Une Merveilleuse Charmeuse - La Suite, Dans La Chambre De Lydia
Une fois de plus, Maxime accepta la douce injonction de Lydia. Quelle belle soirée ! Il se sentait plané comme sur un petit nuage. Il sortit de la salle de bain et voulut dabord se ruer dans le grand lit de Lydia. Il pensait pouvoir lattendre bien au chaud sous la couette et la voir arriver telle une déesse créée pour le plaisir.
Ce nétait pas une vision si éloignée de la réalité, mais ce qui décontenança un peu Maxime est que la belle charmeuse ne lui avait pas indiqué où il devait lattendre exactement. Mine de rien, il avait toujours besoin dêtre guidé. Lorsquil se retrouva seul face à ce grand lit parfaitement fait, il se sentit tout à coup à nouveau assailli de doutes. Fallait-il quil lattende allongé sur le lit ? Pouvait-il se permettre de se glisser sous les draps ? Maxime ne savait plus où se mettre.
Lydia lui avait pourtant bien signifié de lattendre dans la chambre. Un peu gêné Maxime sassit sur le lit, commença à regarder autour de lui, contemplant la décoration quil trouvait tout à fait charmante. Le lit en particulier était très original. Il nen avait jamais vu de tel. Ambiance romantique assurée avec ce grand lit à baldaquin de style baroque dont la structure était recouverte de beaux voilages blancs. A la vue des barreaux du lit, Maxime imaginait déjà laction de leurs futurs ébats, ce qui lui produisait un début dérection.
Puis son regard fut attiré vers la table de chevet. Un beau petit meuble en bois disposant dun tiroir. Imaginant pouvoir y trouver un journal intime, Maxime fut alors prit par lenvie subite den savoir plus sur Lydia. Il faut dire quelle était encore bien mystérieuse et il était désireux de connaître ses secrets. Prenant soin de vérifier si elle avait bien fermé la porte de la salle de bain, il alla sur la pointe des pieds jusquà la petite table et en ouvrit très délicatement le tiroir.
Maxime avait pourtant bien conscience de prendre là un énorme risque.
Il y avait là sous ses yeux ébahis tout un attirail daccessoires destinés à des jeux érotiques divers et variés : une collection de préservatifs, mais aussi de sex-toys, un mignon petit canard vibrant et différents types de vibromasseurs dont Maxime ne connaît pas trop lutilité, mais qui servent visiblement à Lydia à sadonner aux plaisirs solitaires. Il y avait aussi une paire de menottes en fourrure rose, un bandeau pour les yeux, un petit fouet et un plug anal.
A ce moment-là, Maxime se dit que Lydia ne devait pas avoir beaucoup de tabou en matière de sexe. Cela lenthousiasmait. Il était certain quil allait passer une nuit inoubliable. En même temps, cela lapeurait aussi un peu. Il était en train de se demander si elle nétait du genre sado-maso. Auquel cas, il ne se sentait pas tout à fait prêt à assurer. Ce nétait pas son délire, ni sa vision de la sexualité. Craignant de plus en plus que Lydia le découvre en train de fouiner, il se hâta de refermer le tiroir et alla sinstaller sur le lit, sautorisant cette fois à sallonger sur le pardessus, le dos bien calé contre les oreillers.
Lydia finit par sortir de la salle de bain. Comme promis, elle était resplendissante. Ses longs cheveux étaient parfaitement lissés et son visage subtilement maquillé dun simple rouge à lèvres et dun léger mascara autour des ses beaux yeux verts. Parée dun magnifique peignoir en satin blanc, décoré de dentelle sur les épaules et les poignets, elle était comme toujours élégante et sexy.
Elle monta sur le lit, sapprocha de Maxime qui ressentait à ce moment une multitude démotions des plus déstabilisantes.
Une fois encore, Lydia ressentit son malaise et vint le rassurer. Elle lui demanda :
- Quas-tu fait en mattendant mon chéri ?
- Oh rien de spécial.
- Je nai pas été trop longue ?
- Je tavoue que je me languissais de toi.
Lydia sapprocha encore un peu plus de Maxime, vint poser sur sa joue de doux petits baisers tout en continuant à lui parler avec douceur :
- Humm
et bien me voilà
jespère que tu as encore des forces.
- Oui, bien-sûr.
- Dis-moi
comment feras-tu pour me satisfaire ?
- Cest difficile à dire. Je nai pas un plan daction en tête. Cela vient naturellement ces choses là.
Maxime ne pouvait pas sempêcher de repenser à sa découverte dans le tiroir. Ce petit interrogatoire le mettait un peu mal à laise, mais il comprit rapidement quil faisait fausse route et que le désir de Lydia était tout autre. Elle navait pas lintention dutiliser les jouets érotiques. Du moins pour le moment.
Alors quelle continuait à lembrasser partout sur le visage, Lydia posa une main sur son genou, lui écarta un peu les jambes et lui caressa doucement la cuisse, ce qui le chatouilla légèrement. Elle reprit le fil de la conversation dun ton des plus raffiné :
- En tous cas mon chéri, sache que jai adoré ce que tu mas fait sous la douche. Je ressens encore leffet tes gros doigts dans ma petite chatte en feu.
- Humm oui
moi jai aussi adoré
cétait trop bon.
- Maintenant tu sais ce que jaimerais ?
- Non, dis-moi ?
- Jaimerai que tu me montres ce que tu es capable de faire avec ta langue. Tu es daccord mon chéri ?
- Oui bien-sûr ma belle, je ferai tout ce que tu voudras pour te donner du plaisir. Allonge-toi. Je vais moccuper de toi.
Pour une fois, cest Lydia qui obéit aux directives de Maxime.
- Humm
tu commences bien mon chéri
très bonne initiative.
Maxime couvrit de doux baisers tout le corps de Lydia. Avec sa bouche, il sattardait absolument partout comme sil voulait conquérir chaque partie de son anatomie. Il embrassa son ventre, puis ses hanches, remonta doucement vers ses seins, samusa à passer de lun à lautre, jouant avec sa langue avec ses deux tétons devenues tout durs.
Il alla même jusquà lui embrasser les pieds. Décorés dun très beau verni à ongle rouge, ses orteils étaient ravissants. Il remonta ensuite doucement, posa de doux petits bisous sur ses mollets, puis sur ses genoux, et vint embrasser goulument ses cuisses. Tout à coup, il retira brusquement le tanga et se dirigea enfin sur sa belle petite chatte, une fine toison parfaitement entretenue. La belle Lydia nattendait que ça. Toujours les yeux bandés, elle sagrippa à ses épaules, lui caressa les cheveux, les tira un peu plus fort pour lui indiquer le chemin vers sa vulve.
Voici venu le moment de lui administrer un merveilleux cunnilingus. Il commença par la lécher lentement, très délicatement, puis accéléra progressivement le mouvement de sa langue. Avec un doigt, il écarta ses lèvres et introduit sa langue un peu plus en profondeur. Il sarrêta aussi parfois pour souffler doucement sur la chatte de Lydia, constatant son humidité. Puis, il y introduit un doigt et la lécha de plus belle du bout de la langue.
Dune main, Lydia lui maintenait fermement la mâchoire de manière à lui signifier de ne surtout pas sarrêter.
Arrivé à la lettre G, Lydia se mit alors à gémir :
- oh oui mon chéri cest trop bon
jadore comme tu me lèches
tu fais ça trop bien putain
Maxime se sentit valorisé par les propos de Lydia. Il en avait bien besoin de cette reconnaissance. Peu à peu, il se sentait de plus en plus en confiance. De plus, il était particulièrement excité. Lydia létait tout autant et gigotait dans tous les sens. Tant et si bien quelle finit par se retrouver sur le flan.
Ainsi positionnée sur le côté, Maxime continuait à la lécher frénétiquement. Il sagrippait fermement à ses fesses. Pris dans la folie de lexcitation, il se mit même à les tapoter. Cela semblait plaire à Lydia qui exprimait des petits soupirs de contentement. Maxime lui administra alors une petite claque sur le cul tout en la léchant toujours. Lydia en était tout étonnée mais cela lui plaisait énormément :
- oh putain
mais dis-donc mon Maxou
tes un peu sado finalement.
Maxime ne répondit pas. Il découvrait quil appréciait énormément ce sentiment de dominateur. Il continuait à se régaler, dégustant avec bonheur la bonne chatte de Lydia de plus en plus mouillée. Régulièrement, il venait exercer sur ses fesses de belles petites claques y mettant de plus en plus de force. Le cul de la belle Lydia en était devenu tout rouge.
A présent, Maxime se sentait surpuissant. Il navait plus aucun filtre. Il releva la tête et se mit à parler à Lydia dans un langage quil naurait jamais imaginé quelques heures plus tôt :
- Ma chérie, tu veux que je te baise maintenant ? Tas une capote pour moi ?
Lydia se leva, dénoua la ceinture du peignoir quelle avait gardé autour des yeux et ouvrit le fameux tiroir. Soudainement, elle reprit le dessus sur la situation. Elle se tourna vers Maxime et lui dit avec un ton de dominatrice :
- Ah oui mon coco
je comprend bien que tu as envie de me prendre
mais pas tout de suite si tu veux bien
on va dabord faire un petit jeu.
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