Série Insolite. Épisode 16 « Sarah » : Partagée Au Géant Bavarois. Partie 7/13

Je m’appelle Sarah, lors de la troisième partie de mon histoire, dans la série insolite N°15, je vous ai expliqué comment à 25 ans, après avoir été la maitresse d’André, j’étais tombée amoureuse de mon nouveau patron. Je vais poursuivre mon récit. Deux mois s’étaient écoulés depuis sa prise de fonction comme PDG, William, toujours aussi amoureux, s’obstinait à me cacher alors que les rumeurs sur notre relation s’intensifiaient. Sophie la directrice administrative et Pascale la DRH en était la cause, sans parler des agents de sécurité qui nous voyaient tous les jours. Il était temps pour nous d’exposer notre amour au grand jour.

Cependant, il ne voulait toujours pas m’emmener avec lui, au diner d’affaire, aux réceptions, aux négociations commerciales ou aux soirées mondaines comme le faisait André son prédécesseur. Il était allé déjà deux fois à l’étranger et ne m’avait pas proposé de venir avec lui. D’autre part, je trouvais son comportement quelque peu étrange, je savais que ce n’était pas de la jalousie mais avant de faire l’amour, il me demandait de lui parler de mes aventures sexuelles en lui fournissant tous les détails. Au début, j’avais trouvé cela amusant et assez stimulant je dois dire, je me rendais compte que cela l’excitait vraiment et ensuite nos rapports étaient torrides.

Je pensais qu’il en avait besoin, cela le faisait bander. Lorsque je lui avais parlé de mon jeune amant Kévin l’assistant juridique qu’André avait muté à Lille, sans m’avoir averti au préalable, celui-ci était de retour parmi nous deux semaines plus tard. Ce fut une très grande joie pour moi de revoir Kévin, je tenais à lui comme ami mais je n’en étais pas amoureuse. C’était bien William que j’aimais, j’avais envie de passer chaque seconde avec lui, j’aurais fait n’importe quoi pour rester à ses côtés. J’avais attendu tout un trimestre pour lui en parler, je commençais à m’ennuyer et je voulais que notre relation soit connue de tous et qu’il m’accepte à son bras lors de toutes ses sorties professionnelles.



Pendant la semaine de congés d’hiver, nous nous étions retrouvés seuls, amoureux comme au premier jour, nous étions très heureux d’être ensemble. C’était le moment propice pour avoir une conversation à ce sujet, j’en avais profité pour savoir ce qu’il se passait dans sa tête, je sentais bien que mon chéri avait un problème. En effet, il m’avoua qu’il ne désirait pas m’exhiber auprès d’autres hommes comme le faisait André, ce n’était pas une question de jalousie mais il m’aimait tellement qu’il serait tenté de me partager à ces hommes car il était candauliste et avait peur de me perdre si je n’acceptais pas cet état de fait :
— Tu aimerais donc que je te sois infidèle et que je te raconte tout en détail. Je comprends mieux maintenant. Je t’aime William, je ne sais plus quoi dire, je voulais simplement être plus souvent avec toi.
— Si c’est ton choix, dès la rentrée j’officialiserai notre relation et je t’emmènerai partout comme le faisait André.
— Tu aimerais que je couche avec qui je veux ? C’est ça ?
— Je ne t’obligerai jamais à rien, tu resteras la seule à décider. Mais sache que je ne serai pas contre une relation extra conjugale.

Puis il m’expliqua que c’était la raison pour laquelle il avait fait revenir mon ami Kévin. Il poursuivit en disant que j’étais encore jeune et que j’avais plus de besoin sexuel que lui mais que tout ceci ne le gênait pas : « Mon amour pour toi, sera décuplé. » puis nous n’en avions plus reparlé jusqu’à notre retour, nous vivions notre amour comme par le passé. William tint sa promesse, à partir de ce jour, j’étais bien la concubine du patron et personne n’osait critiquer ma position. Ce qui ne m’empêchait pas de repenser continuellement à ce qu’il m’avait avoué et lorsque je revoyais Kévin tous les jours, je repensais à la proposition de mon chéri car si je prenais un amant, ce serait en priorité lui.

« Comment le dire à William sans passer pour une salope ? » Un mois plus tard au repas, j’avais relancé le sujet en disant que j’aimerais l’aider.
Ce fus lui qui me lança la perche : « Tu sais ma chérie, le mieux pour nous deux, c’est que tu prennes un amant avec lequel tu te sentirais en sécurité, que dirais-tu de Kévin, tu m’en as toujours dit du bien. Veux-tu que je lui parle ? »
— Non surtout pas ! Personne ne doit le savoir mais j’aimerais que tu sois à proximité comment faire ?
— Ne t’inquiète pas ma chérie, André te regardais tous les jours, le miroir qui se trouve dans la chambre d’amis et une glace sans tain. Elle est dissimulée par le petit secrétaire de notre chambre. Il coulisse, je pourrai vous voir parfaitement.

Ce passage à l’acte fut une étape très difficile à passer pour moi, je ne parvenais pas à prendre cette décision qui me paraissait insurmontable. Sans l’aide de Kévin qui tenait encore à moi et qui n’était pas au courant et devant l’insistance de William qui essayait de me rassurer, je n’y serais jamais parvenu. Si le jeune assistant juridique fut un amant formidable, la première expérience ne fut pas une grande réussite. Je n’avais pas cessé de regarder la glace, me sentant épiée et ne connaissant pas la réaction de mon homme, j’étais mal à l’aise, j’avais presque honte de moi. Heureusement le soir, William fut convainquant, il avait très apprécié me voir dans les bras de ce garçon, toutefois, sans me le reprocher, il ne m’avait pas trouvé très naturelle, je devais me concentrer déjà sur mon propre bonheur avant de penser au sien car il savait pertinemment que lui prendrait beaucoup plus de plaisir en nous regardant.
Puis cela était allé en s’améliorant, pendant deux mois, tous les samedi après-midi, je jouissais dans les bras de Kévin en pensant à la joie que je procurais à mon chéri. Lorsque le soir dans notre lit, nous nous retrouvions avec William, nos étreintes étaient magnifiques. Nous avions atteint un équilibre parfait, je n’avais absolument pas l’impression d’être infidèle, bien au contraire, mon amant devenait qu’un jouet pour nous, au même titre qu’un simple sextoy, j’étais enfin heureuse d’avoir pu contribuer au bonheur de William et du mien.
J’étais par la même occasion entièrement satisfaite sexuellement, j’y prenais goût et je voulais aller encore plus loin dans mes délires, je voulais réaliser certains de mes fantasmes.
Pour moi, ça devenait un jeu, pendant certaines soirées mondaines, nous nous amusions, lorsque les vieux vicieux me tripotaient ou frottaient leur sexe contre ma cuisse ou mes fesses, nous nous regardions d’un regard complice, en pensant à la nuit torride que nous allions connaitre par la suite.
Pour pâques, William avait reçu une invitation d’Helmut, le géant bavarois, lui proposant de venir passer un week-end à Munich. Il n’avait pas donné suite car j’avais rencontré un petit problème l’an passé avec cet allemand. Cependant lorsque j’avais trouvé ce carton d’invitation dans son bureau, je lui demandai la raison pour laquelle il n’avait pas encore répondu : « C’est dans quinze jours mon chéri. Nous pourrions bien nous amuser avec lui. »

Surtout qu’il ne me déplaisait pas, j’étais certaine que ce rustre me donnerait beaucoup de plaisir, j’étais impatiente de voir son sexe qui m’avait semblé bien gros. De surcroit, je pensais que William apprécierait qu’Helmut me prenne comme un sauvage et cette expérience pouvait être agréable pour moi également. Pendant ce week-end en Bavière, nous avions franchi une étape dans le libertinage. Jamais je n’aurais pu imaginer le déroulement de cette soirée, William ne m’avait pas prévenu. Je pensais qu’Helmut trouverait le moyen de m’attirer dans les toilettes discrètement comme il me l’avait déjà proposé l’an passé et que cela en resterait là. Cependant ce ne fut pas le cas. En effet, lors de notre arrivée, après avoir déposé nos bagages dans la chambre qui nous était réservée, les deux hommes parlaient affaires,

Pendant ce temps, Elena la plantureuse déesse russe, m’avait fait visiter leur jolie demeure avec une petite balade dans leur splendide parc puis nous avions fini l’après-midi dans leur piscine chauffée.
Ce fut au moment où j’allais me changer pour la soirée que l’épouse du géant m’avertit que je plaisais à son mari. À ce moment-là, je me posai beaucoup de question et lorsqu’elle me dit qu’il préférait me voir dans une tenue moins sage qu’à mon habitude, je comprenais à présent qu’Elena était consentante : « Il aime les tenues très coquines, qu’as-tu apporté ? » Me demanda-t-elle avec son accent slave. J’étais très surprise mais cela m’avait émoustillée, l’incertitude m’excitait. Elle avait choisi pour moi la jupe grise la plus courte avec des porte-jarretelles, surmontée d’un chemiser rose pâle : « Avec les trois premiers boutons enlevés et sans culotte, tu seras encore plus sexy. »

Dans leur salon, l’ambiance était cosy, sur la table basse les petits fours et du vin de Moselle nous attendaient. La tension était palpable, j’étais entre excitation, questionnement et avec un certain stress, mais j’avais envie de profiter de cette soirée à fond. Elena était superbe, plus sexy que moi avec un haut blanc transparent et une jupe très courte qui laissait apparaitre ses bas en dentelle rouge. William était en admiration devant cette jeune slave, cela m’avait rendu un peu jalouse. Helmut me félicita pour ma tenue et m’invita à m’assoir sur le canapé, nous trinquions et grignotions en toute décontraction, ce qui avait détendu l’atmosphère.

William était installé sur le fauteuil en face de nous, je me trouvais assise entre Helmut et Elena. Soudain, contre toute attente, ce fut elle qui posa sa main sur ma cuisse, tout naturellement. Mon premier réflexe fut de regarder mon homme, cependant il fit un signe de tête à Elena afin de l’inciter à me caresser puis me sourit. Je compris que je devais me laisser faire, je m’étais laissée aller au plaisir de cette douce main qui remontait ma jupe lentement. La jeune slave commença à m’embrasser le cou, puis ses lèvres descendirent vers mes seins. Sans plus attendre, Elena s’agenouilla devant moi et passa sa tête sous ma jupe. Pendant que les hommes se délectaient de nous voir ainsi, ils semblaient apprécier le spectacle.

Je fermais les yeux, sa langue jouait avec mon sexe pour mon plus grand plaisir pendant que son mari caressait ma poitrine, les mamelons de mes seins étaient si durs qu’ils étaient hyper sensibles. Soudain, Helmut posa la main sur l’épaule d’Elena et lui ordonna d’un ton très ferme :
— Maintenant occupe-toi de William, je vais jouer avec Sarah.
Lorsque je vis Elena descendre le pantalon de William, pour placer sa verge dans sa bouche et commencer sa fellation, une petite pointe de jalousie était venue me titiller l’esprit mais le gros doigt d’Helmut pénétrant dans ma fente me fit vite oublier tout cela : « Je vois que tu as retenu la leçon, petite salope, tu n’as pas mis ton string aujourd’hui. Allez suce-moi » M’ordonna-t-il en enlevant son pantalon. William ne me quittait pas des yeux, il me souriait, son regard en disait long, il appréciait me voir aux prises de l’énorme phallus du géant. Il acquiesça, lorsque je commençais par saisir son gros sexe, avant de le mettre entre mes lèvres.

Je ne pensais plus à rien, c’était pourtant la première fois que je vivais une telle expérience libertine. Ma bouche était déformée par la grosseur de son pénis, j’avais des difficultés à placer ses 22 cm entièrement entre mes lèvres. Rapidement Helmut éjacula dans ma bouche et je n’avais pas voulu recracher son sperme, j’avais tout avalé avec difficulté mais je me libérais de mes retenues et de ma sagesse car je ne le faisais que par amour. Il me coucha sur le canapé et me fit un cunnilingus digne de ce nom, lui aussi m’avait fait monter au septième ciel, pendant que la jeune russe se trouvait à califourchon sur la queue de William ce qui ne l’empêchait pas de continuer à nous mater.

J’étais libérée, totalement à mon aise, entièrement nue sur ce canapé, chevauchée par le bavarois qui enfilait et retirait son gros phallus qui me remplissait le vagin trempé de cyprine. Je criais de joie à chaque coup de boutoir puissant, Helmut me baisait comme une chienne en me traitant de sale pute. Je m’étonnais moi-même car toutes ses insultes m’excitaient et je voyais toujours William sourire, il prenait plus son pied en me regardant. Pour moi aussi c’était devenu excitant de le voir se faire dominer par Elena qui s’activait sur son sexe.

Helmut me plaça à quatre pattes sur le tapis, il désirait me prendre en levrette. Elena abandonna William, resté assis sur son fauteuil, elle se plaça face à moi, m’embrassait, me flattait la poitrine, suçait mes tétons, pendant que son mari allait et venait sauvagement dans mon ventre, me défonçant le vagin. Il s’en était suivi un long gémissement et un grand cri lorsque je pris mon orgasme, j’étais en extase comme sur un nuage. Autant de caresses et de tendresse de la part d’Elena et la brutalité du géant avaient eu raison de moi, je tremblais de toute part. Les deux hommes apprécièrent le moment, ils s’étaient mis debout et se branlèrent sur nous qui nous embrassions avec du sperme plein le visage.

Après avoir repris des forces en mangeant et en buvant un peu, nous avions remis cela en enchainant une multitude de positions. Nous avions fini nos ébats avant de prendre la douche, Elena m’embrassait à pleine bouche, je m’étais retrouvée en amazone, empalée sur le pieu d’Helmut, pendant que William me sodomisait avec une certaine douceur. Ils harmonisaient leurs mouvements, ce fut gigantesque. Jamais je n’avais joui de la sorte, c’était pour moi une première, la double pénétration n’était qu’un fantasme que je ne pensais jamais réaliser. A la fin, Helmut avait joui dans la bouche de sa femme alors que William m’envoya son sperme au fond de ma gorge.

Notre week-end fut une réelle réussite, ce couple fut formidable, nous avions passé tout le dimanche à refaire l’amour ensemble avant de rentrer le lundi, tous épuisés, se promettant de nous revoir au moins deux fois par an. Ce que nous avions fait l’été suivant dans la maison à Salon de Provence que possédait William et à Noël dans son chalet à Gérardmer dans les Vosges. En rentrant de Bavière, j’étais transformée, j’étais devenue une autre femme, je n’avais qu’une envie, celle de devenir une vraie libertine auprès de William pour son plus grand bonheur. Je ne pouvais plus me passer de lui, ni de ses envies de me partager. J’avais cessé de baiser avec Kévin, j’avais d’autres projets, l’inattendu était bien plus stimulant.

Quinze jours plus tard, lors du salon dans la salle de réception, où se déroulait la présentation de notre nouvelle gamme de produit, j’aperçus Mr Luigi Ariani. C’était ce vieux vicieux d’italien auquel je m’étais refusée prétextant que j’étais mariée, malgré la demande expresse de mon ex patron André. Beaucoup d’eau était passée sous les ponts depuis. Ce jour-là j’étais bien décidée de me lâcher et de faire plaisir à William. Je n’avais pas eu à faire beaucoup d’effort afin de le séduire, dès que le vieux beau de 71 ans avait fini son tour d’horizon accompagné du commercial et de Pascale la DRH, j’étais venue le saluer.

J’avais posé mes mains sur ses hanches et lui fit la bise en disant : « Je vous ai beaucoup déçu, je sais, veuillez m’en excuser. » Luigi me fit son plus beau sourire, il attrapa deux coupes de champagne sur le plateau que la serveuse tenait et m’en tendit une : « Si votre mari n’est plus un obstacle, nous pourrions peut-être diner ensemble. » Cette fois, je me devais de le satisfaire pleinement, afin qu’il ne parte pas à la concurrence. J’avais changé d’optique depuis l’an passé, me disant : « Autant joindre l’utile à l’agréable. »

Nous avions trinqué et je laissai sa main baladeuse se promener sur mon corps, je frottais ma cuisse contre son sexe que je ressentais durcir à mon contact, pendant que William nous regardait de loin en souriant, mon homme était aux anges. Nous avions pris suffisamment de mignardises, j’avais fait en sorte de l’aguicher, ce vieil étalon italien bandait pour moi. L’heure de la fermeture du salon approchait, il était temps que je prenne les devants. Je posai ma main sur son sexe en disant : « Il me semble que vous me désirez. »
— Allons vite à mon hôtel ?
— Je veux bien mais mon homme doit être présent. Il adore me voir jouir dans les bras d’un autre. Saurez-vous être à la hauteur ?

Luigi avait tellement envie de moi, qu’il avait accepté tout de suite la présence de William. Arrivés dans la chambre, je l’avais dénudé, son sexe semblait être celui d’un jeune homme. Je l’avais tellement chauffé pendant le salon qu’après une savante fellation en gorge profonde, j’avais eu raison de lui, il éjacula rapidement dans ma bouche, j’étais un peu déçue car je voulais faire durer le plaisir, pensant qu’à son âge il ne serait peut-être plus capable de bander de sitôt. Cependant je fus très surprise de ses capacités physiques, car il en demandait encore.

Après m’avoir pelotée, léchée, sucée et doigtée pendant plusieurs minutes, lorsque je pris mon premier orgasme, il avait de nouveau une belle érection. Je l’avais chevauché face à lui pendant que William se masturbait, j’avais une nouvelle fois connu un plaisir intense et lorsque je joui, William s’était vidé dans ma bouche. Je me levai afin que Luigi se retire, il enleva sa capote et me demanda une branlette espagnole, Il s’activa entre mes seins que je tenais fermement avant d’envoyer sa semence pour la seconde fois en moins d’une heure. Il était tellement épuisé qu’il refusa de se lever lorsque nous avions quitté la chambre :
— Je n’en peux plus Sarah. Je vous revois demain matin, je passerai pour ma première commande.

Le soir en rentrant, William me demanda en mariage, notre relation libertine était loin d’être terminée. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sarah, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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