Soumis Et Encagé
Cela faisait deux semaines que je ne lavais plus vue nue. La vision de son corps dénudé mavait terriblement manqué. Elle pénétra dans la salle de bains à poil. En bon soumis, jattendais au couloir, espérant quelle mordonna dentrer.
Elle.-Viens me lécher !
Moi.-Oui Maîtresse !
Je me suis mis à ramper vers la salle de bains. Entre mes cuisses balançait ma cage de chasteté. Le fait que je mapprêtasse à la redécouvrir nue mixé au ton méprisant avec lequel elle mavait ordonné de la rejoindre me remplissait dextase. Il ny a pas plus excitant que la vision dénudée du corps dune Dominatrice.
Lorsque je suis arrivé, elle était debout. Elle me faisait face. Ses seins lourds tombaient tout en restant suspendus en grosses gouttes charnelles délicieuses. Son corps resplendissait dérotisme.
Elle.-Alors, ça te fait quoi de me voir nue après tout ce temps ?
Moi.-Ça mexcite beaucoup Maîtresse !
Elle sest assise sur le rebord blanc de la baignoire. La blancheur pure de la surface lisse en contact avec ses fesses roses me rendait fier davoir bien accompli ma mission dhomme ménager comme elle me lavait ordonné.
Elle.-Ça texcite de me voir comme ça ?
Moi.-Oui, ça mexcite beaucoup !
Elle a ouvert ses cuisses. Ses lèvres vaginales ont découvert sa vulve. Elle a introduit son doigt dans son vagin.
Elle.-Tu te souviens de cette odeur ?
Moi.-Oui Maîtresse.
Je me rappelais parfaitement de lodeur du vagin de ma Maitresse. Comment loublier avec toutes les séances de facesitting durant lesquelles elle sassoit sur mon visage et emprisonne mon nez sous son vagin.
« Viens sucer mon doigt ! » mordonna-t-elle. Je me suis mis à ramper vers elle. Je latteignis. Elle introduisit son doigt, celui-là qui avait fouillé lintérieur de son vagin dans ma bouche. Et pendant que je suçais son doigt humecté de sa cyprine, nous nous regardions dans les yeux. Ça mexcitait beaucoup.
Elle.-Suce mes orteils !
Moi.-Oui Maîtresse.
Elle souleva son pied. Elle dirigea son membre clair vers ma bouche. Mes mains saisirent son pied puis mes lèvres enveloppèrent ses orteils. Ma bouche et ma langue les trouvaient délicieux ! Pendant que je les suçais, mon pénis durcissait dans ma cage de chasteté.
Elle.-Embrasse mon tibia !
Moi.-Oui Maîtresse.
Ma bouche passa des orteils au tibia. Mes lèvres embrassèrent la peau douce tout en suivant le parcours que leur indiquait lindex directif de ma Maitresse. Je me faisais mener à la baguette comme un animal.
« Bon chien ! Je constate que je tai bien dressé ! » Elle caressa dune main ma tête soumise. Toujours appuyé contre son tibia, son doigt se dirigea vers son genou. Mes lèvres le suivirent tout en embrassant de courts baisers répétitifs le pied de ma Maitresse. Mes lèvres atteignirent son genou. Son doigt atteignit sa cuisse. Mes lèvres atteignirent sa cuisse. Nous faisions une poursuite ! Soudain, son doigt ralentit sa course. Elle me faisait une espèce de strip-tease au cunnilingus : cela faisait longtemps que je navais plus eu le privilège de lécher son vagin, Maitresse savait que son petit jeu me rendait fou.
Elle.-Tas envie de me lécher nest-ce pas ?
Moi.-Oui Maîtresse.
Elle.-Supplie-moi de te laisser me lécher !
Je passai une dizaine de minutes à supplier ma Maitresse pour avoir lautorisation datteindre sa vulve avec ma bouche. Lorsquelle mautorisa enfin à la lécher, je déposai ma bouche avide sur son vagin. « Vas-y, lèche-moi ! Lèche-moi bien ! Lèche-moi à fond !
» Elle déposa sa main sur ma nuque. «
Tu sais lécher ! Jaime quand tu me lèches comme ça !
» Sa main frotta ma nuque ; à travers son agitation, un orgasme montait en elle ; jétais particulièrement excité tout en restant sexuellement frustré ; malgré ma cage de chasteté, je voulais, moi aussi, jouir au travers de la jouissance de ma Maîtresse me procurer même un orgasme par procuration, ce genre dorgasme qui tient de la détermination cérébrale et de lexploitation intensive des manifestations physiques, auditives, visuels et olfactives de lorgasme quun homme est en train doffrir à une femme.
Mes lèvres buccales sactivèrent plus contre les siennes intimes. Ma langue fouillait son canal vaginal. Jemprisonnais dans ma bouche son clitoris que je me mis à fortement sucer. Maîtresse cria de jouissance. Ma cage de chasteté me serrait.
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