Une Opportunité Tentante 4
« Un, deux, trois »
-Aïe, ouïe, ho, hé, ff, ff
J'entends, je vois, je suis au supplice.
Claude sest enfoncé du premier coup jusquà la garde dans une Patricia offerte, croupe à hauteur voulue. Pour le plaisir du recruteur il n'y a pas de demi mesure et il va à la manoeuvre avec fougue. Et moi, je ne suis pas intervenu. Jai envisagé de le terrasser, de faire apparaître au grand jour larnaque, douvrir les yeux de Patricia, pour la protéger de lui et delle-même. Je me suis ravisé. Si elle est prise sous le mâle, elle la bien voulu. Elle a ouvert elle même le pantalon et déballé le sexe qui la labourera. Par paliers, elle sest laissé envoûter. Lhabile gredin a su lui faire accepter de se prêter à tous ses jeux et maintenant, le prétendu professionnel sest solidement fiché en elle, immobile au fond du vagin rendu humide par les préliminaires toujours professionnels.
Patricia a consenti à se masturber devant Claude jusquà lorgasme, premier exploit. Elle a permis et courageusement supporté le contact des doigts et de la bouche sur son corps. L'examinateur a touché les cuisses pour indiquer les emplacements à masser afin déliminer la cellulite, il a du doigt compté les jours entre les jambes, il a soupesé la poitrine, en a éprouvé la fermeté, évalué la réaction aux doigts, aux lèvres et à la succion. Il a vanté la finesse de la taille et flatté des mains le rebondi des hanches, il a pratiqué, après attouchement du sexe chahuté par ses doigts, le cunnilingus, "imitation studio" disait-il, qui a cabré Pat et a ému ses sens.
La pénétration complète a été savamment préparée. Le vagin inondé par laccumulation des sensations sest ouvert facilement pour accueillir lenvahisseur. Toujours planté à fond, il imprime à son bassin collé au fessier, une rotation lente et appuyée. Obéissante Patricia a poussé le cri inscrit au programme du parfait professionnel. Mais les couinements suivants sont spontanés et reflètent le plaisir sexuel tout simple, procuré par la présence et les poussées de cette verge au plus chaud de sa féminité.
Le recruteur veut maintenir lillusion d'une répétition décisive pour sa carrière
- Tourne la tête à gauche, regarde le vase sur létagère, cest la caméra qui nous filme. Ton spectateur veut lire sur tes traits lexpression de ton plaisir. Sois naturelle.
Le plaisir embrume la vue de ma femme. Sinon elle pourrait m'apercevoir dans la fente entre porte et huisserie. Et c'est vrai, le spectateur, que je suis, voit sur son visage de femme possédée l'expression du plaisir que je croyais sottement être le seul capable de faire éclore.Je suis condamné désormais à voir et à entendre la suite. Claude ne m'épargne pas les détails de la possession :
- Là je me retire doucement et soudain, arrivé en bout de course, à linstant précis où mon gland semble te quitter à regret, je replonge en toi : on doit le savoir à la seule lueur de ton regard ou à la plainte de ta gorge. Tu me comprends ? On recommence, vlan
.je nai rien remarqué : sursaute, cambre-toi, gueule de douleur ou de joie, sois expressive. Allez, encore.
Cette fois, tout y est, le son, le regard, le mouvement de la croupe, la tête enfoncée avec les épaules dans laccoudoir. Cest que le démonstrateur y va gaiement, en puissance, ne ménage pas son énergie. Il aurait bien tort de se priver et promet mieux encore
- Cest mieux, ma belle. On va enchaîner par une suite dallers retours. Laisse-toi aller, comme si tu faisais vraiment lamour.
Comment ? Que croit-elle faire sinon l'amour ? Heureusement, si elle se demande à quoi elle se livre actuellement, Claude lui rappelle quelle fait "semblant" de faire lamour: cest un entraînement professionnel, mais ça doit paraître réel. Et moi, dans lembrasure de la porte je ne vois pas la différence. Je ne sens pas que Patricia simule. Toujours soucieux de se présenter à la caméra, le gaillard sest couché sur le dos de ma femme, peau à peau, légèrement plus à droite et att le sein droit, saccroche à la monture et continue son mouvement dentrée choc et de retrait freiné.
- Jentends que tu apprécies. Cest bien. Tu ne dois pas tépuiser au premier assaut. Garde de l'énergie sous le pied pour une probable suite au cas où il reste des jetons au généreux payeur.Souviens-toi, il faut créer lillusion mais il faut surtout garder le cochon payant devant son moniteur le plus longtemps possible. Il faut durer. Daccord ?
- Cest vrai. Mais Claude cet exercice me rappelle tellement de bons souvenirs dautrefois. Jai du mal à me retenir.
- Il va falloir ty faire si tu veux lemploi. Je vais accélérer le rythme de la relation, te bousculer plus fort : essaie de dominer tes réactions, grimace ouvertement, mais ce nest pas déjà lheure de tenvoyer en lair. Parce que, parmi mes étalons jen ai de bien montés, longs et de gros diamètre, si tu démarres au premier coup de manivelle tu ficheras la représentation en lair. Tu me sens, oui, serre les dents, pense à autre chose. Imagine ton spectateur qui se masturbe devant son écran. Comment réagirais-tu si ton Serge arrivait, que lui dirais-tu? Cherche lexplication adéquate pour le rouler dans la farine. Ou pense aux marins bretons pris dans une tempête.
Cest original dans cette position. Il parle, mais il bouge, la cadence des coups a augmenté, il glisse sa main droite sous le ventre de Pat et lagite sur le clitoris comme un joueur de mandoline gratte ses cordes. Il transpire, se contracte et finit en sextirpant vivement de lantre en feu.
-Excuse-moi. A mon tour jai eu limpression de revivre une scène du passé et jai failli te remplir de sperme. Or nous ne sommes pas là pour ça. Prenons quelques minutes de repos pour calmer lexcitation.
- On pourrait peut-être se contenter de cet exercice aujourdhui.
- Cest comme tu veux.
Tourne-toi vers la caméra, recule, jambes écartées, place-toi au-dessus de mon pieu. Tu te penches en avant.
Patricia est une apprentie attentive et appliquée. Elle saisit le membre avant den recevoir lordre et le présente à sa fente. De sa main libre, elle ouvre la vulve gourmande et descend prudemment au contact. Claude se soulève comme un ressort comprimé et se projette dans le canal. Il na pas besoin de commander le son, ma femme ne simule pas, frappée en plein cur. Elle pousse des gémissements rauques annonciateurs dun orgasme prochain. A ce train là, ça ne va pas tarder. Son visage congestionné est couvert de sueur.
- Mets tes mains sur ton sexe, écarte au maximum, tire sur les babines, que les spectateurs se rincent lil; ils doivent voir tes chairs roses et mon pilon qui te défonce. Stop, lève-toi, tourne-toi et empale-toi, dos tourné à la caméra. Creuse les reins, ils doivent découvrir la rondelle de ton trou du cul et, en-dessous larrière rose et trempé de ta fente eenvahie par mon machin coulissant. Pense à bien texposer, jambes au large, fesses décrivant damples montées. Tu as la pose, mouvement, cest toi qui mènes le bal, fonce, ne te retiens plus, cest le final. Allez, au galop. Souffle, sue, rougis, rue, force, vas-y. oh! Ce nest pas vrai! Je viens, excuse-moi .
- Mais que fais-tu ? Tu mas envoyé la purée. Ah! Non. Là tu exagères. Ce nest pas professionnel ça. Cochon, tu mas remplie de foutre sans prévenir.
- Tu appelles ça éjaculateur précoce ? Eh bien, il t'en faut des coups de bite. Depuis que je rame, tu me trouves trop rapide ?. Non, j'éjacule rarement au contraire. Excuse-moi, cela a été plus fort que moi. Jusqualors, jamais je nai envoyé mon sperme dans une candidate. Toi, je nai jamais pu toublier. Cest une erreur de recruter des personnes dont on est amoureux.
Tiens, il est amoureux, il le proclame, elle naurait pas entendu ? Elle pense à autre chose, ne relève pas l'aveu. Sa préoccupation est autre :
- Eh! Ne me dis pas que jai raté mon examen. Si tu ne sors pas tes contrats immédiatement je te tue. Installe-toi à la table, pendant que je vais faire un brin de toilette. Regarde, berk, ça dégouline à terre, le long de mes cuisses. Ma foufoune bave encore. Tu demandes de faire durer et tu exploses sans prévenir . Mais regarde-toi, tu es tout barbouillé de ta sauce de couilles. Viens avec moi sous la douche.
Jai eu le temps de fuir au fond du couloir, dans la chambre de notre futur bébé. A cette allure, ce ne sera pas mon bébé mais celui de Claude. Ils se dépêchent dans la salle de bain mais trouvent encore le temps de se chatouiller et de se livrer à des attouchements qui font hurler Patricia. Enfin ils vont se vêtir au salon. C'est fini pour aujourd'hui. Patricia en veut pour sa dépense physique, montre combien elle tient à obtenir le poste de modèle sur le web :
- Claude, pour les contrats, peux-tu passer demain matin vers 8h 30 ? Ce n'est pas possible maintenant, les épreuves de sélection ont été trop longues.
- Tu n'es pas contente d'être admise ? Daccord, c'était long, mais c'était si bon et je te réserve une bonne surprise. Je tembrasse, à demain. Veux-tu que je te dépose, ça ira plus vite et jaurai plaisir à tattendre ce soir à la sortie pour te ramener chez toi.
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