Un Médecin Particulier
« Putain, jy crois pas, tu peux me répéter ça? »
« Oui
jai entretenu une correspondance par mail avec une dominatrice, qui ma promis monts et merveilles et qui a réussi à me faire acheter une ceinture de chasteté. Je lai mise et je lui ai envoyé la clé. Depuis plus de nouvelles
»
J étais consterné. Javais fait comme mavait demandé Sarah. Mais depuis lenvoi de la clé et mon aveu de devenir son esclave, elle ne mavait plus donné signe de vie. Jai dabord cru à un nouveau jeu de sa part
un jour, deux jours
une semaine
Mais aujourdhui, je commence à ressentir une gêne au sexe. Il gonfle de plus en plus dexcitation, au moindre geste, au moindre frottement, dès que japerçois de jolies jambes galbées par des collants.
« Mais tu es complètement fou, Osoave !
Julie était sidérée. Médecin de 32 ans, brune à la peau matte, 1m75, yeux bleus au iris incandescents derrière ses lunettes, beau seins postés bien hauts, de longues et fines jambes et un superbe cul. Ma meilleure amie. Mon seul refuge dans ses circonstances particulières.
« Tu comprends que je ne pouvais pas me pointer comme ça aux urgences. Jai trop honte
»
« Et avec moi tu nas pas honte? Je ne savais pas que tu étais capable de bêtises pareilles
Tu ne men as jamais parlé
Donc ton truc, cest dêtre soumis? Putain, je comprends mieux nos jeux quand on était gamins
tu me demandais de te fouetter, tu te souviens? »
« Ça doit venir de loin oui
javoue que jai de drôles de penchants. Cest bizarre, mais je narrive pas à lutter contre. Je succombe. »
Nous avons toujours été très proches, Julie est une amie denfance. Suite à ses brillantes études de médecine, elle sétait installée dans notre ville natale. Accaparée par son métier, elle était encore en recherche de lâme soeur.
« Cest une situation très inconfortable pour moi, tu sais
» me dit-elle, plongeant ses yeux dans les miens.
« Je suis désolé.
« Tu te rends compte que mon regard sur toi va changer? Je vais te voir comme un bon petit toutou, un bon petit soumis, pour le restant de nos vies
et là, tu me demandes de te délivrer? Il va falloir te mettre à poil devant moi, je vais voir ta bite, la toucher, la jauger
Merde Osoave, on est amis, mais quand même
»
« Tu es la seule en qui jai confiance. Avec toi, je sais que mon accident ne sébruitera pas. Sil te plaît
»
Elle hésite. Il est tard, à son cabinet. Je lui ai demandé de me prendre en dernier rendez-vous pour avoir le temps de tout lui expliquer.
« Tu ne correspondais que par mail? Elle te donnait des ordres à distance et tu les exécutais? Sans photos, sans vidéos, sans contact? Cest cérébral ton truc, tu sais
je sais pas si beaucoup de filles aiment ça
»
« Jadore écrire mes fantasmes, mes frustrations, et attendre un mail comme ça, ça me rendait fou dexcitation. En plus, Sarah écrivait super bien. »
« Oui tellement bien quelle ne te répond plus..tu tes bien fait balader
»
Elle se retire au fond de son fauteuil. Elle sécarte de moi et me regarde. Le haut de sa blouse blanche sécarte et me laisse apercevoir une plongée de son décolleté. Elle a de ces seins
Elle me jauge, jai limpression quelle réfléchit.
« Allez, déshabille-toi, on va voir comment tenlever ça. »
Je me lève. Je la regarde et jhésite. Elle a raison, elle va me voir dune autre manière désormais. Nos rapports vont changer. Je réfléchis quelques instants.
« Déshabille-toi Osoave. Si tu restes comme ça, je ne peux rien faire. »
Je me décide. Jenlève ma chemise et je dévoile mon torse : Mes aisselles et mon corps sont glabres, je suis plutôt musclé. Jai limpression que Julie se délecte du spectacle. Ensuite au tour du pantalon. Je suis en boxer. Ma cage de chasteté fait une bosse. Julie se lève du bureau et sapproche.
« Enlève ton boxer et installe-toi sur la table dexamen.
Me voilà nu, à lexception de cette maudite cage. Elle est en plastique. En silicone plus exactement. Cest un fourreau dans lequel jai inséré ma queue. Le fourreau est percé à son extrémité pour me permettre duriner. En revanche, il mempêche complètement de bander. Mes couilles sont également maintenues fermement par un épais élastique. Le tout est verrouillé par un cadenas. Je suis prisonnier.
Je mallonge. Julie est là, désormais proche de moi.
« Tu es vraiment vicieux Osaove. Un vrai pervers. Tu permets que jexamine? »
Elle se penche vers mon sexe et regarde attentivement. Mon sexe gonfle dans sa cage. Je sens même le souffle de Julie sur mes couilles rasées.
« Je vois que tu tentretiens, il ny a pas un poil. » me dit-elle.
Soudain elle att mes couilles par la main et les presse terriblement fort. Je me rétracte de douleur.
« On fait moins le malin ? » elle me fait un grand sourire et continue à maintenir une pression sur mes testicules.
« Tu sais quoi Osoave? Je mennuie toute seule. Ça fait longtemps que je nai plus baiser avec tout ce travail au cabinet
Je vais mamuser un peu avec toi. Daccord? »
Elle appuie encore plus fort. Elle enserre mes couilles entre ses doigts et les écarte du reste de mon corps
« Daccord? Appelle-moi Docteur maintenant. »
« Oui docteur » Je suis obligé de dire oui. Jai trop mal. Mais ça mexcite comme un chien.
« Ne tinquiète pas, pour te libérer ce sera très facile. Un coup de ciseaux chirurgicaux et je fais sauter ce silicone. Mais avant, je vais te faire souffrir. Je vais tavouer un truc : quand on était petits, tu te souviens nos jeux innocents? Enfin innocents, tu me demandais de tattacher et de te fouetter
Cest resté dans ma tête, toutes ces années. Ça mexcite. Tu veux que je te dise : je suis en train de mouiller. Jai tes couilles dans ma main. Je mouille. Mais rappelle-toi : cest toi qui est venu au cabinet ce soir.
« Oui Julie »
De sa main libre, elle me gifle les couilles.
« Oui Docteur »
Je ne sais plus vraiment quoi dire. Je pensais être libéré ce soir. Et me voici en plein coeur de mes fantasmes. Ma meilleure amie, la femme la plus proche de mes envies, de mes désirs, de mes fantasmes, elle pourtant avec qui je navais jamais partagé le côté sombre de mes envies, ma meilleure amie leur donne vie ce soir. Je ne sais pas vraiment ce quelle a derrière la tête, jusquoù ça va aller. Je vais vivre ce moment. Je nai pas le choix de toutes façons. Sans jeu de mots, elle me tient par les couilles.
« Descends de la table et mets-toi à genoux. »
Je mexécute.
« Mets tes mains derrière ton dos. »
Je la regarde den bas. Elle me paraît immense : Tout en me fixant, elle se met à déboutonner sa blouse, lentement, bouton par bouton. Elle baisse son pantalon et me dévoile une culotte en dentelle noire, très mais alors très sexy.
« Ton docteur te plaît? Tu vas le goûter ton docteur, Osoave »
Elle enlève sa culotte et me dévoile sa chatte, poilue mais pas trop, juste quelques poils pour me révéler quelle est une vraie femme, sensuelle et fière delle-même.
Ma queue va exploser. Je bande comme un fou mais je suis toujours contraint. Mes couilles me font mal. Je nai pas joui depuis de jours. Jai envie dexploser. Et Julie ne fait rien pour calmer les choses. Elle se tourne et me dévoile son cul. Magnifique.
Bien sûr, je le connais. Je lai déjà vu bien des fois, à la piscine, en vacances. Mais jamais de si près. Elle écarte ses fesses avec ses deux mains et me montre en gros plan ses lèvres et son petit trou.
« Lèche-moi. Le cul. Pas la chatte. Juste mon trou du cul. »
Mains derrière le dos, bite encagée, japproche mon visage de sa raie. Je sors ma langue et commence à lécher son trou. Lodeur est trouble, chaude et humide. Jaime ça. Julie me ravale plus bas que terre.
« Ne tavise pas de descendre plus bas. Tu ne mérites pas ma chatte. »
Je vois quelle se caresse le clitoris. Mais elle ne laisse rien paraître dun éventuel émoi. Ni gémissements, ni soubresauts. Elle se se contrôle parfaitement.
Au bout de deux ou trois minutes, elle se retourne.
« Allonge-toi par terre. Je vois que cette petite entrée en matière ta plu. On continue. »
Je mallonge sur le froid carrelage. Je ne dis plus un mot. Je suis hypnotisé. Elle soulève sa jambe et appuie avec sa semelle sur mes couilles, dabord légèrement, puis elle prend de lassurance et pèse peu à peu plus fort, balançant son poids et mécrasant de plus en plus.
« Jai toujours rêvé de faire ça. Mets tes mains en dessous de ton dos. Je veux que tu sois complètement impuissant. Putain, jécrase tes couilles Osoave, je kiffe
»
Elle soulève son pied, me soulageant un instant, puis revient dessus, comme pour mécraser un peu plus.
« Dis-moi que ça te plaît Osoave. »
« Jaime ça Docteur. »
« Répète : Jaime quand vous mécrasez les couilles Docteur. »
« Jaime quand vous mécraser les couilles Docteur. »
Elle fait comme si elle écrasait un mégot avec une pression difficilement supportable. Jai mal. Mais je la laisse faire. Jai peur de lui déplaire.
Son petit jeu dure une dizaine de minutes. Cest très long. Elle finit par se lasser.
« On va changer de jeu. Ne bouge pas. »
Elle change de place et place chacun de ses pieds de part et dautre de ma tête. Jai une vue magnifique, par en dessous, de sa chatte.
« Tu ne lavais jamais vue comme ça, hein? Tu tes déjà branlé en pensant à moi? »
Je ne réponds pas, jhésite à lui dire la vérité. Elle saccroupit. Sa chatte est juste au-dessus de mon nez.
« Réponds-moi » me dit-elle en pose ses deux mains sur mon torse et sur mes tétons. Elle les serre et les pince.
« Réponds! » crie-t-elle, en serrant dautant plus fort et tordant mes tendres bouts de peau si sensibles.
« Oui oui oui, plein de fois. »
« Allez, lèche ma chatte. »
Elle se pose sur mon visage. Ses mains ne me relâchent pas. Je la lèche. Elle est humide. Elle est mouillée. Elle a une odeur acre et sucrée. Elle fait de petits va-et- vient sur ma figure, mempêchant de respirer par moment. Je la lèche du mieux que je peux. Jexplore ses lèvres, mimmisce au plus profond de sa chair rose, et je tente de saisir son clitoris, pour lui donner le maximum de plaisir. Elle commence à gémir.
Au bout dune dizaine de minutes, je la sens chaude comme la braise. Elle arrête. Elle se relève. Ses joues sont roses.
« Merci Osoave. Mais tu ne mérites pas de me faire jouir. Remets-toi sur la table dexamen. »
Je mexécute. Elle, de son côté, enlève complètement sa blouse, son haut et son soutien-gorge, me révélant ses deux seins fantastiques, fermes et rebondis, tétons pointants. Elle est à poil elle aussi.
« Je suis mieux comme ça. Tu mas donné chaud. On va tinstaller Osoave. Attends deux secondes. »
Elle récupère un coussin sous la table.
« Ce sont les coussins de soutien. Tu vas le mettre sous ton ventre. Tu vas te mettre sur le ventre. »
Je fais ce quelle me dit. Coussin sous moi, installé sur le ventre, jai limpression doffrir mon cul.
« Ecarte les jambes. »
Elle ouvre un tiroir et sort, une par une, quatre lanières élastiques.
« Ne bouge pas. »
Elle prend mon pied gauche, passe la lanière au dessus de ma cheville et fais un noeud.
« Tu fais quoi Julie? »
Elle me donne une grande claque sur le cul.
« Docteur? »
« Je tattache Osoave, tout simplement. »
Effectivement, dun autre noeud, mon pied est lié à la table. Elle fait la même chose avec mon autre pied.
« Lève les bras et écarte-les »
Me voici complètement attaché à la table. Chaque pied, chaque bras. Je narrive plus à bouger. Julie a bien fait les choses.
« Tu aimais être attaché. Ça te plaît toujours? »
Elle magrippe les fesses et les écarte.
« Tu as un joli petit trou
»
Elle regarde à gauche, à droite, autour de nous. Elle cherche quelque chose.
« Voilà qui fera laffaire. » Elle prend un flacon, louvre et en verse dans la paume de sa main.
« Cest un produit qui sert pour faire des échographies. Mais pour toi ce sera du lubrifiant. »
Elle en a plein les mains. Elle récupère mes couilles et commence à me les masser, doucement. Elle passe ses doigts dessus, elle les malaxe, et se concentre uniquement dessus. Comme un massage, doux, sensuel, humide, concentré uniquement sur cette partie de mon corps. Elle prend son temps, elle samuse. Ma bite est folle, je sens des soubresauts la traverser : ce massage me rend complètement dingue. Je nai plus quune envie, jouir. Je ne peux pas. Une simple caresse sur ma queue me ferait exploser. Mais ce nest pas le cas. Toujours cette maudite cage qui mempêche de ressentir tout contact.
Au bout de dix minutes de ce massage, auquel Julie a appliqué tout un art de vice et de délicatesse, elle me dit :
« Je pense que tu as assez souffert. Je vais te libérer. »
« Merci Julie » expirai-je.
« Mauvaise réponse » me répond-elle.
Ses mains quittent mes couilles. Elle enfile des gants, très fins, en latex, et écarte ma raie.
Dun doigt suintant de lubrifiant, Julie me pénètre le cul. Elle enfonce son index, lentement, laissant chaque phalange memplir au plus profond.
« Je vais te faire connaître la félicité Osoave. Jai appris ça à linternat. Tu vas voir, tu men diras des nouvelles. »
Elle fait des va-et-vient avec son doigt dans mon cul. Je suis sans défense. Jai un peu mal au début, mais au fur et à mesure quelle me fouille, un plaisir curieux monte en moi. Je sens son doigt appuyer sur un point précis qui me provoque des sensations.
Et puis elle sarrête dun coup.
« Jai oublié quelque chose. »
Elle prend une serviette et me lenfonce dans la bouche.
« Voilà, cest mieux. »
Elle se penche à nouveau sur mon postérieur et y introduit un doigt, puis un second. Cest difficile daccepter ça. Je suis complètement soumis à Julie. Jai honte, mais cest trop bon.
Elle continue son jeu de va-et-vient, un doigt, deux doigts, des pressions plus ou moins fortes, les doigts tantôt dépliés, tantôt repliés. Les minutes défilent et je sens le plaisir monter. Un plaisir fou, des micro-contractions. Je mabandonne complètement et soudain, je tremble de la tête au pied. Orgasme. Orgasme de dingue. Julie ma fait jouir comme jamais, sans même me toucher la queue. Jéjacule à travers ma cage comme un dingue. Je souille sa table dexamen.
Elle le sent, elle le voit, elle sourit.
« Voilà Osoave. Jespère que ça ta plu
»
Elle me détache.
« Tu nas pas fini. Tu vas nettoyer tes saletés. Avec ta langue. »
Je me trouve confus et désorienté.
« A quatre pattes. Sur la table ! Tu lèches ton sperme maintenant. Quil nen reste plus une goutte ! »
Je suis son ordre, bien sûr. Même si ça me dégoûte un peu.
Une fois ma corvée fini, elle mordonne de masseoir. Elle va chercher une paire de ciseaux et entreprend de découper ma cage. Elle y arrive facilement et dégage ma queue.
« Elle est belle » me dit-elle en passant sa main dessus.
« Dommage que tu ne me laies jamais montrée » continue-t-elle avec un grand sourire.
Pendant ce temps, elle va sasseoir dans son fauteuil. Elle écarte les jambes et commence à se caresser, doucement, en me regardant.
Je massieds également. Je ne bouge plus, la queue pantelante et je la regarde. Une minute, deux minutes
Elle pousse de petits gémissements.
« Viens Osoave. Viens près de moi, à quatre pattes. Viens entre mes jambes. »
Je mexécute.
« Approche ton visage de ma chatte. Ne la touche pas. Branle-toi. »
Je sens ma queue raidir à nouveau.
« Tu sens mon odeur. Respire ma chatte. Branle-toi fort. » me dit-elle en accentuant ses mouvements. Elle met un doigt, puis deux, dans son sexe mouillé. Elle se touche. Je vois quelle a envie de jouir.
« Allez, lèche-moi et fais-moi jouir. Fais-toi jouir aussi. »
Je la lèche avec application tout en mastiquant. Soudain, je sens ces jambes se mettre à trembler. De petits tremblements, accompagné dun serrement de ses longues cuisses sur ma tête. Elle a joui.
« Hmmmm
.cest trop bon. A toi. Lève-toi. »
Je suis debout, à côté delle. Elle saisit ma queue dune main, mes couilles de lautre. Elle serre et me branle avec vigueur. Je bande.
« Mets tes mains derrière ton dos. »
Je suis très vite au bord de lorgasme, son rythme de va-et-vient ne me laissant aucun répit.
« Tu as envie de jouir? »
« Oh oui Julie. »
« Allez, fais-toi plaisir. Sur mes seins. »
Elle se redresse dun coup et me présente sa poitrine, juste au-dessous de ma bite.
La vue me fait immédiatement éjaculer. Jinonde ses seins de mon liquide, blanc et chaud.
Elle sourit. Elle le prend dans ses doigts.
« A genou maintenant. Tu es content? Ouvre la bouche. »
Elle me fourre ses doigts, pleins de mon sperme, dans ma bouche.
« Allez avale-toi Osoave, nous en avons fini. »
Une fois ses seins propres, elle menvoie me rhabiller.
« Jespère que cette séance ta plu. »
« Cétait génial. Je ne mattendais pas à ça. »
« Moi non plus. Je me suis déchaînée. »
Nous nous rhabillons et notre vie normale refait surface. Chacun reprend contenance.
« Tu penses quon pourrait recommencer? » hasardais-je.
« Je ne sais pas. Cest quand même bizarre de faire ça tous les deux. Mais pour toi, cest quand même mieux que des filles inconnues sur internet, non? »
« Oui, cest vrai
quand jy pense
»
« Comme tu le sais, je nai pas le temps et pas lenvie dune relation. Mon métier me prend trop de temps. Mais maintenant que je connais tes petits secrets, voilà ce quon va faire. Je vais te guider. Je vais prendre le contrôle de ta vie sexuelle. Par texto ou par mail, comme tu veux, mais tous les matins, je te donnerai des ordres, des instructions, que tu devras suivre. Cest impératif. Si je te dis de jouir, tu jouis, de la manière et à lendroit où je te lordonne. Si je te fais tabstenir, tu obéis sans discuter ! Et si je te demande de faire quelque chose, qui me passe par la tête, hé bien
tu le fais. Et rendez-vous tous les vendredis soirs ici
»
« Je ne sais pas quoi te dire »
« Ne dis rien. Tais-toi Obéis. »
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