Adultere Réciproque ...

Par pure politesse nous avons accepté l’invitation de Charles a un barbecue en même temps que d’autres voisins, je dis par politesse car cet homme pourtant marié à une belle femme, a la réputation de sauter sur tout ce qui bouge et je ne suis pas enthousiasmé d’y accompagner Céline, mon épouse depuis sept ans, date dite fatidique, comment somment nous devenus blasés ? la routine ? nous vivons comme deux amis sans essayer de mettre du piment dans nos relations qu’elles soient sexuelles ou de diverses activités
Relations sexuelles ? Céline n’attache plus d’importance à se maquiller le matin ou à mettre en valeur ses formes pourtant harmonieuses, nos rapports charnels se limitent aux samedis après-midi où elle va mécaniquement s’allonger toute habillée sur le lit, les bras au-dessus de sa tête, totalement indifférente, me laissant le soin de remonter sa jupe ou sa robe, d’écarter un slip anti érotique, genre petit bateau afin que je puisse faire glisser ma verge dans son vagin absent de sécrétions intimes, donc de désir, le tout prend environ quinze minutes ensuite chacun vaque à ses occupations pour la semaine, je suis obligé de me masturber en solitaire, quelquefois plusieurs fois par jours, afin de faire tomber la pression qui m’empêche de me concentrer sur mon travail
Ce soir elle a pourtant fait un effort remettant une jupette vielle de sept ans qu’elle mettait lorsque je l’ai connue, qui mettait en ébullition ma queue et moi, coiffée, maquillée, parfumée, je suis quasiment sûr que le soutien-gorge est absent ,j’ai presqu’envie de lui faire la cour, hélas elle semble m’ignorer, un verre à la main elle reste collée à Charles qui s’affaire au barbecue disposé en recul de la table, déçu je me suis réfugié dans l’alcool tout en surveillant leurs faits et gestes car j’ai l’impression que des mains se baladent au-delà où la bienséance est admise, Céline glousse de plus en plus niaisement aux réflexions sans doute salaces du mâle en chasse
Je me sens impuissant face à ce couple qui parait déterminé à passer a ‘l’action’ a un moment propice, assis sur le banc, je me voile pensivement la face de mes mains quand je sens une présence à mon coté
- Inutile de vous lamenter Yannis, s’ils ont décidés de coucher ensemble vous n’y pouvez rien
- Amandine ? vous aussi vous êtes aperçue de leur manège ?
- Je crois que Charles s’est tapé toutes les nanas de ce quartier, mariées ou non
- Et ça vous laisse indifférente ?
- En apparence, mais en réalité je me venge a chaque fois
- De quelle façon ?
- En couchant avec le conjoint cocu pardi !
- Et ça marche ?
- Vous ne me trouvez pas baisable ?
- Vous êtes certes très désirable Amandine, jamais je n’oserais avoir des pensées désobligeantes à votre égard
- C’est pour cela que votre couple bat de l’aile, vous n’êtes pas assez ‘aventurier ’
- Vous croyez ?
- Assez de paroles, passe donc plutôt une main discrètement entre nous deux et de là entre mes genoux, tu vas avoir une agréable surprise
Acculé, je ne peux qu’obéir ou détaler à la maison me morfondre sur mon triste sort et mon cocufiage imminent, les cuisses sont séparées, ma main progresse lentement là où la peau est brulante et soyeuse, son genou se colle sur le mien sa hanche adhère à la mienne, elle tressaille lorsque mes doigts atteignent la toison réduite au minimum, dépourvue de protection ‘réglementaire’, très vite je décolle les lèvres rebondies, nouveau frisson lorsqu’un bout de doigt débusque son clitoris avant de plonger dans l’antre débordant de lave, ses ongles longs manucurés se plantent dans ma cuisse avant que sa main cherche la bosse de ma braguette et s’y agrippe nerveusement
- Enfonce-toi très profond … tu bande dur ….

- Tu es très mouillée …
Je masturbe énergiquement la femme qui serre les cuisses sur mon bras, si elle continue de me secouer le membre elle va me faire éjaculer dans mon boxer, soudain elle semble avoir atteint le point de non-retour, alors elle se dégage énergiquement et se lève
- Je suis à point, rejoint moi dans une minute derrière le garage
La femme se lève et disparait, la mienne ricane toujours avec le playboy cloué sur place avec la cuisson des côtelettes mais pour combien de temps ? je m’éclipse à mon tour discrètement, désormais impatient de baiser mon impétueuse voisine, elle est là dans la pénombre, adossée au mur sur lequel je vais la crucifier, arrivé devant elle ma queue est déjà sortie, elle écarte les pieds en relevant sa robe courte jusqu’à la taille, son ventre blanc dénudé contraste avec la pénombre, sous la petite tache pubienne brune se trouve la chatte convoitée, j’y plonge à nouveau mes doigts tandis qu’elle décalotte ma bite
- Baise-moi vite …
- Notre première union aurait mérité une couche confortable
- C’est ce qui fait les souvenirs impérissables de l’adultère, prend moi ainsi … pousse je te guide en moi … hhhhaaaaaaaaaaaaooooouuuuuuuuuiiiiiiiii
- T’es une belle et bonne salope, j’aime ta moule pulpeuse
De mes deux mains plaquées sur ses fesses nues je l’attire à moi aussi fort que je peux, si je pouvais entrer les couilles je le ferais volontiers! Elle me fait un collier de ses bras enfouissant son visage dans mon cou pour ses cris de plaisir, je tape et retape nerveusement dans ce con interdit, accélérant le mouvement lorsque je sens la sauce monter, elle éclate puissamment dans son vagin qui se contracte à intervalles réguliers, preuve de sa jouissance passée quasiment inaperçue de façon audible, ma queue se rétracte lentement jusqu’à évacuer du vagin enflé par le désir et suintant nos jus respectifs, un coup de mouchoir sur mon nœud avant de le rentrer dans son refuge étroit et remettre de l’ordre dans ma tenue et rejoindre le groupe
- Tu pars déjà ? tu ne te soucie pas de savoir si j’ai pris mon pied ?
- C’est évident, je reviens parmi les invités avant que l’on ne s’aperçoive de notre absence
- Goujat ! et si j’avais encore envie d’un coup de queue ?
Quelle étrange nana …où ais-je mis les pieds ? merde … Céline est revenue à notre place et me cherche désespérément du regard
- Hhhaaaaaaaaaa, te voilà enfin Yannis ? ça fait cinq minutes que je te cherche
- Et moi ça fait une demi-heure que j’espère te voir revenir à table avec moi
- Quel guignol ce Charles ! je ne sais pas ce que les femmes lui trouvent, il est ignoble !
- Ah bon ? mais ?…
- Mais quoi chéri ?
- J’étais persuadé que tu allais finir par coucher avec lui ce soir
- Tu divague ? ! tu sais bien que je te serais toujours fidèle Yannis
- On ne le dirait pas
- Ma conversation avec Charles a été édifiante, ça m’a ouvert les yeux sur nous et notre comportement, je t’aime et j’ai très envie de toi dès maintenant
- Maintenant ?
- Touche moi le minou tu vas te rendre compte que je ne mens pas
- Ici ?
- Pourquoi pas ? il me semble que toi et amandine étiez très proches, tu pouvais aisément la caresser sans que personne ne le voie
- Tu es folle ?
- Serre-toi sur moi et passe-moi ta main au panier, je mouille comme une fontaine
De nouveau acculé j’obtempère, je trouve un mini string qui remplace avantageusement le vieux slip immonde auquel je suis habitué, le fond étroit est coincé entre les lèvres lissent arrosées de mouille gluante, le résultat de la conversation avec Charles ?
- Pas de doutes, tu as très envie d’être prise
- Qu’attends-tu ? je suis chaude !
- Tu veux que nous rentrions à la maison ?
- Pas question ! je vais me refroidir ! trouve vite un coin pour me sauter comme une chienne !
- Vient avec moi ….
Coincé par ses propos je l’entraine vers le mur du garage qui vient d’abriter mon adultère, nous croisons amandine qui revient sans doute de faire une toilette sommaire et me fusille du regard sans s’arrêter
- T’as vu ses yeux chéri ? que lui as-tu fait ?
- Rien, allons par ici, adosse toi là … je te préviens ça va être rudimentaire, écarte les jambes
- Ôte ma culotte chéri, j’en ai marre que tu me prennes sommairement en l’écartant simplement
- J’allais le faire ….
- Regarde ! nous ne somment pas les seuls à venir tirer un coup ici, l’herbe parait fraichement foulée et il y a même un mouchoir englué !
- Baaaahhh … att plutôt ma queue et guide là en toi, je te tiens par les fesses
- C’est bizarre, pourquoi ta verge colle à mes doigts ?
- Je transpire sans doute de la bite …
- Si tu le dit …baise moi à la dure chéri, fait moi péter la connasse
Céline n’as pas été dupe, ma queue est encore recouverte de jus mêlés mais pour ne pas gâcher l’instant n’approfondit pas la chose, sidéré je savoure un plaisir jusque-là inconnu lorsque mon membre s’enfonce dans ce fourreau pourtant familier, nous restons un instant immobile afin que nos sexes fassent connaissance en jouant des muscles
- Comme je sens bien ta queue chéri, ça me fais un bien fou
- Ça change du p’tit coup tiré vite fait sur le lit, rien ne vaut le changement de lieu et de tactique, j’ai l’impression de faire l’amour a une inconnue …
- Me ferais tu cocue ?
- Heeeeeeu bien sûr que non voyons, c’était une image !
- Tape dans mon con au lieu de divaguer
- Je vais te démonter la chatte
- Tu as l’air d’avoir la forme ce soir, tu tiens longtemps
- C’est sans doute le risque d’être surpris par le voisin qui m’excite
- Ou alors le fait que c’est la deuxième fois que tu décharge ce soir ?
- Que vas-tu chercher chérie ?
- Stop ! arrête de me limer le vagin, faut qu’on parle
- Mais enfin chérie que te prend-il … ?
- Charles m’a mise en garde au sujet de sa femme, il parait qu’elle ne peut se passer de coucher avec les maris de ses voisines
- Ah bon ? laisse-moi deviner … et lui pour venger la femme devenue cocue il là saute ?
- Tu as tout compris … Charles ? vous pouvez approcher, mon mari va vous céder sa place !