
- A ce soir chérie, je me sauve bosser

Sitôt la voiture partie, je ne peux m’empêcher de toucher ce beau sexe en silicone… plus je le palpe plus la mouille suinte dans mon vagin, j’ai lu la notice qui explique les nombreuses fonctions du clavier, comment les billes massent en tournant l’entrée du vagin, tandis que le bout ondule alternativement au fond de la grotte, et cette petite languette qui vibre sur le clito de plusieurs intensités ! Ça donne envie…

Je le mets en positions ondulatoires et vibreur modéré, il ronronne , je le passe sous ma jupe pour le glisser entre mes cuisses puis sur mon slip lequel s’enfonce entre mes limbes tellement je le force a remonter….je sursaute lorsque mon clitoris émet une décharge électrique, c’est désormais irréversible, je dois absolument jouir si je veux retrouver la sérénité

Restée debout cuisses ouvertes, mes doigts écartent ma culotte tandis que je présente l’engin entre mes lèvres qui laissent pénétrer le gland qui ondule comme une tête de cobra, je le force à entrer dans mon ventre, mes genoux se plient sous le plaisir qui monte, j’y mets carrément les deux mains afin de me ramoner rageusement le connin comme si j’étais violée par un satyre, j’éclate très vite en hurlant ma joie et tombe a genoux dans une hystérie convulsive
Une fois apaisée et lavée je nettoie et désinfecte soigneusement l’objet du délit, je referme comme je peux le carton et sonne chez Maryse, heureusement les s sont partis a l’école

- Coucou Maryse !
- Bonjour Mélanie, entre, tu veux boire un café ?
- Ce n’est pas de refus, je suis déjà vannée ! tu sais que depuis quelques jours notre vieux facteur est remplacé par un nouveau ?
- Oui je m’en suis aperçue
- Et bien … ce matin il s’est trompé
- Ah c’est toujours comme ça avec les stagiaires
- J’ai reçu ça, et par inadvertance je l’ai ouvert, en fait il t’est destiné, excuse moi
- …Aaaaahhhhhh je vois ce que ça peut être, quel imbécile ce facteur ! tu sais Mélanie il faut me comprendre
- Je ne te juge pas Maryse, ce n’est pas un drame, ça reste entre nous !
- Paul est au courent ?
- Beeeeennnnnn oui …il est contrarié pour toi, justement il parlait de m’emmener avec lui au sex-shop en choisir un
- Ah bon ??
- Oui mais rien ne vaut le naturel
- Je sais, mais lorsqu’on y est obligée …avec les s je suis bloquée a la maison et je ne me sens pas capable d’aller draguer un homme pour un besoin urgent, mais a la longue l’abstinence me pèse énormément
- Pardon, je te comprends, bon, a plus Maryse, encore mes excuses
- C’n’est pas grave, a plus Mélanie

J’ai vu qu’elle était gênée, mais ce qui est fait est fait, tout de même, ma voisine avec ça entre les cuisses ? J’ai de la peine à l’imaginer ! C’est un bel engin, bien réaliste, et très efficace, j’en sais quelque chose ! en début d’après midi, vers quatorze heures je reçois un coup de fil, c’est Maryse sa voix troublée, hésitante

- Mélanie ? aurais-tu un moment à m’accorder
- Quelque chose ne va pas ma grande ?
- Je ne peux pas en parler au téléphone …
- J’arrive

Je me précipite chez elle, j’ai un choc lorsqu’elle me reçoit en robe de chambre, ce n’est pas son habitude de trainer ainsi

- Que se passe-t-il ?? tu es malade ?
- Si ça continue oui … figure toi que mon acquisition ne marche pas
- Ah ? tu as bien mis les piles ?
- Regarde toi-même …
- Voyons ….

? je vois ! il y en a une d’inversée … et voilà ça marche, regarde comme il s’agite ! je te laisse ?
- NON … je sais qu’il marche, c’est moi qui ai inversé une pile pour te faire venir, je ne peux pas me l’enfiler, je ne mouille pas assez, tu veux bien m’aider ?
- Je n’ai jamais fais ça avec une femme mais je ne demande que ça ! où faisons-nous cette expérience ?
- Là sur le divan …
- Je parie que tu es nue sous ta robe de chambre ?
- Effectivement, je peux l’ôter ?
- Évidement ! hé bé, tu as un beau corps dit donc, dommage qu’un homme ne puisse en profiter
- Un jour peut être …
- Écarte tes jambes que je vois ta chatte …appuis toi sur le dossier et avance tes fesses…je pose le gode a portée de main
- Touche-moi Mélanie, je rêve de ça depuis des mois
- Toi et moi ? qui l’aurait cru ? …aller je me lance …. Tu devrais tailler ta toison …
- Je le ferais demain matin !
- J’écarte ta fente … c’est tout moite là-dedans ! J’enfonce deux doigts à la fois ….
- Aaaaaaaaaahhhhooouuuuuuuuiiiiiii ! Enfonce encore !
- Ça suinte déjà entre mes doigts, tu es très réceptive
- J’ai surtout très envie ….
- Ton clito pointe son nez, je le caresse ?
- S’il te plait…
- Je vais faire mieux, je vais te lécher, tien, suce mes doigts qui sortent de ta chatte !
- Tu es une petite vicieuse toi !
- Concentre toi je me lance … muuuuuuuuuummmmmm
- Oooooooohhhhhhhhhhoooooooooouuuuuuuiiiiiiiii

Finalement lécher une femme n’est pas désagréable au contraire, je fais comme j’aimerais que l’on me fasse, la mouille envahie ma bouche, à tâtons, je m’empare de la bite artificielle, j’appuie sur deux touches au hasard, l’engin se met à ronronner, en une seconde je retire ma langue et la remplace par cette queue qui tourne, vibre, ondule ! Dans un geste précis je lui enfonce d’un trait jusqu’à la garde, les lèvres bougent en tous sens, le clito effleuré par la languette s’allonge, sa mouille lubrifie le manche plus que nécessaire !

- NOOOOOOOOOOOONNNNNNOOOOOOOOOUUUUUUUUUIIIIII ! C’est trop BOOOOONNNNNNN !!
- Tiens le toi-même, dirige le sur tes muqueuses
- OUI ! OUI ! OUI ! OUI ! OUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! je joooooooouuuuuuuuiiiiiiiiiis rrrrraaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhh !!!! je meurs …….

- Avec tout ça j’ai le slip enfondu moi !
- Tu le veux ?
- Une autre fois sans hésiter ! pour l’instant je vais rejoindre mon mari qui va me sauter !
- C’est vrai, ça ne remplace pas une bonne bite de mec viril…c’est moche la vie …
- Ne sois pas triste …tu en veux un de mec ? un bon ?
- Je donnerais volontiers mon gode pour une vraie queue !
- VENDU ! tu me prête ton machin et je te prête mon mari, mais seulement une fois !
- Il ne voudra jamais te tromper
- Tu connais le proverbe ? ce que femme veux …il suffit que tu joue le jeu, et surtout ne le repousse pas
- Le repousser ? loin de moi cette idée ! je suis trop en manque



- Mathias Chéri …
- Oui Mélanie ?
- Ça fait bientôt quatorze ans que nous sommes mariés
- Hé oui le temps passe vite
- Tu m’aime toujours autant ?
- Bien sûr pourquoi cette question ?
- Tu es un bon mari fidèle et prévenant … tu ne m’as jamais trompée n’est-ce pas ?
- Jamais chérie, même si je me retourne quelquefois sur des créatures extravagantes je ne pense pas à mal
- Je sais Mathias
- Tu veux en venir où avec cette discussion ?
- Et si je te demandais de me tromper ?
- Te tromper ???
- Enfin ce ne serait pas exactement tromper puisque je serais au courant
- Et qui serait l’heureuse élue ?
- Maryse …
- MARYSE ?? notre jeune voisine ? celle du vibro ?
- Oui
- Son engin ne lui suffit plus ? je vais donc aller la voir et lui dire ‘ je viens te baiser’ ?
- Tout sera ‘arrangé’ bien sûr, elle t’attendra en petite tenue et ne refusera pas tes avances
- Tu ne seras pas présente ?
- Si mais j’arriverais après que vous ayez fait ‘connaissance’ avant de participer moi aussi au ‘festin’ !
- Je vais devoir vous baiser toutes les deux ?
- Ne serait tu plus l’amant infatigable que je connais ? !
- Bah ! je vais vous troncher jusqu'à ce que vous criiez grâce

Le soir même, comme me l’a demandé ma femme je vais sonner chez la voisine, non sans une certaine appréhension, je redoute la réaction de Mélanie, Maryse m’ouvre en robe de chambre négligemment nouée car sa poitrine est largement découverte ainsi que ses cuisses pleines

- CHÉRI !!! te voilà enfin !
- Évite de m’appeler chéri devant Mélanie tout à l’heure
- Tu as raison je vais faire gaffe, hhhhaaaaaaaa ! ça va être mieux que de baiser vite fait dans ma voiture !
- Nous allons pouvoir faire un véritable soixante neuf !
- Sort vite ta queue,
- T’as quoi là-dessous ?
- Rien, je suis nue comme au premier jour ! regarde

Évidement vous avez deviné, Maryse est ma maitresse depuis quelques temps, marre de rencontres furtives, marre des courbatures dues aux positions inadéquates dans sa petite Twingo, marre d’enfiler des capotes
Comme un affamé, je plaque la jeune femme contre la cloison du couloir en l’embrassant sauvagement, une main entre ses cuisses écartées afin de vérifier qu’elle mouille suffisamment
La salive coule de nos lèvres tandis qu’elle dirige ma verge tendue vers sa chatte détrempée, elle relève une jambe, je plie légèrement les genoux avant de remonter en force, je l’empale totalement la décollant du sol, Maryse suffoque, geint, mord ma langue, plante ses ongles dans ma chair, il faut qu’elle jouisse avant que ma femme n’arrive

- Arrête tu me fais mal ! je vais avoir des marques
- Et alors ? ta femme sait que j’ai envie de bite ! défonce ta pute de voisine !
- Et ton vibro ?
- Je vais le prêter à Mélanie !
- Avant il va te servir ! Mélanie va te l’enfoncer dans l’anus ! pendant que je serais planté dans ta chatte ! ou le contraire !
- Mon diiiiieeeuuuu !!! je jooooouuuuuiiiiiis !! viiiiiieeeennnnnnnt !!!
- Non ! ma femme va arriver, elle s’apercevrait que du foutre coule de ta chatte, allons dans ta chambre faire un gentil soixante neuf
- Tu mettras ta langue dans mon p’tit trou ?
- Si tu mets la tienne dans le mien !
- D’accord ! vient chéri !

A l’entrée de ma femme nous somment inversés, Maryse me tête gentiment le gland et moi je lui léchouille son clito

- Alors les amoureux on fait connaissance ? ça suffit, Maryse met toi en position sur le lit mon mec va t’embrocher sous mes yeux et c’est moi qui vais tenir sa bite
- Tu es vraiment sûre de vouloir ça chérie ?
- Avance entre ses cuisses Mathias, pose tes jambes sur les épaules de mon mec salope, ta connasse bave comme si tu venais de te faire enfiler
- C’est que j’ai très envie
- Et toi ? ta bite colle aux doigts, vous venez de baiser ?
- Mais non voyons que vas-tu t’imaginer ?
- Huuummm …emmanche cette salope, ensuite tu la renverseras sur le côté je vais lui élargir le cul avec son gode

Littéralement collés l’un a l’autre je tourne ma maitresse afin que ma femme ai accès à son œillet fripé, à travers la mince paroi je sens un corps étranger resserrer les deux orifices, ma queue est littéralement broyée, Maryse a beau implorer de la douceur ma femme semble se venger en manipulant de plus en plus vite ce membre factice qui tourne et vibre sur ma bite, rien de tel pour me faire jouir prématurément

- Vous m’avez bien pris pour une conne vous deux ? ça fait belle lurette que j’ai découvert votre liaison
- Mais chérie que va tu t’imaginer ?
- Ta gueule ! ce sera ton tour après

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